On va s'gêner

On va s'gêner
On va s'gêner
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Présentateur(s) Laurent Ruquier
Pays Drapeau de France France
Langue Français
Diffusion
Station Europe 1
Création 1999
Horaires du lundi au vendredi,
de 15h30 à 18h00
Rediffusion le samedi et le dimanche de 16h00 à 18h00
Podcasting www.europe1.fr
Site web ruquier.europe1.fr

On va s’gêner est une émission de radio quotidienne diffusée sur Europe 1 depuis 1999 et dirigée par Laurent Ruquier, accompagné d’une équipe tournante de chroniqueurs qui commentent l’actualité sur un ton plutôt libre.

Auparavant d'une durée d'une heure et demie, l'émission s'est allongée pour durer 2 heures (de septembre 2006 à la saison 2008 - 2009). Lors de la saison 2009-2010, l'émission est diffusée, toujours sur Europe 1, de 16 heures à 18 heures 30. Depuis septembre 2010, l'émission est diffusée, sur la même station, de 15 heures 30 à 18 heures. L'émission est diffusée en Belgique sur la radio Twizz.

Sommaire

Historique

Première formule

L'émission débarque sur les ondes d'Europe 1 à l'automne 1999. Laurent Ruquier se donne pour mission de commenter l'actualité entouré de différents chroniqueurs. L'émission devait à l'origine s’appeler Ça l'fait. Mais le nom ayant été déposé par Arthur avant, Laurent Ruquier a dû trouver un autre nom, On va s'gêner[1]. Le mercredi est à l'origine consacré à l'actualité culturelle. Laurent Ruquier retrouve certains de ses camarades côtoyés dans Rien à cirer qu'il animait de 1991 à 1996 sur France Inter tels Christophe Alévêque ou Jacques Ramade. Il leur adjoint les services d'intellectuels qui se révèleront de brillants humoristes : Philippe Tesson, Isabelle Alonso, Pierre Bénichou, Claude Sarraute ou encore Gérard Miller rejoignent l'équipe au début des années 2000. En parallèle, certains chroniqueurs de l'émission sont embauchés pour participer à l'émission télévisée phare que Laurent Ruquier animera de 2000 à 2007 sur France 2, On a tout essayé. En 2002, Jérôme Bellay, président d'Europe 1, accuse On a tout essayé de cannibaliser l'audience de On va s’gêner[2]. Le rendez-vous quotidien rue François Ier reste néanmoins incontournable pour les membres de la bande qui, autour des commentaires sur l'actualité, n'hésitent pas à raconter leurs déboires, leur quotidien et à donner leur avis sur les différents livres, films ou disques à la mode.

L'âge d'or du show, selon Laurent Ruquier lui-même, est atteint en 2001 lorsque pendant plusieurs mois se sont croisés Jean Yanne et Jacques Martin, anciens pensionnaires des Grosses Têtes de RTL[3], l'émission concurrente. Au fil des années, les audiences d'On va s'gêner augmentent mais restent inférieures à celle des Grosses Têtes[4],[5]. En 2000, et alors qu'il avait été remplacé par Christophe Dechavanne, l'icône historique des Grosses Têtes Philippe Bouvard participe lui-même quelques semaines en tant que chroniqueur à l'émission de Ruquier[6] avant de retrouver son fauteuil rue Bayard[7].

En juin 2004, l'émission a failli s'arrêter[8].

Ruquier attache, depuis les premières heures de l'émission, une importance primordiale aux jeunes humoristes qu'il tente de lancer en les invitant autour de la table : Franck Dubosc, Jean-Luc Lemoine, Mustapha El Atrassi ou Mamane croisent, à leurs débuts, dans le même studio des humoristes confirmés comme Jean-François Dérec, Isabelle Mergault, Jacques Ramade ou Jean-Marie Bigard. La diversité des activités et des opinions politiques des différents chroniqueurs offre un savoureux mélange des cultures : ainsi, on y retrouve des humoristes (Franck Dubosc, Philippe Geluck ...), des comédiens ou réalisateurs (Patrice Leconte, Isabelle Mergault, Michèle Bernier...), des sportifs (Vikash Dhorasoo...), des candidats de télé-réalité (Steevy Boulay, Eve Angeli ...), des journalistes (Christine Ockrent, Philippe Tesson, Claude Sarraute ...) voire des hommes politiques (Stéphane Pocrain, Roger Karoutchi...).

