Riaille

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Riaillé

Riaillé
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Ancenis
Canton Riaillé (chef-lieu)
Code Insee abr. 44144
Code postal 44440
Maire
Mandat en cours
Patrice Chevalier
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du Pays d'Ancenis
Site internet http://www.pays-ancenis.com/
Démographie
Population 1 898 hab. (2006)
Densité 38 hab./km²
Gentilé Riailléenne, Riailléen
Géographie
Coordonnées 47° 31′ 11″ Nord
       1° 17′ 39″ Ouest
/ 47.5197222222, -1.29416666667
Altitudes mini. 17 m — maxi. 88 m
Superficie 50,02 km²

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Voir la carte administrative

Riaillé est une commune française, chef-lieu de canton, située dans le département de la Loire-Atlantique et la région Pays de la Loire. Sa devise est Travail et loisirs[1].

Sommaire

Toponymie

L'étymologie de Riaillé pourrait être issue de ri (rivière) et de halier (broussailles) ou de l'ancien breton haley ou haleg (saule ou osier).

L'histoire locale aime évoquer le "bon mot" d'un noble qui, découvrant le bourg, s'exclama devant cette "riante vallée". Pour poétique qu'elle soit, cette expression n'a aucune valeur étymologique.

Géographie

Localisation

Riaillé est situé à égale distance, environ 40 kilomètres, de Nantes (au sud-ouest), de Rennes (au nord) et d'Angers (au sud-est). La commune est également une vingtaine de kilomètres de Nort-sur-Erdre au sud-ouest, de Candé à l’est, d'Ancenis au sud et de Châteaubriant au nord.

Selon le classement établi par l’INSEE en 1999, Riaillé était une commune rurale non polarisée (cf. Communes de Loire-Atlantique).

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont les suivantes:

Géologie et relief

L'altitude maximale est de 88 mètres et son altitude minimale de 17 mètres. Son altitude moyenne est de 53 mètres[2]. Sur une superficie totale de 5 000 hectares, 1 000 hectares sont boisés et 210 hectares sont en plans d’eau.

Le sous-sol présente alternativement des affleurements de schiste et des gisements sableux parfois exploités en carrières à ciel ouvert. Il contient également de nombreuses nappes phréatiques.

Situé dans la haute vallée de l’Erdre, le secteur est vallonné.

Hydrographie

Outre l’Erdre, on compte de nombreux plans d'eau, dont les étangs de la Poitevinière et de la Provostière. Ces derniers, reliés au lac de Vioreau (commune de Joué-sur-Erdre) par une « rigole alimentaire », sont les composantes majeures du réseau bâti sous Napoléon Ier pour réguler le niveau du canal de Nantes à Brest.

Parmi les multiples sources et résurgences, la « fontaine minérale » se caractérise par une eau extrêmement ferrugineuse. Les tentatives d'exploitation de cette eau se sont soldées par des échecs face aux coûts de traitement nécessaires à sa consommation.

Urbanisme

Morphologie urbaine

La commune est composée d’un bourg principal et de nombreux lieu-dits : La Poitevinière, la Provostière, Saint-Ouen, Saint-Louis, le Haut Rocher, Bourg Chevreuil

Voies de communication et transports

Les grands axes les plus proches sont l’A11 (sortie Ancenis) et la N137 (NantesRennes) sorties Nozay ou Nort-sur-Erdre.

Les axes traversant le bourg sont la D33 (Joué-sur-ErdreSaint-Mars-la-Jaille), la D18 (Meilleraye de BretagnePannecé) et la D14 (Grand-AuvernéMésanger).

La gare la plus proche est celle d’Ancenis.

Histoire

D’après les Notes historiques de l'abbé Trochu, le plus ancien document citant la paroisse de Riaillé (Rialleum) daterait de 1132.

L'activité principale de Riaillé, durant plusieurs siècles, fut la production de fer : bas-fourneaux puis haut-fourneau à la Poitevinière, forges à la Provostière. L'énergie était fournie par des roues à aubes alimentées par les étangs du Jeanneau (disparu de nos jours), de la Poitevinière, de la Provostière, de la Vallée situé dans la paroisse de Joué-sur-Erdre, du Pas-Chevreuil dans la paroisse de Meilleraie-de-Bretagne (disparu de nos jours). Le combustible (charbon de bois) était produit par la forêt d’Ancenis-les-Bois, le minerai provenait initialement de carrières sur Riaillé, puis de celles de la Meilleraye-de-Bretagne et d’Abbaretz, le fondant (castine) était amené des carrières d'Erbray.

