Mythologie aztèque

Mythologie aztèque
Le monolithe appelé Pierre du Soleil ou Calendrier aztèque est une synthèse de la cosmogonie aztèque (salle mexica du Musée national d'anthropologie de Mexico).
Coyolxauhqui, déesse de la lune.

La mythologie aztèque (ou mythologie mexica) est l'ensemble des mythes sur lesquels était basée la religion aztèque.

Elle partage de nombreux éléments d'autres anciennes mythologies mésoaméricaines mais elle s'en distingue en particulier par la place prépondérante du dieu tribal originel (selon affirme le Codex de Florence) des Mexicas, Huitzilopochtli, dieu de la guerre et du soleil[1], dont les Aztèques se considéraient comme le peuple élu, chargé d'assurer la marche du soleil en le nourrissant par les sacrifices. Ce sentiment avait été renforcé par la réforme sociale et religieuse de Tlacaelel sous le règne des empereurs Itzcoatl, Moctezuma Ier et Axayacatl au milieu du XVe siècle.

Outre la croyance en ce dieu principal, la mythologie aztèque, comme toutes les autres mythologies amérindiennes, se caractérise par un polythéisme illimité et strictement fonctionnaliste, c’est-à-dire que les dieux, voués à la conservation du monde, sont affectés à des tâches précises d'assistance aux hommes.

Contrairement aux philosophies moralisatrices, la mythologie aztèque n'est pas basée sur la problématique du paradis et de l'enfer ou du bien et du mal. De même que les autres mythologies mésoaméricaines, elle s'articule autour d'une dualité universelle, la vie et la mort incarnant deux pôles complémentaires plutôt qu'opposés de l'existence humaine et de la création.

Sommaire

Cosmogonie aztèque

Coatlicue (Tonatzin, Toci, Teteoian, Teotenantzin) « celle qui porte une jupe de serpents » est la mère de Huitzilopochtli (selon le Codex de Florence), et la déesse de la terre et de la fertilité. Elle est la mère des dieux.
Chalchiuhtlicue, déesse de l'eau, elle est l'épouse de Tlaloc.

Création du monde

Selon la mythologie aztèque, au commencement du monde, tout était noir, sans vie, mort[2]. Les dieux se réunirent àTeotihuacan en se posant la question de qui aurait la charge d'éclairer le monde. Deux dieux proposent leur candidature puis l'un d'eux, appelé Tecciztecatl (celui de la conche), recule devant le brasier où il était nécessaire de se jeter: il devint la Lune. Le second, un petit dieu humble et pauvre appelé Nanahuatl (Le bubonneux), sans doute faut-il y voir une métaphore du peuple aztèque à ses débuts, se jette sans hésiter dans le brasier et devient le Soleil. Mais les deux astres restent inertes dans le ciel il est indispensable de les nourrir. Alors les autres dieux décident de se sacrifier et de donner l'« eau précieuse » (chalchiuatl) qui est nécessaire, à savoir le sang. Cela explique l'importance des sacrifices humains dans la religion aztèque, les hommes étant contraints de réitérer éternellement le sacrifice divin originel[2].

Légende des soleils

Article détaillé : Légende des soleils.

Les dieux, selon les croyances aztèques ont successivement créé plusieurs mondes, chaque fois anéantis.

Le premier, formé sous un Soleil d'escarboucles (Autre nom du rubis, pierre précieuse d'un rouge vif), disparut dans des cataractes torrentielles; les quelques êtres humains qui survécurent devinrent des poissons. Le deuxième monde, constitué sous un Soleil de feu, fut détruit par des jets de flammes, et les hommes furent changés en divers animaux[3]. Le troisième monde, né sous un Soleil noir, fut englouti à la suite d'un tremblement de terre, et les hommes furent dévorés par les bêtes sauvages. Le quatrième monde, apparu sous le Soleil de l'air, s'acheva par la métamorphose des hommes en ouistitis. Enfin, un cinquième monde fut créé, qui connut le déluge universel Apachiohualiztli[4] : seuls un homme et une femme parvinrent à gagner le sommet de la montagne et évitèrent l'extermination ; ils repeuplèrent la terre ; la terre telle que devait la connaître et la travailler le peuple aztèque[3].

