Monthault

Monthault

48° 30′ 43″ N 1° 10′ 48″ W / 48.5119444444, -1.18

Monthault
Mairie de Monthault.
Mairie de Monthault.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères
Canton Louvigné-du-Désert
Code commune 35190
Code postal 35420
Maire
Mandat en cours
Roger Buffet
2008-2014
Intercommunalité Louvigné Communauté
Démographie
Population 249 hab. (2006[1])
Densité 30 hab./km²
Aire urbaine 8 722 hab. ()
Gentilé Monthaltais, Monthaltaise
Géographie
Coordonnées 48° 30′ 43″ Nord
       1° 10′ 48″ Ouest
/ 48.5119444444, -1.18
Altitudes mini. 114 m — maxi. 197 m
Superficie 8,2 km2

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Monthault est une commune française, située dans le département d'Ille-et-Vilaine et la région Bretagne.

Sommaire

Géographie

Monthault est une petite commune d'Ille-et-Villaine située en Bretagne aux limites de la Normandie (la Manche) et des Pays de Loire (Mayenne).

Histoire

Les origines de cette paroisse sont inconnues. Vers 1150, un chanoine de Rillé est appelé Jean de Monthault, et il existe une trace d'un Guillaume de Monthault, mais aucune preuve n'atteste qu'ils appartiennent à une famille seigneuriale de ce nom.

Au commencement du XIIIe siècle, elle est le siège d'un doyenné relevant de l'archidiaconé de Rennes, et dont la juridiction devait embrasser toutes les paroisses de la vairie de Louvigné et une partie de celle du Coglais. Quoique ce doyenné ait été de bonne heure réuni à celui de Fougères, le recteur de Monthault n'en continua pas moins, jusqu'en 1698, à prendre le titre de doyen.

La cure de Monthault était à la représentation de l'archidiacre de Rennes, qui levait quelques rentes dans la paroisse : 12 deniers monnaie sur le presbytère, 6 livres et 2 sols sur les revenus de la cure et 2 sols et 6 deniers sur les hommes d'un fief dit de l'archidiacre.

Le doyenné semble avoir été fondé au cours de la deuxième moitié du premier millénaire de notre ère, en suite de celle du premier évêché de Rennes, lequel d'après l'historien Pautrel, fut fondé au quart du IVe siècle. Son territoire est bordé par les rivières du Couesnon et d'Eron. Il possède plusieurs dénominations : doyenné du Coglais, de Louvigné, et parfois du Désert.

Des rassemblements à antériorité gauloise existèrent, non loin du Couesnon sur sa rive gauche au lieu connu actuellement sous le nom de Vendel, et en deux points sur le territoire existant entre le Couesnon et l'Eron, connus à l'époque sous le nom de "Coglais". L'un de ces points a paru être "Coglès", bien qu'un autre l'ait voisiné "Puniac" en Saint Brice en Coglès. Le second fut désigné sous le nom de "Louvigné". Ces centres de Vendel, de Coglès, de Louvigné avaient à leur tête des chefs païens. Ce territoire à l'époque celtique aurait connu la venue de plusieurs tribus : les Redons, les Curiosolytes, les Ambibares, les Diablintes, les Aulerci-Diablintes, sans qu'il ait été possible de préciser laquelle de ces tribus prima en ces terres.

Si le nom du chef installé à Coglès est inconnu, l'histoire a conservé celui du fondateur du "Lupiniacus", pays ou aurait existé le domaine fondé par un certain "Lupiniac", lequel donna ultérieurement naissance à celui de Louvigné.

L'exercice des rites celtes avaient lieu de préférence sur des endroits élevés dissimulés au milieu de forêts, en particulier si des rochers étaient présents. Le "Mont-Haut" semble répondre à ces caractéristiques : dominant toutes les terres de la région, situé au milieu d'une forêt qui avait encore en fin de millénaire de notre ère, 4 km au minimum de tour, parsemé de rochers. Il est possible que la présence d'un lieu de culte païen ait motivé l'installation d'une paroisse. Cette paroisse seule dépendit de sainte Melaine de Rennes, puisque Louvigné dépendait de Marmoustier, Villamé et Polley du mont Saint-Michel à la dite époque.

