Monarchie romaine

Monarchie romaine

Monarchie romaine
Regnum Romanum (la)

753 av. J.-C.509 av. J.-C.

Drapeau

Louve capitoline

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À la fin de la monarchie

Informations générales
Statut Monarchie
Capitale Rome
Religion Religion romaine traditionnelle
Histoire et évènements
753 av. J.-C. Fondation de Rome
509 av. J.-C. Exil de Tarquin le Superbe
Roi
753 à 715 av. J.-C. Romulus
535 à 509 av. J.-C. Tarquin le Superbe



Sénat et Comices

Entités suivantes :

La Monarchie romaine (latin : Regnum Romanum), selon la légende, aurait été fondée à Rome par Romulus et Rémus en l'an 753 av. J.-C. Elle aurait été abolie à la révolution de 509 av. J.-C. qui chasse le dernier souverain, Tarquin le Superbe, pour instaurer la République romaine. Selon la tradition, il y a eu sept Rois de Rome : Romulus (avec selon certaines sources Titus Tatius), Numa Pompilius, Ancus Marcius, Tullus Hostilius, Tarquin l'Ancien, Servius Tullius et Tarquin le Superbe.

Sommaire

Constitution de la Monarchie

Les dispositions constitutionnelles sous la Monarchie romaine sont centrées autour du roi. Il nomme ses propres assistants, leur déléguant des pouvoirs spécifiques. Le Sénat, dominé par l’aristocratie, sert de conseiller au roi. Il arrive souvent que le roi demande au Sénat de gérer divers problèmes, mais il est libre d’ignorer ses conseils. Le roi peut également demander l’avis des comices curiates. Celles-ci représentent un moyen pour le peuple de Rome d’exprimer ses opinions. Mais comme pour le Sénat, le roi peut passer outre le vote de cette assemblée pour prendre ses décisions. Quand un roi meurt, un interrex est nommé pour faciliter l’élection d’un nouveau roi. Il doit trouver un prétendant afin de le soumettre au Sénat. Si celui-ci approuve son choix, les comices curiates procèdent à un vote électif. Si le prétendant est élu, le Sénat finalise l’élection. Le prétendant est alors déclaré roi par l’interrex.

Dans la réalité, la désignation du nouveau Roi se faisait généralement par le prédécesseur ou par le fils ainé du Roi défunt. Aucun critère véritable de sélection n'existait, mais avec le premier cas, le nouveau Roi bénéficiait d'une plus grande visibilité et ce qui lui permettait de gagner les bonnes volontés du peuple. Le second cas est une revendication par une personne liée au Roi défunt, mais que le peuple n'acceptait pas (comme c'est le cas pour la famille d'Ancus Marcius, qui, avec des tentatives incessantes pour prendre le pouvoir après la mort du parent décédé et qui estime que c'est son droit de succéder au parent défunt, il met ainsi en danger la vie de Tarquin l'Ancien et est sanctionné par le peuple). Certaines circonstances peuvent amener le peuple à accepter un nouveau roi, même si le prétendant a tué son prédécesseur comme c'est le cas pour Tarquin le Superbe qui a tué son beau-père et Roi de Rome (Servius Tullius), pour devenir Roi de Rome.

La forme de la Monarchie

Selon la tradition rapportée notamment par Tite-Live, après la guerre de Troie, le héros troyen Énée traverse la Méditerranée et fonde la ville de Lavinium en Italie. Son fils Ascagne fonde la ville d'Albe la Longue. De cette famille naîtront les jumeaux Romulus et Rémus. Les rois, à l'exclusion de Romulus, fondateur de la ville, étaient choisis à vie, par les gens de Rome. À l'origine, il semble qu'une assemblée de senes (homme mûr) et patres familiarum avait autorité sur les membres de leur famille mais aussi sur le plus grand nombre possible de clients. Ces Patres, réunis en sénat, nomment un rex, provisoirement doté du pouvoir durant l'interrègne. Le Roi est ensuite choisi par les comices curiates mais n'est définitivement nommé qu'après que les augures confirment que la décision est favorable. Le sénat devait contrôler tout le processus. Selon la tradition, aucun roi n'eut à faire usage des armes pour prendre le pouvoir. Le pouvoir ne semble être devenu héréditaire qu'à partir du quatrième roi. Ce qui fera dire aux républicains que les rois anciens étaient choisis en fonction de leurs vertus et non pas de leurs origines. On ne sait pas quelle est la nature exacte du pouvoir, c'est-à-dire si la fonction possédait réellement un pouvoir ou si le roi était soumis à une assemblée. Il semble que les décisions du roi, à partir de Servius Tullius, pouvaient être discutées par les Comices curiates et devaient être validées, mais on ne sait pas si le pouvoir du roi était absolu. Ce qui est sûr, c'est que seul le roi possédait le droit d'effectuer l’auspice et donc de connaître les augures. Le fondement même de la foi romaine reposait sur la mise en concordance entre les actions et la volonté des dieux. Par conséquent, aucune affaire publique ne pouvait être exécutée sans que la volonté des dieux fût connue par l'intermédiaire des auspices. Les romains reconnaissaient le roi comme un médiateur entre eux et les dieux et selon la tradition Romulus fut le meilleur des Haruspices. La fonction de Pontifex maximus est créée selon la tradition par Numa Pompilius, mais la fonction de Rex Sacrorum reste primordiale dans les rites, si bien que même la monarchie abolie, elle continuera à exister. D'autre part, le roi disposait de l'imperium, du pouvoir judiciaire, de la possibilité de nommer les fonctionnaires, les membres du sénat et surtout le Préfet de Rome, qui avaient tous les pouvoirs lorsque le roi n'était pas en ville.

