Malure à dos pourpre

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Mérion de Lambert

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Mérion de Lambert
 Mâle de la sous-espèce M. lamberti lamberti,en plumage nuptial
Mâle de la sous-espèce M. lamberti lamberti,
en plumage nuptial
Classification classique
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Classe Aves
Ordre Passeriformes
Famille Maluridae
Genre Malurus
Nom binominal
Malurus lamberti
Vigors & Horsfield, 1827
Statut de conservation IUCN :

LC[1] : Préoccupation mineure
Schéma montrant le risque d'extinction sur le classement de l'IUCN.

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Le Mérion de Lambert (Malurus lamberti) est une espèce de passereaux de la famille des Maluridae, devant son nom vernaculaire au botaniste anglais Aylmer Bourke Lambert. Il est endémique d’Australie, où il vit dans divers habitats dispersés dans toute l’île. On lui reconnait cinq sous-espèces. Cet oiseau présente un fort dimorphisme sexuel : le mâle arbore un plumage nuptial aux couleurs éclatantes, avec les plumes scapulaires (de la base des ailes) de couleur châtaigne, la couronne et les couvertures auriculaires bleues. En revanche, les femelles, les juvéniles et les mâles en dehors de la période de reproduction ont le plumage principalement gris-brun, mis à part les deux sous-espèces M. l. rogersi et M. l. dulcis dont les femelles ont le plumage bleu-gris.

Comme d’autres Maluridés, le Mérion de Lambert est une espèce sociable, avec de petits groupes d’oiseaux maintenant et défendant de petits territoires tout au long de l’année. Les groupes se composent d’un couple monogame, aidé par plusieurs oiseaux dans l’élevage des jeunes. Lors de la parade nuptiale, les mâles arrachent et exhibent des pétales jaunes aux femelles. Ces oiseaux sont principalement insectivores et chassent à l’abri de la végétation broussailleuse à travers 90% de l’Australie continentale, ce qui représente une distribution plus grande que chez tout autre Maluridé.

Sommaire

Morphologie

Femelle de la sous-espèce M. lamberti lamberti.

Le Mérion de Lambert adulte mesure entre 14 et 15 cm de long[2] pour un poids compris entre 6 et 11 g[r 1]. Comme les autres Maluridés, l’espèce présente un remarquable dimorphisme sexuel en saison de reproduction.

Les mâles ont une livrée nuptiale très visible, faite d’un bleu brillant, et de châtaigne contrastant sur le noir et le gris-brun. La couronne et les touffes des couvertures auriculaires brillamment colorées sont fièrement affichées lors de la parade nuptiale[r 2]. Durant la période de reproduction, le mâle a le sommet de la tête d’un bleu éclatant, la couronne souvent légèrement plus sombre que les couvertures auriculaires. La gorge et la nuque sont alors noires, le dos bleu royal, les épaules châtaigne et la queue gris-bleuâtre. Les ailes sont gris-brun et le ventre crème. En dehors de cette période, les mâles affichent le même plumage que les femelles et les juvéniles, aux tons principalement gris-bruns.

Tous les mâles adultes ont le bec et les lores noirs, alors que les femelles ont le bec brun-rouge et les lores d’un roux lumineux. Le bec des mâles immatures devient noir à l’âge de six mois[r 3]. Le jeune mâle revêt son plumage nuptial dès la saison de reproduction suivant sa naissance. Cette première mue peut être incomplète, avec des plumes brunâtres résiduelles, et peut prendre une année ou deux de plus pour se parfaire[r 4]. Les deux sexes muent en automne à la fin de la saison de reproduction, les mâles revêtant leur plumage d'éclipse. La mue suivante s’effectuera en hiver ou au printemps, pour recouvrir la livrée nuptiale[r 5]. La forte iridescence du plumage bleu, en particulier celui des couvertures auriculaires des mâles est due à la surface aplatie et tordue des barbules[r 6]. Le plumage bleu réfléchit également fortement la lumière ultraviolette, et est ainsi peut être bien plus visible pour les autres mérions, dont la perception chromatique est meilleure dans cette partie du spectre[3].

Écologie et comportement

Alimentation

Le Mérion de Lambert est principalement insectivore, chassant fourmis, sauterelles, mouches, scarabées, charançons et diverses larves[4]. Contrairement aux Mérions superbes cherchant plutôt leur nourriture au sol, les Mérions de Lambert prospectent au creux de la végétation broussailleuse, à 2 m au dessus du sol[5].