Selon une version[5], les cinq soleils furent :

  • Tlatonatiuh « Soleil du jaguar » Nāhui-Ocēlōtl « Quatre-jaguar ». Les hommes furent dévorés par les jaguars, symboles de Tezcatlipoca.
  • Ehecatonatiuh « Soleil de vent » Nāhui-Ehēcatl « Quatre-vent ». Quetzalcoatl, dieu du vent et rival de Tezcatlipoca, fit souffler une tempête magique et les hommes furent métamorphosés en singes.
  • Tletonatiuh « Soleil de feu » Nāhui-Quihahuitl « Quatre-pluie ». Tlaloc, dieu de la pluie bienfaisante mais aussi dieu terrible de la foudre, détruisit cet univers en le submergeant sous une pluie de feu.
  • Atonatiuh « Soleil d'eau » Nāhui-Ātl « Quatre-eau ». Placé sous le signe de Chalchiuhtlicue, il s'acheva en un déluge de 52 ans. Un homme (Cocox) et une femme (Xochitl) furent sauvés mais, ayant désobéit à Tezcatlipoca, ils furent transformés en singes.
  • Nāhui-Ollīn « Quatre-tremblement de terre » est le cinquième et dernier soleil et il doit s'effondrer dans des séismes. Les Tzitzimime, monstres squelettiques qui hantent à l'occident les marches de l'univers, anéantiront l'humanité. Rien ne garantissait le retour du soleil et des saisons aussi la mission des Aztèques consistait a repousser l'assaut du néant. Ils fallait fournir au Soleil et aux autres divinités "l'eau précieuse".

Selon une autre version, le Codex Vaticanus A, les cinq soleils furent : Matlactli Atl, Ehecoatl, Tlequiyahuillo, Tzontilic, Ollin Tonatiuh.

Création des hommes

Chicomecoatl, la déesse de l'agriculture

Quetzalcoatl, sous la forme de Xolotl le "Dieu-chien", alla dérober aux enfers de Mictlantecuhtli, les ossements desséchés des morts et les arrosa de son sang pour leur donner vie aux hommes.

Conception de la mort

Selon les croyances aztèques, les guerriers morts au combat ou sacrifiés se rendaient au ciel oriental près du Soleil puis revenaient sous forme d'un papillon ou d'un colibri au bout de quatre ans[6],[7]. Mais les gens du commun n'échappait pas au Mictlan et disparaissaient après un voyage difficile de quatre ans[6],[8]. Les noyés allaient au tlalocan, « paradis » du dieu de la pluie Tlaloc[8].

Sacrifices humains

Selon la mythologie aztèque, le sang humain (l'« eau précieuse ») était nécessaire au dieu soleil Huitzilopochtli pour pouvoir continuer à exister. Les sacrifices humains étaient donc courants. On sacrifiait également en l'honneur d'autres dieux. Le sacrifice concernait principalement les prisonniers, mais il pouvait également s'agir de volontaires. En effet, selon leur croyance, la vie qui les attendait dans l'autre monde dépendait non de leurs actions sur terre mais de leur trépas ; or, les deux morts considérées comme les plus glorieuses étaient le sacrifice et la mort au combat. Cependant, certains dieux comme Quetzalcoatl, s'opposaient au sacrifice des humains.

