Pont-Péan

Pont-Péan
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48° 00′ 46″ N 1° 42′ 17″ W / 48.01278099, -1.70466695

Pont-Péan
L’église, ancien vestiaire des mineurs.
L’église, ancien vestiaire des mineurs.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Canton Bruz
Code commune 35363
Code postal 35131
Maire
Mandat en cours
Jean-Luc Gaudin
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Rennes Métropole
Site web le site officiel de la commune
Démographie
Population 3 692 hab. (2008)
Densité 421 hab./km²
Aire urbaine 395 710 hab. ()
Gentilé Pont-péannais, Pont-péannaise
Géographie
Coordonnées 48° 00′ 46″ Nord
       1° 42′ 17″ Ouest
/ 48.01278099, -1.70466695
Altitudes mini. 17 m — maxi. 44 m
Superficie 8,76 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Pont-Péan (en breton : Pont-Pagan[1]) est une commune française, située dans le département d'Ille-et-Vilaine et la région Bretagne. Elle a été créée le 1er janvier 1986 par détachement de la commune de Saint-Erblon[2].

Sommaire

Géographie

Situation

Située à 12 kilomètres au sud de Rennes, la commune de Pont-Péan s'étire de part et d'autre de l'ancienne route royale de Saint-Malo à Bordeaux, devenue route nationale 137 puis RD 837. Elle appartient au canton de Bruz et compte, en 2011, parmi les 37 communes de la Communauté d'agglomération de Rennes.

Occupation des sols

Pont-Péan a une superficie de 876 hectares, dont 95 hectares urbanisés et 241 hectares en surface agricole utile (SAU). La zone agricole s'étend essentiellement à l'est de la RD 837. L'activité qui s'y exerce est en déclin constant : en 2006, il n'existait plus que cinq exploitations, tournées vers la polyculture et l'élevage.

Une friche industrielle occupe le nord-ouest de la commune.

Hydrologie

La commune appartient au bassin hydrographique de la Seiche, un affluent de la Vilaine qui crée une limite naturelle entre Pont-Péan et Chartres-de-Bretagne. Un ruisseau longe le territoire communal : la Douettée, à l'ouest du bourg. Un autre le traverse : le Tellé, à l'est. Ils se jettent tous deux dans la Seiche.

Les étiages de la Seiche sont sévères et les crues assez fortes. Les premiers relevés des niveaux de crues à Pont-Péan datent de 1931, le zéro de l'échelle ayant été placé à l'altitude de 17,30 m.

Date des crues mars 1937 février 1957 octobre 1966 décembre 1982 janvier 1995 décembre 1999 décembre 2000 janvier 2001
Hauteur d'eau, en mètres, par rapport au zéro de l'échelle +2,39 +2,15 +2,62 +2,35 +2,75 +2,60 +2,30 >+2,75

Des inondations affectent la commune par suite de ces crues à montée lente de la Seiche (en janvier 1995, les eaux sont montées à une moyenne de 8 à 9 cm/h), mais aussi de celles du Tellé, à montée plus rapide[3].

Relief

Le relief est peu marqué ; l'altitude varie de 17,5 m en bordure de la Seiche à 44 m à l'est près du lieu-dit Le Tellé. Du fait de cette absence de relief, la plaine alluviale de la Seiche constitue une vaste zone inondable au nord et au nord-est du bourg.

Sous-sol

Le contexte géologique de Pont-Péan est complexe et se traduit par une grande diversité des milieux naturels. Au Sud, des schistes rouges et durs culminent aux buttes de Caran, tandis qu'au Nord des schistes briovériens, plus anciens, sont en partie recouverts de sédiments. Une grande partie du territoire communal présente des dépôts alluviaux peu perméables : des argiles, des sables et des calcaires formant une couche épaisse[4].

Une faille de 20 km de long, vraisemblablement apparue il y a 290 millions d'années, borde ce dépôt de sédiments à l'Ouest. Elle s'est remplie d'un mélange de substances stériles et de substances métalliques. Serti dans la faille, le filon de Pontpéan a une puissance de 12 à 30 mètres[5]. Il est presque vertical, plongeant vers l'Est en formant avec l'horizontale un angle d'environ 80°. Il est à peu près orienté Nord-Sud magnétique et a été exploré sur environ 3 kilomètres. Il constitue le plus important filon plombo-zincifère du Massif armoricain et l'un des plus importants d'Europe[6]. La minéralisation comprend principalement des minerais de :

  • plomb (galène, PbS) ;
  • zinc (blende, ZnS) ;
  • fer (pyrite, FeS2).

