Maria Nikolaïevna de Russie (1899-1918)

Maria Nikolaïevna de Russie (1899-1918)
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Maria Nikolaïevna de Russie
GrandDuchessMaria1914formal2.jpg
Pays Russie impériale
Titre Grande-duchesse de Russie
Biographie
Dynastie Romanov
Naissance 26 juin 1899
Peterhof, Empire russe
Décès 17 juillet 1918 (à 19 ans)
Iekaterinbourg, Russie soviétique
Père Nicolas II
Mère Alix de Hesse-Darmstadt

La grande-duchesse Maria Nikolaïevna de Russie (Maria Nikolaïevna Romanova, en russe : Мария Николаевна Романова), née le 26 juin 1899 (14 juin du calendrier julien) à Peterhof et assassinée avec toute sa famille le 17 juillet 1918 à Iekaterinbourg. Elle était un membre de la famille impériale de Russie et la troisième fille du tsar Nicolas II et de l'impératrice Alexandra Feodorovna.

Elle se faisait surnommer « Ange » et ses sœurs la surnommaient leur demi-sœur, car elle était toujours sage. Si Tatiana était la plus jolie, Maria était probablement la plus charmeuse et la plus romantique.

Sommaire

Biographie

Enfance

Les grandes-duchesses Maria, Tatiana, Anastasia, Olga et le tsarevitch Alexeï en 1910.

La Grande Duchesse Maria naît le 26 juin 1899 au palais de Peterhof (surnommé le Château de Versailles Russe) à 6 km au sud de Saint-Pétersbourg. Elle est la troisième fille de l'empereur Nicolas II de Russie (Nicolas II Alexandrovitch) et de l'impératrice, née Alix de Hesse et du Rhin, Alexandra Feodorovna. Par sa mère, elle est également une arrière-petite-fille de la reine Victoria. Elle a pour titre Son Altesse Impériale la grande-duchesse Maria Nikolaïevna de Russie.

Les contemporains de Maria la décrivaient comme jolie et coquette. Elle avait les cheveux bruns clairs et de grands yeux bleus qui étaient surnommés dans la famille par « Maria's soucoupes ». Tatiana Botkine trouvait que ses yeux étaient « doux et tendres »[1]. En tant que nourrisson et petit enfant, son apparence physique a été comparée à un des anges de Botticelli. Le grand-duc Vladimir Alexandrovitch de Russie la surnommait « l'aimable bébé » du fait de sa bonne nature[2].

Maria était surnommée « Machka », « Macha » et « le bon gros toutou » par ses proches. Elle est éduquée par un précepteur suisse, Pierre Gilliard, tout comme ses deux sœurs aînées, les grandes-duchesses Olga et Tatiana et son frère et sa sœur cadette la grande-duchesse Anastasia et le tsarévitch Alexis. Elle et sa sœur Anastasia se font appeler « La Petite Paire » par la famille car elles sont très souvent ensemble et partagent la même chambre (comme leurs deux sœurs aînées d'ailleurs). Les quatre sœurs sont également connues sous l'acronyme « OTMA », assemblage de leurs initiales respectives.

Sa vie pendant la Première Guerre mondiale

les grandes-duchesses Maria et Anastasia avec leur cousin, le grand duc Dimitri Pavlovitch, en 1915.

À l'instar de sa sœur Anastasia, Maria rendait visite aux soldats blessés dans l'hôpital aménagé à Tsarskoïe Selo. Les deux adolescentes, qui étaient trop jeunes pour devenir infirmières comme leur mère ou leurs sœurs aînées, jouaient au jeu de dames et au billard avec les soldats blessés.

Pendant la guerre, Maria et Anastasia ont rendu également visite à des infirmières scolaires et les ont aidées à s'occuper d'enfants. Pendant leur temps libre, Maria, ses sœurs et parfois leur mère allaient rendre visite au tsar et au tsarévitch Alexis au quartier général de Moguilev. Au cours de ces visites, Maria a développé une attirance pour Nicolas Dimitrievitch Demenkov, un officier du Tsar. Lorsque les grandes-duchesses retournaient à Tsarskoïe Selo, Maria demandait souvent à son père de lui donner des nouvelles de Demenkov, et parfois pour plaisanter, signait ses lettres pour le tsar « Mme Demenkov »[3].

Captivité et assassinat

De gauche à droite: Les Grandes-Duchesses Anastasia, Maria et Tatiana en captivité à Tsarskoe Selo en 1917.

La Révolution de février 1917 sonne le glas du régime impérial et le gouvernement perd le soutien du peuple russe. Nicolas II abdique en faveur de son frère, le grand-duc Michel de Russie, le 15 mars 1917. Le couple impérial et leurs enfants sont alors assignés à résidence au Palais Alexandre.

