Reze

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Rezé

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Le centre de Rezé, avec la Maison radieuse, vu depuis Chantenay.
Le centre de Rezé, avec la Maison radieuse, vu depuis Chantenay.

Armoiries
Détail
logo
Détail
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Arrondissement de Nantes
Canton Canton de Rezé (chef-lieu)
Canton de Bouaye
Code Insee abr. 44143
Code postal 44400
Maire
Mandat en cours
Gilles Retière
2008 - 2014
Intercommunalité Nantes Métropole
Site internet http://www.mairie-reze.fr/
Démographie
Population 37 333 hab. (2006)
Densité 2 709 hab./km²
Gentilé Rezéennes, Rezéens
Géographie
Coordonnées 47° 11′ 26″ Nord
       1° 34′ 10″ Ouest
/ 47.190602, -1.569457
Altitudes mini. 1 m — maxi. 42 m
Superficie 13,78 km²

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Rezé (Raezaé en gallo, Reudied en breton) est une commune française, située dans le département de la Loire-Atlantique et la région Pays de la Loire.

La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays historique du Pays Nantais et dans le pays traditionnel du Pays de Nantes[1]. Rezé a par ailleurs donné son nom au Pays de Retz, duquel elle fut la capitale originelle[2].


Les habitants de la commune s'appellent les Rezéens et les Rezéennes.

Rezé comptait 37 333 habitants au dernier recensement de 2006.

Sommaire

Géographie

Situation de la commune de Rezé dans le département de Loire-Atlantique

Situation

Rezé est situé sur la rive sud de la Loire, entre les vallées de la Sèvre Nantaise et de l'Ilette à l'est et celle de la Jaguère à l'ouest, immédiatement au sud-ouest de Nantes. Le centre-ville de Rezé se trouve à 3 km de celui de Nantes.

Les communes limitrophes sont Nantes, Vertou, Les Sorinières, Pont-Saint-Martin et Bouguenais.

Selon le classement établi par l’INSEE[3], Rezé est une commune urbaine, une des 19 communes de banlieue de l’unité urbaine de Nantes ; elle fait donc partie de l’aire urbaine de Nantes et de l’espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire.

Géographie physique

Relief et hydrographie

La commune s'étend entre la rive sud de la Loire et la rive est de la Sèvre nantaise sur le rebord du plateau de faible altitude qui se trouve au sud-ouest de Nantes et au nord du Lac de Grand-Lieu et se termine par un coteau exposé au nord (site de l'ancien Ratiatum et de l'actuel centre-ville, tout proche).

Le long de la Loire, au pied du coteau, ce sont des terrains de remblaiement alluvial très plats (site de la zone commerciale Atout-Sud et de secteurs du Port Autonome) qui ont enfermé d'anciennes îles (Trentemoult notamment).

Étymologie

Le nom de Rezé vient du latin (Portus) Ratiatus : “(Port) Ratiate”, (Civitas) Ratiatum, “(Cité des) Ratiates”, Ratiatum (Pictonum Portus), “(Port Picton des) Ratiates”. Les Ratiates sont, semble-t-il, une sous-tribu pictonne. D’après l’historien local Émile Boutin, le nom des Ratiates remonterait au IVe siècle avant Jésus-Christ, et proviendrait de marchands phéniciens qui, venant par bateaux, seraient passés dans la région pour y faire du commerce, notamment sur l’île voisine de Noirmoutier. Ils auraient nommés plusieurs endroits raas, qui signifie “cap” en hébreu, notamment le cap de la pointe Saint-Gildas, que les marins de Carthage devaient contourner pour aller aux îles Cassitérides, les îles de l’étain. Le mot raas serait d’ailleurs resté par la suite pour désigner ce qui s’appelle aujourd’hui la pointe du Ratz et le Ras de Saint-Mathieu.[4]

Il convient cependant d'être prudent avec ce genre de conjectures : il semblerait qu’il ne faille plus attribuer aux Phéniciens tous les ratz, raz, ras de Bretagne ou d'ailleurs : tous les étymologistes s'accordent aujourd’hui à faire dériver le français ras et le breton raz d'un ancien nordique ras : “courant (d'eau)”.[5]


La ville est créée à l'époque romaine. Peuplée par les Ambilatres, peuple gaulois armoricain, le Portus Ratiatus était un port important sur la rive sud de la Loire, et un lieu de rencontres et de commerce entre les diverses tribus celtes de la région (Vénètes, Namnètes, Ambilatres, Andécaves et Pictons).

