Première maison des comtes d’Orange-Nice

Sceau des premiers Baux-Orange. Ce cornet n'entre pas dans les armes particulières de la maison de Baux, dont l'écu est de gueules, à l'étoile à seize rayons d'argent. Toutefois, en prenant possession d'Orange, elle a à peu près abandonné sa marque distinctive pour prendre le cornet, en mémoire de l'illustre paladin de Charlemagne, Guillaume au Cornet^[1].

La première maison des comtes d’Orange-Nice est fort ancienne, toutefois ses origines sont incertaines, car les comtes ou les comtesses émergent à peine de ses temps obscurs. Et puis le tort de certains historiens est de faire d'Orange aussi bien que de la Provence, une principauté transmissible, dès le principe, par droit d'hérédité. La transmission héréditaire ne commence réellement en Provence qu'avec le comte Guillaume Ier de Provence^[2]. Il est pourtant assez difficile de faire de Guillaume au Cornet, petit-fils de Charles Martel, cousin de Charlemagne un simple officier révocable. Mais, Guillaume au Cornet est-il comte d’Orange et comment le devient-il ? Quelle est la situation dans la future principauté d'Orange avant lui et puis qui sont ses successeurs ? Selon un certain nombre d’historiens, ce sont les membres de la première maison des comtes d’Orange-Nice qui règnent ou se succèdent de 793 à 1185^[3].

Orange jusqu’en 793

Orange.

Partie intégrante du territoire d'Avignon jusqu'au VII^e siècle, Orange a reçu les ordres et partagé les destinées de sa métropole. Le comte de celle-ci pour les Wisigoths et les divers rois francs, y délègue son autorité à un officier qui le représente et à qui l'importance de la cité donne une certaine considération^[2].

Vers l'an 700, la ville d'Orange a un comte de la qualité de ceux de ce temps-là. Il se nomme Theophude ou Theofret^[4].

Après la défaite de Poitiers (Moussais-la-Bataille plus exactement), en 730, les troupes d’Abd al-Rhamân refluent par la vallée du Rhône vers les côtes méditerranéennes. Les armées franques les poursuivent, prennent Avignon, en 737. Les troupes sarrasines sont dispersées à Montfrin, puis écrasées sur le plateau de Signargues, près du pont du Gard.

Horrifié par des exactions des Francs, le patrice provençal Moronte sollicite l’aide des Sarrasins qui reviennent à Avignon et Marseille. À Orange, le fils de Theophude qui porte le même nom, est tué par les Sarrasins vers l’an 730^[5].

Guillaume au Cornet, comte d’Orange ?

Rambaud II d'Orange, le croisé.

Les princes d'Orange de la quatrième race.

La légende veut qu’en 805, Charlemagne ordonne de bâtir sur les rives de la Durance, entre Avignon et Cavaillon, au lieu dit Bonpas, une chapelle qui sert à recueillir les ossements des victimes de l’invasion sarrasine. Sous les Carolingiens, la Marche de Provence se forme. L'ancienne suprématie d'Arles ressuscite. Orange et Avignon sont forcées de se plier à la nouvelle hiérarchie et reçoivent leurs gouverneurs de cette métropole ; mais ces comtes ne sont encore que des officiers ou lieutenants révocables, sans droit à la propriété et encore moins à la souveraineté.

Les Allemands possèdent sur Guillaume d'Orange, trois poèmes de différents auteurs. Le plus connu est celui du célèbre Wolfram von Eschenbach, composé vers l'an 1217. Il contient la bataille d'Aleschans (les Alyscamps ?) et le siège d'Orange ; mais l'auteur ne le termine pas. Comme Wolfram n'avait écrit que la partie du milieu du roman, deux autres poètes du XIII^e siècle le complètent. Ulrich von dem Türlin, vers 1270 ajoute la première partie de l'histoire : Ulrich von Thürheim, vers 1247, écrit la dernière. Guillaume d'Orange, chansons de geste des XIe et XII^e siècle, sera édité à la Haye, en 1854, par W J. A. Jonckbloet, professeur à la faculté des lettres de l'Université de Groningue, qui remarque une confusion entre Guillaume Cornet dit d'Orange et Guillaume Ier de Provence (955-993). Il est aussi souvent identifié à Guillaume d'Aquitaine (912-915), lui aussi petit-fils de Charles-Martel. Certes, ils se prénomment tous les trois Guillaume, sont de grands seigneurs et combattent les Sarrasins, mais à des époques totalement différentes.