Son exploitation a, par endroits, modifié la nature et la structure du sous-sol et provoqué quelques affaissements ou effondrements très localisés et ponctuels à l'aplomb de cavités souterraines superficielles[7]. Elle est aussi à l'origine des fortes teneurs en métaux lourds constatées dans les sols de la friche industrielle, où étaient stockés les résidus du traitement des minerais[8]. Une partie de ce secteur a été confinée[9].

Climat

Située dans le bassin rennais, la commune de Pont-Péan se trouve dans la zone la plus sèche de Bretagne, caractérisée par un climat océanique dégradé. Des brouillards sont fréquents en automne, des gelées en hiver, des orages accompagnés de violentes averses l'été. Les précipitations sont inférieures à 700 mm par an. La moyenne annuelle des températures varie entre 10 et 12° C. Les vents dominants viennent de l'Ouest.

Communes limitrophes

Administration

La mairie de Pont-Péan.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
février 1986 juin 1995 Pierre Récan   commercial
juin 1995 mars 2001 Louis Gauffeny   retraité gendarmerie
mars 2001 mars 2008 André Gérard Divers droite agriculteur
mars 2008 en cours Jean-Luc Gaudin PS cadre SNCF

La mairie de Pont-Péan a créé un CMJ : Conseil municipal des jeunes. Ces jeunes ont le moyen, par leurs statut d'élus, de monter des projets, les réaliser, donner leurs avis, et se faire entendre du Conseil municipal (des adultes). Ils sont appelés des élus, car ils sont élus par les jeunes de Pont-Péan, comme le conseil municipal. Après réélections en décembre 2007, il se trouve 9 élus, 3 filles et 6 garçons.

Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[10])
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
1271 1355 1287 1565 2011 3203 3715 3661 3692
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Histoire

Création de la commune

La commune a été créée par l'arrêté préfectoral en date du 4 juillet 1985, prenant effet le 1er janvier 1986, à partir du territoire de Saint-Erblon.

La lande de Tellé

La lande de Tellé (anciennement Teslé) a remplacé une grande forêt qui occupait la partie sud des environs de Rennes. Elle a été le siège des premiers peuplements sur la commune. Les premières peuplades préhistoriques y avaient édifié deux tumulus et un menhir. De cette période, seule demeure la trace d'un tumulus, transformé en motte féodale au cours du IXe siècle[2].

Durant la Révolution, de nombreuses rencontres entre les chouans et les bleus ont eu lieu sur la lande de Tellé. Un violent combat s'est déroulé à Pont-Péan le 28 brumaire an VIII (19 novembre 1799) faisant plusieurs victimes, parmi lesquelles le chef des royalistes de Laillé[11].

Toponymie, anciennes formes du nom

L'ancienne route de Nantes, qui traverse la commune, est la route royale créée dans un but stratégique par le Duc d'Aiguillon, que Louis XV nomma commandant en chef de la province de Bretagne en 1753. Le nouveau pont sur la Seiche qu'il fit alors construire porte la date de 1762.

Le nom de la commune viendrait, selon une première hypothèse, de la taxe demandée au XVIIIe siècle pour franchir ce pont sur la Seiche. Mais le village s'appelait déjà Pont-Péan avant le XVIIIe siècle.

Selon l'association Galène[12], le nom de la commune aurait pour origine celui d'un "seigneur de Pontpéan", qui au cours du IXe siècle, aurait possédé des terres de part et d'autre de la Seiche[2]. Bien que cette nouvelle hypothèse ait séduit la municipalité, elle gagnerait à être étayée par l'indication de sources vérifiables.

Les seules certitudes sont les formes anciennes dont il est resté une trace écrite : l'historien Marc Déceneux a relevé les formes Pontpayen et Pontpéan en 1427. Payen et sa variante Péan étant deux noms dérivés du latin paganus, paysan, le toponyme Pont-Péan pourrait donc avoir pour origine soit un pont paysan, soit un pont construit ou possédé par un dénommé Péan[9]. Hervé Abalain, professeur à l'Université de Bretagne Occidentale et membre du Centre de recherche bretonne et celtique, donne une explication similaire : Pontpayen viendrait de paen, c'est-à-dire païen au sens de paysan, Paen étant aussi un anthroponyme[13]. Pont-Pagan, appellation récente en langue bretonne, découle de la même analyse étymologique.