La ville va donner son nom à la région environnante, le Pagus Ratiatensis (“Pays Ratiate”, “Pays Ratense”, “Pays de Rezé”, qui va devenir le “Pays de Retz”), dont elle est alors la principale ville, bientôt supplantée par les villes de Pornic puis Machecoul.

La ville s’appelle Ratiatum au Moyen Âge, Raciate Vicus au VIe siècle, Rezay à l’âge classique, avant de devenir Rezaé ou Raezaé en gallo (langue romane de Haute-Bretagne).

Histoire

La ville est créée à l'époque romaine, la cité de Rezé étant connue sous les noms de Portus Ratiatus (port de Rezé) ou Ratiatum Pictonum Portus (port picton de Rezé). Peuplé par les Ambilâtres, peuple gaulois armoricain, Rezé était un port important sur la rive sud de la Loire et un lieu de rencontres et de commerce entre les diverses tribus celtes de la région (Vénètes, Namnètes, Ambilatres, Andécaves et Pictons).

Le pays des Ambilâtres, disputé entre Pictons, Namnètes et Vénètes fut rattaché par les romains au moment de la conquête des Gaules en remerciement de l'aide apportée par les Pictons dans le combat mené contre les Vénètes, peuple le plus puissant de l'Ouest de la Gaule. Cette cité portuaire est par la suite indiquée par Ptolémée, et par Strabon comme située à l'extrémité du territoire des Pictons, elle deviendra possession de l'Aquitaine et du Poitou lors de l'effondrement de l'Empire.

Au VIesiècle, Adelfius, successeur d'Hilaire, « évêque de l’Église des Pictons » réside dans la basilique des Champs Saint-Martin de Rezé. Le bourg de Rezé, Raciate Vicus, devient le refuge, sous protection franque, de l’évêque des Pictons quand Poitiers est soumise aux Wisigoths qui ont adopté l’hérésie arienne.

Au IXesiècle, face aux razzias Vikings, le Bas-Poitou s'organise en fief militaire sous le nom de comté d'Herbauges afin de protéger la côte poitevine (Bouin vient d'être détruite par les Normands). Rezé devient la capitale du comté d'Herbauges.

Vers le milieu du IXe, après plusieurs victoires des troupes bretonnes, commandées par Nominoé, sur les Francs et les Normands, une partie de la population franque du Pays de Retz, les Paydrets, est rattachée à la Bretagne puis au Comté de Nantes, nouvelle capitale du royaume breton.

En 851, le traité d'Angers entre Charles le Chauve et Nominoé officialise définitivement l'intégration de Rezé et des terres du Sud-Loire au royaume de Bretagne. Le destin de Rezé et sa région devient donc intimement lié à celui de Nantes à partir du IX ème siècle : appartenance de la Ville à l'Evêché de Nantes, au Pays de Retz (seigneurie crée par les Ducs de Bretagne au Sud-Ouest de la Loire), et du Royaume puis du Duché, puis de la Province de Bretagne.

En 1790, Rezé et l'ensemble du Pays de Retz sont intégrés au département de la Loire-Inférieure devenu plus tard Loire-Atlantique.

Symboles

Blasonnement

Blason ville fr Rezé (Loire-Atlantique).svg Rezé
  • Description : D'azur à la nef d'or équipée du même, habillée d'hermine, voguant sur des ondes de sinople, au chef losangé de gueules et d'argent, chaque losange d'argent chargé de quatre burelles d'azur.
  • Le chef losangé de gueules et d'argent, chaque losange d'argent chargé de quatre burelles d'azur évoque les armoiries des sires de Rezay, vicomtes de Rezé (sceau de 1260).[6] La nef d'or rappelle le passé maritime de la ville. L’hermine symbolise l'appartenance de la ville à la Bretagne.
  • Blason conçu par M. Raffin en 1969 (délibération municipale en 1970)[7].


