Lycée Louis-le-Grand

Lycée Louis-le-Grand

48°50′53″N 2°20′40.3″E / 48.84806, 2.344528

Lycée Louis-le-Grand
Image illustrative de l'article Lycée Louis-le-Grand
Entrée principale du lycée Louis-le-Grand
Généralités
Création 1er octobre 1563
Pays Drapeau de France France
Académie Paris
Coordonnées 48° 50′ 53″ N 2° 20′ 40″ E / 48.848056, 2.34452848° 50′ 53″ Nord
       2° 20′ 40″ Est
/ 48.848056, 2.344528
  
Adresse 123 rue Saint-Jacques
75005 Paris
Site internet www.louis-le-grand.org
Cadre éducatif
Type Établissement public local d'enseignement (EPLE)
Proviseur Joël Vallat
Proviseur-adjoint Geneviève Perrot
Françoise Gombert
Guy Valette
Matricule 0750655 E
Population scolaire 1818 élèves en 2009
Formation Lycée général (S et L)
CPGE scientifiques, économiques littéraires et Classe Technologique (STI2D)
Langues étudiées anglais, allemand, espagnol, russe, chinois, arabe, hébreu, vietnamien, latin, grec ancien
Localisation

Géolocalisation sur la carte : Paris

(Voir situation sur carte : Paris)
Point carte.svg

Le lycée Louis-le-Grand[1], établissement d'enseignement secondaire et supérieur public, s'élève le long de l'ancien cardo de Lutèce, au 123 de la rue Saint-Jacques dans le Ve arrondissement de Paris, en plein cœur du Quartier latin. Son origine remonte au XVIe siècle, puisqu'il fut fondé par des Jésuites sous le nom de Collège de Clermont.

Ce lycée est entouré d'établissements d'enseignement supérieur comme le Collège de France, la Sorbonne en face, et plus haut la Faculté de droit et l'Institut de Géographie. Il fait partie avec les lycées Henri-IV et Saint-Louis des trois lycées de la montagne Sainte-Geneviève.

Les élèves du lycée Louis-le-Grand sont souvent appelés des « magnoludoviciens », et l'établissement est couramment désigné sous le sigle « LLG ».

(M) Ce site est desservi par la station de métro Cluny - La Sorbonne.

Sommaire

Histoire

Le collège des jésuites

  • 1550-1594 : fondation enseignante de la Société de Jésus.

Guillaume du Prat, évêque de Clermont, qui avait rencontré Claude Le Jay, au concile de Trente invite les jésuites à ouvrir un collège dans son hôtel parisien (1550). Il soutient financièrement cette fondation d'un don de 6000 livres en vue d'assurer la subsistance de six « pauvres escholiers ». Cet hôtel sera la cellule initiale du collège de la Compagnie de Jésus. Toléré par l'Université, mais sans autorisation formelle de sa part, l'établissement reçoit des lettres patentes du roi et ouvre ses portes le 1er octobre 1563. Le succès dépasse rapidement toutes les espérances, les élèves se présentent en nombre important, et il faut agrandir le collège, en achetant et annexant les maisons mitoyennes de la rue Saint-Jacques.

Pourtant, le Collegium Societatis Iesu, que les élèves désignent sous le nom de Collège de Clermont, a rencontré dès sa création de nombreux obstacles.

En effet, par une originalité surprenante à l'époque, le nouveau collège a décidé de donner à ses externes un enseignement gratuit. Le résultat est immédiat : on accuse les jésuites de dépeupler les collèges de l'Université de Paris. Dès 1564, le Recteur de l'Université Jean Prévot défend aux pères de rouvrir le collège ; un procès s'engage auquel s'intéresse tout le royaume. En attendant une conclusion qui ne vient pas, les Jésuites reçoivent l'autorisation provisoire d'enseigner : un provisoire qui va durer trente ans et qui va permettre au Collège de Clermont de rayonner d'un éclat toujours plus vif.

  • 1594-1618 : interdiction.

En 1594, le roi Henri IV est frappé d'un coup de couteau par Jean Châtel et on découvre que l'auteur de ce geste a été autrefois élève du collège de Clermont. Malgré les vives protestations de Jean Châtel lui-même, les membres du Parlement décident que les jésuites sont responsables de son crime[2]. La compagnie de Jésus est interdite une première fois, ses membres bannis, leur collège mis sous séquestre, les biens et les meubles vendus.