Divinités

Dans le polythéisme aztèque, les dieux étaient souvent hérités d'autres cultures : les Aztèques assimilaient en effet tous les dieux des peuples qu'ils vainquaient; Par exemple le dieu de la fertilité, Xipe-Totec, était vénéré par les Yopi (le nom nahuatl du peuple tlapanèque. Tezcatlipoca et Quetzalcoatl étaient déjà l'objet d'un culte par des civilisations plus anciennes de Mésoamérique et furent adorés par différentes cultures sous différents noms. Si certains de ces dieux avaient des caractéristiques incompatibles avec les leurs, ils se contentaient de lui rendre un culte dans des temples particuliers[9] : à Tenochtitlan, il s'appelait Coacalco, la maison du serpent.

Concept de teótl

Le concept de Teótl est au cœur de la mythologie aztèque. Ce mot nahuatl, que l'on pourrait traduire par « dieu », renvoie en fait à une conception plus large : le teotl serait une énergie dynamique et immatérielle de la divinité, un peu à la manière du Mana polynésien[10]. La nature véritable du Teotl est l'une des questions les plus débattues par les historiens. Il permet de comprendre la chute de l'Empire aztèque: l'empereur Moctezuma II pensait en effet que Cortés et les conquistadores étaient des Teotl, non comme de véritables dieux, mais comme des phénomènes mystérieux et inexplicables. Il est possible de regrouper les dieux aztèques en différentes catégories : les dieux en relation avec la nature, avec les échanges, etc. H. B. Nicholson (1971) distingue trois groupes principaux: le premier est celui de la création et du paternalisme divin (Ometeotl, Omecihuatl, Tezcatlipoca, Xiuhtecuhtli). Le deuxième est en rapport avec la pluie, l'agriculture et la fertilité (Tlaloc, Centeotl, Xipe-Totec). Le troisième groupe est celui de la guerre et des sacrifices (Ome-Tochtli, Huitzilopochtli, Mictlantecuhtli, Mixcoatl).

Panthéon

Xochipilli, le dieu de l'amour.

Au commencement, il y avait l'Omeyotl, (appelé aussi Ilhuicateotl « dieu céleste »[11], Moyocoyan « celui qui est inventée et pense en lui-même », Tloque Nahuaque « celui qui a tout », Ipalnemohuani « dieu du voisinage immédiat »), dieu de la dualité, qui s'est divisé en deux divinités[12] appelées Ometecuhtli (l'essence masculine du dieu créateur) et Omecihuatl (l'essence féminine du dieu créateur)[13].

  • Ne confondre aux divinités par les activités sacrées, outils, coadjuteurs et vocables.
  • En beaucoup d'occasions les suffixes des prénoms aztèques sont échangés "Lli", "Li", "Tl", "Tli", "Tlli".
  • D'égale façon, les initiales des prénoms aztèques sont changés "Ch", "C", "Qu", "X", "K", "Z".