La 7^e branche de la chanson de Guillaume au court Nez nous dit que Guillaume s'ennuie dans sa ville de Nîmes. Un chevalier échappé des prisons d'Orange vient lui vanter la beauté de cette ville et les charmes de la belle Orable. Guillaume se rappelle qu'il a eu autrefois l'intention d'épouser la princesse. Il part donc sous un déguisement avec le prisonnier, et pénètre dans Orange; il est reconnu et va périr, quand il est sauvé par Orable, qui livre la ville aux chrétiens. Il fait baptiser sa libératrice et l'épouse.

Selon les chroniqueurs, Guillaume au Cornet (752-812), après avoir vaincu les Sarrasins en plusieurs rencontres, passe le Rhône à la sollicitation de Salicus, évêque d'Orange (788-798), met le siège devant celte ville dont un roi musulman (Theobard) s'est emparé, l'emporte d'assaut et se rend maître de tout le pays^[6]. Charlemagne, pour reconnaître ses services, érige Orange en souveraineté indépendante et l'en investit en 793^[7]. Il se qualifie de comte d'Orange en 806 entre autres titres^[8]. En 793 l’empereur Charlemagne fait don aussi de terres autour d’Orange, dont Suze à son cousin Guillaume au court nez pour le remercier de son aide pour la libération d'Orange. L'endroit devient alors un relais de chasse.

Guillaume de Gellone laisse à la ville d'Orange son emblème : un petit cor. Fidèle aux chroniqueurs qui les disent descendants de Guillaume au Cornet les comtes d’Orange vont reproduire ce cornet sur leurs monnaies, leurs blasons et leur sceaux, pendant des siècles^[9].

L’abbé Costaing, son livre sur Laure des Baux, le qualifie prince d'Aquitaine et d'Orange^[10]. C’est aussi l’avis de Joseph de Lapise, dans son Tableau de l'histoire des Princes et Principauté d'Orange. Divisé en quatre Parties. Selon les quatre Races qui y ont régné souverainement depuis l'an 793^[11] qui nomment ses successeurs.

Les premiers comtes d’Orange

Armoiries des princes d’Orange aux siècles suivants : D'or, au cor d'azur, lié, enguiché et virolé de gueules.

Blason des princes des Baux et d'Orange, ceux de la deuxième race.

• Sa fille Hérimbrue d’Orange, ou Hélemburge (vers 773-839), lui succède dans sa principauté, qu'elle porte en dot à un seigneur provençal^[12] . Ce seigneur, est peut-être un certain Rollin ou Gosselin, grand seigneur du royaume d'Arles, et qui, selon quelques-uns, est de la Maison des Baux. Elle gouverne jusqu'en 839^[13].

• Leurs fils présumés règnent après elle jusqu’en 879-880. Hugon et Rorgon se partagent la principauté et la gouvernent pendant 41 ans^[14].

• Rorgon a une fille, nommée Alataïs, qui lui succède en 879^[15]. Il existe une pièce d'Orange, inscrite ALATGL1NA PB.C. AVRARICG ; une tète de face est vêtue d'une couronne à trois fleurs, le lys sous le menton; de l'autre côté, la croix artistement confectionnée, ornée de feuilles et de fleurs. Les spécialistes ne doutent point de la sincérité de son dessin et de sa gravure chez Duby, planche XXV, n° 1. Cette pièce est attribuée à Adélaïde de Cavenez, femme du comte, Bertrand-Rambaud d’Orange, qui vit en 1062, puisqu'on craint de remonter jusqu'à Alataïs, fille du comte Rorgon, qui succède à son père vers 880. Mais après on peut se demander si l'on peut avoir réuni sur une même pièce, un lys, une couronne à trois lys, une croix florencée et feuillue, une tète de face d'une princesse, et son titre princept, au milieu du XI^e siècle ? Si cette pièce est authentique, elle ne peut être que du XIV^e siècle. Alataïs, héritière du comté d'Orange, est devenue mère de la maison d'Orange, dont on connaît la vanité singulière d'illustrer ses antiquités. Peut-être a-t-on célébré le souvenir d'Alataïs, an XV^e siècle, par la fabrication de cette pièce, si toutefois elle est authentique^[16]. Le nom de son mari est inconnu. Ayant eu quelques démêlés avec son fils Rambaud d’Orange, elle fait des donations à l’abbaye d'Orange. Elle est inhumée dans l’église de l’abbaye qui est dédiée à saint Florent, évêque de cette ville en 900^[17].

Certains historiens pensent que les vicomtes de Montpellier descendent d’Hugon^[18].

• Rambaud d’Orange ou Rambert est mort en 914, après avoir régné 4 ans seulement^[19]. Il est peut-être marié à Romitille^[20].

