Marina Baie des Anges

Marina Baie des Anges

Villeneuve-Loubet

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Villeneuve-Loubet

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Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Arrondissement de Grasse
Canton Canton de Cagnes-sur-Mer-Ouest
Code Insee abr. 06161
Code postal 06270
Maire
Mandat en cours
M. Richard Camou
2001-2008
Intercommunalité Communauté d'Agglomération de Sophia Antipolis
Site internet http://www.villeneuveloubet.fr
Démographie
Population 14 104 hab. (2006)
Densité 720 hab./km²
Gentilé Villeneuvois
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 32″ Nord
       7° 07′ 20″ Est
/ 43.6588888889, 7.12222222222
Altitudes mini. 0 m — maxi. 213 m
Superficie 19,60 km²

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Voir la carte administrative

Villeneuve-Loubet (Vilanòva Lobet en provençal dans la norme classique et Vilonovo-Loubet dans la norme mistralienne) est une commune française, située dans le département des Alpes-Maritimes et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Villeneuvois

Sommaire

Géographie

Située entre Cagnes-sur-Mer et Antibes, à l'embouchure du Loup, cette ville est constituée de la réunion de deux anciens villages : le vieux village de Villeneuve, à l'intérieur des terres, et le village du Loubet, sur les rives de la Méditerranée.

Histoire

Villeneuve-Loubet avant Villeneuve Loubet

Les plus anciennes traces d'occupation sur la commune remontent à la Protohistoire avec un habitat dispersé sur plusieurs sites, mais les restes d'occupation les plus importante à l'heure actuelle remontent à l'âge du Fer et surtout à la période Romaine.

Saint-Andrieu

Situé sur une colline surplombant la mer près de la limite avec de la commune de Cagnes-sur-Mer, le site de Saint-Andrieu fouillé dans les années 1970 par Georges Rogers a livré les traces d'un habitat de hauteur indigène, probablement des ligures Décéates. Une tradition fondée sur la sur-interprétation des sources veut que Saint-Andrieu soit Aegytna, capitale des Décéates détruite en -154 av. J.-C. par le consul romain Quintus Opimius[1]. Les découvertes archéologiques contredisent cette hypothèse. Les fouilles ont livré du mobilier qui montre des échanges intenses avec les grecs de Marseille, par l'intermédiaire d'Antibes et une occupation continue depuis le Ve siècle av. J.-C. jusqu'à l'époque d'Auguste. Les céramiques importées (amphores de Marseille, amphores italiques, céramique grise monochrome, céramiques campaniennes, céramique sigillée italiques...) sont associées à des céramiques modelées indigènes[2]. Sous l'Empire, le site est restructuré. Une exploitation agricole avec un pressoir pour produire de l'huile ou du vin remplace l'habitat indigène. Des niveaux du IIIe siècle, riches en céramiques importées (sigillée claire gauloises, sigillées claires africaines, lampes à huile...) ont été identifiés. Les couches les plus superficielles du sites ont encore fournis des céramiques de l'Antiquité tardive (sigillées claire D provenant d'Afrique du Nord) et du Moyen Âge (pégau) antérieurs au XIIIe siècle. Ces céramiques témoignent d'une continuité d'occupation entre l'antiquité et le Moyen Âge classique.
Les céramiques médiévales sont associées à des structures de stockage enterrées (silos) et des restes de murs passablement arasés. Il peut s'agir des ultimes traces d'une agglomération antérieure à la création de Villeneuve-Loubet, dont la chapelle Saint-Andrieu devait être le centre spirituel[3].

Le Cloteirol

Le site du Cloteirol n'a jamais été étudié profondément. Des parallèles peuvent toutefois être établis avec de nombreux sites archéologiques des Alpes-Maritimes[4]. Il s'agit d'un habitat de hauteur protégé par une enceinte en pierres sèches. Il est souvent considéré comme un oppidum des anciennes populations ligures[5]. Le mobilier mis au jour lors de prospections conservé au Musée d'Art et d'Histoire de Provence, à Grasse montre une occupation depuis l'extrême fin de l'âge du Fer, une transformation du site en petite agglomération agricole au Haut-Empire et un abandon durant l'Antiquité tardive. On doit encore noter la découverte sur le site d'une stèle funéraire datée du IIe siècle[6].

