Orazi

Orazi

Orazi, né en 1906 et décédé en 1979, est un peintre français de la Nouvelle École de Paris.

Son œuvre va du Figuratif à l’Informel et à la Peinture en relief ou Art de Matières, pour revenir au Figuratif dans sa toute dernière période , (par exemple : les Paysages de l’Imaginaire.

Très lié à Édouard Pignon, il restera son ami pendant toute sa vie.

Orazi est aussi écrivain. Il écrit Stracco publié en 1974[1], et il illustre les œuvres de grands auteurs tels que l’italien Italo Calvino (1954)[2].

Membre historique du Salon de Mai parisien, depuis sa fondation, il est très souvent cité dans la revue Les Lettres Françaises, à partir de 1949.

Ses expositions en France, en Europe, au Mexique et au Japon, font l'objet de catalogues de 1934 jusqu’à 1979. Il aura aussi des expositions post-mortem en 1980, en 2003 et jusqu’en 2005-2006.

Le photographe Peter Beard a reproduit dans ses Pirelli Calendar 2009, quatre tableaux d'Orazi de la période Peinture en Relief (1958-1968). On peut les voir sur la page d'accueil du site qui lui est consacré.

Orazi s'est choisi ce nom de peintre qui vient de l’antiquité romaine, représenté -depuis le XVIIe siècle- par des artistes originaires du centre de l’Italie et actifs en France.

Parmi ces peintres, on trouve notamment les Horatio et les Orazio[3].


Sommaire

Biographie

Les premières années et l'Italie

Orazi est assez vite reconnu par la communauté des peintres et la critique d'art. Après des études classiques et littéraires, pétri d'esthétique ancienne, d’histoire, dans l’histoire , de philosophie, et de musique (dans sa jeunesse il a été pianiste et compositeur), il lance dans la peinture dès le lycée . L’art, la peinture seront sa vocation, sa passion, son unique profession de foi, comme d’ailleurs le soulignera le critique d’art Hélène Parmelin dans son Hommage à Orazi, écrit pour l’exposition post mortem de 1980 à Paris, "Galerie 222": «Comment parler de ce seigneur-ami inoubliable? Comment exprimer la vitalité de son intelligence...Peintre peintrissime. Une seule chose le torturait, l’exaltait...la peinture. Une seule aventure, la peinture, le revendiquait tout entier. La peinture était son mode de vie, son maître et son tortionnaire. Son interrogation et sa respiration[4].».

Le nom qu'il se choisit est simplement, Orazi, dérive de l’antiquité romaine; un nom représenté -depuis le XVIIe siècle- dans le domaine artistique par une série de personnalités originaires du centre de l’Italie et actives en France.

Il est à Venise vers la fin des années 1920, dans un contexte international marqué par des artistes tels que Filippo De Pisis et Leonardo Dudreville : il y est bien inséré puisque ce dernier lui fait un portrait magnifique, daté de 1927. Il participe sans doute aussi à la Biennale en 1934.

Il se déplace toujours, avide de nouvelles expériences artistiques et cependant il reste installé à Paris, dès 1932.

En même temps, il travaille à Milan. Des œuvres de cette première époque picturale, conservées dans des collections publiques milanaises, montrent qu’il s’affirme. Par exemple, le portrait d'une bienfaitrice Madame Teresa Vanoni Viglezio, qui lui est commandé en 1936 par la fondation artistique de l’"Ospedale Maggiore" de Milan ou le portrait de Totò Grugnola, de 1937, pour lequel la fondation "Trivulzio",lui offre la somme (considérable pour l'époque) de 2.400 lires, prouvent qu'il est un artiste reconnu[5].

A Rome, en 1935, à la deuxième manifestation de la "Quadriennale d’Arte Nazionale" il présente une toile : Sieste, ou Jeune Femme qui repose avec son chat, datée 1934, acquise en 1935 et exposée aujourd’hui à la "Galleria d’Arte Moderna" d’Udine.

La maturité et Paris

À Paris il installe son atelier à Montparnasse dès 1937-38, adresse définitive qu’il gardera jusqu’à la fin de sa vie.

