Paul Mac Cartney

Paul Mac Cartney

Paul McCartney

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Paul McCartney
Paul McCartney lors d’un concert avec les Wings en 1976.
Paul McCartney lors d’un concert avec les Wings en 1976.

Alias Macca
Nom James Paul McCartney
Naissance 18 juin 1942 (67 ans)
Liverpool, Royaume-Uni Royaume-Uni
Profession(s) Auteur-compositeur
Musicien
Activiste
Genre(s) Pop
Pop rock
Rock 'n' roll
Rock psychédélique[1]
Instrument(s) Guitare
Guitare basse
Claviers
Batterie
Années actives de 1957 à aujourd’hui
Label(s) Apple
Capitol
EMI
Parlophone
Site Web http://www.paulmccartney.com

Entourage The Beatles (The Quarrymen)
Wings
Jane Asher
Brian Epstein
George Martin
Linda McCartney
Heather Mills
Yoko Ono

Sir James Paul McCartney, MBE (né le 18 juin 1942 à Liverpool, en Angleterre), est un auteur-compositeur, chanteur et multi-instrumentiste britannique. Il fut le co-leader et le bassiste du groupe anglais The Beatles de 1957 à 1970, puis le fondateur et meneur des Wings de 1971 à 1981, avant de poursuivre une carrière en solo ininterrompue à ce jour, et de donner des concerts dans le monde entier, au cours desquels il reprend les plus grands succès composés ou co-composés depuis plus de 45 ans.

Au sein des Beatles, avec son partenaire John Lennon, il forme un des tandems les plus influents et les plus féconds de l’histoire du rock et « donne naissance à une bonne partie des chansons à succès du rock »[2]. Après la séparation des Beatles en 1970, McCartney lance avec succès sa carrière solo puis forme, avec sa femme Linda et le musicien originel des Moody Blues Denny Laine, le groupe Wings, qui accueille plusieurs autres membres durant ses années d’activité, avant de se dissoudre en 1981. Il a contribué à la bande sonore de plusieurs films, composé des albums de musique classique et électronique. Il a écrit un important catalogue de chansons avec les Beatles et les Wings, ainsi qu’en tant qu’artiste solo, et a pris part à plusieurs projets caritatifs[3].

Unique détenteur du « Ultimate Legend Award »[4] et d’un disque de rhodium[3], il est considéré comme l’un des compositeurs les plus populaires du XXe siècle et l’un des plus gros vendeurs de disques de sa seconde moitié.

Sommaire

Biographie

1942-1957 : enfance et adolescence

Son père, Jim, jouait du piano dans un orchestre de jazz et était représentant en coton. Il fut aussi pompier de nuit. Il jouait de la trompette mais sans grand succès. Sa mère, Mary, ancienne infirmière, mourut en 1956 d’un cancer du sein.

1957-1970 : les Beatles

Articles détaillés : The Beatles et The Quarrymen.

Paul commence par jouer de la trompette, puis du piano, comme son père, pour enfin apprendre la guitare à partir de l’âge de 14 ans. Il rencontre John Lennon le 6 juillet 1957 à une fête paroissiale (kermesse), par l’intermédiaire de son ami Ivan Vaughan. Son premier pseudonyme est Paul Ramon, nom qui sera repris en hommage par les Ramones. Au sein des Beatles, il passe à la basse lorsque le premier bassiste Stuart Sutcliffe quitte le groupe en 1961. Sa basse violon Hofner connaîtra elle-même la célébrité grâce à son illustre instrumentiste. Paul l’avait choisie car, étant gaucher, sa forme symétrique lui convenait. Paul et John s’associent très vite, encore adolescents, pour écrire des chansons.

Paul McCartney en 1964.

Sous la houlette de leur jeune manager Brian Epstein (qui décédera en août 1967) et à partir de leur engagement par George Martin chez Parlophone (une division d’EMI) à l’été 1962, les Beatles deviennent mondialement célèbres et connaissent le plus gros succès commercial de l’industrie discographique au XXe siècle. La « signature » Lennon/McCartney entre dans l’histoire de la musique. Ils deviennent le duo de compositeurs le plus célèbre du mouvement rock et de ses dérivés. Seulement six années s’écoulent entre les enregistrements de leur premier (Please Please Me) et de leur dernier (Abbey Road) disque. C’est Paul McCartney qui annonce la séparation du groupe phare des années 1960, le 10 avril 1970, dans un communiqué de presse inséré dans la pochette promotionnelle de son premier disque solo. Il lui arrive de composer pour d’autres artistes et de les produire, comme c’est le cas pour Mary Hopkin, la première artiste, en dehors des Beatles, à signer chez Apple.