Les attributs royaux

Au VIe siècle av. J.‑C., les insignes royaux sont ceux des dieux: le roi a le droit de s'asseoir sur le siège curule, de porter la toge de pourpre, toga picta, le sceptre, la couronne d'or; le roi peut se faire accompagner de licteurs porteurs de faisceaux, fasces, symbolisant le pouvoir de justice, le roi circule en char.

Liste traditionnelle des rois

Article détaillé : Liste des rois de Rome.

Une monarchie mythologique

Le philologue et comparatiste Georges Dumézil voit dans la succession des premiers rois un exemple des fonctions tripartites indo-européennes : Romulus le fondateur et le pieux Numa Pompilius exerçaient la fonction souveraine, à la fois organisatrice et sacerdotale, Tullus Hostilius la fonction guerrière, et Ancus Marcius le bâtisseur la fonction productrice.

À chaque souverain, on attribue généralement une contribution particulière dans la naissance et la création des institutions romaines et dans le développement socio-politique de la cité :

Quant à Porsenna, il ne monta jamais sur le trône bien qu'il soit parfois considéré comme un roi de Rome, vers 508 av. J.-C.

Bilan de la monarchie

Selon certaines sources, le consulat n'est pas une institution latine, car l'habitude, à la chute de la royauté, était plutôt d'instituer un magistrat unique ayant un pouvoir immense mais pour une durée limitée. Aujourd'hui encore, les historiens ne savent pas d'où peut provenir l'idée d'un pouvoir partagé à l'identique entre deux consuls pour une durée faible. L'idée romaine qui est à l'origine de la création de la République romaine, semble donc profondément originale.

Toutefois, Tite-Live, dans Les origines de Rome, explique qu'après la guerre contre les Sabins et la bataille dans les murs mêmes de Rome, l'intervention des Sabines a généré une fusion des deux royaumes, celui de Romulus et celui des Sabins, régi par Titus Tatius. Tite-Live insiste sur le fait que dès lors, leur règne "en commun" s'est effectué dans la concorde la plus parfaite, et l'on peut ainsi penser que le système de partage équitable du pouvoir par deux magistrats en vigueur dans la République s'est profondément inspiré de cette expérience Romano-Sabine. Il faut aussi se rappeler que les Rois de Rome, hormis Romulus, étaient élus, d'où le parallèle notable entre le consulat et le règne.

Le régime des rois étrusques va faire aussi prendre conscience aux Romains de la notion de corps civiques, en dehors du contrôle exclusif et très local de l'aristocratie. D'autre part les relations religieuses qui sous-tendent la relation client-patron s'étiolent, le culte des ancêtres s'est transformé en culte des héros. Le populus va prendre conscience qu'il forme la plèbe et les institutions reconnaître son existence et la fonction subalterne de cette plèbe.

Après la chute de Tarquin, l'idée de la monarchie a continué, même pendant l'empire, à être détestée. Jules César, alors qu'il accumulait tous les pouvoirs, a refusé le symbole que constituait le diadème blanc de la main de Marc Antoine sous les applaudissements. La charge honorifique de Rex sacrorum , sous la République, pourtant essentielle aux rites religieux, était mal considérée par les Romains .

Histoire de Rome durant cette période

Articles détaillés : Économie romaine et Société romaine.