Logotype

Logorezé.gif Rezé
La Main ouverte du Corbusier, symbole de Chandigarh, a inspiré le logo de la ville de Rezé
  • La ville s'était dotée d'un nouveau logotype s'inspirant largement de la "Main ouverte", sculpture de Le Corbusier, mais la fondation défendant l'héritage de l'architecte ayant fait savoir qu'elle ne souhaitait pas voir cette œuvre intégrée dans l'identité visuelle de la ville, la mairie fut contrainte de modifier le logo[8]. L'actuel logo présente donc une vision plus élancée de la main, qui peut également représenter un bateau, présent sur le blason de la ville (Blason ville fr Rezé (Loire-Atlantique).svg), ou un oiseau. La vague bleue symbolise la Loire tandis que le fond orange évoque les toits en tuiles, élément distinctif de la ville, par rapport à Nantes notamment.


Devise

La devise de Rezé : Ratiatum. Respecte ton passé, assure ton avenir.[9]


Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
mars 1790-janvier 1791 Louis Michel Dupré Villaine (1735-1806) Royaliste
avril 1791-décembre 1792 Pierre François Huard (1755-1814) Républicain
décembre 1792-mars 1796 Ambroise Alphonse Le Coûteux (1740-1805) Constitutionnel
avril 1796-août 1800 Pierre François Huard (1755-1814) Républicain
août 1800-octobre 1803 Pierre François Huard (1755-1814) Républicain
octobre 1803-août 1807 Jean-Baptiste Ertaud (1763-1840) Républicain
août 1807-avril 1820 Jean François Ertaud (1769-1840) Gouvernemental
avril 1820-août 1830 Joseph de Monti de Rezé (1766-1850) Légitimiste
août 1830-novembre 1844 Pierre Giraud (1789-1844) Orléaniste Conseiller général
décembre 1844-mars 1848 Joseph Delaville Leroux (1775-1855) Orléaniste
mars 1848-septembre 1848 Arsène Leloup (1803-1876) Républicain
septembre 1848-mars 1864 Philémon Chenantais (1805-1883) Bonapartiste
mars 1864-septembre 1870 Hippolyte Aguesse (1799-1875) Gouvernemental
octobre 1870-octobre 1875 Hippolyte Aguesse (1799-1875) Gouvernemental
octobre 1875-août 1876 Félix Chauvelon (1825-1888) Républicain
octobre 1876-mai 1878 Julien Albert (1807-1878) Républicain
mai 1878-janvier 1890 Joseph Raphaël Lancelot (1832-1890) Républicain
mars 1890-mai 1896 Georges Grignon Dumoulin (1845-1904) Républicain
mai 1896-mai 1908 Ernest Sauvestre (1849-1932) Radical-républicain
mai 1908-mai 1929 Jean Baptiste Vigier (1863-1940) Républicain Conseiller d'arrondissement
mai 1929-mai 1935 Charles Rivière (1870-1947) Radical-socialiste
mai 1935-décembre 1936 Léon Taugeron (1886-1961) Radical-socialiste
décembre 1936-mars 1941 Jean Vignais (1878-1954) Radical-socialiste
mars 1941-septembre 1944 Alexandre Le Lamer (1873-1950) Droite
septembre 1944-mai 1945 Jean Vignais (1878-1954) Radical-socialiste
mai 1945-mars 1949 Arthur Boutin (1903-1980) SFIO Conseiller général
mars 1949-mars 1959 Georges Albert Bénezet (1892-1970) RPF
mars 1959-février 1978 Alexandre Plancher (1909-1978) SFIO Conseiller général
avril 1978-février 1999 Jacques Floch (1938- ) PS Député
depuis février 1999 Gilles Retière (1947- ) PS


Source : Yann Vince, Rezé, histoire municipale, éditions Hérault, 1997.

Depuis les élections municipales de mars 1977, le conseil municipal a toujours été pourvu dès le premier tour de scrutin.