La mine de plomb argentifère

Bâtiment désaffecté des bureaux de l'ancienne mine de plomb.

Découverte

En 1628, Jean du Chastelet, Baron de Beausoleil et d'Auffembach et son épouse Martine de Bertereau découvrent à l'une des extrémités de la lande de Tellé « une bonne mine de plomb, contenant de l'argent, du vitriol, du soufre, du zinc, du mercure, de l'arsenic »[14].

Mais la mine n'est exploitée qu'un siècle plus tard, la concession minière ayant été accordée le 11 février 1730 à l'armateur malouin Noël Danycan de l'Épine, fondateur de la Compagnie des Mines de Bretagne.

Les puits

L'extraction du minerai de plomb, la galène, a d'abord lieu en surface à partir de 1730, sous la direction de Thomas Harrington, seigneur de la Corderie[9]. Commencée à l'extrémité nord de la zone métallifère, l'exploitation s'est ensuite étendue progressivement en direction du sud. Les nombreux puits ouverts dans la région nord de la mine, jusqu'au puits du Chapelet, remontent à la période initiale des travaux, entre 1730 et 1740. Le puits de la Boulangère a été commencé vers 1780, le puits des Députés en 1789, le puits de l'Orme, à la même époque ou à une date un peu postérieure, le puits de la République en 1794. Le puits du Midi, ouvert en 1862, est le seul nouveau puits d'exploitation du XIXe siècle[15]. Au total, 26 puits ont été creusés pour la reconnaissance ou l'exploitation du filon[16].

XVIIIe siècle

En 1754, l’intérêt de l'exploitation amène la participation de Joseph Pâris-Duverney qui finance de grands travaux. De juillet 1754 à novembre 1755, Pierre-Joseph Laurent détourne la Seiche pour l'éloigner de la mine. Les moyens hydrauliques de haute technicité qu'il met alors en œuvre servent de référence et d'illustration aux articles consacrés aux pompes et au plomb dans l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert[17].

La mine est abandonnée en 1796[18]. Les motifs de cet abandon, approuvé par un arrêté ministériel de 1797, sont attribués :

  • à la mauvaise situation financière ;
  • à l'obligation de livrer le plomb aux arsenaux de la marine à un prix fixé par le gouvernement et payé en assignats ;
  • à la nécessité d'établir de nouvelles machines d'assèchement ;
  • à la crainte que les massifs de minerai reconnus ne se continuassent pas en profondeur[19].

À ces difficultés déjà nombreuses, il faut encore ajouter :

  • l'émigration de l'un des "intéressés au capital de la société", Marnière de Guer ;
  • la chouannerie qui contraint à faire garder la mine par la troupe[20].

XIXe siècle

En 1829, la mine est concédée à la marquise Jeanne-Françoise-Chantal de Crécy de Bréhan, mais les travaux ne reprennent qu'en 1844, d'abord en surface, puis en profondeur à partir de 1852. À la fin du XIXe siècle, la mine de Pont-Péan devient le premier site extracteur de plomb argentifère du pays, fournissant à elle seule les quatre cinquièmes de la production nationale[9]. Toutefois, dans les dernières années, le déclin est rapide. Il s'explique par des conditions d'exploitation défavorables (importants besoins énergétiques et graves problèmes d'inondation des galeries), conjuguées à une crise qui frappe l'industrie du plomb. Un mauvais état des finances et une machine d'assèchement devenue obsolète fragilisent l'exploitation qui est incapable de surmonter la forte venue d'eau du 2 avril 1904. Après avoir atteint près de 600 mètres de profondeur, la mine est noyée[4]. Elle ferme brutalement, et un millier d'ouvriers sont licenciés[21].

XXe siècle

Après la fermeture, le site accueille une usine de lavage des anciennes boues, installée en 1907 par les frères Georges et Léon Delambre, acquéreurs des immeubles de l'ancienne compagnie. En 1910, cette usine occupe 120 à 125 ouvriers[6]. En 1912, Léon Delambre fonde une nouvelle société qui va adjoindre au lavage des minerais la production d'engrais chimiques, les superphosphates[9].