Le ministre de la Justice Kerenski essaie alors d'organiser l'exil de la famille impériale, puisque le roi d'Angleterre, George V, est cousin germain de Nicolas II par sa mère et cousin germain d'Alexandra par son père. Mais le souverain britannique refuse car il a peur de devenir impopulaire. Après cela, les Romanov sont emprisonnés à Tsarskoïe Selo au palais Alexandre, à Tobolsk et enfin à la maison Ipatiev à Ekaterinbourg, en Sibérie. Maria essaya de devenir amie avec les gardes lors de sa détention à Tsarskoïe-Selo et à Tobolsk, ce qu'elle réussit, car ceux-ci lui racontèrent leurs vies, et tous les détails à propos de leurs femmes et de leurs enfants. Inconsciente du danger auquel elle était exposée, elle aurait dit qu'elle serait ravie de rester vivre à Tobolsk, si elle avait pu marcher librement sans la surveillance continuelle des gardes[4]. Maria et sa sœur Anastasia brûlèrent leurs lettres et journaux intimes en avril 1918 car elles avaient peur que quelqu'un ne les lise[5].

En avril 1918, la tsarine Alexandra choisit Maria pour l'accompagner, avec le tsar Nicolas II, à Ekaterinbourg, lorsque la famille impériale se vit contrainte de se séparer. La cause de cette séparation n'était autre que la maladie du jeune tsarévitch, Alexis, qui souffrait d'une crise d'hémophilie et qui était donc intransportable pour le moment. L'impératrice fit le choix de prendre Maria avec elle et son mari, car, lors de leur détention, elle avait mûri et était devenue une femme, alors qu'Anastasia était encore une enfant et Olga souffrait d'une dépression. Quant à Tatiana, l'impératrice fit le choix de la laisser au chevet de son frère, car elle était la seule à pouvoir maîtriser ce qui se passait grâce à la fermeté de son caractère. Les quatre enfants les rejoignirent en mai 1918.

À Ekaterinbourg, où seuls cinq domestiques ont pu les suivre (le médecin, la femme de chambre, le laquais, le cuisinier et son marmiton), ils sont surveillés par la Tchéka. La maison Ipatiev dans laquelle ils sont gardés est appelée « La Maison à Destination Spéciale ». Les fenêtres sont cadenassées, et certaines d'entre elles sont même cachées par des volets extérieurs. On fit construire des palissades autour de la demeure pour la dissimuler.

Probablement à cause de l'arrivée imminente des Armées blanches, le sort des membres de la famille impériale et de leur suite est scellé. Après que le petit marmiton a été évacué, les Romanov sont réveillés dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918. Les onze personnes sont exécutées vers deux heures du matin, en moins de trois minutes, dans une pièce du rez-de-chaussée de la Maison à Destination Spéciale sous le commandement de Yakov Yourovski. Selon un compte-rendu de l'assassinat, Maria, à l'arrivée des assassins, a commencé à frapper à la porte d'une salle d'entreposage et a pleuré pour obtenir de l'aide. Elle a ensuite reçu une balle dans la cuisse par des militaires ivres. Puis, le commissaire Piotr Ermakov, a également essayé de la poignarder avec une baïonnette mais n'a pu viser correctement. Maria s'évanouit et est restée quelque instants en vie jusqu'à ce que les corps soient inspectés afin de vérifier s'il restait des survivants. Elle a crié, et Ermakov l'a poignardée de nouveau[6].

Les corps de la famille impériale furent chargés sur un camion puis transférés dans une forêt proche de Ekaterinbourg. Déshabillées, arrosées d'essence, brûlées puis défigurées à l'acide sulfurique, les victimes sont jetées dans un puits de mine d'où elles furent, quelques jours plus tard, retirées pour être ensevelies sous un chemin forestier.

Découverte des corps et rapports de survie

La Grande-duchesse Maria en 1915.

En 1991, les corps de la famille impériale et de leurs suivants ont finalement été retrouvés dans une fosse commune dans les bois en dehors d'Ekaterinbourg. La fosse avait été trouvée près d'une décennie plus tôt, mais a été tenue secrète du fait, qu'à cette époque, la Russie était encore communiste. Une fois que le charnier a été rouvert, les archéoloques ont réalisé qu'au lieu de onze corps (le le tsar Nicolas II, la Tsarine Alexandra, le Tsarevitch Alexis, les quatre grandes-duchesses, Olga, Tatiana, Maria et Anastasia, le médecin de la famille, Evgueny Botkine; leur valet, Alexeï Trupp; leur cuisinier, Ivan Kharitonov, et la dame de compagnie d'Alexandra, Anna Demidova), il n'y en avait que neuf.