Il participe à la vie intellectuelle intense, qui fait de ce quartier, depuis les années 1920, le point de rencontre des nouvelles idées artistiques. En 1937 il expose à la "Galerie de Paris". En 1938 il est parmi les artistes qui exposent au Deuxième Salon des Jeunes Artistes, qui se tient dans la même galerie, Faubourg Saint-Honoré. Au lendemain de la Libération, après les années de lutte anti-fasciste, il est avec les artistes du tout nouveau Salon de Mai-une Association déclarée en décembre 1944-, organisé à Paris à la "Galerie Maurs", puis à la "Galerie Arts" du Faubourg Saint-Honoré, et par la suite, durant plus de deux décennies, dans les salles du "Musée d'art moderne de la Ville de Paris": il y exposera régulièrement jusqu’à sa mort. Il en sera un de ses exposants historiques.

Les œuvres de la période -de 1935 à 1948 environ-, natures mortes, paysages, portraits, compositions, font clairement apparaître les éléments distinctifs de sa peinture, caractérisée par son lien non seulement avec l'avant-garde historique, mais aussi avec les grands noms de l'art post-impressionniste français.

Rapidement, dans ses portraits et dans ses paysages la ligne distille les formes, la couleur prend une place essentielle dans la représentation physique : il prépare déjà la période informelle. On le verra, par exemple, dans le paysage méditerranéen de 1950 publié, en 1953, par Les Lettres Françaises.

À partir de la fin des années 1940, son parcours artistique connaît un développement autonome et original. Sa Peinture du Mouvement (1948-1956 environ), suscite par ses effets dynamiques et plastiques l'intérêt de la presse de l'époque. Orazi est remarqué pour sa «Corrida», présentée au Salon de Mai de 1949: la revue parisienne Les Lettres Françaises, par la plume du critique sous le pseudonyme de Jean-Pierre (Pietri), publie l’article « L’oeuvre d’Orazi exprime la vie »[6]. On y voit reproduites deux toiles du Mouvement, et on y annonce sa prochaine exposition au Salon d’Automne. Les Lettres Françaises, alors dans leur neuvième année d'édition, jouissent d'une remarquable réputation: dirigées par Claude Morgan, elles avaient été fondées par Jacques Decour, fusillé par les Allemands, et dont la mémoire restait intense dans la vie intellectuelle parisienne.

Des passages de l'article de Jean-Pierre (Pietri) sont significatifs : « Par une construction à base de spirales...grâce à une répartition rationnelle des couleurs, dynamique ou statique, suivant le cas, Orazi oblige le regard à suivre sur la toile un chemin d’éternité qui est celui même de la naissance et du développement du mouvement...le mouvement est chez lui passion...la peinture bouge.». En 1950, il est à nouveau remarqué au Salon de Mai, où il expose «Rome ville ouverte», qui évoque l’affrontement de la population romaine et des nazis au cours des journées de la libération, et qui éveille l’idée du film de 1945, du même titre, du metteur en scène Roberto Rossellini. La revue Les Lettres Françaises reproduit en grande dimension cette toile et lie le nom d’Oraze à celui d' Édouard Pignon, qui sera d’ailleurs un de ses grands amis pour la vie. L’intensité plastique de cette œuvre retient encore une fois le critique Jean-Pierre, qui définit Orazi «...l’unique fresquiste, capable d’aborder la grande peinture d’histoire. Sa toile nous livre des éléments nouveaux: le mouvement et le sens du groupe humain [7]. »

La peinture du mouvement

C’est bien à partir de ces interventions de la critique artistique de l’époque que cette période picturale d’Orazi sera dénommée Peinture du Mouvement. La force de la couleur, qui exprime la vie ainsi que le geste humain, la représentation du mouvement dans son devenir caractérisent la Peinture du Mouvement, comme par exemple dans l’œuvre «Les Footballeurs», de 1950. La Peinture du Mouvement s’enrichira de personnages du cirque -clowns, écuyères, ballerines-: un groupe de toiles (souvent des temperas) qui sera exposé à la personnelle de 1954 à la "Galerie Marcel Bernheim", à Paris.

Dans le cadre de cette expérience picturale se situeront aussi des fascinantes représentations de batailles historiques et de représentations militaires, dont certaines furent exposées au Salon de Mai de 1955 et à la "Galleria L’Annunciata" de Milan en 1959.

La passion pour le paysage, manifestation physique de la puissance d’une nature toujours différente sur la Terre, n’abandonne jamais Oraze. Pendant ces mêmes années, d’autres recherches vont le pousser vers des régions lointaines, là où le paysage est encore intact, là où l’homme suit encore une tradition ancestrale et des rythmes anciens: la Sardaigne et le Mexique.