1971-1981 : les Wings

Article détaillé : Wings (groupe).
Paul et Linda McCartney pendant une remise de prix en 1974.

Après les Beatles, il publie d’abord deux albums sous son propre nom. Le premier, intitulé tout simplement McCartney, est enregistré dans sa ferme en Écosse. Paul, en bon multi-instrumentiste qu’il est, y joue seul de tous les instruments (il sortira deux autres albums 100 % solo, McCartney II et vingt-cinq ans plus tard, en 2005, Chaos and Creation in the Backyard).

Le deuxième album, Ram, est toujours solo, mais y jouent déjà deux futurs membres de son groupe Wings : son épouse Linda et Denny Seiwell, ainsi que David Spinozza et Hugh McCracken, deux musiciens de studio qui travailleront trois ans avec les Wings. Cet album suscitera ce commentaire élogieux : « Les Beatles sont revenus, ils s’appellent aujourd’hui Paul McCartney »[réf. nécessaire]. Il est de fait que la chanson Uncle Albert/Admiral Halsey a quelques accents de Sgt. Pepper, avec ses cuivres et ses cordes.

Puis, en septembre 1971, Paul crée son propre groupe, les Wings, dont fait partie sa femme Linda. En 1973, Band on the Run, le troisième album du groupe, lui vaut la consécration des critiques. Paul enchaîne en 1975 avec l’album Venus and Mars, album spécialement conçu en vue d’une tournée mondiale avec les Wings[5].

La chanson Silly Love Songs vaut à la tournée des Wings aux États-Unis un succès qui ne cède en rien à celui des anciens Beatles. La chanson se veut une réponse sans méchanceté à John Lennon qui donnait à l’époque une coloration plus politique à ses chansons et avait déploré dans une interview la prolifération de ces « chansons d’amour idiotes » en question, sans d’ailleurs citer Paul. Un téléfilm de Michael Lindsay-Hogg devenu mythique, Two of Us, décrit la rencontre de John et Paul lorsque les Wings passèrent en tournée à New York. En 1978, il compose avec Denny Laine la chanson Mull of Kintyre, qui reste à ce jour le 45 tours le plus vendu au monde.

En octobre 1979, le Livre Guinness des records lui remet un disque de rhodium certifiant ses ventes records de disques. Il est le seul artiste au monde à avoir reçu pareille récompense. 1979 est, par ailleurs, l’année de la sortie du dernier album des Wings, Back to the Egg, qui connaît un succès moindre que les albums précédents. Le groupe Wings se dissout en mai 1981, après l’arrestation de Paul au Japon pour détention de marijuana[3].

1980-aujourd’hui : carrière solo

Choqué par la mort de John Lennon, le 8 décembre 1980, Paul lui rend hommage sur son second album solo post-Wings, dans la chanson Here Today. Cette chanson est reprise, bien des années plus tard, en 2003, sur son album live Back in the World. On y trouve également une reprise en forme d’hommage de la chanson Something de George Harrison.

Il collabore avec Michael Jackson en 1982 pour sa chanson The Girl Is Mine et Say Say Say, et avec Stevie Wonder en 1981 pour Ebony and Ivory (parue sur l’album Tug of War).

Expérimentations musicales

Un magazine japonais donna à Paul quarante-huit heures pour faire une liste de ses dix chansons préférées. Parmi ces dix chansons, nous pouvons citer God Only Knows des Beach Boys, et plusieurs morceaux rock des années 1950. Il cita également trois chansons de son œuvre, Love Me Do des Beatles, Daytime Nightime Suffering, et We Got Married qui figure sur l’album Flowers in the Dirt et dans la tournée mondiale de cette même année, Tripping The Live Fantastic.

Après la mort de Linda à laquelle il rend hommage dans l’oratorio Ecce cor meum qu’il compose en 2006, il épouse Heather Mills, ancien mannequin qu’il a rencontrée lors de l’organisation d’un gala pour Handicap International, et elle-même handicapée d’une jambe. Elle s’est, en 2006, attiré les foudres des tabloïds anglais à la suite de l’annonce de son prochain divorce avec Paul et pour avoir posé dans sa jeunesse pour des photos de charme.