Durant des périodes instables, ces installations industrielles furent saccagées au début du XVIIe par les troupes du duc de Vendôme (gendre de la propriétaire) et, sous la Révolution, par les Chouans du Bas-Anjou et de Haute-Bretagne. Furent reconnus comme meneurs : Joseph Coquereau (Daon), Louis Le Meignan (Petit-Auverné), Pierre Gourlet (Pannecé). Le personnel des Forges était hostile au Nouveau Régime qui avait mis fin à son droit de chasse dans la forêt d'Ancenis-les-Bois, ainsi qu'aux privilèges des corporations.

Après la fermeture des installations métallurgiques vers 1870, l'activité de la commune se limita à l’agriculture, à l'exploitation forestière (scieries) et depuis quelques décennies s’oriente vers le tourisme.

Administration

Repères historiques

Création du canton et de la commune en 1793.
Rattachement à l'arrondissement d'Ancenis en 1801[3].

Municipalité


Résultat des élections municipales 2008 :
1121 votants sur 1484 inscrits (75,64% de participation).
La totalité du Conseil Municipal (19 personnes) est désigné au premier tour.
Reconduction de Patrice Chevalier comme maire, et désignation de quatre adjoints :

  1. Daniel Genoist, en charge de la voirie et des bâtiments,
  2. André Raitiere, en charge des activités économiques, des finances, et des affaires sociales,
  3. Yvonne Cahier, en charge de l'enfance-jeunesse,
  4. Laurent Saliou, en charge des activités associatives, des sports et de la culture.

Intercommunalité

Riaillé fait partie de la Communauté de communes du pays d'Ancenis (COMPA).

Ses élus participent également à plusieurs syndicats assurant la gestion de ressources dans un cadre plus large que celui de la communauté de communes :

  • Syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVOM) du canton de Riaillé
  • Syndicat Intercommunal d'alimentation en eau potable de la région d'Ancenis
  • Syndicat intercommunal d'énergie de la région de Riaillé
  • Syndicat Intercommunal du collège Louis Pasteur
  • Syndicat intercommunal pour l'exécution des travaux d'aménagement du bassin versant de l'Erdre

Budget et fiscalité

En 2004, la commune comptait 994 foyers fiscaux, dont 400 imposés.

Taux des taxes communales en 2006 :

  • Taxe d'habitation : 14,42 %
  • Taxe foncière sur le bâti : 14,20 %
  • Taxe foncière sur le non bâti : 44,35 %
  • Taxe professionnelle (intercommunale) : 13,47 %
Evolution des recettes communales[5]
(Euros)
2001 2002 2003 2004 2005 2006
1 022 929 1 071 440 1 062 236 1 113 176 1 214 952 1 250 740

Urbanisme

Nature des constructions

L'habitat traditionnel est constitué de murs en moellons et de toitures en ardoise. Les ouvertures sont encadrées de briquettes ou de tuffeau (typiquement angevin) pour les habitations, et de schiste pour les bâtiments utilitaires. Les façades sont soit enduites à la chaux pour les habitations bourgeoises, soit en pierres apparentes.

Usage des logements

Évolution du nombre de logements[6]
1968 1975 1982 1990 1999
Nombre de logements 527 614 655 734 749
Nombre moyen d'occupants des résidences principales 3,4 3,2 3,0 2,8 2,6

En 1999, sur 624 logements[6],

  • 83,3 % des logements sont des résidences principales, et 2,4 % sont dans des immeubles collectifs.
  • 50 % des logements ont été construits avant 1949, 4,6 % ont été construits à partir de 1990.
  • 72,4 % des logements sont occupés par leurs propriétaires.

Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[7])
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 445 1 619 1 575 1 711 1 980 - 1 892 1 926 1 960
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 067 2 083 2 182 2 213 2 349 2 380 2 382 2 370 2 268
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 131 2 136 2 059 1 824 1 841 1 795 1 761 1 734 1 743
1962 1968 1975 1982 1990 1999 - - -
1 720 1 739 1 677 1 655 1 735 1 721 - - -

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Le taux d'évolution global, irrégulier, a globalement, sur la période 1982-1999, un solde naturel négatif et un solde migratoire positif[6]. Ces tendances s'expliquent entre autres par la présence d'une maison de retraite sur la commune.