Ces séjours, où il exerce son autre habilité, la photographie, s’échelonnent de 1953 à 1957 et aboutissent à deux séries de tableaux chargés d'atmosphères extraordinaires. Une série des peintures du Cycle de la Sardaigne (exposées pour la première fois en 1954, à Paris, à la "Galerie Marcel Bernheim") a été récemment acquise par la commune de Gavoi, en Barbagia. Les peintures du Cycle du Mexique furent exposées à Paris, en 1957, à la "Galerie Vendôme".

L’attention pour le paysage ramène Orazi à nouveau à Paris. Un Paris qui change et qui, au nom d’une modernité parfois violente, voit disparaître certains de ses traits historiques. Naissent ainsi les peintures du Cycle Parisien, essentiellement saisissantes et mélancoliques : des vues de Montparnasse, où l’on abat de grandes portions de maisons et de petites rues habitées par les artistes, mais surtout des bords de Seine dans ces nouveaux quartiers hérissés de chantiers, touffus de grues dont les lignes verticales contrastent avec celles des péniches amarrées, symboles du passé.

Plusieurs de ces peintures, exposées à la "Galleria L’Annunciata" de Milan en 1959, annoncent déjà la rupture d’Orazi avec l'expérience figurative classique.

Dès la fin des années Cinquante, la peinture d’Orazi s'oriente en effet, résolument, vers la dimension de l'Informel, dimension dans laquelle sa sensibilité pour la couleur trouve une expression. Dans ce contexte pictural se situe l’exposition personnelle à la "Galerie 7", à Paris, en 1961, qui mérita les éloges de la critique.

Toutefois, depuis la fin des années 1950, une autre recherche, encore une fois ancrée dans son besoin de travailler sur la plasticité, domine la créativité de cet Artiste, une expérience qui donnera des résultats exceptionnels: la Peinture de Matière, ou Peinture en Relief.

Les oeuvres de cette phase ont été exposées à de différents Salon de Mai, à Paris et même à Tokyo, et à bien d’autres manifestations parmi lesquelles il faut rappeler l’exposition personnelle de 1966 à la "Galerie du Passeur", à Paris. La nature -ses éléments, ses formes, ses phénomènes- est toujours à la base de cette recherche. La forme sort de l’encadrement du tableau et la couleur concourt à la définir; la matière, le relief, deviennent le support de la couleur. La critique de l’époque est très positive, comme le démontre un article de Raoul-Jean Moulin: «...le peintre met à l’épreuve la pierre, la plante, l’air, la lumière...Matières originelles, âpres et remuantes, coulées de laves éruptives, météorites pétrifiés...moments de la formation de l’univers. » ; où comme celui de Georges Boudaille: « La matière se soulève tantôt comme la croûte terrestre et tantôt comme des pétales de fleurs, des formes prolifèrent jusqu’à sortir des limites du tableau pour envahir l’espace...ce sont des terres, mais aussi des laves volcaniques, des écorces d’arbre, des rocs, des montagnes[8]

C'est une période de grande intensité intellectuelle (1958-1968 environ), qui révèle pleinement la surprenante imagination d’Orazi, ainsi que sa maîtrise des moyens techniques et sa passion pour la couleur.

Bien souvent la Peinture en Relief témoigne, chez Orazi, d'une forte tendance à la définition circulaire des formes, qui laisse entrevoir ce que sera sa dernière manière, dénommée Ligne Circulaire (1969-1977): elle correspond aux dernières années de sa vie, les années où les forces physiques sont moins vigoureuses et peut-être l’art de Matière demande un effort trop contraignant. A’ présent, il n’est plus question du spectacle puissant et même convulsif des manifestations naturelles, mais de l’autre dimension de notre univers, son harmonie, la naissance et les rythmes de ses planètes, la vastitude de ses firmaments, représentés par des couleurs étoffées et tendres, décidées et souples à la fois.