Le frère de Paul, Mike McGear (Peter Michael McCartney), qui chantait déjà avant que les Beatles rencontrent le succès (et changea son nom à ce moment-là, afin de ne pas passer pour opportuniste), faisait partie du groupe The Scaffold qui connut aussi son moment de gloire avec une chanson « à boire », Lily The Pink, devenue en France par l’intermédiaire de Richard Anthony Le sirop typhon, fin 1968.

En 1993, McCartney et Youth lancent le duo d’électro-expérimental The Fireman.

« Retour » des Beatles

Paul McCartney est aujourd’hui très actif dans la promotion des droits des animaux et du végétarisme, soutenant régulièrement les campagnes de Peta. Il a été anobli par la reine d’Angleterre.

Le nom de l’album Flaming Pie provient d’une vision que John Lennon aurait eue lorsqu’il était jeune, d’un homme sur un pâté en feu qui lui aurait dit qu’il serait un beatle avec un grand A, anecdote intéressante puisque l’album était censé être un hommage à l'époque des Beatles.

Paul McCartney consacre par ailleurs une grande partie des années 1990 à la réalisation du projet The Beatles Anthology, dans lequel ceux-ci se racontent, et qui débouche sur la publication de trois doubles albums, une série télévisée et un livre entre 1994 et 2000.

Regain de popularité

En octobre 2003, Heather Mills donne naissance à Béatrice, le quatrième enfant de l'ancien chanteur des Beatles et des Wings. Le 25 mars 2003, au début de son concert à Bercy pour la tournée Back in the World, une partie de la foule entonna Give Peace a Chance de John Lennon pour protester contre la seconde guerre d’Irak qui avait commencé trois jours plus tôt.[6] Paul McCartney se contente d’applaudir, mais ne chante pas la chanson de John avec le public parisien. Est-ce pour des raisons techniques ou parce qu’il approuve la position des gouvernements américain et britannique ? Ou, peut-être, parce qu’il ne souhaite pas manifester publiquement son désaccord ? Quoi qu’il en soit, il a déjà chanté cette chanson en hommage à John Lennon lors d’un de ses concerts à Liverpool. Quelques semaines plus tard, lors du concert au Sportspaleis d’Anvers, après l’hommage à John et à George, le public a réclamé une chanson de Ringo, et Paul, amusé, a entamé Yellow Submarine, puis, entendant le public crier « une autre », il a joué quelques notes de Octopus's Garden, avant de demander en riant à la foule si c’était le répertoire de Ringo qu’elle voulait écouter ou le sien...

Paul entame en juillet 2006 une procédure de divorce à l’encontre de Heather Mills McCartney. Il lui reprocherait d’être devenue « déraisonnable » et trop difficile à gérer. Alors qu’avait été avancé le chiffre de 400 millions de dollars, soit le quart de la fortune de McCartney, son ex-épouse a obtenu 56 millions de dollars.

Paul McCartney et John Lennon sont souvent cités comme le duo d’auteurs-compositeurs le plus talentueux et le plus prolifique du XXe siècle. Leurs challengers se nomment Jerry Leiber & Mike Stoller ou pour certains Richard Rodgers & Oscar Hammerstein II, Doc Pomus & Mort Shuman, Burt Bacharach & Hal David, etc. L’éternel jeune bassiste gaucher de Liverpool a composé un nombre impressionnant de succès pop. Avec et sans les Beatles, il a cherché également à explorer des formes nouvelles, il a composé notamment deux oratorios classiques. Salué par la critique, son dernier album Memory Almost Full, paru au printemps 2007, rappelle qu’il est un des plus grands mélodistes du siècle. Il a aujourd’hui soixante-sept ans et a donc dépassé l’âge de When I'm Sixty-Four, de l’album Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band des Beatles. Il avait écrit cette chanson à l'âge de quinze ans.

En juillet 2007, on estimait la fortune de Paul McCartney à environ 1,6 milliard de dollars.

Le 22 octobre 2007, Paul McCartney se produit à l’Olympia pour la troisième fois de sa carrière après ses passages avec les Beatles puis les Wings. C’est donc cette fois-ci en solo qu’il enflamme un public de 2 000 personnes (ayant pour certaines passé la nuit devant l’Olympia pour décrocher leurs places) avec ses éternels succès ouvrant le set seul face au public, guitare folk en bandoulière avec Blackbird. Le spectacle se clôture par le classique I Saw Her Standing There. Devant l’ovation du public qui refuse de partir même une fois les lumières rallumées, il revient sur scène avec ses musiciens le temps d’un ultime Get Back.