Neuf ans plus tard, le roi accorde à nouveau aux jésuites la permission de s'établir en France. En 1606, ils peuvent reprendre possession de leur collège de la rue Saint-Jacques, mais à condition de ne pas y enseigner. Puis ils reçoivent l'autorisation de donner un cours de théologie par semaine. Enfin, des lettres patentes du 20 août 1610 accordent au Collège de Clermont le droit de donner toutes sortes d'enseignement.

Une action vigoureuse est menée par l'université de Paris auprès du Parlement de Paris qui, dans un arrêt du 22 décembre 1611, interdit aux jésuites d'enseigner à Paris : il faudra attendre le 15 février 1618 pour que soit enfin autorisée, conformément aux lettres patentes de 1610, la réouverture du collège.

  • 1618-1762 : du collège de Clermont au collège Louis Le Grand.

Dès lors, bénéficiant de la protection officieuse du roi, le Collège de Clermont s'achemine, de 1618 à 1682, vers son apogée. En 1682, le Collège parvient à la consécration suprême. Le Roi-Soleil lui accorde son patronage officiel : l'établissement reçoit le nom de Collegium Ludovici Magni, Collège de Louis le Grand. Dès lors, l'établissement, bien qu'il n'ait encore jamais été agréé par l'Université de Paris, donne un enseignement prestigieux à plus de 3 000 élèves. Toute l'organisation de l'enseignement secondaire est mise au point à cette époque, avec la répartition en 6 classes de niveau, le découpage disciplinaire, des cours de Physique et de chimie.

Le chef-lieu de l'université

Armes du collège royal Louis-le-Grand sur un ouvrage de bibliothèque

L'année 1762 voit la victoire du Parlement de Paris et de l'Université sur Louis le Grand. À la suite de la banqueroute du père Antoine Lavalette, la compagnie de Jésus, que l'on a rendue responsable des dettes du père, commet en effet l'insigne imprudence de porter l'affaire devant la grande chambre du Parlement de Paris. Le 3 mai 1762, le Collège de Louis-le-Grand reçoit donc l'avis officiel d'avoir à congédier sans délai maîtres et élèves. Les jésuites sont expulsés et leurs ennemis s'installent triomphalement dans les murs du vieux collège. Le 21 novembre 1763, Louis-le-Grand est consacré chef-lieu de l'université de Paris.

Sceau du Collège Royal de Louis le Grand (1763-1849)

28 collèges de Paris sont rassemblés à Louis le Grand : Collège d'Arras, collège d'Autun, collège de Bayeux, collège de Beauvais (ou Dormans), collège de Boissy, collège des Bons-Enfants, collège de Bourgogne, collège de Cambrai, collège des Cholets,collège de Cornouailles, collège de Dainville, collège des Dix-Huit (ou de Notre-Dame), collège de Fortet, collège de Hubant (ou de l’Ave Maria), collège de Justice, collège de Laon, collège du Mans, collège de Maître Gervais, collège Mignon (ou Grandmont), collège de Narbonne, collège de Presles, collège de Reims, collège Sainte-Barbe, collège Saint-Michel, collège de Seez, collège de Tours, collège de Tréguier, collège du trésorier.

Le roi Louis XV devient le second fondateur du collège : l'établissement obtient de mettre sur son sceau les armes royales, d’azur aux trois fleurs de lys d’or. Sur la grande porte sont désormais sculptées les effigies de Louis XIV et de Louis XV.

Bien qu'il partage avec le Recteur les vastes locaux de la rue Saint-Jacques, le nouveau principal décide d’entreprendre une véritable révolution pédagogique qui va relancer la guerre avec l’université de Paris. En 1766, il institue le concours de l'agrégation, qui est testé d’octobre à décembre à Louis-le-Grand. Allant plus loin encore, il organise dans les locaux du collège royal une École normale, préparant à l’agrégation (et c’est ainsi qu'avant de s'installer rue d’Ulm, l’École normale supérieure fonctionna pendant plus de quatre-vingts ans à Louis-le-Grand).