Chant

La communication vocale entre les Mérions de Lambert est principalement utilisée entre des oiseaux d’un même groupe social, pour annoncer et défendre un territoire[r 7]. Le chant typique est une succession très rapide de courts éléments (à la fréquence de 10 à 20 par seconde), chant durant entre 1 et 4 secondes. Le chant du Mérion de Lambert est le plus doux de tous les Maluridés[r 8]. Les oiseaux restent en contact les uns avec les autres par des tsst ou des appels en siiii, alors qu’un tsit court et aigu sert d’appel d’alarme[r 1].

Reproduction

Mâle et deux femelles, Dayboro, Queensland, Australie.

La reproduction a lieu entre le printemps et la fin de l’été. Le nid est souvent construit à moins d’un mètre au dessus du sol, dans la végétation dense. Il a une forme sphérique, constitué d’herbes et de toiles d’araignées grossièrement assemblées, avec une entrée latérale[6].

Le couple a une, parfois deux couvées en une saison. Chacune d’elles est constituée de trois ou quatre œufs blanc mat avec des taches et des points brun-rougeâtre, mesurant 12×16 mm[7]. La femelle couve ces œufs pendant 14 à 16 jours, au bout desquels les oisillons sont nourris, et leurs sacs fécaux retirés du nid par tous les membres du groupe durant 10 ou 12 jours, qui auront suffi pour que leurs premières plumes poussent. Les parents, aidés d’autres membres du groupe, les nourriront pendant un mois.

Les jeunes oiseaux restent souvent dans le groupe où ils sont nés et aident pendant un an ou plus, avant d’en rejoindre un autre, bien que certains partent et nichent dès la première année[r 9]. Les Mérions de Lambert sont souvent la cible de parasitisme de couvée par le Coucou de Horsfield (Chrysococcyx basalis) et, dans une moindre mesure, par le Coucou des buissons (Cacomantis variolosus) et le Coucou à éventail (Cacomantis flabelliformis)[r 10].

Comportement

Comme les autres maluridés, cet oiseau est très vif et remuant lorsqu'il prospecte pour se nourrir, en particulier sur les terrains ouverts, au ras du sol, mais également au bas des feuillages. Il se déplace par série de légers sautillements[r 11], s'équilibrant grâce à sa grande queue, qu'il tient relevée, droite, et rarement à plat. Les ailes courtes et arrondies sont adaptées aux décollages brusques et sont utiles pour de courts vols, mais pas pour des déplacements prolongés[r 12]. Au printemps et en été, les oiseaux sont actifs de jour, prospectant de temps à autre, en chantant. Les insectes sont nombreux et faciles à attraper, ce qui permet aux oiseaux de se reposer entre les excursions. Souvent les oiseaux du groupe s'abritent et se reposent ensemble pendant la chaleur du jour. Il est plus difficile de trouver la nourriture en hiver, aussi les mérions sont obligés de la chercher continuellement dans la journée[r 13].

Comme chez d'autres maluridés, les mâles portent des pétales aux couleurs brillantes aux femelles pour leur faire la cour. Chez cette espèce, les pétales qui ont été observés étaient jaunes[8]. Les pétales sont arborés à une femelle sur le territoire du mâle ou pas[r 14].

Le Mérion de Lambert est particulièrement sociable : des couples ou de petits groupes d'oiseaux maintenant et défendant de petits territoires toute l'année durant. Bien que cette espèce ait été moins étudiée que le Mérion superbe et le Mérion splendide, on estime que le Mérion de Lambert est vraisemblablement socialement monogame et sexuellement promiscueux, c'est-à-dire que les deux partenaires copulent avec les membres d'autres couples[r 15]. Les jeunes sont nourris de manière équitable par les deux parents, tandis que d'autres oiseaux les aident dans la défense du territoire, l'alimentation et l'élevage des jeunes[5]. Les oiseaux d'un même groupe se perchent côte à côte dans la végétation dense, se lissent mutuellement les plumes[r 15]. Les groupes les plus grands comptent jusqu'à 10 individus, bien qu'il reste incertain de savoir si lors de l'observation les oiseaux étaient regroupés volontairement ou fortuitement[r 15].