En 1928, on annonce, à grand renfort de publicité, la « résurrection » des mines de Pont-Péan et l’embauche imminente de plus de 500 ouvriers. Pour les loger, une vaste cité est construite en quelques mois sur la lande de Tellé[22]. Les puits de la République et du Midi sont équipés de nouveaux chevalements. L'eau des galeries de la mine est pompée pendant un an. Mais en 1932, la faillite de la société conduit à un procès qui révèle une véritable escroquerie[23]. La cité ouvrière n'accueillera pas de mineurs.

Les résidus de l'ancienne exploitation (schlamms et haldes) sont traités par flottation de 1937 à 1941, puis de 1951 jusqu'à l'épuisement des stocks en 1955[9].

Production

Du XVIIIe siècle au XXe siècle, l’exploitation et le traitement des minerais de Pont-Péan auraient produit environ :

  • 270 000 tonnes de concentré de galène à environ 55% de plomb ;
  • 78 000 tonnes de concentré de blende à environ 35 à 40% de zinc ;
  • 37 000 tonnes de pyrite à 35% de soufre ;
  • 15 000 tonnes de mixte pyriteux[24].

La mine de Pont-Péan a donc fourni près de 200 000 tonnes de métal, dont les 9/10 en plomb. Les teneurs en argent allaient de moins de 200 g à la tonne de plomb à plus de 3 kg. La blende atteignait jusqu'à 3,5 kg d'argent à la tonne[25].

Vestiges

Le bâtiment des bureaux, construit peu après 1890, est le principal vestige de la mine. Il a été inscrit monument historique par arrêté du 15 novembre 1985[26]. Derrière les bureaux subsistent d'anciennes halles, des logements ouvriers, et le château de la Clôture, construit en 1865 pour loger les directeurs de la mine. D'autres vestiges sont encore visibles : des round-buddles (lavoirs circulaires permettant d'enrichir le minerai par gravimétrie), les puits des Députés, de la République et du Midi[27].

En 1908, le vestiaire des mineurs a été doté d'un clocher et converti en chapelle par l'abbé Julien Gosselin. En 1948, il est devenu l'église paroissiale Saint Melaine (évêque de Rennes en 505). À proximité de l'église, d'anciens logements ouvriers rappellent les corons du nord de la France et ont été transformés en logements sociaux. Un autre bâtiment, converti lui aussi en habitation, porte encore l'enseigne "Hôtel de la mine".

Personnalités liées à la commune

Jumelage

Depuis 1999, Pont-Péan est jumelée avec Muinebheag du Comté de Carlow, au sud-est de l'Irlande, voir Muinebheag (en) [28]

Transports

  • Desservie par la voie express Rennes - Nantes (N 137).
  • Desservie par les bus du réseau STAR de Rennes Métropole :
    • Ligne 72 Pont Péan <> Chartres de Bretagne <> Rennes (Henri Fréville),du lundi au dimanche et jours fériés.
    • Ligne 172 Express Pont Péan <> Chartres de Bretagne <> Rennes (Henri Fréville) via N 137, du lundi au vendredi en période scolaire.

