Pierre A. Riffard

Pierre A. Riffard

Pierre A. Riffard est un philosophe français et spécialiste de l'ésotérisme. Né à Toulouse, il est professeur à l'Université Antilles-Guyane, en pédagogie et philosophie.


Sommaire

Ésotérisme

L'ésotérisme serait pour Pierre A. Riffard « un enseignement occulte, doctrine ou théorie, technique ou procédé, d'expression symbolique, d'ordre méta-physique, d'intention initiatique. Le druidisme, le Compagnonnage, l'alchimie sont des ésotérismes. »[1]

ouroboros, Ἓν τὸ πᾶν, « Un le Tout » (Zosime de Panopolis)

Pierre A. Riffard a soutenu une thèse de 3e cycle en philosophie sur la formule grecque Έν καì Πãν (« Un et Tout ») puis une thèse d'État ès-lettres sur L'Idée d'ésotérisme (1987, Paris 1 Sorbonne), après avoir mené des recherches sur l'occultisme.

Auteur d'un Dictionnaire de l'ésotérisme (Payot, 1983 et 1993) qui fait autorité dans ce domaine[2],[3], il a écrit, pour la collection « Bouquins » des éditions Robert Laffont, deux gros volumes, l'un consacré à l'ésotérisme en général (L'ésotérisme. Qu'est-ce que l'ésotérisme ? 1990), l'autre aux ésotérismes non occidentaux (Ésotérismes d'ailleurs, 1997).[1] Pour définir un ésotérisme, il met en avant, dès 87, neuf "invariants", qui semblent un peu stricts quand on regarde la diversité des courants[4] :

  1. la discipline de l'arcane (garder le secret). Évangiles: “Ne donnez point les choses saintes aux chiens, et ne jetez point vos perles devant les pourceaux, de peur qu'ils ne les foulent à leurs pieds, et que, se retournant, ils ne vous déchirent.” [5]
  2. l'impersonnalité de l'auteur (marquer l'aspect surhumain du message)
  3. l'opposition entre l'ésotérique et l'exotérique (distinguer l'initié du non-initié, l'occulte du manifeste)
  4. le subtil (admettre des plans de réalité invisibles, supérieurs : aura, corps éthérique, influences astrales, ondes telluriques, anges gardiens...)
  5. les analogies et correspondances (mettre en résonance toutes les parties de l'univers : macrocosme et microcosme, gencives et doigts, sang et sève, couleurs et organes, animaux et vertus...)
  6. le nombre formel (choisir l'arithmétique symbolique comme clef par excellence : nombre d'or, cycles cosmiques, kabbale de la gematria, métrique en poésie, rythmes en musique...). Pythagore : “Les choses sont des nombres.” [6]
  7. les arts occultes (utiliser alchimie, astrologie, divination, magie, médecine occulte)
  8. les sciences occultes (penser l'interprétation spirituelle des textes, la lecture du "Livre de la nature" ou des "Archives âkâshiques", la théosophie, les études sur la vie après la mort...)
  9. enfin et surtout l'initiation (entrer en quête de perfectionnement, de libération spirituelles pour les autres, pour soi ou plutôt pour le SOI).

En d'autres termes, « un ésotérisme est un enseignement qui prend la forme d'une doctrine secrète ou d'une organisation initiatique, d'une pratique spirituelle ou d'un art occulte »[7]. Le gros livre sur l'ésotérisme se termine par une synthèse :

Sur la forme, un ésotériste a son secret : la prétérition ; il prétend ne rien dire, alors que, l'air de rien, il révèle ("je ne dirai rien de la nature sacrée de la sexualité" : c'est dit) ; par exemple, des symboles comme la pomme ou le serpent lové abondent en indices et clefs sur la sexualité, pourtant ils semblent obscurcir le discours ou l'image.

Sur le fond, l'ésotériste a aussi son secret : la réversion ; il renverse les idées ordinaires, il retourne les comportements banals, il chavire les émotions communes, pour revenir à l'origine ; par exemple, le kundalinî-yoga fait remonter l'énergie sexuelle au cerveau, l'alchimiste revient à la matière primordiale, quand tout redevient possible et puissant[8].

Sur le sens, l'ésotériste n'a pas de secret, il adopte juste un mode de vie[9], celui qui privilégie l'intérieur des choses ; par exemple, en amour il préfère un état de conscience supérieur à la jouissance sexuelle, en alchimie il s'attache à l'image solaire de l'or plutôt qu'à sa valeur marchande.

"Riffard's approach may thus be characterized as universalist, religionistic, and trans-historical" (Wouter Hanegraaff)[10].