Selon la coutume de l'époque le bâtiment fut dédié à saint Pierre et comme il voisinait la forêt du Mont-haut, on dénomma l'oratoire et la paroisse Saint-Pierre-des-Bois. Cette appellation semble avoir duré jusqu'à l'installation du premier doyenné rural de la région. Ce dernier doyenné n'ayant pu être fixé ni à Coglès, ni à Louvigné, en raison du paganisme de leur chef qui avait empêché une installation d'église.

L'autorité de ce doyenné paraît être exercée sur le territoire d'entre le Couesnon et l'Eron, dénommé "Coglais", et ce fut de ce nom qu'il aurait été primitivement désigné "Doyenné du Coglais". Mais le Vicue Lupiniaci, (l'agglomération du domaine de lupiniaci), avait pris de l'importance et le culte chrétien y étant public, une église y fut édifiée et on vit poindre la paroisse de Louvigné, (Parrochia lupiniaci). Louvigné ayant émergé parmi les agglomérations les plus importantes se vit décerner la distinction de vicus, (localité importante).

En 989, un administrateur des terres fut envoyé, une "Vairie" fut constituée, et en 990 la "Vairie du désert" était portée à la connaissance de tous. C'est alors qu'on vit à Louvigné, un recteur pour l'administration religieuse de la paroisse et un Fondé de Pouvoirs du duc de Bretagne pour l'administration des terres.

L'éclat de cette situation en rejaillit jusque sur le doyenné, lequel se vit successivement appelé, tantôt "doyenné de Louvigné", tantôt du " désert", cependant que son siège resta à Monthault.

Un siècle environ plus tard, une ville venait de se fonder à quelque 16 km de Louvigné, elle fut appelée "Fougères", il en fut d'ailleurs de même de "Vendel".

Église Saint-Pierre (XVe-XIXe).

L'église, construite en grand appareil est en forme de croix ; son clocher est moderne, l'ancien datait de 1714 ; les croisillons du transept ont été construits en 1724 et 1728, ils portent les armes des comtes de Poilley ; on lit au bas de la nef l'inscription suivante gravée sur la face ouest « Donnée par Maître DESGRANGES recteur de céans, 1731 ». La façade sud possède un porche (XVe ou XVIe siècle) son arcade est surmontée d'un niche en arc brisé qui abritait une inscription effacée ; ses murs sont percés de deux espèces de meurtrières et munis de bancs en pierre. La façade sud du chœur présente une fenêtre en arc brisé à un meneau avec une archivolte. Une autre fenêtre analogue se voit au croisillon du transept ; le chœur est de la même époque ; son chevet droit est percé d'un simple œil-de-bœuf sommé d'un écusson très fruste.

Le 21 mai 1690, Mgr Larchiver consacra les deux autels de Saint-Pierre et de Notre-Dame.

On a construit au nord du chœur en 1632 une sacristie surmontée d'une chanterie.

Les pignons se terminent par de petites croix. À l'intérieur une filière porte l'inscription : "L'an 1632 l'allonge sacristie et Chanterie fut bastie". Une arcade aujourd'hui murée, faisait communiquer la sacristie avec le chœur. les comtes de Poilley avaient un droit d'enfeu dans le chœur (3). On voit au haut de la nef une pierre tombale chargée d'un écusson mutulé et gravée en majuscules romaines des mots : " ci-*git ... Charles Escuyer Sr de la Céhardière ... 1682; Pries Dieu pour luy". Il convient de signaler un bénitier octogonal orné d'un mascaron.

