Parc national de Þingvellir

Parc national de Þingvellir
Parc national de Þingvellir
Image illustrative de l'article Parc national de Þingvellir
Catégorie UICN II (parc national)
Identifiant 684
Pays Drapeau d'Islande Islande
Coordonnées 64° 15′ 29″ N 21° 07′ 30″ W / 64.258056, -21.12500064° 15′ 29″ N 21° 07′ 30″ W / 64.258056, -21.125000
Superficie 237 km2
Création 1930
Site web www.thingvellir.is

Géolocalisation sur la carte : Islande

(Voir situation sur carte : Islande)
Parc national de Þingvellir

Thingvellir (en islandais : Þingvellir, de Þing, « parlement » et vellir, « plaines », c'est-à-dire « Plaines du parlement ») est un site du sud-ouest de l'Islande, près de la péninsule de Reykjanes. Þingvellir est un haut lieu de l'histoire islandaise : c'est le lieu de rassemblement originel d'un des plus vieux parlements du monde (l'Alþing) qui y fut fondé dès 930 (plus exactement au Lögberg, le « Rocher de la loi ») et l'indépendance de l'Islande y fut proclamée le 17 juin 1944, le jour du 133e anniversaire de la naissance de Jón Sigurðsson, leader des mouvements pacifistes pour l'indépendance de l'Islande au XIXe siècle. Le site est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 2004. Il abrite également la résidence d'été du premier ministre d'Islande.

Sommaire

Géographie

Localisation

Le parc national de Þingvellir est situé au sud-ouest de l'Islande, dans la municipalité de Bláskógabyggð de la région Suðurland[M 1]. Le parc a une superficie de 237 km2[M 1]. Il est situé à environ 50 km de Reykjavik[M 1] et donc de la majorité de la population islandaise. Le parlement en lui-même se trouve à l'ouest de la plaine.

Relief

Vue typique de Þingvellir : au premier plan une grande faille, à droite la plaine, et au fond un sommet

Þingvellir est situé dans une dépression d'altitude environ une centaine de mètres. Cette dépression est entourée de toute part par des sommets allant jusqu'à un peu plus de 1 000 m d'altitude. Certains sommets sont situés dans le parc, tels que Búrfell (783 m), Syðstasúla (1 093 m), Ármannsfell (764 m) et Hrafnabjörg (763 m)[1]. La principale caractéristique du site est qu'il est parcourut de nombreuses failles saillantes, comme de larges cicatrices dans le paysage. Elles sont parallèles, et orientées essentiellement selon un axe NE-SO. Elles sont principalement réparties en deux groupes, de part et d'autres de la plaine, de pendage opposé[2]. La fissure la plus connue est Almannagjá, qui est la principale fissure située à l'ouest de la plaine. Elle est longue de 7,7 km, et d'une profondeur maximale de 40 m[2]. Sa correspondante à l'est de la plaine est Hrafnagjá, d'une longueur de 11 km et d'une profondeur maximale de 30 m[2].

Climat

La zone de Þingvellir est dans un climat tempéré humide (Cfc selon la classification de Köppen)[3]. Les température y sont sensiblement inférieure à celles de la côte (par exemple Reykjavik) du fait de l'altitude (un peu plus de 100 m) et de l'éloignement des côtes. Les températures sont souvent très variables, particulièrement en hiver, ce qui est lié au fait que l'Islande se situe au point de rencontre des masses chaudes du Gulf Stream et des masses froides du courant du Groenland oriental[3]. La région de Þingvellir est entourée de plusieurs montagnes qui, du fait de l'effet de foehn reçoivent d'importantes quantités de précipitations annuelles (allant jusqu'à 3 000 mm)[3]. Cependant, Þingvellir en lui-même reçoit beaucoup moins, même si cette quantité reste supérieure à celle des côtes. En hiver, les précipitations ont souvent lieu sous forme neigeuse, mais les importantes variation de température induisent parfois des dégel même en plein hiver[3].