Le centre-ville de Rezé avec, de gauche à doite, l'hôtel de ville, l'église saint Pierre et la Cité Radieuse




Démographie

Évolution démographique
(Source : Ehess[10] et INSEE[11])
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4 466 3 519 4 989 4 756 4 968 - 5 277 6 203 6 644
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7 054 7 209 7 423 6 946 6 846 7 377 7 418 7 431 7 803
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
8 751 8 919 9 424 10 368 11 050 12 325 13 499 16 395 19 000
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
28 276 33 509 35 730 33 562 33 262 35 478 37 333 - -

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Lieux et monuments

Châteaux et manoirs

La Balinière
La Morinière
La chapelle Saint-Lupien sur le site archéologique du même nom.
Les bords de la Sèvre nantaise
  • Le château de la Balinière est une folie du XVIIIe siècle qui possède un jardin à la française. Elle fut achetée par la Ville de Rezé en 1987 pour y abriter un centre musical.
  • Le château de la Classerie, construit au XVIIIe siècle, incendié pendant la Révolution puis rénové, présente un corps de logis et une chapelle.
  • Le manoir de Praud fut construit en 1845 et habité par le conseiller général et maire de Rezé Philémon Chenantais. Le parc conserve des restes d'un château plus ancien.
  • Le manoir de la Brosse date du XVIIe siècle.
  • Rezé compte également plusieurs maisons anciennes, par exemple la l'orangerie de la maison de la Bauche-Thiraud, (début XIXe siècle) ou encore la maison du Genêtais, du XVIIIe siècle.

Architecture religieuse

  • L'église saint Paul fut construite en 1842 à la place d'un édifice remontant probablement au XIIIe siècle.
  • L'église saint Pierre remplace depuis 1867 un sanctuaire du XVe siècle. (1867), œuvre de l'architecte Chenantais. Cette église remplace un ancien sanctuaire du XVe siècle ;
  • L'église Notre-Dame du Rosaire fut construite en 1960 par Jean Rouquet, disciple du Corbusier.
  • Le site Saint-Lupien présente un prieuré du XVe siècle construit sur un sanctuaire mérovingien, lui-même à l'emplacement de constructions gallo-romaines.
  • La chapelle de la Chaussée fut construite en 1699 par des moines de Saint-Clément.

Architecture contemporaine

  • la Cité Radieuse, l'une des constructions de Le Corbusier, fut rebaptisée Maison Radieuse à la demande des habitants.
  • L'hôtel de ville fut réalisé par Alessandro Anselmi en 1989, ce bâtiment se définit par son vide central et son mur-rideau qui permettent la mise en scène de la Maison Radieuse.
  • L'espace Diderot est une ancienne église construite par Jacques Chénieux en 1964 et qui fut transformée en un espace culturel par Massimiliano Fuksas en 1991.
  • Les Cap horniers est une résidence HLM qui comporte 40 logements et qui porte son nom en hommage aux grands capitaines au long cours qui habitaient le quartier. Elle a été conçue en 1986 par l’auteur de la bibliothèque François-Mitterrand, Dominique Perrault.

Autres

Rezé conserve quelques menhirs et plusieurs moulins à vent.

L'ancien village de pêcheurs Trentemoult a gardé tout son charme et a été le cadre de tournage en 1991 de La Reine blanche, film de Jean-Loup Hubert et en 2004 de La Demoiselle d'honneur, de Claude Chabrol.

La commune a plusieurs sites de promenade très agréables, en particulier le long de la Sèvre.

Transports publics

Rame du tramway à la station Espace Diderot

Outre la Gare de Rezé-Pont-Rousseau qui assure une desserte urbaine et départementale vers Pornic et Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Rezé est également desservie par plusieurs lignes de bus du réseau de transport en commun de l'agglomération nantaise géré par la Semitan ainsi que par deux des trois lignes du tramway nantais. Ainsi, la station Gare de Pont-Rousseau, terminus sud de la ligne 2, se trouve sur le territoire de la commune, de même que six stations de la ligne 3 : Pont-Rousseau-Martyrs, 8 Mai, Balinière, Château de Rezé-Place François Mitterrand ; Espace Diderot et Trocardière.