Philosophie

Pierre A. Riffard publiait récemment, aux Presses Universitaires de France, des essais (Les philosophes : vie intime, 2004 ; Philosophie matin, midi et soir [2], 2006 consacrés au mode de vie[11] des philosophes, d'un point de vue psychologique et sociologique[12]. Dans Les philosophes : vie intime[13], il attire l'attention sur certains traits humains du philosophe, passés généralement sous silence, depuis Thalès jusqu'à Sartre :

problème de limites
  1. un handicap : être femme. Sur une liste officielle de 305 philosophes classiques on ne relève en 1991 qu'une seule femme.
  2. une occasion : être expatrié. Plus de 13 % des philosophes sont nés à l'étranger, dans les colonies. Plus de 54 % des philosophes ont vécu à l'étranger.
  3. un avantage : être orphelin. 68 % des grands philosophes sont orphelins à cinq ans.
  4. pas de précocité. En moyenne statistique, la première œuvre est publiée à 27 ans, l'œuvre maîtresse à 42 ans.
  5. l'acceptation de la langue culturellement dominante. Il faut se faire entendre dans une langue savante. 23 % des grands philosophes ont parlé latin (jusque 1905), 21 % grec et français, 13 % anglais (cette langue devient dominante).
  6. le refus de la religion idéologiquement dominante. On entre en philosophie comme on entre dans la Mafia, par un assassinat, celui du Dieu d'alors, des croyances du moment. Les grands philosophes sont chrétiens à 51 %, sans religion à 27 %, païens à 19 %.
  7. des maladresses en amour. L'exaltation amoureuse n'entre pas dans un programme philosophique (sauf pour Auguste Comte). Giordano Bruno: “En ce qui concerne les femmes, il est une chose que je suis sûr d’avoir en abomination, c’est cet amour fait de volupté ardente et désordonnée que certains leur portent, s’y livrant à tel point que leur génie s’en trouve esclave et que tombent en captivité les puissances et les actes les plus nobles de leur vie intellective.” [14]
  8. des risques de folie. Un bon philosophe maîtrise ses folies : mélancolie d'Héraclite, maniaco-dépression d'Auguste Comte, anxiété de Hegel, paranoïa de Rousseau, méningo-encéphalite syphilitique de Nietzsche...
  9. des succès sur la maladie. Beaucoup de philosophes souffrent, mais ils surmontent qui sa néphrite (Épicure), qui ses calculs reinaux (Montaigne), qui sa paralysie (Pascal, Feyerabend), qui la malvoyance (Démocrite, Plotin, Condillac, Cournot, Gonseth)...
  10. des papiers d'identité obscurs. Les philosophes jouent beaucoup avec les noms d'auteur, l'anonymat, etc. Descartes et Kierkegaard avancent masqués.
  11. des cartes professionnelles brouillées. 43,7 % des philosophes furent enseignants, les autres religieux (20,9), politiciens (9,3), sans profession (4,9), médecins (4 %), avocats ou juristes (3,1), éditeurs ou journalistes (3,1 %), aucun ou presque pour être artisan (Henry Thoreau) ou paysan (Gustave Thibon) ou marin (Michel Serres).
  12. des pieds ! Aristotélicien = péripatéticien = promeneur. Nietzsche : "Seules les pensées qui nous viennent en marchant ont de la valeur" (Le crépuscule des idoles).
  13. bien sûr, une tête (une tête ou deux, ou trois, si le philosophe change de philosophie, comme Schelling, Wittgenstein, Carnap). Un grand philosophe se signale au monde par une vaste mémoire sémantique personnelle et une obsession métaphysique universelle. Pascal "avait une mémoire si excellente, qu'il disait souvent qu'il n'avait jamais rien oublié des choses qu'il avait voulu retenir" [15], et il était obsédé par la confrontation des infinis.

« La philosophie est comme un casse-noix. Certaines personnes ne réussissent qu'à se pincer les doigts avec, les professionnels le retournent dans tous les sens, et puis - quand même - il se trouve des gens qui s'en servent pour ouvrir ces merveilleuses noix que sont les pensées. Philosopher, c'est bien ; philosopher soi-même, c'est mieux. Philosopher soi-même chaque jour sur le quotidien, sur du banal, c'est le mieux. »[16]

"La vision qu'a Pierre Riffard du philosophe est celle d'un être tiraillé par des sollicitations contraires : analyse et synthèse, le singulier et l'universel, certitude et doute" (Thomas Régnier)[17].

Thanatologie

"Squelette féminin". Bernhard Ungerer, 2008

La thanatologie est l'étude de la mort.