Relevé météorologique de Þingvellir
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température moyenne (°C) -2,4 -1,8 -0,9 2,0 5,5 8,2 10,1 9,5 6,3 3,1 -1,0 -2,4 3,0
Précipitations (mm) 129 110 116 92 74 72 77 102 125 162 146 135 1 340
Source : Climatic conditions of the Thingvallavatn area[3]


Hydrographie

La cascade Öxarárfoss

La principale rivière du parc est la rivière Öxará (rivière de la hache), dont la majeure partie du cours se situe à l'intérieur des frontières du parc. Cette rivière possède un débit modéré (environ 4 m3⋅s-1)[4] et est principalement connue grâce à la cascade Öxarárfoss, qu'elle forme en entrant dans la faille Almannagjá. La rivière se jette ensuite dans le lac Þingvallavatn qui avec une superficie de 83 km2 est le plus grand lac naturel d'Islande, mais n'est que partiellement inclut dans le parc[M 2]. Ce lac, d'une profondeur maximale de 114 m, est cependant principalement alimenté par des sources souterraines[5]. En effet, le sol islandais étant majoritairement un champs de lave, l'eau parvient facilement à s'y infiltrer. Des études isotopiques ont montré que l'eau de ces sources provient du glacier Langjökull, à 50 km au nord du lac, tout comme l'eau alimentant les sources chaudes de Nesjavellir, au sud de Þingvellir[5]. Les eaux, en traversant la lave, sont filtrées par celle-ci, ce qui explique l'exceptionnelle limpidité de l'eau du lac[5].

Géologie

Volcanisme

Carte du système volcanique de l'Islande
Article connexe : Géologie de l'Islande.

Comme le reste de l'Islande, le socle du parc national de Þingvellir est composé de roches volcaniques. Dans le cas de Þingvellir, le volcanisme est toujours actif, étant situé au cœur de la zone ouest du système volcanique islandais (cf. carte ci-contre), sur deux systèmes volcaniques en activité : Hengill à l'ouest et Hrómundartindur à l'est[G 1]. Les plus anciennes laves du parc se trouvent autour des monts Búrfell et Syðstasúla, datant de 1,8 Ma[G 2]. Ensuite, les monts Búrfell et Syðstasúla eux-mêmes ont été formés alors que la région était couverte de glace, ce qui est indiqué par la formation de hyaloclastite en superficie[G 3]. Seul Syðstasúla parvint à percer l'épaisseur de glace, formant un tuya, même si l'érosion glaciaire en a depuis altéré l'apparence[G 3]. Durant la glaciation de Weichsel, apparurent à leur tour Ármannsfell et Hrafnabjörg formant tous deux des tuyas, mais ceux-ci ont put gardé leur profil caractéristique[G 4]. Cette dernière glaciation a aussi laissé des moraines, qui ont été initialement responsable de la formation du lac Þingvallavatn[G 4].

Hrafnabjörg, à l'arrière-plan, avec sa forme caractéristique de Tuya

Mais la majeure partie des roches affleurant actuellement datent de la période post-glaciaire (holocène). Ainsi, la plaine du parc national de Þingvellir est constituée de laves provenant de trois cratères[G 5]. La plus ancienne éruption est celle de Skjaldbreiður, volcan situé en dehors du parc, mais qui a recouvert de ses laves une superficie de 200 km2, qui inclut la partie du nord du parc[G 5]. C'est cette éruption qui a bloqué les rivières de surface, et est responsable de l'approvisionnement quasi-exclusif par voie souterraine du lac[G 5]. Peu de temps après l'éruption du Skjaldbreiður, il y a environ 9 100 ans, celle d'Eldborgir, au sud d'Hrafnabjörg, commença, couvrant elle aussi une superficie de l'ordre de 200 km[G 6]. Cette éruption a créé un barrage pour le lac, réduisant sa superficie et élevant son niveau de 25 m[G 6]. La lave du site du parlement proviendrait de cette éruption, même si il existe certains doutes concernant cette affirmation[G 6]. Enfin, il y a environ 5 000 ans, Þjófahraun, une fissure volcanique de 8 km de long entra en éruption, couvrant 55 km, dont une partie au nord-est du parc national[G 7]. La plus récente éruption date d'il y a 2 000 ans, au sud du lac, dans une section non incluse dans le parc national[6].