Une bibliothèque est constituée à partir de 1770 dans les locaux à partir de celle du recteur Jean-Gabriel Petit de Montempuis, des livres qui étaient déjà sur place dans le collège et des bibliothèques des collèges rattachés : l'ensemble forme l'embryon de la future Bibliothèque de la Sorbonne.

Ulcérée par ce nouvel attentat contre ses franchises séculaires, l’université de Paris se déchaîne en une guerre de douze années, avant de rendre les armes en 1778. Pendant ce temps, le collège traverse victorieusement toutes les campagnes menées contre lui devant l’opinion ; le nombre de boursiers passe de 465 en 1781, à 494 en 1788, puis 550 en 1789. À cette époque, les élèves restent au collège pour toute la durée de leurs études : après le baccalauréat, ils ont la possibilité de choisir entre la préparation de l’agrégation, les études de médecine, les études de droit et celles de théologie.

C’est ainsi que le jeune Robespierre, entré en qualité de boursier à l’âge de onze ans, quitta le collège à vingt-trois ans muni de son diplôme d’avocat et récompensé pour ses brillantes études par un prix exceptionnel de 600 livres.

Le lycée à partir de 1790

En 1790, la ferveur enflamme les boursiers. Cent cinquante d’entre eux courent, volontairement ou non, aux frontières de la « patrie en danger », certains passeront plusieurs années sous les drapeaux de la République, jusque vers 1796. Sous la houlette de son proviseur Jean-François Champagne, un ancien élève d'origine modeste, boursier devenu enseignant, puis proviseur à la suite de l'éviction de l'essentiel des cadres religieux de l'établissement en 1792 et qui restera solidement à la barre pendant près de vingt ans jusqu'en 1810, Louis-le-Grand traversera, avec des hauts et des bas, toutes les vicissitudes de cette période, un cas unique en France pour ce type d'établissement.

De 1792 à 1794, une partie des locaux du collège nouvellement baptisé Collège Égalité est occupée par trois mille soldats, puis par une prison politique où les victimes de la Terreur attendent le départ pour l’échafaud. Les livres sont temporairement transférés au « dépôt Louis-la-Culture» (église Saint-Paul-Saint-Louis) mais reviennent progressivement dès 1796.

Dès le début de la Révolution, tous les collèges de Paris avaient été fermés, à la seule exception du Collège Égalité. En 1797, il devient l'Institut central des boursiers sous le nom de Prytanée français et tout ce qui reste des quarante collèges parisiens de l’Ancien Régime y est regroupé.

En 1801, prenant à son tour le chemin suivi par Louis XIV, Louis XV et Louis XVI, le Premier Consul, Napoléon Bonaparte, rend visite à l'établissement que l’on appelait le Collège de Paris depuis la division du Prytanée en plusieurs collèges en 1800. En 1802, sur proposition du ministre de l’intérieur Chaptal, l’établissement reçoit le titre de « lycée de Paris ». Premier établissement en France à recevoir ce titre de lycée, il devient en 1805, le « Lycée impérial ».

Désormais, les appellations vont se modifier au rythme des secousses de l’histoire de France : lycée Louis le Grand à la Première Restauration, l’établissement redevient collège royal de Louis le Grand à la Seconde Restauration. La préposition qui semblait faire du collège la propriété exclusive du Roi-Soleil disparaît en 1831.

Quant à la Bibliothèque, elle est déplacée à la Sorbonne à partir de 1823.

Les journées de 1848 font disparaître à son tour l’adjectif royal puis reparaître le titre de lycée. Un bref moment, élèves et maîtres demandent à la jeune et éphémère République de baptiser leur établissement lycée national. Ils ne sont pas écoutés ; on préfère à cette appellation le nom de lycée Descartes.

Dès 1849, cependant, un arrêté ministériel rétablit l’ancien titre : lycée Louis le Grand. Le Second Empire apportera sa petite touche personnelle et fera de l’établissement le lycée impérial Louis le Grand. Rebaptisé par l’autorité municipale, de 1870 à 1873, lycée Descartes, l’établissement de la rue Saint-Jacques redevient enfin, et définitivement, lycée Louis le Grand en mars 1873. On peut d'ailleurs noter que les deux nomenclatures Louis le Grand et Louis-le-Grand sont valables.