Deuxième formule

Initialement programmée de 16h30 à 18h, On va s'gêner est prolongé d'un demi-heure en janvier 2007 commençant dorénavant à 16h. Le concept change également puisque les chroniqueurs ne commentent plus simplement l'actualité mais répondent à des questions que leur pose l'animateur principal et tirées des différents journaux du jour (Quiz Actu)[9].

En mai 2007, il est question d'un arrêt de l'émission[5], Laurent Ruquier souhaitant se consacrer à ses activités à la télévision et dans l'écriture pour le théâtre. Proche de rejoindre RTL, il rempile finalement sur Europe 1 après de nombreuses discussions avec le patron de la station, Jean-Pierre Elkabbach, contentant un million d'auditeurs fidèles[10].

À partir de 2008, Laurent Ruquier fait le choix de recentrer son équipe autour de chroniqueurs quasi quotidiens alors que, jusque-là, la bande tournait régulièrement. Ainsi, Jérémy Michalak, Fabrice Eboué et Titoff[11] sont présents tous les jours. Plus ou moins régulièrement, les chroniqueurs historiques Pierre Bénichou, Christine Bravo, Steevy Boulay, Philippe Geluck, Claude Sarraute et Gérard Miller continuent de participer à l'émission. Les autres (Isabelle Mergault, Isabelle Alonso, Franck Dubosc, Christophe Alévêque, Jean Benguigui, Annie Lemoine ...) ne participent plus qu'exceptionnellement. Sur la période 2008/2010, et hormis ceux cités plus haut, Caroline Diament, Jérôme Bonaldi, Philippe Alfonsi, Isabelle Motrot, Michèle Bernier, Arnaud Lemort, Eve Angeli, Danièle Evenou, Philippe Tesson, Vikash Dhorasoo et Charlotte de Turckheim sont les chroniqueurs les plus réguliers. En 2008, l'émission est également élue "meilleure émission de divertissement de la radio" par le magazine France-Savoir.

La rentrée 2009 est marquée par l'arrivée d'Olivier de Kersauson[12].

Cette nouvelle formule est une réussite avec une hausse de l'audience : au printemps 2009, l'émission enregistre « son meilleur niveau depuis cinq ans »[13]. Les nouveaux chroniqueurs comme Fabrice Eboué ont apporté un souffle nouveau au programme et un ton autrement plus libre que celui des Grosses Têtes, toujours programmée sur la même tranche horaire. Hormis les différentes chroniques (voir ci-dessous) et le ton particulier employé, le succès de l'émission se fonde également sur des récurrences qui offrent à l'auditeur un point de repère quotidien comme si celui-ci retrouvait une bande d'amis : le surnom de "Joujou" dont est affublé Jérémy Michalak[14], les références quotidiennes de Fabrice Eboué au criminel Guy Georges, le manque de ponctualité de Titoff jusque début 2010, les assoupissements (et réveils) de Pierre Bénichou, mais aussi les anecdotes que Claude Sarraute répète à chaque émission, ou la présence dans le public de l'émission de la fidèle auditrice Danièle.

À la rentrée 2009, l'émission est prolongée d'une demi-heure, étant maintenant diffusée de 16h à 18h30. Lors de la dernière demi-heure, les chroniqueurs doivent découvrir l'invité mystère en lui posant des questions. Une prolongation qui permet à l'émission de gagner de nouveaux auditeurs[15].

À la rentrée 2010, l'émission change d'horaire, étant dorénavant proposée de 15h30 à 18h. La partie L'invité mystère a lieu de 17h30 à 18h. Ce changement s'explique par le fait que Laurent Ruquier présente dorénavant une émission sur France 2 de 18h à 19h (On n'demande qu'à en rire).

Saisons 2010/2012 : déroulement et chroniqueurs

Après avoir présenté ses chroniqueurs du jour, Laurent Ruquier lit quelques e-mails des auditeurs s'adressant le plus souvent aux chroniqueurs présents (au nombre de 5 ou 6). Ensuite plusieurs auditeurs passent à l'antenne pour réagir à l'émission de la veille. Ensuite, l'animateur commence à poser des questions sur l'actualité, prenant parfois au téléphone un invité.

Après les flashes de 16h et de 17h a lieu Le Challenge des auditeurs (5 à 10 minutes) où deux auditeurs (un homme et une femme) affrontent les chroniqueurs présent. Le gagnant du jeu remporte des voyages.