Fin mai 2008, Paul McCartney est récompensé par l’université américaine de Yale qui lui décerne un doctorat honorifique en musique pour avoir « apporté un son nouveau au rock ainsi qu’au rythm and blues ».

Le 1er juin 2008, dans le cadre des manifestations de « Liverpool Capitale Européenne de la Culture », Paul McCartney participe à un concert au stade d’Anfield, dans sa ville natale. Il est précédé sur scène par The Zutons et les Kaiser Chiefs. Vers 21 heures il monte enfin sur scène pour une prestation de deux heures durant laquelle il réserve de belles surprises à son public, à commencer par la chanson d’ouverture Hippy Hippy Shake, un standard du rock’n’roll repris par les Beatles au début de leur carrière dès 1960 à Hambourg et au Cavern Club, et jamais rejoué sur scène depuis ; il rend également hommage à George Harrison en reprenant Something dans une superbe version démarrée seul au ukulélé et terminée magnifiquement avec l’ensemble du groupe. En fin de set c’est à John Lennon qu’il rend hommage en reprenant pour la première fois sur scène le morceau A Day in the Life couplé au fameux morceau de Lennon Give Peace a Chance. On notera enfin la présence de Yoko Ono et Olivia Harrison dans le public ainsi que la venue d’un invité de marque : Dave Grohl (ancien batteur de Nirvana) qui vient jouer de la guitare sur Band on the Run puis de la batterie sur Back in the U.S.S.R. ; il revient également en toute fin de concert reprendre place à la batterie pour I Saw Her Standing There qui clôturera cette prestation d’ores et déjà historique. [7]

Paul McCartney s’est produit le 14 juin 2008 à Kiev, la capitale de l’Ukraine, à l’occasion d’un grand concert gratuit subventionné intégralement par un milliardaire ukrainien. Paul a, à cette occasion, offert la possibilité aux Ukrainiens de choisir dix chansons qu’il a interprétées lors de ce concert. Il a ainsi soumis au vote sur internet une liste d’une quarantaine de chansons, laissant à chacun la possibilité de voter pour ses deux préférées, s'engageant à intégrer les dix morceaux qui arriveraient en tête de classement à la clôture des votes lors de ce concert. La liste de titres soumise au vote couvre l’ensemble de sa carrière, des Beatles à ses titres solo en passant par les Wings ; elle a également la formidable particularité de présenter des titres peu joués (Paperback Writer, All You Need Is Love, Silly Love Songs...), voire jamais joués sur scène (Girl, When I'm Sixty-Four, Ob-La-Di, Ob-La-Da, Oh! Darling, Your Mother Should Know, Pipes of Peace, Mrs Vanderbit...) jusque-là.

Le 20 juillet 2008, la ville de Québec a bénéficié d’un concert gratuit donné par Sir Paul sur les Plaines d’Abraham, dans le cadre du 400e anniversaire de la ville de Québec. Le concert était précédé des prestations du groupe The Stills et du Pascale Picard Band. À maintes reprises, McCartney s’est adressé à la foule en français pour rendre hommage aux Québécois et à la ville de Québec, à laquelle il a dédié la chanson Birthday. Entre 250 000 et 270 000 spectateurs ont assisté à l’évènement et l’artiste a paru subjugué par l’atmosphère qui régnait. Ce concert avait été précédé, deux jours plus tôt, par la participation de l’ex-Beatle à un spectacle de Billy Joel donné au Shea Stadium de New York, à l’occasion de ce qui devait être le dernier évènement public à être organisé dans cet amphithéâtre avant sa démolition. Suite au spectacle de Québec, Paul McCartney déclara qu’il venait de vivre l’un des week-ends les plus intenses de sa carrière[réf. nécessaire].

Le 25 septembre Paul McCartney s’est produit à Tel-Aviv, faisant fi des menaces de mort qui pesaient sur lui. Le 6 novembre Paul McCartney a reçu un MTV Ultimate Legend, un prix spécialement créé pour lui. Le 24 novembre 2008 est sorti Electric Arguments, un nouvel album expérimental de treize chansons coécrit avec Youth, sous son pseudonyme The Fireman.

Le 15 juillet 2009, Paul McCartney est l'invité du Late Show de David Letterman. A la fin de l'émission, il s'installe avec son groupe sur le hauvent de l'entrée du Ed Sullivan Theater de New York (où l'émission est enregistrée) pour donner un court concert de 23 minutes au cours duquel il a interprète Coming Up, Band On The Run, Let Me Roll It, Helter Skelter et Back in the U.S.S.R. en présence d'un large public regroupé en face du théatre[8].