Le lycée aujourd'hui

le bâtiment de la cour Victor-Hugo du lycée Louis-le-Grand

La situation actuelle

Depuis le début du XXe siècle, le lycée Louis-le-Grand a connu d'importants travaux. 1995 marque le début d'une vaste entreprise de rénovation qui donne au lycée son aspect actuel.

Le lycée, actuellement dirigé par Joël H. Vallat (ancien proviseur du lycée français de New York), accueille tous les ans près de 1800 élèves (environ 850 élèves en secondaire et 950 élèves en classes préparatoires). Les classes préparatoires scientifiques regroupent 60 % des élèves, tandis que les classes préparatoires littéraires ne représentent que 25 % des élèves et les classes préparatoires commerciales 15 % des élèves. Presque 10 % des élèves sont de nationalité étrangère (on compte au total 40 nationalités différentes, en particulier dans les sections du secondaire dites européennes). Le lycée est également doté d'un vaste internat d'une capacité d'accueil de 339 élèves, garçons et filles, inscrits en classes préparatoires.

Les classes

Le lycée Louis le Grand compte une quarantaine de classes, principalement scientifiques ; il y a 1 800 élèves dans 26 classes pour le second cycle et un peu moins d'une vingtaine de classes préparatoires aux grandes écoles.

En seconde, on dénombre sept classes de même niveau, proposant des enseignements d'exploration tels que les sciences économiques et sociales (SES) (obligatoires), Littérature et Société, les Méthodes et Pratiques Scientifiques MPS et l'initiation aux sciences de l'ingénieur ISI (depuis 2007) ; on trouve en option le grec ancien et le latin. En première et en terminale, il y a chaque fois huit classes scientifiques dont une à profil sciences de l'ingénieur (SI) et une classe littéraire. À ces deux niveaux, on peut noter des distinctions entre les classes : la S1 est traditionnellement considérée comme une classe d'élite (notamment en mathématiques où les élèves suivent un programme particulièrement poussé) ; la S6, qui va de la seconde à la terminale, est une section européenne (1h d'anglais en plus par semaine et 1h d'histoire en anglais dite histoire section européenne (HISSE)). Une section orientale existe également, elle ne coïncide pas avec une classe particulière, ses élèves ont 1h de mathématiques enseignées en chinois en plus des cours de langue chinoise et indépendamment des cours habituels de mathématiques. Enfin, la S7 est destinée aux élèves ayant eu des difficultés en seconde ; elle leur permet, grâce à des heures de soutien supplémentaire et une équipe pédagogique particulièrement choisie, de pouvoir se redresser et d'acquérir un niveau similaire aux autres classes. Pour la rentrée 2011, le lycée fait partie avec trois autres établissements parisiens (Chaptal, Janson-de-Sailly, Paul-Valéry) des lycées dits « d'excellence » à ouvrir pour les premières et terminales des filières de sciences et technologies de l'industrie et du développement durable (Stidd)[3].

Au niveau des classes préparatoires aux grandes écoles, dans la filière scientifique, il y a quatre MPSI et deux PCSI en première année et 5 classes de MP (4 MP* et 1 MP), 3 de PC* et une de PSI* en deuxième année. Il y a également deux HK et deux Khâgnes pour le littéraire et deux ECS (première et deuxième année) pour ce qui est du domaine des filières commerciales.

Le musée scientifique

Lors de d'une rénovation des locaux dans les années 1970, Pierre Provost, alors professeur de sciences physiques au lycée, a eu l'idée visionnaire pour l'époque, de préserver l'ancien matériel expérimental des laboratoires de sciences physiques (aussi bien celui qui servait pour les recherches des enseignants que celui qui avait un rôle didactique). Depuis une association type loi 1901 (AMSLLG, Amis du Musée Scientifique du Lycée Louis le Grand) a vu le jour pour la préservation et la restauration de ces souvenirs ; une salle (à l'accès restreint) permet aux enseignants de les faire connaître à leurs élèves pour leurs TPE, TIPE ou simplement leur culture scientifique[4].