Notes et références

  1. Appellation récente, donnée par l'office de la langue bretonne (Ofis ar brezhoneg).
  2. a, b et c Histoire sur le site officiel de la commune
  3. Dossier départemental des risques majeurs, préfecture de l'Ille-et-Vilaine, 1996 & Rapport de présentation du plan local d'urbanisme de la commune de Pont-Péan, juin 2009, p. 116.
  4. a et b Rapport de présentation du Plan Local d'Urbanisme de la commune de Pont-Péan, juin 2009, pp. 23-24, 59-60 et 102.
  5. Les filons métalliques se présentent comme des espèces de veines, plus ou moins régulières, s’enfonçant dans l’écorce terrestre sous un angle plus ou moins grand, quelquefois voisin de la verticale, et présentant une puissance, c’est-à-dire une épaisseur, variable. Les parties latérales s’appellent les salbandes, ce sont souvent les parties les plus richement minéralisées. Les parois de la fente portent le nom d’épontes. La puissance est l’épaisseur comptée perpendiculairement aux épontes. Pratiquement, dans les mines, on suppose tout le minerai contenu dans le filon concentré sur une paroi et on calcule cette épaisseur d’après la quantité de minerai extraite sur un certain nombre de mètres. C’est ce qu’on appelle la puissance réduite du filon. À Pont-Péan, les moyennes annuelles ont varié de 4,2 cm à 7,6 cm. La puissance peut varier beaucoup dans le même filon, la distribution du minerai n’étant pas uniforme. Le plus généralement certaines parties contiennent très peu de minerai et ne sont pas exploitables, d’autres sont plus riches : on les appelle colonnes et elles sont seules exploitées. À Pont-Péan, il y avait deux colonnes exploitables, celle du nord et celle du sud, séparées par un grand intervalle où le filon était à peu près stérile. (Fernand Kerforne, chargé de cours à la Faculté des Sciences de Rennes, conférence sur les richesses minérales du Massif breton, faite à Rennes le 23 février 1918.)
  6. a et b Marina Gasnier, Le paysage de l'industrie en Ille-et-Vilaine, 2003, pp. 55-56.
  7. Affaissement de la chaussée en 1979, près du lieu-dit Le Luzard (Dossier départemental des risques majeurs, préfecture de l'Ille-et-Vilaine).
  8. H. Talbo, État des terrains situés à proximité de l'ancienne mine de Pont-Péan, BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières), 1993, Rapport BRE SP 93-01.
  9. a, b, c, d, e et f Jean Pierre Cudennec, site Pont-Péan au fil du temps.
  10. Pont-Péan sur le site de l'Insee
  11. Adolphe Orain, Monographies de trois communes du canton sud-ouest de Rennes, Revue de Bretagne, 1910, tome XLIII, p. 260.
  12. Association culturelle intercommunale pour la protection et la promotion du site minier et la création d'un musée vivant de la mine de Pont-Péan, créée en 1994.
  13. Hervé Abalain, Les noms de lieux bretons, 2000, p. 99.
  14. Site association Galène, Mines de Pont-Péan : les Beausoleil lire en ligne (consulté le 19 septembre 2010).
  15. Arthur Lodin, Annales des mines, 1895, t. VIII, p. 64.
  16. F. Trautmann, J.F. Becq-Giraudon, A. Carn,(1994) — Notice explicative, Carte géol. France (1/50000), feuille Janzé (353). Orléans : BRGM, 74 p. Carte géologique par F. Trautmann (1994), p. 55.
  17. Machines de Pontpéan décrites à l'article Pompe dans le volume XIII de l'Encyclopédie lire en ligne
  18. Arthur Lodin, Annales des mines, 1908, t. XIV, p. 70. Selon Joseph Fayn, l'abandon daterait de 1794.
  19. Joseph Fayn, Revue universelle des mines, de la métallurgie, des travaux publics, des sciences et des arts appliqués à l'industrie, 1863, tome XIII, p. 282.
  20. Anne-Françoise Garçon, La mine de plomb argentifère de Pontpéan au XIXe siècle (1827-1904), 1982, p. 22
  21. En 1902, la mine employait 969 adultes (Liste des électeurs pour le renouvellement du conseil d'administration de la Caisse de secours, Jean Pierre Cudennec, Pont-Péan au fil du temps) lire en ligne
  22. L'Ouest-Éclair, 12 juillet 1929 lire en ligne
  23. L'Ouest-Éclair, 20 et 21 juin 1934 lire en ligne
  24. R. Moussu et J.P. Prouhet, BRGGM (Bureau de Recherches Géologiques, Géophysiques et Minières), 1957, rapport A.1168
  25. F. Pillard, L. Chauris et C. Laforêt, Inventaire minéralogique de la France, N°13, BRGM, 1985.
  26. Notice no PA00090662, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  27. Le puits des Députés est situé sur le territoire communal de Bruz.
  28. Site consacré au jumelage

Annexes

Articles connexes

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Liens externes

Bibliographie

  • Anne-Françoise Garçon, La mine de plomb argentifère de Pontpéan au XIXe siècle (1827-1904), 1982, 313 p., (Archives d'I&V - Mémoire 2 J 359).
  • Pont-Péan à travers le carreau, Association Galène, Pont-Péan, 1998, 32 p.

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