Les sites archéologiques du parc de Vaugrenier

Un sanctuaire grec

Le parc de Vaugrenier recelle un grand nombre de sites archéologiques antiques. Le plus ancien se trouve sur les pentes de la colline au centre du parc, en contre-bas d'une petite ferme datée du Ier siècle qualifiée à tort de maison greco-ligure par les fouilleurs des années 1960[7]. Il s'agit d'un sanctuaire de plein air. Des céramiques portant des inscriptions dédicatoires en langue grècque étaient fracassées et ainsi sacrifiés. On connaît d'autres sanctuaires similaires dans l'aire culturelle des Grecs de Marseille, notamment l'Acapte à Giens, tout près de lakatoikia d’Olbia sur le territoire de la commune de Hyères. Le sanctuaire semble avoir fonctionné entre le IIe siècle av. J.-C. et le début de l'époque d'Auguste[8].

Une agglomération romaine du Ier siècle[7][8][9],[10]

Les fouilles archéologiques effectuées depuis les années 1960 au Sud-Est du parc, face au littoral ont permis la mise au jour d'une petite agglomération d'époque romaine. Elle s'organise de part et d'autre d'un tronçon de la Via Julia Augusta fondée sous le règne d'Auguste qui traverse le parc et l'étang de Vaugrenier en direction d'Antibes, parallèlement à la route Nationale 7. Le monument le plus spectaculaire est un temple de tradition italique, dont la construction est contemporaine du tracée de la voie . Les autres constructions sont des boutiques au fonctions artisanales alignées

L'agglomération semble avoir été fondée à l'époque d'Auguste probablement par l'attribution de terres à des soldats vétérans de la légion romaine dans le but de mettre valeur ou d'assainir le littoral marécageux de la périphérie d'Antipolis et d'assurer le contrôle de la région. Elle périclite dans la seconde moitié du Ier siècle, probablement en 69 à la suite des luttes entre les partisans d'Othon, de Vitellius et de Vespasien.

Autres traces d'occupation

Si l'agglomération disparait en tant que telle dans la seconde moitié du Ier siècle, le site de Vaugrenier reste occupé en témoignent :

  • de nombreuses sépultures datées du Ier siècle à l'Antiquité tardive mises au jour dans le parc au plus près de la nationale 7[11].
  • la construction d'un bâtiment à vocation agricole daté du IIIe siècle empiétant sur la voie près du temple[8].
  • des fosses destinées à la récupération des pierres ayant servi à la construction de l'agglomération, datant du Ve siècle[12].

Par ailleurs, au sommet de la colline, au centre du parc, des prospections de surface ont permis d'identifier les traces de plusieurs exploitations agricoles datant du Haut-Empire.

Le "Trophée" de la Brague

Une série de blocs de pierres ornées de motifs militaires antiques (casques et boucliers gaulois, glaives, enseignes militaires...) ont été découvert au début du XXe siècle au quartier de la Brague ou des Groules en limite de la commune d'Antibes aujourd'hui conservé au Musée d'Archéologie d'Antibes[13]. Ils ont été interprétés, à tort, comme faisant partie d'un trophée commémorant la victoire du consul Quintus Opimius sur les Décéates et les Oxybiens en -154 av. J.-C.[14]. Il semble plutôt s'agir d'un mausolée édifiée entre au milieu du Ier siècle av. J.-C. par des véterans installés dans les environs de Vaugrenier[15].

Les Origines de Villeneuve Loubet

La commune a été constituée à partir de plusieurs territoires anciennement occupés au Haut Moyen Âge:

  • le Gaudelet dont le château est décrit comme étant détruit au milieu du XIIIe siècle mais qui semble remonter au plus tard au XIe siècle.
  • le Loubet, connu dès le XIe siècle, pourvu d'un habitat fortifié et d'une église au XIIe siècle.
  • la Garde dont la première mention date du début du XIIe siècle et qui est décrit comme un habitat fortifié possédant deux églises au XIIe siècle. Le village est détruit au début du XIIIe siècle, puis reconstruit au lieu dit Tour de la Madonne, avant de disparaître à la fin du XIVe siècle.
  • Villeneuve fondée vers 1234 par Romée de Villanova d'une famille catalane, au service des Comtes de Provence de la Maison de Barcelone qui cherchent à asseoir leur pouvoir en Provence Orientale. Il fait ériger un château à l'emplacement de l'actuel château de Villeneuve-Loubet. Un village et une église sont attestés au début du XIVe siècle[16].
  • Saint-Andrieu dont l'origine a été évoquée plus haut et qui ne semble plus occupé au-delà du XIIIe siècle, à l'exception de la chapelle Saint-Andrieu fréquentée par les habitants de Villeneuve-Loubet jusqu'à la Révolution française. Cette dernière appartient encore à la commune.