Parmi les principaux prédateurs des couvées, on peut nommer le Cassican flûteur (Gymnorhina tibicen) et les cassicans du genre Cracticus, le Martin-chasseur géant (Dacelo novaeguineae), les réveilleurs (Strepera sp.), les corneilles et les corbeaux (Corvus sp.), les pitohuis du genre Colluricincla, ainsi que des mammifères introduits tels le Renard roux (Vulpes vulpes), les divers chats sauvages ou errants, et le Rat noir (Rattus rattus)[r 16]. Le Mérion de Lambert peut adopter une attitude défensive particulière nommée course du rongeur afin de distraire des prédateurs et les détourner du nid. L'oiseau abaisse la tête, le cou et la queue, se tient ailes dépliées et plumes ébourriffées, tout en s'enfuyant à toute vitesse et en émettant des cris d'alarme continus[r 15].

Répartition et habitat

Distribution géographique

Répartition du Mérion de Lambert, en Australie.

Le Mérion de Lambert vit dans la quasi-totalité de l’Australie, chaque sous-espèce occupant une zone différente (voir le paragraphe Sous-espèces). Son aire de répartition couvre 5 920 000 km2, si l'on en croit BirdLife International[9]. Il cohabite en Australie avec trois autres espèces du genre Malurus : Le Mérion ravissant (Malurus amabilis) au cap York, le Mérion élégant (M. elegans) dans à l’extrême sud-ouest de l’Australie, et le Mérion à gorge bleue (M. pulcherrimus) au sud-est de l’Australie occidentale et dans la péninsule d'Eyre[r 17].

Habitat

Il vit dans les maquis, où l’abondance de la végétation fournit une couverture dense. Au nord et à l’intérieur de l’Australie, il préfère les affleurements rocheux et les plantes des genres Acacia, Eremophila ou Muehlenbeckia[r 9]. Il peuvent aussi se mettre à l’abri dans les terriers de mammifères pour éviter les grosses chaleurs[10]. Les pinèdes et les terrains plantés d’eucalyptus sont généralement peu convoités, car offrant peu de broussailles[r 18].

En ville, par exemple dans la périphérie de Sydney, il privilégient des terrains plus couverts que ceux fréquentés par le Mérion superbe[11], bien qu’un relevé de 2007 dans la banlieue nord de Sydney suggère que ce mérion peut aussi s’acclimater aux zones industrielles.

Systématique

Le Mérion de Lambert a été officiellement décrit la première fois en 1827 par Nicholas Aylward Vigors & Thomas Horsfield[12]. Cette espèce était initialement considérée comme une variante de coloration du Mérion superbe[r 19]. La dénomination spécifique lamberti commémore le collectionneur et botaniste britannique Aylmer Bourke Lambert. C’est l’une des douze espèces du genre Malurus, regroupant des oiseaux plus communément connus sous le nom de « Mérions », trouvés en Australie et dans le sud de la Nouvelle-Guinée[r 20].

Les Maluridés, dont le Mérion de Lambert fait partie, étaient initialement classés dans la famille des Muscicapidae ou des Sylviidae, avant d’être placés dans une nouvelle famille reconnue en 1975, celle des Maluridae[13]. Plus récemment, des analyses ADN ont montré que la famille était liée aux Meliphagidae et au Pardalotidae, dans la superfamille des Meliphagoidea[14],[15].

Sous-espèces

Carte approximative de la répartition des sous-espèces du Mérion de Lambert :
     M. l. assimilis
     M. l. lamberti
     M. l. dulcis
     M. l. rogersi
M. l. bernieri

On reconnait à ce taxon cinq sous-espèces aux aires de répartition différentes. Mais alors que les frontières séparant M. lamberti des autres Malurus sont bien définies, on trouve pour les sous-espèces des zones où des formes intermédiaires entre deux sous-espèces peuvent être trouvées. Ainsi, M. l. assimilis et M. l. dulcis étaient considérées comme espèces distinctes dans le passé[r 17]. Cependant, l’analyse moléculaire pourra nous éclairer plus précisément et la taxonomie peut encore changer.