• Il a pour successeur Boson d’Orange, qui possède donc cette principauté en 914^[21]. Selon Eugène Tisserand, Boson d'Orange est marié avec Berthe, nièce du roi Hugues^[22]. Mais il est fort possible que ces auteurs identifient ce Boson à Boson Ier, qui vit à la même époque, mais n’a aucun lien avec cette famille.

Cependant la postérité de cette famille se perpétue dans cette seigneurie, et ses titulaires portent le nom de Rambaud. A trois reprises, dans le XII^e siècle, le comte d'Orange se nomme Guillaume ; trois fois des comtesses du nom de Thiburge sont en possession de tout ou partie de la seigneurie de leur aïeul Guillaume au Cornet^[23].

Laugier de Nice (960-1032) est le mari d’Odile de Provence et donc le gendre de Guillaume Ier de Provence.

Descendance de Pons de Mevouillon (le blason des princes d'Orange est un repère, les blasons n'existent pas encore au IX^e siècle) :

Pons de Mevouillon 
x Blismodis  
│
├── Humbert évêque de Vaison, jusqu’en 1005 
│
├── Garnier, évêque d’Avignon (976-991) 
│
├── Ison
│
╰── Pons II de Mevouillon (ca 920-986) 
    x Richilde, originaire de l’Uzège
    │
    ├── Féraud de Nice  évêque de Gap  
    │
    ├── Pierre de Mirabel  évêque de Vaison  
    │
    ├── Pons III de Mevouillon
    │   ╰──┄┈ Descendance Mevouillon... 
    │
    ├── Arnoul de Theys
    │   ╰──┄┈... Descendance Theys... 
    │
    ├── Gérard
    │
    ├── Rambaud 
    │
    ├── Raoul
    │
    ╰── Laugier de Nice (ca 1050-1032) 
        x Odile de Provence (976-1032), fille de Guillaume Ier de Provence
        │
        ├── Rostan de Gréolières
        │   ╰──┄┈ Descendance Gréolières... 
        │
        ├── Pierre de Nice, évêque de Sisteron (1043-1059) 
        │
        ├── Jauccara de Nice
        │   x  Amic de Vence-Avignon
        │
        ├── Gerberge de Nice
        │   x  Bérenger d’Avignon. 
        │
        ╰── Rambaud de Nice (1006-1073) 
            x 1032 Accelena d’Apt 
            │
            ├── Laugier d’Apt 
            │   x Amancia de Lacoste-Castellane
            │
            ├── Odila de Nice 
            │   x Boniface de Reillanne
            │
            ├── Gisla de Nice
            │   x Rostang d'Agoult 
            │   │
            │   ╰──  Laugier d'Agout, évêque d'Apt, croisé 
            │
            ├── Pierre II de Nice évêque de Sisteron, puis  évêque de Vaison 
            │
            ├── Rostan de Fréjus
            │   x Accelena de Marignane
            │
            ├── Rambaud de Nice, seigneur de Gréolières (+ jeune)
            │
            x Bélieldis de Marseille
            │
            ├── Amic 
            │
            ├── Guillaume 
            │
            x avant 1045 Azalaïs de Reillanne, veuve de Guilhem d'Agoult 
            │
            ╰── Bertrand-Rambaud d’Orange 
                x 1068 Adélaïde de Cavenez, veuve de Guillaume V Bertrand de Provence 
                │
                ├── Léger ou Laugerus, évêque d’Avignon(1124 ou 1126-1142) 
                │
                ├── Jausserand Laugier, seigneur de Gréolières       
                │
                x 1064 Gerberge, fille de Foulques Bertrand de Provence 
                │
                ├── Pierre
                │
                ╰── Rambaud II d'Orange 
                    │
                    ╰── Thiburge d'Orange 
                        x 1104 Giraud Adhémar de Monteil 
                        │                  
                        x 1129 Guillaume d'Aumelas 
                        │       
                        ├── Raimbaut d'Orange 
                        │
                        ╰── Thiburge II d'Orange 
                            x 1171 Bertrand des Baux 
                            │
                            ├── Hughes IV 
                            │
                            ├── Bertrand II
                            │
                            ├── Thiburge
                            │
                            ╰── Guillaume des Baux (en) 
                                x Ermengarde de Mévouillon
                                │
                                ╰── Guillaume II des Baux (en) 