La grande-duchesse Maria (en bas à droite) avec sa mère, la tsarine Alexandra Feodorovna et ses filles, les grandes duchesses Olga, Tatiana et Anastasia en 1913.

Alexis et, selon le médecin légiste le Dr William Maples, Anastasia manquaient dans la tombe de la famille. Des scientifiques russes contestèrent : selon eux, le corps de Maria manquait. Les Russes ont identifié, à l'aide d'un programme informatique, Anastasia en comparant les photos de la jeune grande-duchesse avec les crânes des victimes retrouvées dans la fosse. Un expert russe a affirmé qu'aucun des crânes retrouvés ne pouvaient appartenir à la grande-duchesse Maria car aucun de ceux retrouvés n'avait un espace entre les incisives, comme l'avait la grande-duchesse Maria.

Mais sa dispariiton physique a été ces trente dernières années mise en cause au profit d'une disparition civile. Elle aurait été facilitée en octobre 1918 par les origines aristocratiques du commissaire du peuple aux affaires étrangères Georges Tchitchérine qui avait fréquenté la cour de Saint-Pétersbourg et qui lui donna le nom de Comtesse Cecilia Czapska ou Tchapski (noms du cousin polonais de Tchitchérine). Deux sources attestent de son supposé transfert à Perm puis son départ pour Kiev : le témoignage de son petit-fils Alexis-Durazzo en 1982[7] et le témoignage local d'une enseignante de Perm, Evguenia Sokoholova, présent dans l'intégrale du rapport Sokolov, qui a vu la mère et trois des filles (Anastasia étant en fuite) partir par le train après septembre 1918[8].La seule qui aurait eu une descendance (2 filles, un petit-fils et après sa mort un arrière-petit-fils) de par son mariage avec le prince ukrainien, Nicolas Dolgorouki[9]. En occident l'un et l'autre s'appelèrent à partir de 1920 sur ordre de la Reine Hélène d'Italie, le couple prit le nom de Di Fonzo. Elle serait décédée d'un cancer en 1970 dans un hôpital de Rome, onze mois après son mari et dix mois après avoir avoué son identité dans un testament à destination de son petit-fils Alexis-Durazzo[10].
On peut trouver une tombe au cimetière Prima Porta de Flaminio au Nord de Rome sous le nom de « S.A.I. Maria Nicolaeivna Romanov Dolgorouki, 1899-1970 »[11]. Et Marc Ferro publie dans un style interrogatif hors-textes deux photographies de Marie : l'une de 1913 et l'autre de 1955, qui lui a été communiquée par Alexis Durazzo[12]. Sa sœur, Olga, aurait également survécu plusieurs décennies : la Révérente-Mère Sœur Pasqualina Lehnert, qui fut la fidèle servante de Pie XII assura le 22 mars 1983 les avoir vues ensemble au Vatican sous le pontificat de Pie XII (1939-1957) et une photographie montrerait Maria et Olga ensemble sur la Côte d'Azur en 1957[13]. Sauf erreur, c'était la filleule de Guillaume II, et à ce titre pendant l'entre-deux-guerres, elle aurait vécu en Allemagne sous le nom de Magda Boots grâce à une aide financière de l'ancien Kaiser exilé aux Pays-Bas[14].

Le 16 juillet 1998, Nicolas II a été inhumé avec les membres de sa famille (sauf Alexis et Maria, dont les corps n'avaient pas encore été retrouvés) et les quatre membres de sa suite dans la Cathédrale Pierre-et-Paul de Saint-Pétersbourg. Ils furent inhumés en présence des descendants de la famille Romanov, notamment du prince Nicolas Romanov, chef de la maison impériale de Russie.

Le 23 août 2007, une archéologue russe a annoncé la découverte de deux corps à Ekaterinbourg qui semblaient correspondre à la description des lieux où les corps de Maria et Alexis avaient été inhumés d'après les notes écrites par Yourovski. Les archéologues ont affirmé que les restes retrouvés appartenaient à un garçon de douze à quatorze ans et à une jeune femme de dix-neuf ou vingt ans. Tels étaient les âges des deux enfants du tsar au moment de leur mort ; Maria avait dix-neuf ans et Alexis treize. Les résultats des tests ADN seront communiqués début janvier 2008, mais il semblerait toutefois que ce soit bien les deux corps manquant étant données les balles, pièces et dents retrouvées. Le 22 janvier 2008, selon les conclusions préliminaires de l'expertise génétique, les ossements découverts le 29 juillet 2007 aux abords d'Ekaterinbourg appartiennent à des enfants du dernier empereur russe, a confié à RIA Novosti le chef du bureau régional de l'expertise médico-légale de Sverdlovsk Nikolaï Nevoline. « Les analyses ADN effectuées à Ekaterinbourg et à Moscou ont confirmé notre hypothèse. Une fois ces expertises terminées, leurs résultats seront comparés à ceux de nos collègues étrangers », a déclaré l'interlocuteur de l'agence. Selon lui, les conclusions définitives de l'expertise génétique seront publiées en avril ou en mai 2008[15].