Tectonique

Þingvellir est une plaine d'effondrement, ou graben, située à la divergence des plaques tectoniques américaines et européennes. Ainsi, la zone s'étend selon une direction est-ouest a une vitesse moyenne de 3 mm⋅an-1, et en même temps, le sol s'affaisse de 0,4 mm⋅an-1[2]. Ainsi, depuis l'éruption d'Eldborgir (9 100 ans), la subsidence du sol a atteint 40 m, et probablement 4 m depuis la fondation de l'Althing en 930[7]. Ceci a par exemple induit une augmentation de la profondeur du lac, malgré le fait que le barrage de lave a été érodé de 11 m depuis sa création[G 8]. Ces mouvements on induit l'apparition de fissures et failles normales, clairement visibles dans le paysage, créant des gradins naturels dans la roche basaltique. Ces mouvements sont aussi la source de tremblements de terre assez fréquents. Bien que le mouvement soit relativement continu, le déplacement des failles se fait souvent par à-coups, libérant la tension accumulée précédemment[G 9]. Ainsi, plusieurs épisodes importants de ce type ont été enregistrés, tel qu'en 1789, à la suite de l'éruption du Laki[G 10].

Du fait de sa facilité d'accès et de l'amplitude de ses failles, Þingvellir a longtemps été un modèle dans l'étude de la tectonique des plaques. Ainsi, lorsque la théorie a été énoncé pour la première fois, au début du XXe siècle, elle reçut peu de crédit dans la communauté scientifique[G 1]. Pourtant, déjà à cette époque, les premiers géologues expliquèrent les failles de Þingvellir à l'aide de cette théorie[G 1]. Par la suite, lorsque la théorie commença à se démocratiser, à partir de 1962, Þingvellir fut l'un des principaux sites d'étude du processus de rifting[G 1].

Milieu naturel

Faune

Renard polaire
Un plongeon catmarin en Islande

L'Islande est très pauvre en mammifères, et le parc national n'échappe pas à ce constat. Le renard polaire (Vulpes lagopus), est la seule espèce de mammifère présente naturellement en Islande, et ces renards sont assez nombreux à Þingvellir[8]. Le vison d'Amérique (Neovison vison), introduit en 1931 en Islande et ayant réussi à s'échapper des fermes à fourrure se rencontre de nos jours autour de Þingvellir[8]. La souris sylvestre (Apodemus sylvaticus), importée dès la colonisation de l'Islande par les vikings, est aussi très commune dans la région[8].

Le lac Þingvallavatn est très profond, et donc attire moins les oiseaux que d'autres comme le lac Mývatn, dans le nord du pays[9]. Cependant, on peut rencontrer 52 espèces d'oiseaux, telles que le harle huppé (Mergus serrator), l'oie cendrée (Anser anser), le garrot d'Islande (Bucephala islandica), le plongeon huard (Gavia immer), le cygne chanteur (Cygnus cygnus), le harelde kakawi (Clangula hyemalis), le canard colvert (Anas platyrhynchos), et le fuligule morillon (Aythya fuligula)[10]. Le plongeon catmarin (Plongeon catmarin) et le grèbe esclavon (Podiceps auritus) sont aussi observés, bien que plus rares[10]. On trouve enfin quelques oiseaux non aquatiques tels que le faucon gerfaut (Falco rusticolus), le faucon émerillon (Falco columbarius), le lagopède alpin (Lagopus muta), le pluvier doré (Pluvialis apricaria), la bécassine des marais (Gallinago gallinago), le courlis corlieu (Numenius phaeopus), le chevalier gambette (Tringa totanus), phalarope à bec étroit (Phalaropus lobatus) ainsi que quelques barges à queue noire (Limosa limosa), huîtriers pie (Haematopus ostralegus), pluviers grand-gravelot (Charadrius hiaticula) et hiboux des marais (Asio flammeus)[10].

Le lac abrite trois espèces de poissons sur les cinq espèces de poissons d'eau douce d'Islande[11]. Ces espèces sont l'omble chevalier (Salvelinus alpinus), la truite (Salmo trutta) et l'épinoche (Gasterosteus aculeatus)[11]. Ces espèces ont évolué depuis 10 000 ans en s'adaptant à l'environnement du lac, et montrent maintenant un degré de polymorphisme unique[5]. Ainsi, l'omble chevalier existe maintenant dans le lac sous quatre morphotypes différents : piscivore, planctonivore, et deux morphotypes benthivores[5]. Une autre spécificité du lac est la découverte en 2004 et 2006 de deux espèces d'amphipodes d'eau douce endémiques : Crymostygius thingvallensis, unique représentant des Crymostygiidae et Crangonyx islandicus, tous deux appartenant au sous-ordre des Gammarideas[12]. Ces espèces, probablement d'origine très ancienne, auraient réussi à survivre durant les glaciations dans des refuges sous-glaciaires[12].