Quelques chiffres

Le baccalauréat

Résultats au baccalauréat
1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009
Reçus 99,62 % 98,82 % 98,88 % 98,50 % 100% 99,63 % 99,20 % 99,62 % 100 % 99,66 % 100 %
Mentions Très bien 10,90 % 12,80 % 9,92 % 12,59 % 18,00 % 22,96 % 21,12 % 36,26 % 39,73 % 38,97 % 49,01 %
Mentions Bien 39,60 % 36,80 % 26,34 % 27,77 % 32,18 % 36,66 % 32,67 % 37,40 % 37,71 % 38,28 % 32,12 %
Mentions Assez bien 32,5 % 33,60 % 46,56 % 36,30 % 29,89 % 31,11 % 35,46 % 19,08 % 16,84 % 18,28 % 16,23 %

Ces résultats, bien supérieurs à la moyenne nationale des résultats au baccalauréat, s'expliquent en partie par la sélection qui a lieu à l'entrée au lycée et par un enseignement plus ou moins avancé suivant les élèves et les années. Le lycée, même s'il recrute sur dossier ses élèves, est particulièrement ouvert « socialement », contrairement à d'autres lycées proches : une attention est portée sur différents collèges de ZEP par exemple, pour permettre à ses élèves les plus méritants et les plus encourageants de progresser à leur rythme. De plus, un système de bourse est mis en place, et le lycée accueille de nombreux élèves venant hors de Paris grâce à des foyers, voire des élèves non-français (notamment de jeunes africains par exemple).

Le concours général

Dès la création du concours général en 1744, le lycée Louis-le-Grand y obtient d’excellents résultats. Ainsi, Baudelaire se distingua tout particulièrement dans la composition de vers latins.

Nombre de lauréats au concours général
2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Nombre de lauréats 11 13 16 16 18 10 21 9 9 10 24

Classements des CPGE

Le classement national des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) se fait en fonction du taux d'admission des élèves dans les grandes écoles. En 2011, l'Étudiant donnait le classement suivant pour l'année scolaire 2009-2010 :

TauxVoir note Effectif intégrant une
« grande école »Voir note / Effectif total
Classement
national
Moyenne
nationale
MP / MP* 40,5 % 83 / 205 élèves 5e 12,8 %
PC / PC* 43,2 % 54 / 125 élèves 5e 11,1 %
PSI / PSI* 77,1 % 37 / 48 élèves 3e 13,3 %
EC (option S) 88,7 % 35 / 39 élèves 4e 32,7 %
Khâgne A/L 20,2 % 23 / 114 élèves 3e 7,3 %
Source : Le classement 2011 des prépas - L'Étudiant (année scolaire 2009/2010).
Note : le taux d'admission dépend des écoles retenues par l'étude. Ici, l'Étudiant retient
une sélection stricte. Par ailleurs, les ENS ne sont pas prises en compte pour les CPGE scientifiques

Quelques anciens professeurs

Par ordre alphabétique :

Anciens élèves célèbres

Voir la catégorie : Élève du lycée Louis-le-Grand.

Hommes de lettres et philosophes

Par ordre alphabétique :

Artistes peintres et compositeurs

Par ordre alphabétique :

Scientifiques

Par ordre alphabétique :

Personnalités politiques

Par ordre alphabétique :

Autres personnages célèbres

Images

Notes et références

  1. Aurel Ramat, Le Ramat typographique, éditions Charles Corlet, 1994, 127 pages (ISBN 2-85480-468-6 et 978-2854804683) , fournit à la page 63 les exemples suivant : « J’aime Louis le Grand (lui-même) » et « J’aime Louis-le-Grand (le lycée) ».
  2. Copie de l'Edit signé le 7 janvier 1595 par Henri IV à Poitiers, in Charles Sauvestre, Instructions secrètes des Jésuites, pp. 164-166, Ed. Dentu, 1878.
  3. À Paris, des classes techno dans de prestigieux lycées dans Le Figaro du 29 avril 2011.
  4. Site de l'association
  5. Historique du lycée par Paul Deheuvels, proviseur de 1969 à 1991. Consulté le 30 mars 2008.

Liens internes

Liens externes

Bibliographie

  • Le lycée Louis le Grand, Maurice Donnay, édtions Gallimard (NRF), collection Collèges et Lycées, 1939.
  • Les Heures difficiles de Louis-le-Grand (1939-1945) Témoignages, auto-édité par Hubert Legros, 1997, ISBN 2-9511994-0-6
  • Le Lycée Louis-le-Grand, ouvrage collectif, édition Gérard Klopp, 1997, ISBN 2-906535-06-0



Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Lycée Louis-le-Grand de Wikipédia en français (auteurs)

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