Contexte à la Fondation de Rome

L’archéologie a constaté que depuis le Xe siècle av. J.‑C., la région enregistre un lent développement de l’agriculture dans toute la zone du Latium avec l’implantation de nombreux villages, dont Rome n’est qu’un parmi d’autres (Ardée, Lavinium, Albe la Longue, etc.). Les Latins et donc les Romains cultivent des céréales pauvres (épeautre ou far et orge), de la vigne (Vitis vinifera est attestée dans les tombes du Forum romain), l’olivier, le pommier et le figuier sont connus. Comme tous les peuples de la région, la société s'appuie sur le clientélisme et les gens les plus influents dirigent au sein d'assemblée appelée les curiae. Ces assemblées sont essentielles pour organiser la défense et la gestion des biens collectifs. La terre est en effet pour partie, propriété commune et doit donc être gérée. Chaque maison a son jardin, y compris dans le périmètre de Rome, produisant choux, raves, fèves, lentilles. L’élevage, sur l'ager publicus, est une activité importante, symbole de richesse (le latin pecunia a les deux sens, bétail et richesse). Les Romains élèvent moutons et chèvres pour la viande et le fromage, bœufs, ânes et chevaux comme animaux de trait. Le bœuf est l'animal de trait par excellence pour l'agriculture ; le lait des vaches est consommé en fromage - le lait frais est de préférence tiré des chèvres. L'aviculture ne semble pas être intensivement pratiquée. Dans les lagunes aux bouches du Tibre on recueille le sel, produit exporté vers les montagnes par le chemin qui deviendra la via Salaria, tandis que les forêts côtières fournissent en abondance le bois. De nombreuses divinités agraires témoignent de l’activité agricole : Liber pour la vigne, Pomone pour les arbres fruitiers, Terminus pour les bornes limitant les champs, etc. La culture romaine de l'époque était pastorale. À partir du VIIIe siècle av. J.‑C., l'Italie entière se transforme, les Grecs installent des colonies, les Étrusques étendent leur royaume vers le sud, le commerce s'intensifie, l'agriculture se développe car des Sabins (traditionnellement agriculteurs) s'installent. La tradition dit que la ville accueille voleurs, esclaves en fuite et autres indésirables. De nombreuses villes se créent, tandis que les communautés villageoises ont tendance à régresser. Rome est à la croisée des nouvelles routes commerciales. Une assemblée de senes (hommes mûrs) et patres familiarum ayant autorité sur les membres de leur famille, mais aussi sur le plus grand nombre possible de clients, dirige. Le concept de patricien (« celui qui descend des patres ») a dû se constituer à cette époque.

Le développement de Rome

Le Sénat (de 100 membres) comme les comices curiates sont, selon la tradition, créés par Romulus. Les comices forment une assemblée de 30 membres qui est élue à partir de collèges tribaux. Trois collèges (de Sabins, de Romains, et de tous les autres), élisent chacun dix membres dans une curia. Dès le début de Rome, plusieurs guerres victorieuses, attribuées à Romulus, étendent le contrôle de la ville dans le Latium. L'ager publicus romanus est étendue.

Au VIIe siècle av. J.‑C., à Rome, le rex Tullus Hostilius crée les curiae novae, non pas sur des origines toponymiques ou ethniques, mais en s'appuyant sur les gentilices : c'est la fin du tribalisme. Dans les campagnes les maîtres et les serviteurs vivent une vie commune, qui sur le fond n'est pas très différente.

Au VIe siècle av. J.‑C., Rome est la plus grande ville de l'Italie. Les armées les plus puissantes sont organisées suivant la technique grecque de la phalange d'hoplites qui sont des soldats pédestres (fantassins) lourdement et uniformément armés et protégés. La cavalerie, et plus particulièrement les chars, apanage des gentilices, est marginalisée par ce type de formation militaire. Ce développement militaire a, en Grèce comme à Rome, facilité la contestation du pouvoir aristocrate ou patricien. D'autre part, ces mêmes gentilices ne sont plus en mesure d'aligner et surtout d'équiper un nombre suffisant d'hoplites pour pouvoir lutter contre des cités étrusques s'appuyant sur un demos nombreux. Rome est alors conquise par les Étrusques qui vont doter la ville d'infrastructures nombreuses, temples, ports, bâtiments publiques, adductions d'eau, et c'est par milliers que des étrangers viennent alors s'installer à Rome[1]. L'influence grecque, qui marque aussi fortement les Étrusques, est de plus en plus présente. Les produits manufacturés grecs comme les poteries en témoignent. La philosophie, la religion, l'art militaire s'hellénisent.

