Ordre de Saint-Lazare de Jérusalem

Ordre de Saint-Lazare de Jérusalem
Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Ordre militaire et hospitalier de Saint-Lazare.
Ordre de Saint-Lazare
Image illustrative de l'article Ordre de Saint-Lazare de Jérusalem
Type Ordre hospitalier
Création XIe siècle
Fondateur(s) Moines Arméniens
Spiritualité christianisme
Liste des ordres religieux

L’ordre de Saint-Lazare de Jérusalem, ou ordre des hospitaliers de Saint-Lazare de Jérusalem, est un ordre hospitalier fondé à Jérusalem au XIeou XIIe siècle pour accueillir les pèlerins atteints de la lèpre, il ouvrira ses portes aux croisés et chevaliers lépreux pendant les croisades. Certains de ses chevaliers lépreux participent à la défense de états latins d'Orient. Après la perte de la Terre sainte, il se regroupe en France autour de leur grand maître à la commanderie de Boigny-sur-Bionne jusqu'à la confiscation de tous les biens de l'ordre en France à la Révolution. L'ordre subit bien des aléas du fait de ses protecteurs jusqu'au moment où Louis XVIII dilapide les derniers biens de l'ordre pendant son exil.

Sommaire

Les origines de l'Ordre

Les historiens ne disposent d'aucun document permettant de décrire la création de l'ordre de Saint-Lazare de Jérusalem. En 1047, Nasir-i-Khusrau, poète et voyageur, décrit la ville de Jérusalem et « un merveilleux bimaristan qui soigne les malades avec des breuvages magiques et des lotions » sans faire référence à d'autres xenodochium que celui qui donnera naissance à celui des Hospitaliers de Saint-Jean[1]. Mais ce xenodochium, mi-hospice mi-hostellerie, se trouve à l'intérieur de la ville dans le quartier chrétien. En 1076, les Seldjoukides s’emparent de Jérusalem, persécutent les chrétiens et rasent leurs établissements. Les Fatimides reprennent Jérusalem aux Seldjoukides en 1098 et en 1099 les armées croisées de Godefroy de Bouillon s'emparent de Jérusalem. S'il est fait alors mention des Hospitaliers de Saint-Jean, à qui Godefroy de Bouillon fait don de terre pour avoir soigné les croisés[2], il n'est toujours pas fait état des Hospitaliers de Saint-Lazare.

La première mention de l'ordre de Saint-Lazare trouvée dans des sources date de 1142[3]. La tradition veut que l'hôpital de Saint-Lazare se trouve à l'extérieur de Jérusalem comme d'ailleurs tous les lazarets (mot dérivé de Lazare pour désigner les léproseries) l'étaient à cette époque. Cet hôpital serait alors desservi par des moines régis par la règle de saint Basile le Grand sous la juridiction du patriarche grec-melkite de Jérusalem.

Les membres des autres ordres de Terre sainte (les Hospitaliers, Templiers et Teutoniques), atteints de la lèpre devaient quitter leur ordre pour intégrer celui de Saint-Lazare[4]. C'est en adoptant alors la règle augustinienne que l'Ordre est reconnu comme hospitalier par une bulle d'Alexandre IV fulminée le 11 avril 1255.

L'Ordre en Terre sainte

L'ordre de Saint-Lazare crée des lazarets en Terre sainte comme à Acre mais aussi en Europe. Les membres de Saint-Lazare, dont les chevaliers lépreux issus des ordres militaires seront aux côtés de leurs anciens frères pour la défense de la Terre sainte face aux infidèles. Cela a fait croire que l'ordre de Saint-Lazare était aussi un ordre militaire mais aucune bulle papale ne lui reconnait ce titre ; le Saint-Siège était très réticent pour développer l'état de moine-soldat. L'ordre des hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem attendra 125 ans avant d'obtenir le statut d'ordre militaire.

Des chevaliers lépreux, maintenant de Saint-Lazare, arborant l'étoile verte à la place de l'étoile blanche des Hospitaliers, rouge des Templiers ou noir des Teutoniques, se retrouvent les armes en mains dans les combats de Terre sainte comme pour la prise d'Acre en 1191, la bataille de Gaza en 1244, au combat de Damiette, à la bataille de Mansourah en 1250[5] et au siège de Saint-Jean d'Acre en 1291. Avec la perte des États latins d'Orient, le maître général de l'ordre, Thomas de Sainville, regroupe les restes de l'Ordre sur le Royaume de France, lui-même installant le siège de l'Ordre à la commanderie de Boigny-sur-Bionne.