Le problème métaphysique de la vie après la mort[18] se ramènerait à une stratégie qui combine divers concepts et opère par choix idéologiques, à tel point, d'après Riffard, qu’on pourrait représenter graphiquement cette vieille inquiétude sur notre sort par un arbre de décision ! Au départ pointent des questions de méthode. I) Peut-on savoir s’il y a vie après la mort,  et comment en parler ? II) Où se documenter ? III) Quelles seraient les preuves et contre-preuves ? Ensuite, arrivent des questions de philosophie. A) faut-il dire non (A1), peut-être (A2) ou oui (A3) à la notion de « vie après la mort » ? B) qui ou quoi survit : une seule personne (B1), une élite (B2), la collectivité (B3), toute l’humanité (B4) ou le monde (B5) ? C) qu’est-ce qui survit : l'âme, une âme, l’esprit, le Soi... ? D) ce support est-il individuel, impersonnel, collectif ou universel ? E) à partir de quand survit-on : à l’instant du décès, à la « fin des temps » ?... F) pour combien de temps : toujours ?... G) selon quel temps : en temps linéaire, par cycles ou par spirale ?... H) où : sous terre, dans les étoiles, au paradis ou en enfer... ? K) selon quelle loi : le Jugement de Dieu, le Destin, le karma... ? L) pour quel type de survivance dans l’au-delà ou dans la nouvelle vie ? M) avec quelle fin dernière : extinction du moi (nirupadhishesha-nirvâna), union en Dieu... ?

Les sceptiques et les scientistes stoppent immédiatement la question par une suspension du jugement (A2). La conception chrétienne de la vie après la mort choisirait et enchaînerait, avec sa "logique", de simples croyances : survivance (A3), totalité de l’humanité (B4), spiritualisme (l’âme), fin des temps etc., pour mettre au bout résurrection des corps auprès de Dieu.

À l'arrivée, une dizaine de formes de survivance sont envisagées, qui peuvent coexister ou se succéder, fusionner ou se répartir. Elles se déclinent principalement en existence neutre (ex. : les limbes), existence larvaire ("fumée" selon Homère, "Ombres" selon les premiers juifs), existence démoniaque, damnation ou salut, réincarnation ou métempsycose, transformation en étoile (catastérisation), métamorphoses (palingénésie universelle) et éternel retour (palingénésie cosmique).

arbre de décision binaire
  • "La mort selon Leibniz", Thanatologie, no 83-84, 1990. Sur Leibniz.
  • "Comment se pose rationnellement le problème de la vie après la mort", Thanatologie, no 87-88, novembre 1991 ; rééd. Singuliers, no 12, 1994. Sur la vie après la mort.
  • "La mort selon Steiner", Thanatologie, no 89-90, avril 1992. Sur Rudolf Steiner.
  • "La mort selon Platon", Thanatologie, no 97-98, avril 1994. Sur Platon.
  • "La mort selon Descartes", Études sur la mort, Paris, Presses Universitaires de France, no 114, 1998, p. 97-112. Sur Descartes.
  • 23 articles in Philippe Di Folco (dir.), Dictionnaire de la mort, Paris, Larousse, coll. "In Extenso", 2010.