Liste des personnages par ordre généalogique


Annexes

Notes et références

  1. Selon le Codex de Florence
  2. a et b Mireille Simoni 2002, p. 645
  3. a et b (es) Cecilio Agustín Robelo, Diccionario de Mitología Nahua, México, Biblioteca Porrúa. Imprenta del Museo Nacional de Arqueología, Historia y Etnología, 1905, 125, 126, 127, 128, 129, 130 p. (ISBN 978-9684327955) 
  4. Adela Fernández, Dioses Prehispánicos de México, México, Panorama Editorial, 1998, 21 p. (ISBN 968-38-0306-7) 
  5. Primo Feliciano Velázquez, Códice Chimalpopoca. Anales de Cuauhtitlán y Leyenda de los Soles, México, Instituto de Investigaciones Históricas, 1975, 161 p. (ISBN 968-36-2747-1) 
  6. a et b Jacques Soustelle 2003, p. 74.
  7. Paul Hosotte 2001, p. 183.
  8. a et b Paul Hosotte 2001, p. 182.
  9. Mireille Simoni 2002, p. 646.
  10. Mary Miller, Karl Taube, The Gods and Symbols of Ancient Mexico and the Maya, 1993, Londres, Thames and Hudson, ISBN 0-500-05068-6, p.89
  11. Patricia Turner and Charles Russell Coulter, Dictionary of Ancient Deities, United States, Oxford University Press, 2001, 608 p. (ISBN 0-19-514504-6) 
  12. Adela Fernández, Dioses Prehispánicos de México, México, Panorama Editorial, 1998, 162 p. (ISBN 968-38-0306-7) 
  13. Otilia Meza, El Mundo Mágico de los Dioses del Anáhuac, México, Editorial Universo México, 1981, 153 p. (ISBN 968-35-0093-5) 
  14. Appelé aussi Omeyotl, Ilhuicateotl, Tloque, Tloque-Nahuaque, Ipalnemohuani, Moyocoyan
  15. Appelé aussi Tonacatecuhtli, Ometeoltloque, Ometecutli, Citlatonac
  16. Appelée aussi Tonacacihuatl
  17. Appelé aussi Ometecuhtli
  18. Appelée aussi Omecihuatl
  19. Appelé aussi Yayauhqui-Tezcatlipoca, Yaotl, Yoaltecuhtli, Tliltecuhtli, Tlacanexquimilli, Omacatl, Titlacauan, Teonexquimilli, Teoxonecuilli, Tlacatecolotl, Tlacanexquimilli,
  20. Appelé aussi Xipe, Totec, Tlatlauhqui-Tezcatlipoca, Tlatlauhcatezcatlipoca, Camaxtle, Camaxtli, Oxipe, Teteucxipe
  21. Appelé aussi Iztauhqui-Tezcatlipoca, Quetzalcoatl-Ehecatl
  22. Appelé aussi Yaotecuhtli, Yaotzin, Uitzilopochtli, Inaquizcaotl, Omiteotl-Inaquizcaotl, Teoyaotlatohua, Mextli, Mexitl, Tetzauhteotl
  23. (es) Cecilio Agustín Robelo, Diccionario de Mitología Nahua, México, Biblioteca Porrua. Imprenta del Museo Nacional de Arqueología, Historia y Etnología, 1905, 112, 113, 114, 115, 116, 117, 118, 119, 120, 121, 122, 123 p. (ISBN 978-9684327955) 
  24. Appelé aussi Nanaoatzin
  25. Appelé aussi Tecuciztecatl
  26. Appelé aussi Teotlalli, Teotlatle
  27. Selon quelques sources Cinteotl fut est fils de Tlalcihuatl et Tonatiuh
  28. Appelée aussi Yoztlamiyahuatl
  29. Fils de Chimalman et Mixcoatl selon le Codex Chimalpopoca.
  30. Appelé aussi Cuaxolotl
  31. Appelé aussi Itztlacoliuhqui, Tlahuixcalpantecuhtli, Tlahuizcalpantecutli.
  32. Appelé aussi Coatlantonan (Atlatonan, Atlatonin), Tonantzin, Tititl, Teteoinnan, Teotenantzin, Tlaliyolo, Quilaztli, Teteo-Innan, Cochimetl
  33. Fils de Coatlicue et Mixcoatl selon le Codex de Florence, le dieu tribal originel des Mexicas.
  34. Appelée aussi Metztli, Metzi
  35. Appelée aussi Chalchiuhcihuatl, Chalchiuhtlatonal