  • M. l. lamberti, la sous-espèce type vivant sur la côte est de l’Australie et décrite par Vigors et Horsfield en 1827. Contrairement aux autres sous-espèces, la tête du mâle en plumage nuptial est d’un bleu plus uniforme, avec la couronne azur et les couvertures auriculaires plus claires. Le dos est également plus bleu que violet[r 3].
  • M. l. assimilis a l’aire de répartition la plus grande, s’étendant dans une majeure partie du centre de l’Australie, depuis le Queensland et des Nouvelle-Galles du Sud jusqu’aux côtes ouest du pays[2]. Elle fut décrite pour la première fois par l’ornithologue australien Alfred John North en 1901. Les mâles reproducteurs de cette sous-espèces diffèrent de M. l. lamberti par leur calotte bleue violette plus foncée et un dos plus pourpre, tout comme M. l. dulcis et M. l. rogersi. En revanche, les femelles sont identiques[r 3]. Il y a une large aire où vivent des formes intermédiaires entre cette sous-espèce et M. l. lamberti, encadrées par Goondiwindi, Wide Bay, Rockhampton et Emerald, au sud du Queensland[16].
  • M. l. bernieri fut décrite par Ogilvie-Grant en 1909. Elle tire son nom de l’unique île où on la trouve, l’île Bernier, dans la baie Shark, à l’extrême côte ouest de l’Australie[17].
  • M. l. dulcis vit en Terre d'Arnhem[2]. Cette sous-espèce a été décrite en 1908 par un ornithologue amateur australien, Gregory Macalister Mathews[18], bien qu’elle fut, avec M. l. rogersi, considérée comme sous-espèce du Mérion ravissant (M. amabilis).
  • M. l. rogersi, aussi décrite par Mathews, en 1912[19] vit dans le Kimberley. Bien que les mâles soient semblables à ceux de la sous-espèce largement répandue, assimilis, les femelles sont principalement bleu-gris plutôt que gris-brun. Il existe une large zone où vivent des femelles hybrides des deux sous-espèces, s’étendant du nord-est de l’Australie occidentale, jusqu’au nord du nord-ouest du continent[20].

Histoire évolutive

Article détaillé : Histoire naturelle de l'Australie.

Dans sa monographie de 1982, l’ornithologue Richard Schodde a proposé une origine nordique pour les quatre espèces lamberti, amabilis, elegans et pulcherrimus, en raison de la présence de diverses espèces dans le nord et de leur absence dans le sud-est du continent[16]. Les ancêtres de ces oiseaux se sont éparpillés vers le sud, et ont colonisé le sud-ouest au cours d’une période plus humide et plus chaude, il y a de cela 2 millions d’années, à la fin du Pliocène, au commencement du Pléistocène. Par la suite, des conditions climatiques plus fraiches et plus sèches se sont accompagnées d'une réduction de la taille de l'habitat et d'une fragmentation des populations. Les oiseaux du sud-ouest ont donné naissance aux Mérions élégants, alors que ceux du nord-ouest du continent devenaient le Mérion de Lambert, et encore d'autres populations isolées dans le nord-est furent les ancêtres de l'actuel Mérion ravissant. Une période plus chaude et plus humide a de nouveau autorisé les oiseaux à se propager vers le sud, ce groupe, qui occupe le sud de l'Australie centrale et la péninsule d'Eyre, est devenu le Mérion à gorge bleue. Une période plus froide va isoler le groupe et le faire ainsi évoluer vers une espèce distincte. Enfin, après la fin de la dernière période glaciaire, il y a 12 000-13 000 ans, le Mérion de Lambert va une nouvelle fois migrer vers le sud. Il en a résulté des chevauchements des territoires de chacune des trois espèces. D'autres études moléculaires pourraient modifier cette théorie[16].

Le Mérion de Lambert et l’homme

Le Mérion de Lambert a figuré sur plusieurs timbres postaux d’Australie :

  • 1979 - valeur faciale de 40 c
  • 2002 - valeur faciale de 45 c, de l’Australia Post paru en juin 2002, de la série Nature of Australia - Desert.

Menaces et conservation

Cette espèce est classée par l’IUCN en LC (Préoccupation mineure)[1].

Voir aussi

Source

  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu d’une traduction de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Variegated Fairywren ».

Références taxinomiques

Liens externes

Notes et références

Rowley & Russell

Sources faisant références au livre : (en) Ian Rowley et Eleanor Russell, Bird Families of the World : Fairy-wrens and Grasswrens, Oxford University Press, Oxford, 1997, 392 p. (ISBN 0-19-854690-4) 