Économie

Le tourisme, en développement, ne fait pas encore (en 2007) l'objet de publications statistiques.

La création en 2007 d'une zone d'activité de 55 000m² recevant entre autres le SDIS-44 doit permettre le développement du tissu des TPE et PME/PMI.

Fin 2007, un projet éolien a obtenu les autorisations nécessaires à son implantation. La mise en service commerciale est prévue début 2009[5].

Emploi de la population

En 1999, sur 1 721 habitants, 648 étaient en activité, dont 285 sur la commune même. Le taux de chômage s'établissait à 10,1 % (6,1 % pour les hommes, 15,2 % pour les femmes).
Au 31 décembre 2006, on comptait 58 demandeurs d'emploi, en baisse de 1,7 % par rapport à 2005[6].

Secteur primaire

L'agriculture est historiquement un secteur d'activité important. Après une période de déclin, il semble se stabiliser. En 2000, on compte 54 exploitations agricoles pour une superficie agricole utilisée (SAU) moyenne de 47 hectares. Si les exploitations bovines sont majoritaires (31 sur 54 en 2000), les surfaces de terres sont utilisées à parts quasi égales entre les cultures et les herbages.
Ce secteur comptabilisait 106 actifs en 2000[6].

La pêche n'est pratiquée qu'à titre de loisir.
La viticulture a disparu avec le remembrement. Les dernières parcelles existantes ne font pas l'objet d'une activité économique.

Secteur secondaire

  • Scierie (principal employeur de la commune)
  • Entreprise de mécanique de précision
  • Dépôt d'explosifs de la société NOBEL.
  • Importante activité artisanale (en particulier les corps du bâtiment).

On dénombre, en 2006, 27 entreprises dans ce secteur[6].

Secteur tertiaire

  • Résidence d'accueil pour le 3eme âge.
  • Garage automobile.
  • Plusieurs commerçants et une supérette.

On dénombre, en 2006, 45 entreprises dans ce secteur[6].

Culture et patrimoine

Culture

Riaillé est situé à la limite de la province de Bretagne et celle de l'Anjou.

On retrouve dans les références de ses habitants, à la fois une orientation vers l'agriculture et l'élevage issue de la Bretagne intérieure (et caractéristique de Châteaubriant dont la foire annuelle et les activités d'abattage sont importantes), et une orientation vers la viticulture, la pêche fluviale ou le commerce issus de l'Anjou et la Vendée, et correspondant à la culture d'Ancenis.

Héraldique

Blason de Riaillé avec ornements

Armoiries conçues par Jean Ferré, maire de Riaillé, et Michel Pressense, héraldiste, en mars 1969. Délibération du Conseil municipal du 26 juin 1969, approuvée par le préfet le 25 juillet 1969, et par la Commission héraldique des archives départementales le 14 avril 1970.

L'écu de sinople (vert), symbolise le territoire de Riaillé qu'arrose d'est au sud-ouest la rivière d'Erdre représentée par la barre ondée d'argent. Le phéon d'argent était une arme de guerre que les Romains fabriquèrent avec les fers de Riaillé. L'épi d'argent indique la vocation agricole de la commune.

L'écu est porté par un chêne issant d'une terrasse dont les volutes rappellent les ferronneries médiévales qui utilisaient le minerai et le bois de Riaillé.

Dans la forêt, Jean IV, créateur de l'Ordre de l'Hermine, chassait le chevreuil mais ce droit de chasse était commun aux ducs d'Anjou et de Bretagne ; d'où les deux animaux en support et les longes aux couleurs des deux Duchés.

Le souvenir de ces chasses demeure dans l'appellation locale du Bourg-Chevreuil, village qui a possédé jusqu'en 1967 des privilèges de borderie sur la forêt de Riaillé dite Forêt d'Ancenis.

