Mi Fu

Mi Fu

Mi Fu ou Mi Fou ou Mi Fei, surnom: Yuanzhang, noms de pinceau: Nangong, Xiangyang Manshi, Haiyue Waishi, Lumen Jushi, né en 1051 à Xiangyang (province de Hubei), mort en 1107 à Huaiyang (province du Jiangxi. XIe siècle. Peintre. Chinois. Célèbre lettré, calligraphe, peintre et esthète, Mi Fu est une de ces coruscantes personnalités qui, non seulement, ont exercé sur l'évolution de la peinture chinoise une influence fondamentale, mais plus généralement, ont contribué à modeler les goûts de l'honnête homme chinois. L'importance de son rôle est sans commune mesure avec son œuvre peint proprement dit. Esprit clairvoyant, passionné et tenace, il apporte une nouvelle esthétique et se fait le porte-parole flamboyant d'une conception nouvelle de la nature même de l'activité picturale, à partir de laquelle se développera ultérieurement la peinture des lettrés, le Wenren hua[1].

Les montagnes et les pins au printemps

Sommaire

Sa vie

Le personnage historique

Mi Fu naît en 1051 d'une famille de militaires depuis cinq générations, et son père, Mi Zuo, montre déjà un goût certain pour les travaux de l'esprit et ne reste pas indifférent à l'effervescence d'un siècle prospère en pleine mutation. Au IXe siècle, l'esthétique lettrée prend conscience de ses fins et Mi Fu se fait son interprète en rappelant qu'en peinture, la pensée créatrice se réalise et s'accomplit à un niveau transcendant, que l'art est affirmation d'un irréductible qui se cherche et qui se veut[2].

En faisant, par son génie divers, de sa personnalité et de sa vie même une œuvre d'art, il incarne l'image éloquente et idéale du peintre lettré. Li Longmian admirait chez Mi Fu l'œil et le génie, lequel de son côté, malgré ses restrictions, lui rendait hommage «Quand des hommes extraordinaires et des choses exceptionnelles sont en conjonction, il est donné au monde un modèle d'humanité»[3].

Mi Fu doit son admission dans le fonctionnariat et ses entrées à la cour grâce à sa mère, dame Yen, qui a appartenu à la suite de l'impératrice. Animé d'un désir profond d'indépendance, comblé de tous les dons, il fait toujours passer l'intégrité de son originalité avant toute considération carriériste, ce qui explique pourquoi il n'a jamais occupé que des postes subalternes et n'obtient dans ce domaine , que de brefs et tardifs succès. A tout cela il préfère les joies de l'esprit et de l'amitié et fréquente les personnages les plus grands et les plus influents de son temps, Su Dongpo (1036-1101), Huang Tingjian (1047-1105), Li Longmian (1040-1106), Wang Anshi (1021-1086)[4].

Mi Fu apprécie Dong Yuan et Juran d'autant mieux qu'il a, des terres du sud, une connaissance intime. Né à Xiangyang, sur le territoire de l'ancien royaume de Chu, il est envoyé jeune dans le sud avec de modestes fonctions. Il semble que les aspérités de son caractère, lui valent certains mécomptes. Il a à peine plus de 30 ans quand il décide de recouvrer quelque liberté. Pendant 9 ans il vit à sa guise. Il aime le pays du fleuve bleu, il se déplace en bateau et il répugne de se séparer des chefs-d'œuvre de sa collection personnelle. Quand passait ce bateau, porteur d'autographes et de peintures sans prix, les amateurs et les connaisseurs le saluaient[5].


Il ya une autre tombe situe Fu Mei Qing Yuan à la ville, la province du Guangdong, toutefois, ce doit être approfondie des historiens locaux. Il est surtout connu pour sa calligraphie, et il était considéré comme l'un des quatre plus grands calligraphes de la dynastie Song. Son style découle de celle des calligraphes des dynasties précédentes, mais avec une marque unique du sien. Convaincu de sa valeur personnelle, il ne prend conseil que de lui-même et se croit l'égal des plus grands, poussant volontiers jusqu'à l'arrogance une insolence trop subtile pour n'être pas préméditée. Son talent, semble-t-il, fait toujours pardonner cet incorrigible excentrique qui n'en connaît pas moins certaines des servitudes et des amertumes de la vie officielle. Il sert dans les provinces méridionales du Guangdong, du Guangxi, du Hunan, du Zhejiang, du Anhui et du Jiangsu, avec un intermède sous le règne de l'empereur Huizong, en 1103, comme «maître au vaste savoir» (taichang boshi) à la cour des sacrifices impériaux. A cette occasion, il a accès aux collections impériales, avant d'être nommé, l'année suivante, «maître au vaste savoir» des deux écoles impériales de calligraphie et de peinture[1]