Notes et références

1. ↑ Revue archéologique, Publié par Ernest Leroux, 1848, p.684 et 689.
2. ↑ ^{a et b} Dictionnaire géographique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Par Jules Courtet, Publié par Bonnet, 1857, p.xi et suivantes.
3. ↑ Les larmes de Jacques Pineton de Chambrun, pasteur de la maison de son altesse sérénissime d'Orange et professeur en théologie qui contiennent Les persécutions arrivées aux églises de la principauté d'Orange depuis l'an 1660; la chute et le relèvement de l'auteur avec le rétablissement de Saint ..., Par Jacques Pineton de Chambrun, Adolphe Schaeffer, Publié par Charpentier, 1854, p. xiii.
4. ↑ La science des personnes de cour, d'épée et de robe, Par De Chevigni, Henri-Philippe de Limiers, Pierre Massuet, Publié par Z. Chatelain, 1752, Vol. 9, 59.
5. ↑ Le grand vocabulaire françois: contenant 10. L'explication de chaque mot considéré dans ses diverses acceptions grammaticales ... 20. Les loix de l'orthographe ... & généralement tout ce qui a rapport à l'éloquence & à la poésie. 30. La géographie ancienne & moderne ... 40. Des détails raisonnés ..., Par Guyot (Joseph Nicolas), M. Guyot, Sébastien-Roch-Nicolas Chamfort, Ferdinand Camille Duchemin de la Chesnaye, Pre-1801 Imprint Collection (Library of Congress, Publié par C. Panckoucke, 1772, v.20, p.132.
6. ↑ Dictionnaire historique, biographique et bibliographique du département de Vaucluse: ou, Recherches pour servir à l'histoire scientifique, littéraire et artistique, ainsi qu'à l'histoire religieuse, civile et militaire des villes et arrondissements d'Avignon, de Carpentras, d'Apt et d'Orange, Par Casimir François Henri Barjavel, Publié par Impr. de L. Devillario, 1841, t.2, p.61.
7. ↑ L'Univers: histoire et description de tous les peuples ..., Publié par F. Didot frères, 1844, ser.1 v.23, p.250.
8. ↑ Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume ...: On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une ..., Par Francois Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Badier, Edition: 2, Publié par La veuve Duchesne, 1776, v.11, p.90 et Le grand vocabulaire françois: contenant 10. L'explication de chaque mot considéré dans ses diverses acceptions grammaticales ... 20. Les loix de l'orthographe ... & généralement tout ce qui a rapport à léloquence & à la poésie. 30. La géographie ancienne & moderne ... 40. Des détails raisonnés ..., Par Guyot (Joseph Nicolas), M. Guyot, Sébastien-Roch-Nicolas Chamfort, Ferdinand Camille Duchemin de la Chesnaye, Pre-1801 Imprint Collection (Library of Congress, Publié par C. Panckoucke, 1772, v.20, p.132.
9. ↑ Description des monnaies seigneuriales françaises composant la collection de m. F. Poey d'Avant: composant la collection de m. F. Poey d'Avant. Essai de classification, Par Faustin Poey d'Avant, Publié par Impr. de Robuchon, 1853, p.280.
10. ↑ Costaing de Pusignan (1770-1820) La Muse de Pétrarque dans les collines de Vaucluse ou Laure des baux, sa solitude et son tombeau dans le vallon de Galas. Paris, Rapet ; Avignon, Bonnet fils, 1819, p. 18-26.
11. ↑ Joseph de Lapise, Tableau de l'histoire des Princes et Principauté d'Orange. Divisé en quatre Parties. Selon les quatre Races qui y ont régné souverainement depuis l'an 793. Den Haag: Maire 1639/40.
12. ↑ Joseph de Lapise, Tableau de l'histoire des Princes et Principauté d'Orange. Divisé en quatre Parties. Selon les quatre Races qui y ont régné souverainement depuis l'an 793. Den Haag: Maire 1639/40 et Jean-Joseph Expilly, Dictionnaire géographique des Gaules et de la France, Éd. de Paris : Desaint et Saillant, 1762-1770, article Orange et Bastet, Essai historiques sur les évêques d'Orange, Orange, 1837, p. 81-88 et Les moines travestis, Par Pierre Joseph de Haitze, imaginary printer Pierre du Marteau, Pierre du Marteau imaginary printer, Publié par Chez Pierre du Marteau, à l'image des Trois rois, 1698, t. I, p. 269.