L'Ordre en Occident

Près d'Orléans, le domaine de Boigny-sur-Bionne aurait été fondée par Louis VII et érigé en domaine royal. Au retour de la deuxième croisade, le roi installe sur le domaine des chevaliers de l'ordre de Saint-Lazare. Après son mariage avec Constance De Castille qui y aurait été célébré en 1154, il cédera l'ensemble du domaine à l'Ordre qui en fera sa commanderie mère. Des commanderies de l’Ordre existent alors, en plus de la France, en Angleterre, Écosse, Allemagne, Hongrie, Espagne, Italie, Suisse, Flandres, etc.

Dans le même temps où Philippe le Bel cherche à réduire l'ordre du Temple, il met sous sa garde, en 1308, l'ordre de Saint-Lazare en déclarant le roi de France comme protecteur héréditaire de l'Ordre.

Au XVIe siècle l'Ordre perd une grande partie de ses ressources en même temps que des biens importants en Italie, Angleterre, Allemagne et Suisse. En 1517, le Prieuré de Capoue se sépare de l'Ordre pour former une branche distincte. En 1572, ce prieuré s'unit à l’ordre de Saint-Maurice pour former l’ordre des Saints-Maurice-et-Lazare qui se place sous la protection héréditaire des Ducs de Savoie. En 1534 lorsqu’il rompt avec l'église catholique, Henri VIII réunit le Prieuré anglais de Burton au domaine royal. En Allemagne et en Suisse, l'Ordre est dépossédé de ses biens par les princes protestants lors de la Réforme.

Union de l'Ordre avec l'ordre Notre-Dame du Mont-Carmel

En 1607, Henri IV fonde l’ordre de Notre-Dame du Mont-Carmel pour sceller la réconciliation du roi de France, converti au catholicisme en 1593, avec le Saint-Siège. En 1608, il en confie la direction au grand maître de l’ordre de Saint-Lazare, Philibert de Nerestang. Après un refus du pape, l’union est confirmée le 5 juin 1668 par une bulle du Cardinal de Vendôme, légat du pape en France.

Depuis lors, les deux ordres réunis sont plus soumis à la royauté qu'à la papauté. C'est le roi de France, et non le pape ou même les chevaliers, qui désigne le grand maître conjoint des deux ordres. Ils aident leur protecteur, le roi de France, en fonction de ses désirs, dans le secours aux vieux soldats, dans la course barbaresque ou sus à l'« Anglais » en armant dix frégates à Saint-Malo, en créant en 1667 l'académie de marine à Paris ou en administrant toutes les léproseries et hôtels-Dieu du Royaume entre 1672 et 1693.

La royauté se servira aussi de l'ordre royal de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem réunis comme d'un ordre de chevalerie avec l'ordre de Saint-Michel. À la création de l'ordre de Saint-Louis en 1693 par Louis XIV, l'ordre royal de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem fut réservé aux personnes de fraîche noblesse, voire à de simples roturiers.

Avec la nomination, en 1720, de Louis, duc d'Orléans comme grand-maître des ordres réunis (1720-1752), la grande maîtrise n'échappera plus à un prince de sang. Le duc d'Orléans va s'attacher à redonner aux ordres une plus grande rigueur religieuse en réinstituant une lecture de l’office quotidien tel que le veut la règle. Suivra Louis, duc de Berry (1757-1773), futur Louis XVI, qui devra régler un différent avec l’assemblée du Clergé de France au sujet de la capacité pour un ordre essentiellement laïque de recevoir des biens ecclésiastiques. Clément XIV règlera le problème avec la bulle Militarium Ordinum Institutio, le 10 décembre 1772, déniant cette capacité à un ordre non religieux. Enfin Louis, comte de Provence (1773-1814), futur Louis XVIII, est le dernier grand maître, il donnera une indépendance à chacun des deux ordres en 1779. C'est par un nouveau règlement du 21 janvier 1779, que le comte de Provence réserve l'ordre de Notre-Dame du Mont-Carmel aux seuls élèves de l’École militaire.

La fin de l'ordre militaire et l'avènement de l'ordre hospitalier

Après la dernière promotion à l'École militaire en juillet 1787, le comte de Provence ferme l’École en 1788 et supprime l'ordre de Notre-Dame du Mont-Carmel en attribuant par lettres patentes de septembre 1788, ses biens à l'ordre de Saint-Lazare de Jérusalem.