A ce titre, il participe au grand inventaire des richesses artistiques de l'Empire, le Xuanhe yulan ou l'examen impérial de l'ère Xuanhe. S'il est, par deux fois, démis de ses fonctions, ses bizarreries mêmes le tiennent à l'écart du monde périlleux de la politique et, bien qu'elles lui interdisent tout avancement conséquent, elles lui assurent du moins une certaine immunité. De son propre mariage, naissent treize enfants, cinq fils dont quatre meurent prématurément et dont le cinquième, Mi Youren (1086-1165), est son plus illustre disciple, et huit filles[6].

Telle est la carrière de ce lettré passionné d'art dont le goût pour les loisirs de l'esprit paraît s'être manifesté très tôt: à six ans, il apprend par cœur cent poèmes par jour. Plus tard, conduit par ses fonctions à de fréquents déplacements, il visite les plus beaux sites d'une terre qui lui est chère, ne manquant jamais, là où il passe, d'accroître sa connaissance de l'art, à découvrir quelque autographe, quelque peinture ou autre objet rare dont il prend note ou dont il fait la matière d'un poème ou d'une peinture[7].

Il reprend sa vie de fonctionnaire quand Huizong monte sur le trône. L'empereur l'admire . En 1104, l'empereur, désireux de donner à l'enseignement des beaux-arts un statut officiel, crée les deux écoles de calligraphie et de peinture. Il désigne Mi Fu pour la charge de «maître au vaste savoir» auprès du nouvel organisme. Mais ce génial extravagant ne sait pas se maintenir à la cour. Quand la maladie le surprend alors qu'il administrait une commanderie militaire au Jiangnan, il quitte ses fonctions et meurt dans la paix et la dignité[8].

Le personnage légendaire et excentrique

Son intransigeante dévotion aux valeurs esthétiques apparaît bien être la clé de son génie, le principe unificateur de son activité multiforme comme écrivain et poète, comme collectionneur, comme critique et expert, comme calligraphe et peintre. Ses excentricités, qui fournissent matière à d'innombrables récits anecdotiques, nous éclairent quelque peu. Animé d'une obsession pathologique de la propreté, il cherche à retrouver le souffle vigoureux des grandes heures de l'art chinois et affiche son admiration pour le passé en se singularisant par une mise surannée et en se vêtant à la mode des Tang (618-907). Avec ses longues manches et sa large ceinture, il marque ainsi les distances qu'il entend prendre à l'endroit de son siècle[9].

Nouvellement arrivé, un jour, au poste de province qui vient de lui être affecté, il va, avant toute chose, et revêtu de sa robe de cérémonie, saluer une pierre de forme étrange, en l'appelant frère aîné, incongruité qui lui vaut des sanctions administratives, pourvue qu'elle est d'un léger parfum de sacrilège. Mi Fu, cependant assume son geste et le commémore même dans une peinture, lui donnant par là valeur d'exemple. Les rocailles contournées sont en effet dans l'esthétique chinoise les fruits de la création universelle et le miroir de son énergie et de ses rythmes. Par son geste spectaculaire, Mi Fu traduit donc un ordre hiérarchique différent où les relations de l'homme avec le monde l'emporte sur l'artifice des conventions sociales[10].

Son œuvre

L'esthète collectionneur

On imagine Mi Fu, grand connaisseur d'art, déroulant avec respect un paysage de Dong Yuan. À travers la peinture, il retrouve la douceur des terres où il s'est fait aménager un ermitage[11].

En ce qui concerne son œuvre écrite, son principal recueil en prose et en vers, le Shan lin ji, malheureusement disparu. pour ce qui est de la critique et de la théorie esthétique, il laisse par contre deux ouvrages, le Huashi consacré à la peinture et le Shushi consacré à la calligraphie. Ce faisant, il inaugure un genre nouveau, les Notes de collectionneur, qui constitue bientôt toute une branche de la littérature esthétique. On peut ajouter le Haiyue tiba, qui groupe des colophons et inscriptions consacrés à divers autographes et peintures, le Haiyue mingyan, Mots célèbres de Haiyue, rassemblant certains jugements portés par lui, le Yanshi, Histoire de l'encrier, texte bref en un chapitre, le Pingzhi tie ou Shizhi shuo, propos sur dix sortes de papier[12].