Le 30 avril 2008, Edouard Rossel, gouverneur de la région de Sverdlovsk, a déclaré : « Le plus grand laboratoire génétique des États-Unis a confirmé leur identité, les corps retrouvés en août 2007, sont bien les corps des deux enfants du tsar Nicolas II, la grande-duchesse Maria et le tsarévitch Alexis [...] Nous avons à présent retrouvé la famille au grand complet. » Cette confirmation pourrait mettre un terme à l'histoire tourmentée de la famille impériale de Russie et obliger les tsaristes à renoncer à leurs spéculations concernant la survie de deux enfants de Nicolas II à ce massacre[16].

Canonisation

Article détaillé : Canonisation des Romanov.

En 1981 et le 14 août 2000, Maria Nicolaïevna de Russie et sa famille ont été canonisées par l'Église orthodoxe de l'étranger puis par l'Église orthodoxe de Russie qui les considèrent comme martyrs. La grande-duchesse est inscrite sur le martyrologe de l'Église orthodoxe russe. Maria Nicolaïevna de Russie est vénérée le 17 juillet (Sainte martyre Maria). Le pèlerinage a lieu en la nouvelle église de Ekaterinbourg.

Notes

  1. Kurth (1983), p. 138
  2. Eagar, Margaret (1906). Six Years at the Russian Court. alexanderpalace.org. Retrieved on December 12.
  3. Bokhanov et al., p. 125
  4. Christopher et al. (1995), p. 180
  5. Maylunas and Mironenko (1997), p. 613
  6. King and Wilson (2003), pp. 303-310, 434.
  7. Alexis Durazzo, Moi Alexis, arrière-petit-fils du tsar Nicolas II, Paris, 1982.
  8. Marc Ferro, Nicolas II, p. 323
  9. en janvier 1919, à Bucarest
  10. Marc Ferro, « Une mort énigmatique » dans Nicolas II, Paris, Payot, 1990, p. 287-347 ; « La deuxième mort de Nicolas II » dans Les Tabous de l'HistoireParis, Nil, Editions, 2OO2, p.65-113; Pocket, 2004 ; Alexis Durazzo, Moi Alexis, arrière-petit-fils de Nicolas II, 1982
  11. Michel Wartelle, L'affaire Romanov, ou le mystère de la maison d'Ipatiev, Québec, Louis Courteau, 2008, p. 97
  12. Marc Ferro, Nicolas II, Paris, Payot, 1990 ; voir dernières photographies de l'ouvrage entre les pages 180-181.
  13. Marc Ferro, Nicolas II, Paris, Payot, 1990, p. 334 ; témoignage reproduit intégralemment Michel Wartelle, le mystère de la maison Itaptiev p.149-151. D'après l'auteur, la rencontre a eu lieu en 1949 année où Olga et Maria se trouvaient à Rome
  14. Marc Ferro, « La deuxième mort de Nicolas II », Les Tabous de l'Histoire, Nil Editions, 2002, p. 94. Une pierre tombale portant son nom de jeune fille informait de sa mort en 1976 au cimetière italien de Mennagio (lac de Côme) et aurait comme pour Maria, existé ; mais le cimetière a été détruit en 1995 ; voir sa photographie dans Michel Wartelle, L'affaire Romanov ou le mystère de la maison Ipatiev, Quebec, 2008, p.167. Peut-être Maria et Olga ont-elles l'une et l'autre reçu « une pension du silence » selon l'expression de Jacqueline Monsigny dans son roman Les Filles du tsar, Marie ou les tourbillons du destin, Paris, Michel Lafon, 2003, p.318-320 et 334
  15. RIA Novosti - Russie - Romanov: les restes découverts près d'Ekaterinbourg appartiendraient à des enfants de Nicolas II (expert)
  16. Des tests ADN permettent d'identifier les restes de deux enfants du dernier tsar russe - La Tribune.fr

Bibliographie

  • Essais
    • 2004 : Ferro, Marc, Les tabous de l'histoire - Editions Pocket (ISBN : 2266133446)
    • 2005 : Pierre Lorrain, La fin tragique des Romanov - Editions Bartillat
    • 2005 : Précepteur des Romanov : Le destin russe de Pierre Gilliard
  • Romans

Articles annexes

Liens externes

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