  1. a  et b (en) Rowley & Russell, p. 162
  2. (en) Rowley & Russell, p. 43–44
  3. a , b  et c (en) Rowley & Russell, p. 160–61
  4. (en) Rowley & Russell, p. 45
  5. (en) Rowley & Russell, p. 144
  6. (en) Rowley & Russell, p. 44
  7. (en) Rowley & Russell, p. 63
  8. (en) Rowley & Russell, p. 65–66
  9. a  et b (en) Rowley & Russell, p. 164
  10. (en) Rowley & Russell, p. 119
  11. (en) Rowley & Russell, p. 42
  12. (en) Rowley & Russell, p. 41
  13. (en) Rowley & Russell, p. 61–62
  14. (en) Rowley & Russell, p. 75
  15. a , b , c  et d (en) Rowley & Russell, p. 164
  16. (en) Rowley & Russell, p. 121
  17. a  et b (en) Rowley & Russell, p. 159
  18. (en) Rowley & Russell, p. 134
  19. (en) Rowley & Russell, p. 160
  20. (en) Rowley & Russell, p. 143

Autres références

  1. a  et b Référence IUCN : espèce Malurus lamberti Vigors et Horsfield, 1827 (en)
  2. a , b  et c (en) Ken Simpson et Nicolas Day, Field Guide to the Birds of Australia : The most complete one-volume book of identification, Viking O’Neil, Ringwood, Victoria, 1993, 23 cm, 392 p. (ISBN 0-670-90478-3) 
  3. (en) Bennett ATD, Cuthill IC, « Ultraviolet vision in birds : what is its function ? », dans Vision Research, vol. 34, no 11, 1994, p. 1471–78 [lien PMID lien DOI] 
  4. (en) R.D. Barker et W.J.M. Vestkens, Food of Australian Birds : Passerines, vol. 2, CSIRO Publishing, décembre 1990, 557 p. (ISBN 978-0643051157) 
  5. a  et b (en) Tidemann SC, « Breeding in Three Species of Fairy-Wrens (Malurus): Do Helpers Really Help? », dans Emu, vol. 86, no 3, 1986 [(abstract) texte intégral lien DOI] 
  6. Photo d’un Mérion de lambert mâle devant son nid, sur le site de l’Australian Museum
  7. (en) Beruldsen, Australian Birds : Their Nests and Eggs, Kenmore Hills, Qld, 2003, 279 p. (ISBN 0-646-42798-9) 
  8. (en) Strong M, Cuffe E, « Petal display by the Variegated Wren », dans Sunbird, vol. 15, 1985 
  9. (en) Variegated Fairywren (Malurus lamberti), sur le site de BirdLife International
  10. (en) S. Marchant, « A bird observatory at Moruya, N.S.W. 1975–84 », dans Eurobodalla Natural History Society, Occasional Publication, no 1, 1992, p. 1–99 
  11. (en) Peter Roberts, Birdwatcher’s Guide to the Sydney Region, Kangaroo Press, Kenthurst, New South Wales, 1993, 131 p. (ISBN 0-86417-565-5) 
  12. (en) Nicholas Aylward Vigors et Thomas Horsfield, « A description of the Australian birds in the collection of the Linnean Society ; with an attempt at arranging them according to their natural affinities. », dans Trans. Linn. Soc. Lond., vol. 15, 1827, p. 170–331 [lien DOI] 
  13. (en) Schodde R, « Interim List of Australian Songbirds », dans RAOU, Melbourne, 1975 
  14. (en) FK Barker, « A phylogenetic hypothesis for passerine birds ; Taxonomic and biogeographic implications of an analysis of nuclear DNA sequence data », dans Proc. R. Soc. Lond. B, vol. 269, 2002, p. 295–308 [lien DOI] 
  15. (en) FK Barker, « Phylogeny and diversification of the largest avian radiation », dans Proc. Natl. Acad. Sci. USA, vol. 101, no 30, 2004, p. 11040–11045 [[pdf] texte intégral lien DOI] 
  16. a , b  et c (en) Schodde, R. (1982b) The fairywrens : a monograph of the Maluridae. Lansdowne Editions, Melbourne.
  17. (en) Variegated Fairy-wren (Malurus lamberti) sur IBC
  18. (en) Gregory M. Mathews, « Malurus dulcis sp.n. », dans Bulletin of the British Ornithologists’Club, vol. 27, 1908, p. 48 
  19. (en) GM Mathews, « A reference list to the birds of Australia », dans Novitates Zoologicae, vol. 18, 1912, p. 171–656 
  20. (en) Ford JR, Johnstone RE, « Hybridisation Between Malurus lamberti rogersi and Malurus lamberti assimilis in North-western Australia », dans Emu, vol. 91, 1991, p. 251–54 [[pdf] texte intégral lien DOI] 
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