Collectionneur acharné, capable à l'occasion de faire des faux ou de voler pour satisfaire sa passion, il recherche toujours l'objet pour ce qu'il est, en dehors de toutes préoccupations d'école mais dans l'intimité quasi mystique. Son esprit critique pénétrant s'appuie sur une fantastique érudition, tandis que ses jugements de valeur, relevant de critères très personnels et exigeants, tombent parfois dans l'excès et l'intransigeance partisane, puisque là comme ailleurs, il fait preuve d'une arrogance cassante et péremptoire propre à la mission dont il s'est investi: celle de serviteur et de défenseur d'un absolu esthétique qui ne tolère aucun compromis[13].

Il n'est pas impossible que, dès l'époque des Song du nord, Mi Fu, l'un des plus célèbres peintres lettrés, a éprouvé des réticences analogues à l'égard des peintres du nord qu'il évite de citer dans son Huashi (histoire de la peinture)[14].

En certaines occasions, Mi Fu dépasse les limites de la correction dans ses discussions dont l'une à l'égard de Li Longmian qui ne parvenait pas à se libérer de l'influence de Wu Daozi. Il rejette avec véhémence l'art académique dérivé de Huang Quan (Xe siècle), qu'il mentionne à peine Li sixun (651-716) et qu'il garde ses distances à l'égard des grands paysagistes nordistes du Xe siècle tels Guan Tong, Fan Kuan et Li Cheng. Rejetant toute virtuosité technique, toutes habiletés apprises, il prise avant tout le naturel, la naïveté et la spontanéité et prône la simplicité d'un Dong Yuan et d'un Juran, hommes du sud. Mi Fu est lui même un homme du sud, d'où sa communion intime avec l'aménité des paysages méridionaux, noyés dans la brume[15].

Les dires de Mi fu semblent confirmer la parenté stylistique de Li Sheng avec Li Sixun. Il décrit dans son Huashi un paysage lui ayant appartenu (une œuvre fine, belle et brillante) peinte par Li Sheng. Mi Fu la céda à un ami, Liu Jing, qui efface le nom de l'auteur et inscrit celui de Li Sixun. Mi Fu dans son Huashi note que les paysages peints en couleurs au Japon étaient attribués à Li Sixun. Le Yamatoe trouve ainsi en Chine ses origines[16].

Mi Fu pensait que Li !sheng avait beaucoup d'imitateurs. Imités par des peintres sans génie, les traits d'une grande œuvre peuvent se durcir et perdre toute spontanéité. Pour Mi Fu, les paysages de Li Sheng semblent appartenir au rêve. De nouveau selon lui, on attribuait souvent à Wang Wei des paysages de neige peints par des artiste du Jiangnan. Un seul homme ne pouvait être l'auteur d'un si grand nombre de peintures. Le vieux Mi est assez critique au sujet de toutes ces œuvres faites dans la manière «gravée»[17].

Mi Fu admirait chez Dong Yuan « l'ingénuité, le naturel », cette qualité de simplicité qui est expression de la vérité. Pour lui, la vérité des choses se révèle dans l'idée que l'artiste se fait d'elle. l'idée, c'est dans l'esprit qu'elle se forme, et c'est portée par le mouvement de l'esprit qu'elle s'impose au pinceau. Pour transcrire l'élan spontané de l'idée, Mi Fu «jouait avec l'encre», il le tenait des calligraphes qu'il avait pris pour maîtres[18].

Le peintre

Au dessus des siècles, Mi Fu renoue donc, dans sa peinture, avec les deux maîtres précités, réinterprétant toutefois leur art d'une manière originale. Il s'agit pour lui de simplifier, d'alléger, d'éliminer toute tournure spécifiquement picturale pour en faire une pure écriture et réduire la peinture à un jeu d'encre, sur lequel les exigences de la figuration réaliste ne sont que de peu de poids. La réalité n'est qu'un prétexte à l'extériorisation d'élans intérieurs et rien ne doit venir alourdir et brouiller sur le papier cette «empreinte du cœur» instantanée et immédiate, qui est désormais l'objet unique de l'œuvre peinte. La valeur de cette dernière ne tient qu'à la qualité spirituelle de son inspiration, émanant elle-même, dans sa spontanéité ponctuelle, de l'être esthétique[19].