Sur cette période picturale s’est concentrée d’ailleurs l’exposition post mortem de 1980, pour laquelle le critique Hélène Parmelin proposa son hommage à Orazi, déjà cité: dans ses lignes, elle laisse paraître la personnalité de cet Artiste solitaire, volontairement en dehors de l’éphémère de la mondanité, «...jamais envieux, jamais aigri, dans son orgueilleuse citadelle naturelle de la peinture.». Ce sont des traits qui peuvent être retrouvés dans le dernier écrit d’Orazi, Stracco, un conte métaphorique, au delà du temps et des circonstances, publié en 1974 par l’éditeur parisien Christian Bourgois: sur la couverture était reproduite l’image du personnage de ce livre qui appartient à un groupe spécifique de toiles de la période Ligne Circulaire où émergent de saisissantes "Têtes-Paysage". Le paysage est une dimension qui continue à être essentielle pour cet Artiste, et revient toujours sur ses toiles, de sa jeunesse à sa dernière recherche, jusqu’à sa mort: dans le peu de peintures qui restent de cette ultime période -les Paysages de l’Imaginaire- la terre est perçue dans l'essence de ses formes et de ses couleurs, dans sa générosité, dans sa tendresse.

Annexes

Notes et références

  1. (Christian Bourgois éditeur, Paris, 1974)
  2. Les Lettres Françaises, Un conte d’Italo Calvino illustré par Orazi,5 août 1954, Paris
  3. Bénézit, éditions de 1955, Tome 6, p.436, et de 1976, Tome 8, p.27.
  4. Hélène Parmelin, Hommage à Orazi, Avec Orazi, Galerie 222, 7 février-29 février 1980, Paris.
  5. Paolo Biscottini (sous la direction de), 200 anni di solidarietà milanese nei 200 quadri restaurati da Trivulzio, Martinitt e Stelline, Motta, Milan, 1990, p.71 (Orazi : Portrait de Totò Grugnola, 1937
  6. Les Lettres Françaises, L’oeuvre d’Orazi exprime la vie (signé Jean-Pierre), Août 1949, Paris, p. 7 (Orazi: La Corrida; La mort de l’oie)
  7. Les Lettres Françaises, Salon de Mai (signé Jean-Pierre), Mai 1950, Paris (Orazi : Rome ville ouverte)
  8. Les Lettres Françaises, Jeune, Encore Jeune, Toujours jeune, LE SALON DE MAI (signé: Georges Boudaille), 13-19 Mai 1965, Paris (ORAZI: Le mur halluciné)