Vie personnelle

Mariage avec Linda Eastman

Brian Epstein avait fait de son mieux pour cacher que John Lennon était marié (il était meilleur pour leur image auprès des jeunes groupies que celles-ci les croient célibataires), mais l’information transpira. Lorsque la question fut évoquée dans une interview du groupe, John vanta les joies de la paternité, tandis que Paul déclarait que cette condition ne l’attirait guère. Après A Hard Day’s Night, Jane Asher deviendra une sorte de « fiancée permanente » de Paul, qui offrira quelques chansons à son frère Peter Asher du duo Peter and Gordon (dont World Without Love). Ils étaient inséparables, on les voyait partout ensemble, et puis un jour Paul, dernier des Beatles à être resté célibataire, annonce son mariage avec une jeune Américaine divorcée nommée Linda Eastman ! Les chercheurs d’indices se déchaînent : n’est-ce pas la preuve attendue que ce Paul-là n’est pas le même Paul ?

En 1969, Linda donne naissance à Mary, sa seconde fille et le premier enfant de Paul. Et durant les années 1970, deux autres petits McCartney naissent, une autre fille prénommée Stella et un garçon, James.

Paul se pose en fanatique monogame : Linda est mobilisée dans son groupe Wings, Paul ne tarit jamais d'éloges sur Linda, Paul crée des chansons pour célébrer ouvertement Linda (My Love, Letting Go...), Paul indique à longueur d'interview que la chance de sa vie est d'avoir rencontré Linda, etc. Dans un monde du show-biz où le divorce est chose courante (les autres Beatles ont l'occasion de le découvrir), contre toute attente, c'est le couple de Paul et Linda qui restera stable jusqu'à la mort de celle-ci.

Pseudonymes

  • Paul Ramon (durant les premières tournées des Beatles en Écosse)[9] ;
  • Percy "Thrills" Thrillington (pour la version instrumentale de Ram) ;
  • The Fireman, utilisé pour désigner le duo électro homonyme ;
  • Sans être un pseudonyme, Macca est le surnom le plus employé pour désigner McCartney.

Hommages

Collaborations

À l’Olympia le 22 octobre 2007.

« Paul is dead »

Une légende urbaine répandue à la fin des années 1960 déclarait que Paul McCartney était mort en 1966 dans un accident de voiture et qu’il avait été remplacé par un sosie. De nombreuses « preuves » avaient alors été minutieusement recherchées sur les pochettes d’albums et dans les chansons.

Discographie

Pour les albums faits en solo et/ou avec les Wings, voir : Discographie de Paul McCartney.
Pour les albums créés avec les Beatles, voir : Discographie des Beatles.

Filmographie

Notes et références

  1. Paul McCartney a expérimenté plusieurs genres musicaux tout au long de sa carrière. Ici sont mentionnés les genres résumant le mieux son œuvre.
  2. (en) The Lennon-McCartney Songwriting Partnership, 2005, BBC. Consulté le 14 décembre 2006.
  3. a , b  et c (en) Louis-Philippe Ouimet, Paul McCartney : les années 1970-2002, Quebecor Media, 2003 (ISBN 2-7640-0642-X) 
  4. MTV Honours Sir Paul McCartney sur EMA Liverpool 8, 5 novembre 2008. Consulté le 2 juin 2009.
  5. Venus and Mars (1975) sur MaccaFan (en construction), 2001. Consulté le 9 juillet 2009.
  6. Paul McCartney, Bercy Palais Omnisports, Paris | | guardian.co.uk Arts
  7. Liverpool
  8. Vidéo du mini-concert du 15/07/09 sur Youtube
  9. The Beatles Anthology, Seuil, 2000.

Bibliographie

  • Loïc Picaud, Paul McCartney, Hors Collection, Paris, 2005, 72 p., (ISBN 2-2580-6822-3).
  • Dominique Grandfils, Paul McCartney. Morceaux choisis, 2006, 232 p., (ISBN 978-2952746403).
  • Aurélien Allin, Paul McCartney : la biographie, City Éditions, Saint-Victor-d’Épine, 2005, 446 p., (ISBN 2915320144).
  • Ray Coleman, Paul McCartney: Yesterday & Today, Genesis Publications, Guildford, 1995.

Liens externes

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