En matière d'art, écrit Mi Fu, il n'est point de création qui ne trouve son ressort dans l'intimité de l'esprit; une écriture, une peinture, c'est une pensée qui s'incorpore à la soie ou au papier. tout l'homme passe dans son écriture peinte ou dans sa peinture écrite: les ressauts d'une humeur difficile, les attitudes innées ou acquises, le souci d'échapper aux chemins tracés, jusqu'à transmettre le rythme d'un vouloir profond[20].

Le registre de Mi fu est étroit et semble se limiter aux vues de montagnes embrumées. Techniquement parlant, sa principale innovation, les points à la manière de Mi, est une abréviation audacieuse des procédés d"exécution qui substitue aux contours de larges touches d'encre, servant indifféremment à jeter la silhouette d'une montagne ou le flou d'un feuillage, et laissant le soin aux harmonies à contre-temps d'exprimer les exigences d'une nature difficile et d'une vie quintessenciée[21].

Mi Fu ne se met à peindre qu'à la fin de sa vie; le témoignage du Huashi est formel sur ce point: son œuvre pictural date complètement des sept dernières années de sa vie. Il produit donc assez peu et, soixante ans après sa mort, un critique constate déjà que ses peintures se font rarissimes. Il ne subsiste aujourd'hui aucun original et son art n'est connu que par l'intermédiaire de son fils Mi Youren[22].

Au XIe siècle, Mi fu prône déjà la valeur de la simplicité antique. En opposition avec Li Longmian que l'influence de Wu Daozi a toujours dominé, Mi Fu a choisi la noble antiquité d'un Gu Kaizhi. Il poursuit la recherche de l'archaïsme jusqu'à s'habiller à la mode des Tang. Rappelons-le, Mi Fu fait partie du groupe des indépendants de part ses attitudes et ses comportements[23]. En outre, l'appartenance à une élite sociale obligeait les peintres lettrés au respect de certaines hautes convenances. Le Huaji (1167), ouvrage traitant de la peinture sous les Song, confirme l'importance accordée, à l'époque, au statut social. L'empereur Huizong figure seul dans la première section et la deuxième est réservée aux princes de sahg. Les notices consacrées aux hauts fonctionnaires qualifiés par leur sagesse et leur talent sont groupés dans une troisième section. Mi Fu appartient à cette catégorie[24].

Mi n'exerce pas une influence directe importante sur la pratique picturale des artistes ultérieurs, exception faite des points à la manière de Mi, bientôt devenus clichés. Sa véritable influence s'exerce sur les attitudes esthétiques et, à partir de la dynastie Yuan, son appréhension du monde prend, aux yeux des lettrés, valeur d'exemplarité[25].

Le calligraphe

Si sa production picturale est celle d'un esthète cultivé et d'un amateur éclairé, sa production calligraphique est considérable et joue un rôle essentiel dans son œuvre. Il est considéré, avec Su Dongpo, Huang Tingjian et Cai Xiang comme l'un des quatre grands calligraphes de son temps.

Ses œuvres dans ce domaine se caratérisent par trois qualités majeures : liberté, légèreté et fluidité[26]. Influencé par Wang Xizhi, Wang Xianzhi et Yan Zhenqing dont il imite le style dans sa jeunesse, il le critique ensuite pour sa vulgarité et son absence de liberté. Comme Su Dongpo et Huang Tingjian, il compare la calligraphie avec un jeu : « La pratique de la calligraphie étant un jeu, il n'est pas nécessaire de rechercher la régularité. L'important est de se satisfaire. En déposant le pinceau, on a accompli un jeu. »[26].

Réception en Occident

Parmi les poèmes chinois traduits en anglais par Herbert Allen Giles (en), certains étaient de Fou Mi. En 1908, Amoureux séparés[27] a été mis en musique, ainsi que d'autres poëmes d'autres auteurs chinois, par Albert Roussel (Deux poêmes chinois, opus XII) sur les paroles qu'Henri-Pierre Roché a tiré de cette traduction anglaise.