Pour pouvoir résister aux invasions extérieures, les rois étrusques de Rome vont chercher à créer leur propre armée d'hoplites. Pour échapper aux pressions patriciennes, les rois vont chercher à diminuer l'influence des liens sacrés (fides) qui relient les patrons et leurs clients. Ils parviennent à lier les hommes libres en sodales par la fides pour défendre la cité. Cette relation est fondamentale. Suivant la tradition, Servius Tullius, premier roi non élu et d'origine servile comme son nom l'indique, transforme l'armée et par conséquent le rôle de chacun au sein de la cité. Il change donc le fondement de la société romaine. Comme le niveau d'équipement d'un hoplite dépend de sa fortune, pour connaître le nombre et le type des combattants disponibles, le cens est créé, les Comices centuriates et les Tribus s'occupent de cette tâche. Servius Tullius va jusqu'à distribuer l'ager publicus, c'est la première réforme agraire connue.

La population, dès lors augmente constamment, 80 000 civites au Ve siècle av. J.‑C., 130 000 en -508, 157 000 en -498.

Sources

Historiographie

L'histoire légendaire de la monarchie romaine nous est parvenue, notamment par Quintus Fabius Pictor, vers 260 av. J.-C., établit une liste de sept souverains pour 243 années de règne, donc avec une moyenne extraordinaire de 35 ans par règne. Plus tard, d'autres auteurs comme Tite-Live, Plutarque, Denys d'Halicarnasse, Varon écriront leurs récits en s'appuyant vraisemblablement sur celui de Pictor. Aucune archive n'était disponible pour ces auteurs antiques car Rome fut incendiée en -390 par les Gaulois (voir oies du Capitole).

De l'avis des historiens modernes, les noms comme les dates des règnes des quatre premiers de ces rois, tout comme l'alternance de noms sabins et latins, sont plus légendaires qu'historiques, tandis que les trois derniers rois, d'origine étrusque, ont une existence qui paraît moins incertaine.

Certains interprètent la succession d'événements rapportés par Tite-Live. Ainsi J. Heugron[2] propose le scénario suivant : Porsenna, roi de Clusium, organisa une invasion du Latium comme l’avaient précédemment fait Tarquinia et Vulci, chassa les Tarquins et occupa Rome, d’où il attaqua ensuite Aricie, s’opposant à une coalition des Latins et de Cumes, qui le mit en échec. Heugron relève que les Fastes consulaires des premières années de la République recensent plusieurs noms d’origine étrusque comme magistrats : Larcius en 506, 498, 490, Herminius en 506, Aquilius Tuscus en 487, indices d’une présence étrusque perdurant à Rome au-delà de 509. Le départ des Tarquins ne signifierait donc pas la fin de l'influence étrusque.

Apports de l’archéologie

L’archéologie observe pour la période de la monarchie romaine un net enrichissement des tombes avec la présence d’objets de luxe importés (quatrième phase, dite orientalisante, de -730 à -570 pour la chronologie de Müller-Karpe-Peroni). Les céramiques grecques et étrusques sont présentes dans tout le Latium et attestent de contacts précoces avec les commerçants grecs. C’est à cette période que se rattache le plus ancien document écrit connu du Latium, la fibule de Préneste datée du début du VIIe siècle av. J.‑C.. On en déduit l’introduction probable de l’écriture à Rome à cette époque.

À Rome même, de nombreux vestiges de l’époque monarchique ont été fouillés au cours du XXe siècle avec des méthodes de plus en plus fines :

Articles connexes : Regia et Fondation de Rome.

Bibliographie

Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article Ce logo indique que la source a été utilisée pour l'élaboration de l'article.
  • (it) Mario Amelotti, Lineamenti di storia del diritto romano, Milan, A. Giuffrè, 1989, 762 p. (ISBN 88-14-01823-5)  Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (it) Lorenzo Fascione, Il Mondo nuovo: La costituzione romana nella "storia di Roma arcaica" di Dionigi d'Alicarnasso, Naples, Jovene Ed., 1988, 222 p.  Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (it) Riccardo Orestano, I fatti di normazione nell'esperienza romana arcaica, Turin, G. Giappichelli, 1967, 278 p.  Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (it) Giovanni Pugliese, avec la collaboration de Francesco Sitzia et Letizia Vacca, Istituzioni di diritto romano, Turin, G. Giappichelli, 1991, 1015 p. (ISBN 88-348-0165-2)  Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (it) Giuseppe Valditara, Studi sul magister populi: dagli ausiliari militari del rex ai primi magistrati repubblicani, Milan, A. Giuffrè, coll. « Pubblicazioni dell'Istituto di Diritto Romano », 1989, 435 p. (ISBN 88-14-01886-3)  Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Notes et références

  1. Les inscriptions des pierres tombales indiquent à cette époque une très forte mobilité géographique et sociale dans toute l'Italie
  2. Rome et la Méditerranée occidentale jusqu’aux guerres puniques, Paris, 1969

Voir aussi

Liens internes

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