Publications

  • L'Occultisme, textes et recherches, Paris, Larousse, coll. "Idéologies et sociétés", 1981, 191 p. ISBN 2-03-861028-2.
  • Dictionnaire de l'ésotérisme, Paris, Payot, coll. "Bibliothèque scientifique", 1983, 387 p. ISBN 2-228-13270-5 ; rééd. coll. "Grande bibliothèque Payot", 1993, 387 p. ISBN 2-228-88654-8. Traduit en 5 langues.
  • L'Ésotérisme : Qu'est-ce que l'ésotérisme ?, Paris, Robert Laffont, coll. "Bouquins", 1990, 1016 p. ISBN 2-221-05464-4. Rééd. 2003. Traduit en 3 langues.
  • Ésotérismes d'ailleurs. Les ésotérismes non occidentaux : primitifs, civilisateurs, indiens, extrême-orientaux, monothéistes, Paris, Robert Laffont, coll. "Bouquins", 1997, 1242 p. ISBN 2-221-07354-1.
  • "Le penser ésotérique", "Existe-t-il un ésotérisme négro-africain ?", et "Descartes et l'ésotérisme", ARIES. Association pour la Recherche et l'Information sur l'Esotérisme, Paris, Archè, no 21, 1998, p. 1-28, 197-203. ISBN 8872521920.
  • "The Esoteric Method", in Antoine Faivre and Wouter Hanegraaff (eds.), Western Esotericism and the Science of Religion, Leyde / Boston, Peeters, coll. “Gnostica”, 1998, p. 63-74. [3]
  • "L'ésotérisme nous apprend-il quelque chose ?", dans Ésotérisme, gnoses et imaginaire symbolique : Mélanges offerts à Antoine Faivre, Louvain, Peeters, 2001, p. 807-817. [4]
  • Les philosophes : vie intime, Paris, Presses Universitaires de France (PUF), coll. "Perspectives critiques", 2004, 283 p. ISBN 2-13-053968-8. Traduit en 4 langues.
  • "Non-philosophe : ce n'est pas moi c'est toi", in Gilles Grelet (dir.), Théorie-rébellion, Paris, L'Harmattan, coll. "Nous les sans-philosophie", 2005, p. 42-45. ISBN 2-7475-9210-3.
  • Philosophie matin, midi et soir, Paris, Presses Universitaires de France (PUF), coll. "Perspectives critiques", 2006, 185 p. ISBN 2-13-055735-X.
  • "La transmission des savoirs ésotériques" (Université Laval, 2006) [5]
  • Nouveau dictionnaire de l'ésotérisme, Paris, Payot, 2008, 331 p. ISBN 978-2-228-90274-8.
  • "Discipline/Indiscipline en classe : paradis ou enfer ?", in Rodica Ailincai et Marie-Françoise Crouzier (dir.), Pratiques éducatives dans un contexte multiculturel, CRDP Guyane, 2010, vol. I.
  • "Qu'est-ce qu'une méthode (philosophique ou pas) ?", Revue internationale de didactique de la philosophie, CRDP Montpellier, no 46 (oct. 2010).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. P. Riffard, Dictionnaire de l'ésotérisme, Paris, Payot, 1983, rééd. 1993, p. 125.
  2. Claudie Voisenat et Pierre Lagrange, L'ésotérisme contemporain et ses lecteurs, Paris, Bibliothèque Centre Pompidou, 2005, p. 54.
  3. Le Figaro Magazine, n° 1270 : "Ésotérisme", 26 février 2005, p. 49.
  4. P. Riffard, L'ésotérisme, Paris, Robert Laffont, coll. "Bouquins", 1990, rééd. 2003, p. 245-371.
  5. Matthieu, VII, 6.
  6. Pythagore, in Aristote, Métaphysique, A, 6, 987b28.
  7. P. Riffard, Nouveau dictionnaire de l'ésotérisme, Paris, Payot, 2008, p. 96.
  8. P. Riffard, L'ésotérisme, p. 305-306, 385 (la prétérition) et p. 297-299, 381-387, 393-395 (la réversion) ; Ésotérismes d'ailleurs. Les ésotérismes non occidentaux, Paris, R. Laffont, coll. "Bouquins", 1997, p. 1051 (la prétérition) et p. 1036 (la réversion).
  9. P. Riffard, Nouveau dictionnaire de l'ésotérisme, Paris, Payot, 2008, p. 138.
  10. Wouter J. Hanegraaff, "On the Construction of Esoteric Traditions", in Antoine Faivre et Wouter J. Hanegraaff (dir.), Western Esotericism and the Science of Religion, Louvain, Peeters, coll. "Gnostica", 1998, p. 24.
  11. Sur la philosophie comme mode de vie : Pierre Hadot, Études de philosophie antique, Paris, Les Belles Lettres, coll. "L'âne d'or", 1998, p. 207-257 ; La Philosophie comme manière de vivre, Entretiens avec Jeannie Carlier et Arnold I. Davidson, Paris, Albin Michel, coll. "Biblio/essais", 2001. Et Sören Kierkegaard, Journaux et cahiers de notes (1834-1855), trad. du danois, Paris, Fayard, 2007 ss.
  12. Voir Évelyne Pieiller, « Comment peut-on être Platon ? », dans L'Humanité, 2004-10-09
  13. P. Riffard, Les philosophes : vie intime, Paris, PUF, coll. "Perspectives critiques", 2004, p. 33-232.
  14. Giordano Bruno, Les fureurs héroïques (1585), argument. Les Belles Lettres, 1954.
  15. Gilberte Périer, Vie de Pascal écrite par sa sœur (1662), II.
  16. P. Riffard, Philosophie matin, midi et soir, Paris, PUF, coll. "Perspectives critiques", 2006, p. 9.
  17. Thomas Régnier, "Un essai de Pierre Riffard. La philomafia", Le Nouvel Observateur, n° 2228, 1-7 avril 2004, p. 108.
  18. P. A. Riffard, « Comment se pose rationnellement la question de la vie après la mort ? », Thanatologie, Paris, Société de Thanatologie, bul. 87/88 (1991), p. 99-108 ; « Vie après la mort », in Philippe Di Folco, Dictionnaire de la mort, Paris, Larousse, 2010, p. 1075-1078.



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