Flore

Géranium des bois à Þingvellir

La limite entre le climat froid tempéré et le climat arctique est autour de 300 - 400 m d'altitude dans cette partie du pays, ce qui correspond aussi à la limite pour le développement des bouleaux (Betula pubescens principalement)[V 1]. Avant la colonisation de l'Islande, les zones en dessous de cette limite était couverte de forêt de bouleau, avec des sous-bois riches[V 2]. Les activités humaines ainsi que le pâturage ont rapidement et fortement affecté cet écosystème très fragile[V 2]. Ceci a favorisé une érosion des sols qui a aussi contribué à fragiliser la végétation et empêcher sa reprise[V 2]. La création du parc national au début du siècle a permit à la forêt de se redévelopper et maintenant, l'essentiel de la surface initiale du parc est recouvert d'arbres[V 2]. Ceci est aussi lié à un plan d'afforestation d'espèces non endémiques telles que des conifères commencé en 1899, ce qui marquait aussi le début de l'afforestation en Islande[M 3]. L'afforestation dans le parc a maintenant cessé, étant considéré comme une altération non justifiée du paysage et de l'écosystème du parc[M 3]. Les bouleaux du parc atteignent en moyenne une taille de 3 m[V 3]. Les sous-bois sont assez riches, avec principalement du géranium des bois (Geranium sylvaticum), diverses fleurs de la famille des hieracium et taraxacum, de la renoncule âcre (Ranunculus acris), de la ronce des rochers (Rubus saxatilis) et de l'alchémille commune (Alchemilla vulgaris)[V 4].

Les zones incluses lors de l'extension du parc en 2004, quant à elles, sont majoritairement recouvertes d'une lande où les mousses dominent. Les mousses sont des plantes pionnières, colonisant les champs de lave récents, mais sont aussi majoritaires sur les hauteurs du parc[V 3]. Le genre Racomitrium est le plus représenté[V 3].

Histoire

Fondation du parlement

Selon le Landnámabók, la colonisation de l'Islande commença en 874 lorsque Ingólfr Arnarson devint le premier colon permanent en Islande[13]. Durant les années qui suivirent, l'île se peupla peu à peu. Initialement, plusieurs assemblées locales[13] étaient organisées autour d'un chef (goði), mais à mesure de la croissance de la population, il devint évident que l'île avait besoin d'une assemblée générale[14]. De plus, les descendants de Ingólfr Arnarson, dominait le sud-ouest de l'Islande, et était devenus la famille la plus puissante d'Islande, de sorte que les autres chefs ressentirent le besoin d'établir une assemblée pour limiter l'expansion de la puissance de cette famille. L'état libre islandais est fondé.

Grímur Geitskör fut désigné pour trouver un endroit convenable où tenir l'assemblée[14]. Au même moment, un fermier qui habitait à Bláskógar (qui était alors le nom de la région de Þingvellir) fut déclaré coupable de meurtre[14]. Sa condamnation consistait au paiement d’une amende et à l’abandon de ses terres. C’est sur ces terres, qui devinrent propriété publique, qu’on décida d’établir l’Alþing, assemblée composée de 36 chefs locaux, qui se réunit pour la première fois en 930[15]. En effet, cette région rassemblait tout ce dont l'assemblée avait besoin (de l'eau, du bois pour le feu et une prairie pour les chevaux) et était facilement accessible des régions les plus peuplées[14]. Le goði le plus éloigné, dirigeant l'est du pays, devait voyager durant 17 jours, les montagnes et rivières formant d'importants obstacles[16].