François Ier à Villeneuve-Loubet

Fin 1537, le pape Paul III offre sa médiation à François Ier et Charles-Quint, qui se disputent la possession du Milanais (Guerres d'Italie). La rencontre aura lieu à Nice, en mai et juin 1538, dans un climat de défiance réciproque. L'Empereur arrive le premier : sa flotte de 28 galères mouille en rade de Villefranche, le 9 mai 1538. Le pape rejoint Nice, le 16 mai, à bord d'une galère impériale, mais les Niçois, à l'instigation du Duc de Savoie, refusent de l'accueillir. Finalement, il s'établit, hors la ville, au Couvent Sainte-Croix. Quant au roi de France, après s'être attardé en Dauphiné, il fait halte au Château de Villeneuve, le 31 mai.

Une première entrevue a lieu, le jour-même, entre Anne de Montmorency et Paul III. Le lendemain, le connétable rencontre Charles-Quint et, le 2 juin 1538, François Ier rencontre personnellement le pape. Les jours suivants, les rencontres se multiplient. Néanmoins, faute d'accord global, les négociations se concluent par une trêve de 10 ans, au terme de laquelle les parties espèrent parvenir à un accord définitif. Publiée dans toutes les provinces, la Trêve de Nice sonne comme une véritable paix pour les sujets du royaume et, le 5 juillet, le Parlement organise à Paris une procession d'action de grâces. Charles-Quint et François Ier se retrouvent ensuite les 14 et 15 juillet, à Aigues-Mortes. Fin 1539, la réconciliation entre les beaux-frères ennemis conduit l'empereur sur les routes du royaume de France, pour un voyage triomphal.

Le Blason de Villeneuve Loubet

Il évoque la pratique de l'élevage du ver à soie, activité autrefois très développée en France, notamment dans le Sud-Est où le climat était plus favorable. A la suite de l'édit de Louis XIV de novembre 1692, la commune se vit imposée d'office par les commis de Charles d'Hozier le blason "d'or aux deux cocons de ver à soie de sable en sautoir", en référence à la sériciculture constituait une particularité marquante de la commune. Au vingtième siècle la commune portait "de gueules à deux cocons de ver à soie d'argent ; au chef cousu d'azur, chargé de trois lys d'or".

Aujourd'hui, des mûriers bordent encore les allées du Parc de Vaugrenier, mais ils ne nourrissent plus les vers à soie puisque, touchée par les maladies, cette industrie prospère périclita à partir de 1855.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
1803 1807 Honoré Dominique Davin
1808 1808 Marquis De Panisse Passis
1808 1811 Joseph Albanelly
1811 1817 Antoine Preire
1817 1821 Maurice Estripeaut
1821 1823 Francis Preire
1823 1826 Charles Antoine Maure
1826 1846 Francis Preire
1846 1848 Jean Joseph Bellissime
1848 1855 Augustin Bernard
1848 1855 Jacques Allegre
1855 1865 Louis Maure
1867 1870 Jacques Allegre
1870 1871 Commission Municipale
1871 1875 Jacques Allegre
1875 1877 Xavier Civatte
1877 1897 Antoine Feraud
1897 1908 Pierre Marcellin Layet
1908 1920 Josephin Bernard
1920 1929 Honoré Marius Trastour
1929 1935 Joseph Sauvan
1935 1937 Jean Louis Reynard
1937 1941 Joseph Sauvan
1941 1944 Félix Fiori
1944 1963 Julien Lefebvre
1963 1971 Jenny Lefebvre
1971 1979 Antony Fabre
1979 1995 Max Chaminadas RPR
1995 mars 2001 Lionnel Luca RPR
mars 2001 réélu en 2008[17] Richard Camou RPF

Une élection municipale partielle eût lieu en 1979, suite au décès d'Anthony Fabre.

Lors des élections de mars 2008, Richard Camou a été réélu au premier tour avec 76 % des voix contre 23 % des voix pour la liste menée par Robert Chignoli. Le taux d'abstention étant de 42,82 %

Démographie

Évolution démographique
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
2 769 3 865 6 001 8 083 11 539 12 935 14 104
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Économie

C'est à la fois une station balnéaire et une partie de la technopole de Sophia Antipolis, de nombreuses entreprises du secteur tertiaire s'étant installées dans la ville.