Le recteur de Monthault, Mr Picou, était en 1790 mieux partagé que l'archidiacre : il levait toutes les dîmes de sa paroisse, grains, chanvres et lins, à la onzième gerbe, il estimait le tout 2 400 livres de rente ; il jouissait, en outre, d'un presbytère avec cour et jardin et d'une pièce de terre nommée la petite-aumône, ce qui lui rapportait 54 livres ; c'était donc un revenu total de 2 454 livres. sur cette somme il fallait payer, il est vrai, la pension de son vicaire 350 livres, les décimes 180 livres, la rente due à l'archidiacre 6 livres 2 s., et l'entretien du presbytère et du chanceau 130 livres. de sorte qu'il déclarait n'avoir de revenu net que 1468 livres. À la même époque la fabrique de Monthault avait environ 100 livres de rente.

Le recteur Mr Desgranges, fit en 1714 édifier le clocher, et de 1724 à 1728 bâtir deux chapelles formant transepts. Puis en 1734 il releva tout le bas de la nef et plaça sur la façade l'inscription suivante : "Donné par Mr F Desgranges, recteur de céans 1734", parce qu'il fit tous ces travaux à ses frais. Il fit encore paver l'église en 1748 et la dota d'une horloge achetée 200 livres.

Mr François Julien Tropee, né à Dol le 24 juillet 1799, vicaire de Redon, diocèse de Rennes, a été nommé recteur de Monthault le 5 décembre 1834 par Mgr Louis de Lesquen, évêque de Rennes et installé avant la messe paroissiale à l'église de cette paroisse le dimanche 14 décembre par Mr Goltais, curé de Louvigné-du-Désert, en présence de Mr Casimir Tropee, vicaire à Saint-Léonard de Fougères et frère du recteur, en présence aussi d'un grand nombre de paroissiens et de fabriciens, dont le bureau a signé le procès-verbal d'installation envoyé aussitôt à Mgr l'Évêque de Rennes pour avoir droit dès ce jour, aux mandats de payement comme recteur. En 1840 lui a succédé Mr Joseph Deniiaux, jusqu'en 1849...

Le baron de Fougères était seigneur supérieur dans l'église de Monthault, mais le comte de Poilley y jouissait du droit de fondation et des autres prééminences, y ayant un banc dans le chanceau et le droit d'y ouvrir un enfeu. Aussi plaça-t-il ses armoiries dans les chapelles que l'on construisit au siècle dernier.

Le cimetière possédait une croix très élevée.

Le Bourg, on y voit de nombreuses maisons anciennes. L'une d'elles possède une tourelle et une porte accostée de pilastres et surmontée d'un linteau sculpté.

Route de Saint-Martin de Landelle, l'ancien Menhir de la Pierre de fées, avait dit-on 5 mètres de hauteur (4). Il se trouvait près du village de la grande Louvière, à 1 km du bourg, à l'ouest de la route.

Route rejoignant celle de Mellé à Louvigné du désert, l'ancien Manoir de la Chalopais, à 700 m du bourg et à 100 m, à l'ouest de la route. Il était au Cochard sieurs de la Cochardière en 1632, et aux Poullain sieurs de la chevalerie en 1789 (5).

Route de Louvigné du désert, on trouve le Moulin des châteaux, à 1 km du bourg et 600ml à l'ouest de la route. Près de l'ancien étang des châteaux, on trouve deux grosses mottes en parties détruites (6), l'une d'elles existe encore très réduite en hauteur, la plus petite était appelée le redoute (7).

On monte aux Bruyères, à 2 km au sud-est du bourg, près du bois Viel, une pierre branlante nommée "la Roche qui branle ou Roche au moine" (8). L'ancien manoir du Bois Viel se trouve près d'elle (9).