Vers 17h20 ont lieu les différentes chroniques qui peuvent différer selon les jours : le challenge Paul Wermus qui tente de répondre, suite à deux heures d'enquête, à 4 ou 5 questions posées en début d'émission par l'animateur, la chronique cinéma d'Isabelle Motrot et de Monique Pantel ou les objets incroyables de Jérôme Bonaldi. À partir de 17h30, les chroniqueurs tentent de percer l'identité d'un invité mystère caché dans une loge jouxtant le plateau et dont la voix est informatiquement déformée.

Diverses personnalités ont rejoint la bande lors de cette rentrée 2010 : l'animateur radio de la matinale de Virgin Radio Florian Gazan, le spécialiste cuisine Jean-Pierre Coffe, les journalistes Christophe Beaugrand et Anne-Solenne Hatte et l'historienne et philosophe Diane Ducret. La chanteuse Juliette, l'animatrice Valérie Benaïm et les humoristes Laurent Baffie et Élisabeth Buffet font également de rares apparitions. Cette nouvelle saison marque enfin le retour régulier de chroniqueurs absents depuis quelque temps tels Isabelle Alonso, Péri Cochin, Jean Benguigui et Elsa Fayer. En raison des emplois du temps chargés des uns et des autres (tournée dans toute la France et tournage à Cuba pour Fabrice Eboué, enregistrement de C à vous pour Jérémy Michalak ...), du recrutement de nombreux chroniqueurs et du retour d'anciens, l'équipe tourne à nouveau quotidiennement comme c'était le cas quelques années plus tôt.

À la fin du mois de décembre 2010, Laurent Ruquier offre aux pensionnaires de son émission télévisée On n'demande qu'à en rire la possibilité de s'illustrer à la radio : Olivier de Benoist, Kev Adams, Les Lascars gays et Jérémy Ferrari se succèdent ; Arnaud Tsamere rejoint, pour sa part, la bande en janvier 2011 et, tout comme Ferrari, revient régulièrement. En décembre également, le réalisateur de l'émission, François Renucci, s'installe pour la première fois autour de la table pour pallier les absences imprévues de chroniqueurs, confirmant la drôlerie que Laurent Ruquier lui a souvent prêtée au cours des années.

A la fin de la saison, Florian Gazan annonce qu'il ne sera plus chroniqueur dans l'émission la saison prochaine, en raison de son arrivée comme animateur de la matinale sur Fun Radio, qui appartient à un groupe concurrent d'Europe 1. Lors de la dernière de la saison, le jeudi 30 juin, Laurent Ruquier fait part de sa déception face au départ de ce chroniqueur efficace et apprécié.

La rentrée de la saison 2011/2012 a lieu le lundi 22 août. Aucun changement n'a lieu quant à l'organisation de l'émission, et l'ensemble des chroniques sont reconduites. Frédéric Chevit participe à sa première émission dès le vendredi de la première semaine. D'autres chroniqueurs intègrent la bande le mercredi 31 août : le journaliste Pierre Lescure et l'écrivain et réalisateur Yann Moix, qui avait déjà collaboré avec Laurent Ruquier par le passé. Les 14 et 21 septembre, ce sont respectivement l'imitatrice Sandrine Alexi et l'ancien auteur des Guignols de l'Info Bruno Gaccio qui rejoignent la bande. Le 18 octobre, Laurent Ruquier accueille Yves Lande, un internaute dont les tweets sont très populaires sur Twitter. Seul Yann Moix devient au final un chroniqueur régulier, en étant présent chaque mercredi et chaque vendredi.

Organisation de l'émission

Les chroniqueurs réguliers ont une place attribuée autour de la table triangulaire. Pour les saisons 2008 et 2009, Laurent Ruquier se situe à la base avec, à sa gauche, Fabrice Eboué et, à sa droite, Titoff. À la pointe se trouvent généralement Jérémy Michalak sur la gauche et Pierre Bénichou sur la droite. Enfin, Christine Bravo prend place au centre entre Jérémy Michalak et Fabrice Eboué. En face d'elle se trouve le dernier chroniqueur présent, par exemple Claude Sarraute, Michèle Bernier ou Gérard Miller qui remplissent également les sièges des intervenants précédemment cités s'ils sont absents.

L'émission est enregistrée en public, dans le studio Merlin qui peut contenir une quarantaine de personnes environ. L'enregistrement se fait souvent le matin aux alentours de 9h30. Les inscrits sont invités à patienter devant l'entrée de la radio dans la rue François Ier avant d'être conduits dans le studio.