Lieux et monuments

Marina Baie des Anges

Marina est un bâtiment qui ponctue la baie des Anges et rappelle que la Côte d'Azur est la destination reine des loisirs sur le littoral méditerranéen. C'est aussi une œuvre architecturale originale mais parfois contestée qui lui a valu le label patrimoine du XX° siècle.

Transformer une friche littorale, dédiée en partie aux campings dans l'après guerre en un luxueux ensemble résidentiel, tel était le pari engagé en 1960 par les entrepreneurs associés à l'architecte André Minangoy pour définir le projet qui reçut l'agrément du Conseil Supérieur de l'Architecture et de l'Urbanisme. La construction s'est échelonnée sur près de 25 ans. Aujourd'hui les 16 hectares abritent un port de plaisance avec une capacité d'accueil de 530 mouillages de 6 m à 35 m à quai ou sur ponton, un centre commercial et 4 pyramides géantes évoquant d'immenses vagues blanches comprenant près de 1500 logements.

Le Château de Villeneuve-Loubet

Fondé au XIIIe siècle par Romée de Villeneuve, il est composé de quatre bâtiments autour d'une cour intérieure trapézoïdale et d'un donjon de forme pentagonale. Aux quatre angles se dresse une tour. Protégé par deux enceintes munies de créneaux et de meurtrières, le château a gardé l'allure austère d'une forteresse médiévale. Claude de Savoie y accueillit son cousin germain, François Ier. C'est au Château que le Roi de France signa la trêve de Nice, le 18 juin 1538. Le Château, confié ensuite à des intendants, se dégrada petit à petit, jusqu'au jour où Auguste Thomas l'acheta en 1679 et le fit restaurer. En 1742, il entra par héritage dans la famille de Panisse Passis.

Le Village Provençal

Le Village historique reste le centre de la petite cité villeneuvoise. Reconstruit au XVIe siècle, après les grandes épidémies qui avaient causé son déclin, le village offre aujourd'hui quelques belles portes de style Renaissance, des calades fleuries et des riantes ruelles qui conduisent au Musée de l'Art Culinaire aménagé dans la maison natale d'Auguste Escoffier. On peut y remarquer, l'Eglise Saint Marc, la Chapelle Notre Dame d'Espérance, le lavoir de la Rue des Poilus, le Musée d'Histoire et d'Art...

Le Château de Vaugrenier

Le Château de Vaugrenier est une demeure de style Palladien construite à la fin du XVIe siècle.

Personnalités liées à la commune

Villeneuve-Loubet est la patrie du grand cuisinier provencal du XIXe siècle, Auguste Escoffier(1846 - 1935), l'auteur du Guide Culinaire et inventeur de la Pêche Melba. Petit cuisinier provençal à ses débuts, il est devenu la coqueluche de la "jet set" de la Belle Epoque et consacré "Roi des cuisiniers et cuisinier des Rois"

La légende des Granouïe

Selon la légende les berges du Loup attiraient autrefois les grenouilles en quantité. Excédés par le bruit incessant des croassements la nuit, les villageois décidèrent de les éliminer armés de fourches et de bâtons. Depuis ce jour ils sont surnommés "Lei Granouïe" en référence au nom provençal du héron, grand prédateur de grenouilles. "Lei Granouïe" est actuellement le nom d'une association regroupant les anciens du village. Depuis quelques années la grenouille est utilisée sous forme d'emblème, dans diverses publications éditées par la ville.

Football

La saison 2005/2006 fut très belle pour l'équipe fanion de l'Etoile Sportive de Villeneuve-Loubet. Après un joli parcours en coupe de France (3e tour) et en coupe Côte-d'Azur (quart de finaliste, les joueurs de Philippe Penalba ont remporté le titre de Promotion 1re Division. Cette saison, ils ont continué sur leur lancée en se qualifiant pour le 3e tour de la coupe de France version 2006/2007, après une victoire en prolongations face à la formation varoise de Ramatuelle (PHB).