Route vers le nord-ouest, à 1 km du bourg et à 400ml à l'est de la route, plusieurs pierres à bassins dites "pierres à écuelles" sont visibles. Elles sont en granit. La pierre principale mesure 7 mètres de long, 5 m de large, on y voit onze bassins de 0,30 m à 0,50 m de diamètre, huit sont reliés les uns aux autres par des rigoles. Autour de ce bloc s'en trouve trois autres portant chacun des bassins, et deux autres n'en portant qu'un (10).

Près de la pierre écriante, sur laquelle les jeunes filles vont écrier, c'est-à-dire glisser, pour obtenir un prochain mariage (11).

Sur cette route, on trouve l'ancien manoir de la Bruyère, à environ 1100 m du bourg (12).

On rencontre sur le même rocher une petite chapelle édifiée en 1696-1698 et reconstruite en 1825 et 1877 (13).

L'ancienne chapelle avec le terrain qui en dépend, le donateur en ayant fait l'acquisition pendant la révolution et qui fut régulièrement acquitté :"Propose que la nouvelle chapelle avec le terrain limité par quatre bornes, soit concédé à la fabrique, pour en avoir l'usufruit, qui doit augmenter sensiblement ses ressources".

Le conseil, vu l'exposé de Mr le Maire et l'acte de donation considérant que tous ces sacrifices (de reconstructions) n'ont été fait que pour l'exercice du culte et qu'il ne s'oppose pas que la dite chapelle ainsi le terrain aujourd'hui délimité par bornes en granit œuvré, appartiennent à la Fabrique pour en recueillir tout l'usufruit provenant des troncs et des donations, à la condition formelle qu'elle prenne l'engagement d'entretenir la dite chapelle, telle qu'elle est ainsi que son ornementation, de conserver scrupuleusement tous les vitraux, ainsi que toutes les inscriptions attachées à la chapelle, afin qu'aucun des principaux bienfaiteurs et leurs familles ne puissent en être froissés et que tous les engagements soient acceptés par le conseil de fabrique et approuvés par l'autorité diocésaine.

Signé  : Lesaint (Maire), Duhamel (adjoint), Gérard, Guermond, Couesnon, Robillon, Boivent, Cornet, Lesaint (conseillers).

la Chapelle du Rocher.

En 1877, Mr Suppliegean, alors recteur de Monthault voyant la Chapelle du Rocher en mauvais état, résolut de la reconstruire, grâce à la générosité de plusieurs personnes, entre autres de Mr Pontais, propriétaire à Saint-Hilaire-du-Harcouet (Manche). La chapelle fut reconstruite entièrement sur des proportions plus grandes que l'ancienne, avec une tour surmontée d'une belle statue, des vitraux joints, un autel en marbre blanc, orné de chandeliers dorés rendent belle la nouvelle chapelle.

Avant de donner la permission de bénir la nouvelle chapelle et d'y célébrer la messe, Mr Place, successeur de son Éminence Cardinal saint Marc de vénérable mémoire exigea de Mr l'Abbé Morand recteur de Monthault.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
 ?  ? Michel Surbled - Expert géomètre
 ?  ? Martial Petit - -
 ?  ? François Surbled - agriculteur
 ? 1994 Francis Dandin - agriculteur
1994 mars 2001 Roger Coudray - -
mars 2001 en cours Roger Buffet[2] DVD Agriculteur
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[3])
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
387 452 387 338 293 249 249

Lieux et monuments

  • Le monument aux morts

À nos Héros : Ils furent nombreux ceux qui restèrent au champ de bataille.

1914 : F BEREL, L MORAZIN, A BARBEDETTE, L RETE.
1915 : H PONT, L BIGOT, P COUASNON, A BEREL, L LANGLOIS
1916 : JM DUBOIS, P PRUDHOMME, G ROUSSEL.
1917 : A DESPAS, J COHIN, L LEROUX, G PREAUX.
1918 : A BARON, P LANGLOIS, G MAHE, J THOMAS, L JAMET, V LAMBERT, A BARBEDETTE, V BOIVENT.
1942 : V.BOIVENT, A. GUENEE.
1943 : J. COIRE.
1956 : P.GUERIN.
1960 : M. COQUEMONT.