La Révolution va précipiter la fin de l'ordre de Saint-Lazare quand le gouvernement révolutionnaire confisque tous les biens de l’ordre en 1791, à commencer par la commanderie magistrale de Boigny-sur-Bionne. Le comte de Provence part en exil à Coblence, à Kalmar, Riga et enfin Mittau d'où il continue de diriger l’ordre en nommant des chevaliers. En 1799, il admet le tsar Paul Ier de Russie, grand admirateur des ordres de chevalerie et son fils le futur tsar Alexandre Ier de Russie. En 1808, c'est le roi Gustave IV Adolphe de Suède qu'il nomme chevalier. Il s'installera dès 1807 en Grande-Bretagne qui lui versera, ainsi que la cour du Brésil, des fonds. Le futur Louis XVIII épuisera aussi les derniers biens de l'ordre de Saint-Lazare pour entretenir la petite cour qui l'entoure.

Devenu roi de France en 1814-1815, il ne porte plus le titre de grand maître mais celui de protecteur de l'ordre de Saint-Lazare. Il se gardera bien de nommer un nouveau grand maître, laissant l'ordre à la direction d'un administrateur général, Claude-Louis, duc de La Châtre (1814-1824). À la mort de Louis XVIII, la protection de l'ordre revient à Charles X qui laisse la direction de l'ordre à un conseil des officiers. Après la Révolution de 1830 et le départ du roi en exil, l'ordre de Saint-Lazare n'a plus d'activité et les derniers chevaliers recherchent, pour renouer avec les origines, la protection du patriarche grec-melkite qui n'acceptera la charge de protecteur qu'en 1841 quand il ne reste plus rien à protéger. L'ordre de Saint-Lazare continue, sous le protectorat des patriarches, à œuvrer dans ses missions hospitalières à travers plus de 20 pays.

Liste des grands maîtres de l’ordre de Saint-Lazare

Le manque de documents sur l'origine de l'Ordre ne permet pas de connaitre avec certitude les premiers responsable de l'Ordre. Il existe même une confusion avec les Hospitaliers de Saint-Jean qui fait attribuer certains de ses responsables aux Hospitaliers de Saint-Lazare comme frère Gérard, Boyant Roger et même Raymond du Puy. Nous possédons une liste dressée par Dorat de Chameulles dans son Armorial des Ordres de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare qui fait débuter la liste des supérieurs de l'ordre en 1234.

Supérieurs de l'Ordre en Terre sainte

  • Raynaud de Flory (1234-1254) : les Flory tenaient un rang distingué dans le royaume de Jérusalem, mais leurs origines et leurs armes ne sont pas connues. Vers 1200, un Flory de Fouquerol était prieur de France des Hospitaliers de Saint-Jean.
  • Jean de Meaux (1254-1277): titré précepteur général de l'ordre. Plusieurs membres de cette famille se croisèrent et l'un d'eux escorta de Terre Sainte à la Sainte Chapelle de Paris la Couronne d'épines du Christ.
  • Thomas de Sainville (1277-1312) : titré maître général de l'ordre.

Supérieurs de l'Ordre au Royaume de France

  • Adam de Veau (1312-1342).
  • Jean de Paris (1342-1349).
  • Jean de Coaraze (1349-1354/55) : dit fautivement Courras et Couraze.
  • Jean Le Conte (1354/55-1368).
  • Jacques de Besnes alias de Baynes (1368-1384).
  • Pierre des Ruaux (1413-1454).
  • Guillaume des Mares (1454-1469) : il existe en Normandie, province dont ce maître des Hospitaliers de Saint-Lazare était originaire, une famille des Mares de Bellefossé qui revendique Guillaume pour l'un des siens.
  • Jean Le Cornu (1469-1493).
  • François d'Amboise (1493-1500) : neveu d'Aimery d'Amboise, grand maître de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
  • Agnan de Mareuil (1500-1519).
  • François de Bourbon, comte de Saint-Pol (1519-1521) : son inscription sur la liste des chefs de l'ordre n'est justifiée que par un acte du 18 juin 1521 le qualifiant commandeur de Boigny. Il appartenait à la branche des Bourbon-Vendôme et c'est par son mariage, en 1535, qu'il devint duc d'Estouteville.
  • Claude de Mareuil (1521-1524) : neveu d'Agnan de Mareuil.
  • Jean Conti (1524-1557).