Le parlement pendant l’État libre islandais

La domination étrangère

Þingvellir, symbole du nationalisme islandais

Tourisme

Parc national de Þingvellir *
Patrimoine mondial de l'UNESCO
Pays Drapeau d'Islande Islande
Subdivision Bláskógabyggð, Árnessýsla, Suðurland
Type Culturel
Critères (iii) (vi)
Superficie 9 270 ha
Numéro
d’identification
1152
Zone géographique Europe et Amérique du Nord **
Année d’inscription 2004 (28e session)
* Descriptif officiel UNESCO
** Classification géographique UNESCO

Le Cercle d'or

Þingvellir est un des sites les plus connus de l'Islande. Avec la chute Gullfoss et les geysers de la vallée Haukadalur, ils forment le cercle d'or.

Annexes

Galerie

Références

  1. a, b et c p. 5
  2. p. 7
  3. a et b p. 21
  • (en) Kristján Saemundsson, « Geology of the Thingvallavatn area », dans Oikos, vol. 64, 1992, p. 40-68 [texte intégral] 
  1. a, b, c et d p. 41
  2. p. 43
  3. a et b p. 47
  4. a et b p. 48-49
  5. a, b et c p. 53
  6. a, b et c p. 54-55
  7. p. 55
  8. p. 63
  9. p. 66
  10. p. 64
  • (en) Ingvi Thorsteinsson et Ólafur Arnalds, « The Vegetation and Soils of the Thingvallavatn Area », dans Oikos, vol. 64, 1992, p. 105-116 [texte intégral] 
  1. p. 106
  2. a, b, c et d p. 111
  3. a, b et c p. 115
  4. p. 115-116
  • (en) Guðmundur Hálfdanarson, « Þingvellir: An Icelandic “Lieu de Mémoire” », dans History and Memory, vol. 12, 2000, p. 4-29 [texte intégral] 
  • (en) Jón R. Hjálmarsson, History of Iceland: From the Settlement to the present day, Reykjavik, Iceland Review, 2007, 208 p. (ISBN 978-9979-2-2058-9) 
  • Autres
  1. voire la carte sur le site du parc de Þingvellir
  2. a, b, c et d (en)Agust Gudmundsson, « Tectonics of the thingvellir fissure swarm, sw iceland », dans Journal of Structural Geology, vol. 9, 1987, p. 61-69 [texte intégral] 
  3. a, b, c, d et e (en)Markús Á. Einarsson, « Climatic Conditions of the Thingvallavatn Area », dans Oikos, vol. 64, 1992, p. 96-104 [texte intégral] 
  4. (en)Öxará - Þingvellir national park sur Nordic adventure travel. Consulté le 3 juin 2011
  5. a, b, c, d et e (en) P.M. Jonasson, « The ecosystem of Thingvallavatn : a synthesis », dans Oikos, vol. 64, 1992, p. 405-434 [texte intégral] 
  6. (en)Geologic History sur Thingvellir National Park. Consulté le 6 juin 2011
  7. (en)Continental Drift sur Þingvellir National Park. Consulté le 6 juin 2011
  8. a, b et c (en) Páll Hersteinsson, « Mammals of the Thingvallavatn Area », dans Oikos, vol. 64, 1992, p. 396-404 [texte intégral] 
  9. (en)Vegetation and wildlife sur Þingvellir National Park. Consulté le 14 juin 2011
  10. a, b et c (en) Kjartan G. Magnússon, « Birds of the Thingvallavatn area », dans Oikos, vol. 64, 1992, p. 381-395 [texte intégral] 
  11. a et b (en)The fish in the lake sur Þingvellir National Park. Consulté le 14 juin 2011
  12. a et b (en) Bjarni K. Kristjánsson et Jörundur Svavarsson, « Subglacial Refugia in Iceland Enabled Groundwater Amphipods to Survive Glaciations », dans The American Naturalist, vol. 170, no 2, 2007 [texte intégral] 
  13. a et b (en)Milestones in Icelandic History sur Iceland on the web. Consulté le 19 janvier 2011
  14. a, b, c et d (en)Settlement sur Thingvellir. Consulté le 19 janvier 2011
  15. (en)Jesse Byock, « The icelandic Althing - Dawn of Parliamentary Democracy », dans Heritage and Identity: Shaping the Nations of the North, 2002 [texte intégral (page consultée le 19 janvier 2011)] 
  16. cf la saga de Hrafnkell

Liens internes

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