  • La Chalopais : Ancien Manoir de la "Chalopais", il est situé à 700 m du bourg et à 100 m à l'Ouest de la route. Il était aux COCHARD sieurs de la COCHARDIERE en 1682 et aux POULLAIN sieurs de la Chalopais de la CHEVALLERIE en 1789. (Référence : Histoire, archéologie et monuments du département d'Ille-et-Vilaine par Paul BANEAT).

Le 11 novembre 1742, M Jacques-Guy POULAIN et Dame Léonore Marguerite COCHARD, son épouse, anciens propriétaires et habitants de cette maison fondèrent à perpétuité, par devant notaire, pour les pauvres de cette paroisse , une rente de 50 livres pour chaque année. Les descendants de cette famille firent en 1801 devant notaire au maire de Monthault, une reconnaissance de cette rente qui a été payée chaque année, mais comme la loi du 15 Pluviose de l'an 4 de la République (4 février 1796) a établi la diminution du cinquième sur les rentes perpétuelles fondées avant cette époque, cette somme annuelle, par la suite de cette loi qui a eu son exécution le 1er vendémiaire de l'an 5 (22 septembre 1796) a été réduit à 40 livres, et comme les francs ont été substitués aux livres, ces 40 livres ont été réduites à 39.50 francs environ un liard par franc de diminution.

La Chalopais dont la terre a été vendue nationalement à la Révolution. La maison principale n'était plus entretenue.

A la fin du XIXe siècle, le comte de la Riboissière de Louvigné du désert démolie partiellement le manoir et en fait une exploitation modèle.

Personnalités liées à la commune

  • l'Abbé Mancel.

Article parut dans Ouest-France du 10 octobre 1979 écrit par Bernard HEUDRE. l'abbé MANCEL, vicaire à Monthault, pionnier du syndicalisme agricole. Dans les années précédant la guerre 14-18, la petite paroisse de Monthault eut pour vicaire l'un des hommes marquants de l'histoire du monde rural dans la première moitié du XXe siècle. L'abbé Mancel faisait partie de ces prêtres démocrates qui avaient pris au sérieux l'appel au ralliement à la république lancé par Léon XIII en 1890. De la même famille d'esprit, nous trouvons dans le département l'abbé Trochu, fondateur de Ouest-Éclair, l'abbé Geffraud, collaborateur de ce journal sous le pseudonyme de Grindorge, l'abbé Bridel, l'initiateur d'une prise de conscience du monde ouvrier à Fougères, et bien d'autres. À travers la France ces prêtres commençaient à représenter une force réelle et se reconnaissaient plus ou moins dans la figue de proue de l'abbé Lemire, député d'Hazebrouck depuis 1893.

  • Georges COQUEMONT est mort le 9 février 1989 à Ambronais (Ain). il avait 46 ans. Né dans une famille très modeste à Monthault, Georges COQUEMONT, qui était handicapé moteur, a consacré toute sa vie à aider ses frères de misère. Après de brillantes études, il travailla à Reims Aviations jusqu'en 1974, date à laquelle il subit une très grave opération du cœur qui mit fin à son activité salariée. Père de cinq enfants et divorcé, il devait se remarier peu après et s'installer dans la région lyonnaise. Après avoir raconté ses épreuves dans un livre publié en 1981, il consacra tout son temps à écrire des livres pour enfants et à défendre les intérêts de l'Association de défense des Handicapés dont il devait l'an dernier devenir le délégué départemental. Ses amis conserveront de lui l'image d'un homme courageux, chaleureux et attachant. Il a été inhumé le 11 février 1989 à Ambronais.

Voir aussi

Bibliographie

  • Roger Leveque, revue Notre Pays, Louvigné du Désert.

Notes et références

Liens externes


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Monthault de Wikipédia en français (auteurs)

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