Références : articles et catalogues

  • Bénézit, Dictionnaire critique et documentaire des Peintres, Dessinateurs et Graveurs, Librairie Gründ, Paris, édition 1976, Tome Huitième, p. 27 (V°-colonne de droite).
  • Paris-Soir, Dans les Galeries. L’Exposition ORAZI, 1937, Paris (Orazi: Portrait de Jeune Fille).
  • Paolo Biscottini (sous la direction de), 200 anni di solidarietà milanese nei 200 quadri restaurati da Trivulzio, Martinitt e Stelline, Motta, Milan, 1990, p.71 (Orazi : Portrait de Totò Grugnola, 1937).
  • Catalogue : Quadreria Ospedale Maggiore Cà Granda, Ritratti Antichi, Mondadori Electa, Milan, 1986 (Orazi: Catalogue. n.664, t.735, p. 75, Portrait de Teresa Vanoni Viglezio, 1936).
  • Edioni Della Faretra, Orazi, Novare, 1946 (Monographie: 30 tables en couleur, précédées par une présentation de l’Artiste).
  • Les Lettres Françaises, L’oeuvre d’Orazi exprime la vie (signé Jean-Pierre), Août 1949, Paris, p.7 (Orazi: La Corrida; La mort de l’oie).
  • Tous les Arts, Hebdomadaire d’Information Artistique, Directeur Louis Aragon, Le Salon de Mai, Mai-Juin 1952, Paris (ORAZI: L’écuyère).
  • Paris Rive Gauche, Le Jardin des Plantes (signé T.Rémy), Orazi «Fête foraine, place Denfert-Rochereau, 1950, Paris (peinture dénommée aussi Le Singe Chef d’Orchestre).
  • Les Lettres Françaises, La critique du Salon d’Automne (signé J.Marcenac), 30 octobre-6 novembre 1952, Paris (Orazi: L’Exode).
  • Ce Soir, Salon d’Automne, Orazi, L’exode (signé: G.Besson), 30 Octobre 1952, p.8, Paris, Bruxelles.
  • Le Patriote du Sud Ouest, Triomphe du Réalisme au Salon d’Automne (ORAZI: L’Exode), 11 Novembre 1952, Toulouse.
  • Arts, Art et Spectacle, Article de G.H.Gibert sur le Salon de Menton, 31 Juillet- 6 Août 1953, Paris (Orazi: Clown).
  • Arts Spectacle, Orazi (composition présentée au Salon d’Automne), 5 Novembre 1953, Paris, p.7.
  • Les Lettres Françaises, Arts, Sur une toile d’ORAZI (Guillevic), 3-10 Décembre 1953, Paris.
  • Regards, Amateurs de peinture notez ces noms (signé: R. Lacote), Ier Janvier 1954, Paris.
  • Les Arts, Orazi, 26 mai- Ier Juin 1954, Paris (Orazi: Vieille de Gavoï).
  • Les Lettres Françaises, Orazi et la Peinture du Mouvement (signé: Jean-Pierre), 27 Mai- 3 Juin 1954, Paris (Orazi: Peinture exposée à la Galerie Marcel Bernheim).
  • L’Hunmanité, La Sardaigne vue par le peintre Orazi (signé P.Meren), Ier Juin 1954, Paris (Orazi: La jeune mère avec chèvre).
  • Journal de l’Amateur d’Art, Les Expositions. Orazi, 10 Juin 1954 (Exposition à la Galerie Marcel Bernheim).
  • Les Lettres Françaises, Un conte d’Italo Calvino illustré par ORAZI, 5 Août 1954, Paris.
  • Horizons. La Revue de le Paix, Mexique sans sombrero ni sarape, Texte et croquis d’Orazi, Mai 1955, pp. 21-27, Paris.
  • Les Lettres Françaises, Le Salon de nulle part (signé: P.Descargues), 10-16 Mai 1956, Paris (Orazi: Bataille, Peinture exposée au Salon de Mai).
  • L’Humanité, Comment le peintre Orazi a-t-il vu le Mexique (signé : J.Darle), 2 Décembre 1957, Paris.
  • A.Kedrod, Orazi, Galleria d’Arte L’Annunciata, 21 Février-12 Mars 1959, Milan.
  • M.Courtois, Orazi Peintures Récentes, Galerie 7, 21 Avril-12 mai 1961, Paris.
  • Aujourd'hui Art et Architecture, Les Expositions. Orazi (signé D.Chevalier), Mai 1961 (ORAZI: peinture exposée à la Galerie 7).
  • Les Lettres Françaises, Les Arts, Orazi. Galerie 7, 3 Mai 1961, Paris.
  • Les Lettres Françaises, Jeune, Encore Jeune, Toujours jeune, LE SALON DE MAI (signé: Georges Boudaille), 13-19 Mai 1965, Paris (ORAZI: Le mur halluciné).
  • H.Parmelin, R.-J.Moulin, Orazi. Peintures en Relief, Galerie du Passeur, 15 mars-15 Avril 1966, Paris.
  • Les Lettres Françaises, Les Arts, Orazi (signé: H.Parmelin, R.-J.Moulin), 15 Mars 1966, p.32, Paris.
  • Les Lettres Françaises, Les Arts, Orazi (signé: Georges Boudaille), 17 Mars 1966, Paris.
  • ARTS, Arts et Loisirs, Les Expositions (signé: J.-J-Lévèque), 23-29 Mars 1966, Paris (Orazi: un spectacle brutal de la nature, Galerie du Passeur).
  • Guino, Orazi, Silvestri, Présence Européenne, Galerie Vercamer, 13 Novembre-13 Décembre 1970, Paris.
  • O.Orazi, Stracco, Christian Bourgois Editeur, 1974, Paris.
  • Hélène Parmermin, Hommage à Orazi, Avec Orazi, Galerie 222, 7-29 Février 1980, Paris.
  • G.Ballo, La linea dell’Arte italiana dal simbolismo alle opere moltiplicate, Edizioni Mediterrane, Rome, 1964, vol. II, pp.321, 358-359 (ORAZI, Peintures en Relief: Volterra, 1963; Le Grand Magicien, 1964, exposé au Salon de Mai, 1964).
  • Théâtre du Rond-Point des Champs Élysées, Présentation de l’Artiste. Exposition: Orazi Voyage en Sardaigne en 1953, PARIS, 29 Septembre 2003, Brochure (Copyright Ch.du Marais).

Lien externe


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