13. ↑ Histoire des villes de France, avec une introduction générale pour chaque province: (1-3. tom.), Par Aristide Guilbert, Aristide Matthieu Guilbert, Publié par Furne, 1845, v. 4 p.102. , soit pendant vingt-trois ans La Principauté d'Orange au Moyen Age: fin XIIIe-XVe siècles, Par Françoise Gasparri, Publié par Le Léopard d'or, 1985, p.31 et Histoire des villes de France, avec une introduction générale pour chaque province: (1-3. tom.), Par Aristide Guilbert, Aristide Matthieu Guilbert, Publié par Furne, 1845, v. 4 p.102 et Geschiedenis des vaderlands, Par Willem Bilderdijk, Hendrik Willem Tydeman, Publié par P.M. Warnars, 1835, d.7, p.249.
14. ↑ Histoire des villes de France, avec une introduction générale pour chaque province: (1-3. tom.), Par Aristide Guilbert, Aristide Matthieu Guilbert, Publié par Furne, 1845, v. 4 p.102 et Geschiedenis des vaderlands, Par Willem Bilderdijk, Hendrik Willem Tydeman, Publié par P.M. Warnars, 1835, d.7, p.249.
15. ↑ Moreri p.85 et Encyclopédie méthodique- ou par ordre de matières: par une société de gens de lettres, de... , Encyclopédie méthodique, Plomteux, 1832, p. 469 et Monnaies féodales de France, Par Faustin Poey d'Avant, Publié par Bureau de la Revue Numismatique Française, 1860, p.386 et La science des personnes de cour, d'épée et de robe, Par De Chevigni, Henri-Philippe de Limiers, Pierre Massuet, Publié par Z. Chatelain, 1752, Vol. 9, p.59 et Histoire de la ville et principauté d'Orange, Par Bonaventure De Sisteron, Publié par M. Chaves, 1741, p.552.
16. ↑ Numismatique du moyen-âge: considérée sous le rapport du type, Par Joachim Lelewel, Joseph Straszewicz, Publié par Chez l'éditeur, 1835, v. 1-2, p.214 et 215.
17. ↑ Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume ...: On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une ..., Par Francois Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Badier, Édition: 2, Publié par La veuve Duchesne, 1776, v.11, p.90 et Moreri, tome VIII, p.85 et Les Monuments religieux d'Orange depuis les débuts du christianisme, les églises, les chapelles: depuis les débuts du Christianisme: les églises, les chapelles, Par Agis Rigord, Publié par l'auteur, 3, rue Antoine Artaud, 1968 , p.39 et Geschiedenis des vaderlands, Par Willem Bilderdijk, Hendrik Willem Tydeman, Publié par P.M. Warnars, 1835, d.7, p.249.
18. ↑ Geschiedenis des vaderlands, Par Willem Bilderdijk, Hendrik Willem Tydeman, Publié par P.M. Warnars, 1835, d.7, p.249.
19. ↑ Mélanges, Par Louis Vulliemin, J. Rickly, Louis de Charrière, Rodolphe Blanchet... p. 383 et Moreri p. 85, et Monnaies féodales de France, Par Faustin Poey d'Avant, Publié par Bureau de la Revue Numismatique Française, 1860, p.386 et La science des personnes de cour, d'épée et de robe, Par De Chevigni, Henri-Philippe de Limiers, Pierre Massuet, Publié par Z. Chatelain, 1752, Vol. 9, p.59 et Geschiedenis des vaderlands, Par Willem Bilderdijk, Hendrik Willem Tydeman, Publié par P.M. Warnars, 1835, d.7, p.249.
20. ↑ [010 Les origines de la famille Mévouillon].
21. ↑ Encyclopédie méthodique- ou par ordre de matières: par une société de gens de lettres, de... , Encyclopédie méthodique, Plomteux, 1832, p. 469.
22. ↑ Histoire d'Antibes Par Eugène Tisserand, Publié par Laffitte Reprints, 1973, p. 91 et Arrondissement de Montélimar: géographie, histoire et statistique, André Lacroix, Publié par Éditions du Palais Royal, 1973, v.3-4, p.91 et La science des personnes de cour, d'épée et de robe, Par De Chevigni, Henri-Philippe de Limiers, Pierre Massuet, Publié par Z. Chatelain, 1752, Vol. 9, p.59.
23. ↑ Le roman de Foulque de Candie, Par Herbert de Dammartin Leduc, Publié par P. Dubois, imprimeur, 1860, p.XLV.

Articles connexes

• Pierre II de Nice
• Féraud de Nice
• Odile de Provence
• Laugier de Nice
• Pons II de Mevouillon
• Rambaud de Nice
• Bertrand-Rambaud d’Orange
• Bertrand des Baux
• Première maison des comtes d’Orange-Nice

Liens externes

• Alain Venturini Naissance et affirmation du Consulat de Nice..
• de NICE-ORANGE PREMIERE MAISON D'ORANGE
• Notes sur l'origine des comtes d'Orange
• Les origines de la famille Mévouillon