Lors des directs, l'émission est désormais diffusée en live vidéo sur le site Internet d'Europe 1. Ce fut le cas en 2011 pour les émissions en direct du Festival de Cannes[16], de la Foire de Paris[17] ou du Zénith de Lille[18].

Délocalisations ou émissions spéciales

Le 11 décembre 2008, Laurent Ruquier offrait la possibilité à ses auditeurs de composer exceptionnellement une équipe type de chroniqueurs par le biais de votes sur Internet. C'est Pierre Bénichou qui, avec plus de 400 voix, est arrivé en tête devant Fabrice Eboué, Christine Bravo, Philippe Geluck, Michèle Bernier et Jérémy Michalak. À noter que Franck Dubosc participait également exceptionnellement à cette émission spéciale.

L'émission a fêté ses dix ans d'existence le 21 octobre 2009 lors d'une soirée spéciale et gratuite de trois heures à l'Olympia et diffusée sur Europe 1 et France 4. Ont été présents l'ensemble des chroniqueurs ayant participé au programme depuis sa création[19]. Lors d'une quotidienne diffusée lors du mois d'octobre 2009, Laurent Ruquier a admis être en froid avec Philippe Bouvard qui n'était donc pas présent à l'Olympia malgré sa participation de quelques semaines à l'émission.

Le 1er avril 2010, la station a déplacé ses animateurs de leur tranche horaire. C'est Michel Drucker qui a présenté l'émission.

Depuis 2009, il arrive que l'émission soit délocalisée en province à l'occasion de journées organisées par Europe 1 dans différentes villes de France. On va s'gêner s'est ainsi déroulée exceptionnellement à Lille en février 2009, à Marseille et Lyon au printemps, et à Nantes en octobre.

En 2010, les délocalisations ont eu lieu à Strasbourg en février, Nice et Marseille en mars, Bordeaux en avril, à Lyon le 2 septembre, à Rouen le 14 octobre, à l'arsenal de Metz le 21 décembre et à Bruxelles au Théâtre National de Belgique pour célébrer le partenariat entre la station Europe 1 et l'antenne belge Twizz.

En 2011, Europe 1 renouvelle l'expérience et l'émission a eu lieu le 27 janvier aux Champs Libres de Rennes. Ainsi que le 17 mars au Corum (Montpellier) devant plus de 750 personnes ou encore le 15 juin, où la Bande à Ruquier retourne au Zénith de Lille. Durant cette émission, des chanteurs comme Ycare ou Mickaël Miro sont intervenus pour chanter en direct. Le 20 octobre 2011, l'émission est enregistrée au théâtre de la Sinne à Mulhouse et diffusée le lendemain à l'antenne.

L'émission se délocalise également de manière plus régulière dans des lieux comme la Foire de Paris, au Festival international du film de comédie de l'Alpe d'Huez ou encore Festival de Cannes.

Adaptation télévisuelle

Logo de l'émission On va s'gêner sur France 4.

À partir de février 2010, une adaptation télévisuelle, toujours présentée par Laurent Ruquier, est diffusée tous les premiers mercredis du mois sur France 4 en prime time à 20h35. L'émission est enregistrée au studio Gabriel, et avec son équipe Laurent Ruquier dessine les grandes lignes d'un magazine imaginaire retraçant les moments forts du mois, tous thèmes confondus (faits divers, people, politique, sport, société...). Les chroniqueurs participants sont: Steevy Boulay, Titoff, Gérard Miller, Claude Sarraute, Florian Gazan, Jérôme Bonaldi, Michèle Bernier, Caroline Diament, Christine Bravo, Jérémy Michalak, Pierre Bénichou, Fabrice Eboué, Gaspard Proust, Philippe Lacheau et sa bande et Michaël Grégorio. Ils commencent par définir la "une du mois" puis abordent tous les thèmes déjà cités au cours de différentes chroniques comme celle de La bande à Fifi, "Quoi de neuf Jérôme?", une chanson de Michaël Grégorio ou encore les "scoops" de Jérémy Michalak. Mais fin 2010 la direction de France Télévisions décide d'arrêter cette adaptation, pour motif qu'elle ne souhaite pas qu'un animateur soit présent sur plusieurs chaînes du groupe. La dernière émission a donc été diffusée le premier décembre 2010.