Personnalités liées à la commune

  • Julien Poydras de Lalande, né en 1746 à Rezé, mort en 1824 à Pointe-Coupée (Louisiane), il émigre en Louisiane française en 1760. Négociant et banquier en Louisiane, premier président élu du Sénat de Louisiane en 1812[12].
  • Jean-Baptiste Daviais, résistant et militant associatif
  • Gilles Retière, maire de Rezé et vice-président de Nantes Métropole, chargé du suivi du Plan local de l'habitat et de la révision des 24 Plans locaux d'urbanisme des communes de l'agglomération.
  • Benjamin Péret, poète surréaliste et engagé né à Rezé.
  • Jacques Floch, député socialiste, spécialisé dans les problèmes liés aux prisons et aux personnes incarcérées
  • Jean Groix, militant autonomiste (Union démocratique bretonne) mis en cause à tort dans un crime pour lequel Michel Fourniret et son épouse ont été condamnés.
  • Benoît Macquet, ancien député de Loire-Atlantique
  • Dominique Raimbourg, fils de Bourvil, actuel député socialiste de la quatrième circonscription de Loire-Atlantique.
  • Emmanuel Ollive (1882-1950) amiral né à Trentemoult en Rezé, commandant en chef de l'escadre de la Méditerranée, puis, après l'armistice signé par Pétain en 1940, des forces maritimes du sud en poste à Alger.
  • Jean Gautier (1678-1743), né à Rezé, chirurgien navigant, médecin chef de la compagnie des Indes à Lorient (1716), il inventa une machine à distiller l'eau de mer que le Régent Philippe d'Orléans fera expérimenter à bord de navires pour le Sénégal ; il sera médecin chimiste des salines de Lorraine et mourra à Montmorot dans le Jura.

Panorama

Vue de Rezé depuis la Maison Radieuse du Corbusier

International

La ville de Rezé est jumelée avec :

Partenariats de coopération Nord-Sud :

  • Pérou Villa El Salvador (Pérou) depuis 1991
  • Roumanie Ineu (Roumanie) depuis 2003Modèle:Jumelage/Ville en lien rouge Modèle:Jumelage/Ville en lien rouge/Modèle Lien absent
  • Sénégal Communauté rurale de Ronkh, Diawar (Sénégal) depuis 2003Modèle:Jumelage/Ville en lien rouge Modèle:Jumelage/Ville en lien rouge/Modèle Lien absent
  • Drapeau de la Palestine Abu Dis (Palestine) depuis 2008Modèle:Jumelage/Ville en lien rouge Modèle:Jumelage/Ville en lien rouge/Modèle Lien absent

Actions de solidarité :

Communes limitrophes

Rose des vents Nantes
Loire
Rose des vents
Bouguenais
Jaguère
N Vertou
Sèvre nantaise
O    Rezé    E
S
Pont-Saint-Martin Les Sorinières
Ilette
Enclave:

Voir aussi

Liens externes

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Bibliographie

  • Michel Kervarec, Rezé pendant la Révolution et l'Empire, Editions ACL, Nantes, 1987.
  • Michel Kervarec, Rezé au XIXe siècle, Editions ACL, Nantes, 1987.
  • Héliette Proust, Gilberte Larignon, Chantal Lamotte d'Incamps, Les Rezéens dans la seconde guerre mondiale, Editions ville de Rezé, 1985.
  • Yann Vince, Rezé, histoire municipale de la Révolution à nos jours, Editions Hérault, 1997.
  • Héliette Proust, Yann Vince,du château au quartier, le château de Rezé, Editions Hérault, 1997.
  • Yann Vince, Guide historique des rues de Rezé, Coiffard libraire éditeur, 2007.

Notes et références

  1. http://www.geobreizh.com/breizh/fra/villes-fiche.asp?insee_ville=44143
  2. http://svowebmaster.free.fr/drapeaux_retz.htm
  3. Page INSEE [1] ; cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection
  4. BOUTIN, Émile. Un peu d’histoire…, Regards : le magazine d’information de la ville de Machecoul, bulletins municipaux.
  5. F.E.W., tome XVI, p. 668 et 668b.
  6. Écus du Pays de Nantes
  7. Écus du Pays de Nantes
  8. http://www.ouest-france.fr/2002/01/19/pays-de-loire/- La-ville-de-Rezé-a-été-...-16026788.html
  9. Écus du Pays de Nantes
  10. http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
  11. INSEE : Population depuis le recensement de 1962
  12. Didier Le Fur, « Revue 303 - Arts, Recherche et Créations "Au pays de l'autre" », dans {{{périodique}}}, no 79, 4e trimestre 2003, p. 224-227 [texte intégral] 
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