Site web : http://esvlfootball.info/

Associations

Office de Tourisme - 16 Avenue de la Mer - 06270 VILLENEUVE LOUBET 04 92 02 66 16 http://ot-villeneuveloubet.org/

Bien Surfer Villeneuve Loubet (BSVL)

Association loi 1901 fondée par Flavien FALICON en 2007 Cette association villeneuvoise à pour objet de promouvoir Internet dans les familles. Afin de mieux connaître les aspects du Web, les risques et les astuces pour mieux surfer. Réduire la fracture numérique qui isolent les plus âgés. Des ateliers web et des rencontres sont organisés à l'Espace Associatif de la commune. Animateurs : Flavien FALICON, Vincent PEZERON, Jacques RIEU. www.bsvl.c.la

Music Hop

Association loi 1901 crée par Fabienne Hary en 1992 Cette Association Villeneuvoise intervient auprès des enfants malades, via la musique, pour leur apporter la vie et la poésie. www.music-hop.c.la

Association François Ier à Villeneuve-Loubet' 04 93 08 80 92

Jumelage

Italie Forlimpopoli (Italie)

Notes et références

  1. P. Cosson, Aegitna - Présentation du site de Saint-Andrieu, MIPAAM, Tome XXXIII, 1991, p. 95-107
  2. Emmanuel Pellegrino, Le mobilier de Saint-Andrieu (Villeneuve-Loubet) et de Saint-Cassien (Cannes), deux sites protohistoriques côtiers des Alpes-Maritimes, BULLETIN ARCHÉOLOGIQUE DE PROVENCE, 31-32, 2002-2003
  3. Emmanuel Pellegrino, Isabelle Rodet-Belarbi : Occupation sur le long terme d'un site de hauteur du littoral méditerranéen : Saint-Andrieu à Villeneuve-Loubet (06), MIPAAM, Tome XLVIII, 2006, p. 51-82.
  4. M. Gazenbeek (dir.), Enceintes et Habitats perchés des Alpes Maritimes, catalogue de l’exposition, Antibes, 2004.
  5. A. Villecroze, R. Cheneveau, Enceinte anhistorique de Cloteirol à Villeneuve-Loubet (A.-M.), MIPAAM, Tome XIII, 1971, p. 43-55.
  6. A. Chastagnol, Inscriptions latines de Narbonnaise (I.L.N.), II : Antibes, Riez, Digne, Paris, Ed. du CNRS, 1992. - 302 p. (Gallia : suppl., ISSN 0072-0119 ; 44)</
  7. a  et b Henry Clergues, Les fouilles de la plaine d'Antibes : Vaugrenier, Rivista di Studi Liguri, XXXV, 1969, p. 171
  8. a , b  et c Pascal Arnaud, Une agglomération de plaine : Vaugrenier (Villeneuve-Loubet), HABITAT RURAL ANTIQUE DANS LES ALPES-MARITIMES, Actes de la table ronde du 22 mars 1999, Valbonne, Sous la direction de P. Arnaud, M. Gazenbeek, Antibes, 2001, pp. 75-98
  9. A. Olivier, G. Rogers, Le monument de Vaugrenier. Revue archéologique de Narbonnaise, 12, 1979, p. 143-193.
  10. Pascal Arnaud, "Vaugrenier : bilan provisoire des campagnes de fouilles 1994-1996", Archéam, 5, 1997/98, p.7-21
  11. Emmanuel Pellegrino, Nouvelle étude du mobilier issu des tombes de Vaugrenier à Villeneuve-Loubet (06), MIPAAM, Tome XLVII, 2005, p. 157-164.
  12. E. Pellegrino, Vaugrenier (Villeneuve-Loubet, Alpes-Maritimes). Un ensemble de céramiques du Ier s. apr. J.-C. sur une agglomération secondaire en bordure de voie de la périphérie d’Antibes (secteur du temple et des boutiques), Actes du Congrès de la SFECAG de Vallauris, 2004, Marseille, 2004
  13. E. Esperendieu, Recueil Géneral des bas-reliefs de la Gaule romaine, T.1, Alpes-Maritimes, Alpes Cotiennes, Corse, Narbonnaise, Paris, 1907
  14. Jean-Edouard Dugand, De l'Aegitna de Polybe au trophée de la Brague : recherches relatives au contexte historique, archéologique et topographique, de la première opération de conquête des Romains en Provence [-154], dans les parages de Nice et d'Antibes, Paris, 1971. - 407 p. (Méditerranée antique et moderne; 2)
  15. Pascal Arnaud, Antipolis à l'époque romaine : Multiculturalité et romanisation ,Cahiers de l’URMIS, n° 6, 2000
  16. Villeneuve-Loubet
  17. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes


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43° 39′ 32″ N 7° 07′ 20″ E / 43.6588888889, 7.12222222222

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