Amoureux séparés[28]

Dans le royaume de Yen un jeune galant réside,
Dans le royaume de Chao une belle demoiselle habite.
A vrai dire, ces royaumes ne sont pas très distants,
Mais une chaîne de monts à pic les sépare bel et bien.

"Vous, nuages, sur vos fortes poitrines, emportez-moi
Vents, soyez mes chevaux et galopez!"
Les nuages du ciel n'écoutent pas la voix,
La brise changeante s'élève et retombe,

Je reste dans l'amertume de mes pensées
Songeant à la bien-aimée que je n'atteindrai pas.

Musées

Mi Fu Shu Su Tie.jpg
  • New Haven (Université Yale):
    • Paysage de rivière et d'arbres dans la brume, rouleau en longueur signé, colophon de l'artiste daté 1104, autres inscriptions, attribution.
  • Pékin (Mus. du Palais):
    • Montagnes dans les nuages, attribution, colophon du peintre.
  • Taipei (Nat. Palace Mus.):
    • Pins et montagnes au printemps, rouleau en hauteur, encre et couleurs sur papier, signature et sceau de l'artiste, attribution.
  • Washington D.C (Freer Gallery of Art):
    • Collines couvertes d'herbe apparaissant dans les nuages, encre sur soie, attribution.
    • Vallée de rivière dans les montagnes, encre sur papier, attribution.

Bibliographie

  • Dictionnaire Bénézit, Dictionnaire des peintres,sculpteurs, dessinateurs et graveurs, vol. 9, éditions Gründ, janvier 1999, 13440 p. (ISBN 2700030192), p. 610-611 
  • Yang Xin, Richard M. Barnhart, Nie Chongzheng, James Cahill, Lang Shaojun, Wu Hung (trad. Nadine Perront), Trois mille ans de peinture chinoise, Éditions Philippe Picquier, 1997, 402 p., p. 121, 140, 154, 155, 179, 218,; influence de: 233, 234, 253, 271, 334, 
  • J. Cahill, La Peinture chinoise, Genève, 1960.
  • Nicole Vandier-Nicolas, Peinture chinoise et tradition lettrée, Éditions du Seuil, 1983, 259 p. (ISBN 2020064405), p. 64, 78, 94, 101, 102, 103, 109, 112, 114, 115, 116, 119, 126, 130, 134, 136, 144, 160, 161, 163, 168, 174, 179, 180, 208, 216, 231, 232. Photos: 1, 89 
  • Art et sagesse en Chine. Mi Fou. 1051-1107.
  • Le Houa-che de Mi Fou. 1051-1107 ou le carnet d'un connaisseur à l'époque des Song du Nord, Paris, 1964.

Notes et références

Sur les autres projets Wikimedia :

  1. a et b Dictionnaire Bénézit 1999, p. 610
  2. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 130
  3. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 136
  4. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 64
  5. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 112
  6. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 134
  7. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 119
  8. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 114
  9. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 160
  10. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 163
  11. Yang Xin, Richard M. Barnhart, Nie Chongzheng, James Cahill, Lang Shaojun, Wu Hung 1997, p. 140
  12. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 161
  13. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 101
  14. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 109
  15. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 126
  16. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 102
  17. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 103
  18. Yang Xin, Richard M. Barnhart, Nie Chongzheng, James Cahill, Lang Shaojun, Wu Hung 1997, p. 154
  19. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 94
  20. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 78
  21. Yang Xin, Richard M. Barnhart, Nie Chongzheng, James Cahill, Lang Shaojun, Wu Hung 1997, p. 218
  22. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 144
  23. Yang Xin, Richard M. Barnhart, Nie Chongzheng, James Cahill, Lang Shaojun, Wu Hung 1997, p. 179
  24. Nicole Vandier-Nicolas 1983, p. 116
  25. Dictionnaire Bénézit 1999, p. 611
  26. a et b La calligraphie chinoise (中国书法法), p. 103-105, de Tingyou Chen, traduction française de Gong Jeshi, Éditeur 五洲传播出版社, 2003, (ISBN 7508503457 et 9787508503455).
  27. H.A. Giles, Chinese poetry in english verse, B. Quaritch, Londres, 1898, Lovers parted.
  28. Pierre Roché in revue Vers et prose, Paris, 1907.

Journal de Qing yuan < 清遠縣誌>


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