  36. Appelée aussi Acuecueyotl, Acuecucyoticihuati, Ahuic, Apozonalotl, Atl (eau), Atlacamani (orages), Ayauh, Ayauhteotl (brouillard), Xixiquipilihui
  37. Appelé aussi Tlaloccantecutli, Tepeyolotli
  38. Tlamacazques
  39. Appelé aussi Tota, Xiuhtecutlitletl, Atecaltzin, Ayauhmictlan
  40. Appelée aussi Chantico
  41. Appéle aussi Cipactli
  42. Dieu selon le Codex Borbonicus
  43. Appélee aussi Ozomoco
  44. Déesse selon le Codex Borbonicus
  45. Dieu protecteur des infants
  46. Selon quelques sources Cinteotl fut le fils volé de Xochiquetzal et Piltzintecutli, qui fut enterré par les dieux
  47. Selon quelques références Patecatl est le père des Centezontotchtin
  48. Selon quelques références Mayahuel est la mère des Centezontotchtin
  49. Appéles aussi Totochitl
  50. Selon quelques références Tezcatzoncatl est le père des Centezontotchtin
  51. Appelé aussi Yacacoliuhqui, Yacahuitztli
  52. ses frères ont été Chiconquiavitl (Chiconquiahuitl), Xomocuitl, Nacxitl (Acatl), Cochimetl, Yacapitzahua (Yacapitzaoc), Chalmecacihuatl
  53. Appelé aussi Atlacoya
  54. Dévoreur d'immondices
  55. Appelé aussi Chalmecateuctli, Chalmecatecuchtli, Atlaua (allusion), Tzontemoc (allusion), Mictlan, Mictlantli, Tlalchitonatiuh, Acolmiztli, Acolnahuacatl, Acolnauhacatl « 4 cannes dans l'épaule »
  56. Appelée aussi Chalmecatl, Chalmecacihuatl, Mictlancihuatl, Mictecacioatl, Chalmecacihuatl
  57. Appelé aussi Ixpuxtlequi, Nexoxcho, Nextepehua, Miccapetlacalli, Miquixtli, Miquiztli
  58. Appelé aussi Ixicuau
  59. Appelé Nextepelma
  60. Appelée aussi Micapetlacoli
  61. Appelé aussi Macuilxochitl, Chicomexochtli
  62. Appelée aussi Xochiquetzalli, Ixnextli
  63. Appélee aussi Xilonen, Cinteotl, Centeotl-tecutli, Centeotl-cihuatl, Iztaccenteotl, Tlatlauhquicenteotl, Xoxouhquicenteotl, Centeotlcihuatl, Centeal, Cexochitl, Chiutcoatl, Tonacajoha, Tzinteotl
  64. Appélee aussi Yayauhquicinteotl
  65. Appelé aussi Anahuacitecu, Iztacmixcoatl, Ixtacmixcoahuatl, Camaxtle
  66. Appelé aussi Tlalocaiutl
  67. Appelé aussi Mictlampachecatl
  68. Appelé aussi Cihuatlampaehecatl
  69. Appelé aussi Huitztlampaehecatl
  70. Appelée aussi Citlalcueye, Citlalincue
  71. Appelé aussi Citlalatona, Citlalato
  72. Appelée aussi Citlalnima
  73. Appelé aussi Ilancueitl, Ilamatecutli, Teoyaomicqui, Quilaztli, Tonantzin, Tititl, Cihuacohuatl, Teoyaominqui, Xilonen, Yaocihuatl, Teoyaomqui, Tetzauhcihuatl, Tezauhcihuame
  74. Fils de Ilancueitl et Iztacmixcoatl
  75. Appelé aussi Ixtlilxochitl, Tlaltetecuin, Chicahualizteotl
  76. Appelé aussi Tepeyolotli
  77. Ne pas confondre Xiuhtecuhtli
  78. Appelé aussi Amimitl
  79. Cette déesse était humaine mais a été déifiée par Huitzilopochtli
  80. Appelée aussi Tetevinan, Teteoinnan, Tlalli-iyollo, Yoaltizitl, Temazkaltezi, Ziuateotl, Tocitzin, Tocicuahuill, Temazcalteci
  81. Appelé aussi Macuiltonaleque, Macuil-tonaleque
  82. Appelées aussi Cihuapipiltin, Macihuaquezque, Mocihuaquetzque
  83. Appelé aussi Itzli
  84. Appelée aussi Itzli
  85. Messager de Huitzilopochtli

Bibliographie

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  • (es) Baéz-Jorge, Félix (1988). Los oficios de las diosas. México: Universidad Veracruzana.
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