Grands maîtres de l'Ordre

  • Jean de Levis (1557-1564) : il est mis à la tête de l'ordre en vertu de la bulle Nos igitur de 1489. Prend le titre de grand maître.
  • Michel de Sèvre (1564-1578) : chevalier de Saint-Jean de Jérusalem, l'un des plus remarquables grands maîtres de Saint-Lazare avec ses successeurs Salviati et Clermont-Chastes.
  • François Salvati (1578-1586) : parent et conseiller de Catherine de Médicis. "De gueules à trois rateaux d'argent".
  • Michel de Sèvre (1586-1593) : en renonçant à sa charge en faveur de Salviati, il s'en était réservé certains droits honorifiques et reprit ses fonctions après la disparition de ce dernier.
  • « Armand » de Clermont de Chastes (1593-1603) : maréchal de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, Vice-amiral des mers du Ponant[réf. à confirmer] [6]. Selon certains auteurs, dont Dorat de Chameulles qui le cite dans son armorial, Clermont aurait eu pour successeur immédiat Hugues Catelan de Castelmore dont le magistère fut bref.
  • Charles de Gayand de Monterolles (1603-1604) : neveu de Clermont et assumant les fonctions de grand maître dès 1599 d'après Gautier de Sibert.
  • Philibert, marquis de Nérestang (1604-1620]) : grand maître de Saint-Lazare puis (1608) des ordres réunis de Saint-Lazare et de Notre-Dame du Mont-Carmel.
  • Claude, marquis de Nérestang (1620-1639) : fils du précédent.
  • Charles, marquis de Nérestang (1639-1644) : fils du précédent.
  • Charles-Achille, marquis de Nérestang (1645-1673) : frère de Charles.
  • Michel de Tellier, marquis de Louvois (1673-1691) : avec le titre de vicaire général jouissant des pouvoirs attachés à celui de grand maître.
  • Philippe de Courcillon, marquis de Dangeau (1693-1720).
  • Louis d'Orléans, duc de Chartres, puis duc d’Orléans (1720-1752).
  • Louis de France, duc de Berry (1757-1773) : il quitta le grand magistère en devenant dauphin et fut le roi Louis XVI.
  • Louis de France, comte de Provence (1773-1814) : frère du précédent et futur Louis XVIII.

Bibliographie

  • Olivier Chebrou de Lespinats (2011) Chronologie historique de l'Ordre de Saint-Lazare de Jérusalem (1099-2012), Historimes, (ISBN 2-9519131-6-8)
  • Paul Bertrand de la Grassiére (1960) L’Ordre militaire et hospitalier de Saint-Lazare de Jérusalem, son histoire, son action, Paris
  • (en) Peter Bander van Duren (1995) Orders of Knighthood and of Merit The Pontifical, Religious and Secularised Catholic-founded Orders and their relationship to the Apostolic See
  • Guy Coutant (1984) Les Chevaliers et Hospitaliers de Saint Lazare de Jérusalem de 1789 à 1930, Paris
  • Alain Demurger (2002) Chevaliers du Christ, les ordres religieux-militaires au Moyen Âge, Seuil, (ISBN 2-02-049888-X)
  • Lt Col. Gayre of Gayre and Nigg (1973) Le crépuscule de la chevalerie, Fernand Lanore, (ISBN 978-7-6300-0360-1)
  • Rafael Hyacinthe (2003) L'Ordre de St-Lazare de Jérusalem au Moyen Age, Etudes et Communications Editions, (ISBN 2-911722-20-5)
  • (en) David Marcombe (2003) Leper Knights: The Order of St. Lazarus of Jerusalem in England, c. 1150-1544, The Boydell Press, Rocheste
  • (es) Félix Alberto Montilla Zavalía (2001) Las Órdenes de Caballería y las Órdenes Honoríficas Católicas en la actualidad, Editorial Dunken, Buenos Aires
  • (es) José María de Montell, Historia apasionada de la religión de San Lázaro (Histoire ancienne et récente de l'Obédience de Malte)
  • Gautier de Sibert (1983) Histoire des Ordres royaux hospitaliers-militaires de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem, Paris, première édition 1772
  • (en) Ygr H. Stuart (1986) The Insignia and Decorations of the Military and Hospitaller Order of Saint Lazarus of Jerusalem, Perthshire
  • F. Toussaint de Saint-Luc (1666) Mémoires sur l'institution, progrès et privilèges de Notre_Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem, Paris

Notes et références

  1. B. Gallimard Flavigny, 2006, p. 14
  2. acte conservé à la Bibliothèque nationale de Malte, B. Gallimard Flavigny, 2006, p. 19
  3. D. Marcombe (2003) p. 11
  4. A. Dumerger, référence à venir
  5. D. Marcombe (2003) p. 14
  6. Arnaud Bunel, « Maison de Clermont-Tonnerre » sur www.heraldique-europeenne.org. Consulté le 23 juillet 2011

Voir aussi


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