Chroniqueurs

Chroniqueurs récurrents

Chroniqueurs récurrents hors plateau

  • Serge Llado : « Do Ré Mi Fa Si Llado » (par téléphone)
  • Monique Pantel : « Ciné, Motrot, Panpan » (uniquement par téléphone)
  • Paul Wermus : « Le Challenge Wermus » (uniquement par téléphone le lundi et mercredi généralement) Il est présent sur le plateau de manière exceptionnelle. Ce dernier est l'invité d'honneur le 20 décembre 2010. Suite à un problème technique, il est obligé de siffler mais il avoue en arrivant dans le studio que c'est un technicien qui sifflait à sa place.

Chroniqueurs occasionnels

Anciens chroniqueurs ou chroniqueurs exceptionnels

Les chroniqueurs marqués en gras correspondent à ceux qui ont marqué l'émission, ou ceux qui ont été présents réguilèrement durant plusieurs années.

Nombre de participations des chroniqueurs par saisons

2010-2011

À la fin de la saison, après 202 émissions.

2011-2012

Mise à jour le 18 novembre 2011.

Controverses

  • Le 5 septembre 2008, alors qu'il était invité de l'émission, l'humoriste Jean-Marie Bigard défend la thèse du complot intérieur à propos des attentats du 11 septembre 2001 : il déclare notamment que les avions utilisés le 11 septembre « volent toujours » et que le Pentagone a été frappé par un missile américain et non par un avion[21]. Ses déclarations déclenchent une polémique et une condamnation de plusieurs médias. Quelques jours plus tard, par communiqué de presse, il fait marche arrière[22]. Il n'a plus été réinvité dans l'émission pendant plusieurs mois, mais a fait son retour lors de l'anniversaire à l'Olympia et participe désormais sporadiquement.
  • Le 3 février 2010, Europe 1 est mise en garde par le CSA pour des propos tenus lors de l'émission du 6 octobre 2009 par Pierre Bénichou qui qualifiait les Polonais "d'antisémites". Le 29 juin 2005, le chroniqueur s'était déjà distingué pour avoir tenu des propos similaires. Le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel est ainsi saisi par l'ambassadeur de Pologne en France qui se voit adresser une lettre d'excuses signée par la station.

Liens externes

Références

  1. (fr) Émission du 21 juin 2011, 21 juin 2011
  2. (fr) Ruquier bouc émissaire de Bellay sur radioactu.com, 15 avril 2002
  3. (fr) Jacques Martin, le retour aux sources sur radioactu.com, 26 janvier 2001
  4. (fr) Laurent Ruquier prend de la distance sur radioactu.com, 17 avril 2002
  5. a et b (fr) Laurent Ruquier arrête sa quotidienne sur radioactu.com, 5 mai 2007
  6. (fr) Réactions sur leparisien.fr, 6 décembre 2000
  7. (fr) Ruquier-Bouvard : match nul sur lepoint.fr, 22 janvier 2000
  8. (fr) Dernière saison pour Laurent Ruquier sur radioactu.com, 15 mars 2004
  9. (fr) Laurent Ruquier face à Philippe Bouvard sur radioactu.com, 8 janvier 2007
  10. (fr) La valse-hésitation de Laurent Ruquier sur radioactu.com, 11 juin 2007
  11. (fr) Laurent Ruquier tous les jours à 16 h sur ozap.com, 11 juin 2009
  12. (fr) Olivier de Kersauson quitte Bouvard pour Ruquier sur ozap.com, 25 juillet 2009
  13. (fr) Europe 1 - 4ème hausse d'audience consécutive sur radioactu.com, 16 juillet 2009
  14. Le surnom vient d'une question posé par Ruquier en 2008 sur sur un nain célèbre à la Cour polonaise du XVIIIe siècle, Józef Boruwłaski, surnommé Joujou. En octobre 2010, Laurent Ruquier décide de moderniser le surnom en l'anglicisant : Joujou devient ainsi Toytoy
  15. (fr) Audiences septembre-octobre 2009 sur lepoint.fr, 18 novembre 2009
  16. Festival de Cannes 2011 : Laurent Ruquier en direct dans On va s'gêner
  17. On va s'gêner à la Foire de Paris
  18. EN DIRECT - On va s'gêner au Zénith de Lille !
  19. (fr) On va s'gêner : Les 10 ans à l'Olympia sur premiere.fr, 19 novembre 2009
  20. (fr) Europe 1 - Rentrée dans la continuité sur radioactu.com, 4 septembre 2001
  21. (fr) Bigard dérape sur les attentats du 11 septembre sur nouvelobs.com, 31 octobre 2008
  22. (fr) Jean-Marie Bigard demande "pardon" sur lemonde.fr, 8 septembre 2008

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article On va s'gêner de Wikipédia en français (auteurs)

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