Inscription portée au dos du panneau :

Armoiries de Riaillé :
De sinople à la barre ondée accompagnée d'un phéon en chef à dextre et d'un épi de blé en pointe à sénestre, le tout d'argent.
L'écu est posé sur un tronc d'un chêne issant d'une terrasse en ferronnerie, et tenu par deux chevreuils, le tout d'argent ; les chevreuils sont colletés et bouclés d'or et chargés chacun d'une longe, celui de dextre de Bretagne, qui est d'hermine, celui de sénestre d'Anjou, qui est d'azur fleurdelisé d'or à la bordure de gueules.
La devise Travail et Loisirs est peinte en caractères capitaux romains de sable sur un listel de parchemin.

Patrimoine civil

Le haut-fourneau de la Poitevinière a été construit au XVIIIe et faisait partie des infrastructures de la forge, appartenant à la baronnie d'Ancenis (Charost de Béthune). La forge était alimentée en minerais par les gisements environnants (forêt de l'Arche, Abbaretz), et brûlait le charbon de bois fabriqué dans les forêts d'Ancenis et de Saint-Mars. L'édifice est bâti en schiste et mesure environ 8 mètres de haut par 9 mètres de côté. Il est doté d'une cuve circulaire.
L'activité de la forge a cessé à la fin du XIXe, le site est désormais désaffecté. Ce haut fourneau a été inscrit aux Monuments Historiques le 1er avril 1986.[8]
Autres composantes du site de la forge de la Poitevinière : Château et étang, maison Huguenin, maison Trébuchet

La Provostière : Maison des Maîtres de Forges fin du XVIe et étang.

La Vallée de l'Erdre : Moulin de la Benâte, moulin Pelé, fontaine minérale, lavoir.

Châteaux de la Meilleraie, de la Provostière, du Haut-Rocher, maison Noble de la Cour du Bois.

Les collines entourant le bourg portent les restes de moulins à vent.

Patrimoine religieux

L'église du bourg : imposante, reconstruite entre 1841 et 1887, il semble qu'elle soit assise sur une base antérieure au XVIe

Les notes historiques évoquent plus de 20 lieux de culte au fil des siècles, il en reste très peu de traces aujourd'hui. Nombreuses niches à la Vierge sur les façades des maisons, tant dans le bourg qu'en campagne. Nombreux calvaires, généralement en granit, d'un style proche des calvaires bretons.

Proximité avec Meilleraye de Bretagne et son abbaye.

Patrimoine environnemental

Nombreux étangs et forêts (dont la Forêt d'Ancenis-les-Bois ) offrent un cadre remarquable.

Réouverture de chemins de randonnées (ancienne voie ferrée, chemins de remembrement).

Équipements et Services

La commune dispose d'une gendarmerie et d'un centre de secours.

Depuis 2000-2001, la politique municipale a fait le choix d'un développement démographique par l'implantation de nouvelles zones pavillonnaires et le développement de services destinés aux jeunes familles. Outre une nouvelle salle des fêtes, la commune s'est dotée en particulier d'une Maison des Services, et d'un bâtiment abritant une bibliothèque, un centre de loisirs, une garderie, un accueil périscolaire, un restaurant scolaire. Quelques chiffres relevés pour l'année 2007[5] :

  • La bibliothèque a enregistré 11 800 prêts de livres
  • Le restaurant scolaire a accueilli 190 enfants et servi 18 000 repas
  • Le Relai Assistantes Maternelle recense 128 assistantes
  • La Maison des Services a enregistré 2 500 visites et 1 500 appels téléphoniques

Transports urbains

La commune participe au programme de transports en commun LILA[5] mis en place par le Conseil général de la Loire-Atlantique.
Les transports scolaires sont gérés par la Communauté de Communes (COMPA).

Éducation

Riaillé dépend de l'académie de Nantes.
La commune dispose de 2 écoles primaires (une publique, une privée) qui accueillent en 2007 environ 250 élèves, d'un collège (privé) et d'une Maison Familiale offrant des formations en alternance aux métiers para-agricoles.

Sports et Culture

Les installations culturelles et sportives se composent d'un théâtre, une salle de sport, deux terrains de football, des courts de tennis.

De nombreuses associations utilisent ces installations.

Santé

Outre une pharmacie et deux médecins, la commune dispose d'un cabinet médical accueillant orthophoniste, kinésithérapeutes et infirmières.

Les hôpitaux les plus proches se trouvent à Ancenis et Châteaubriant.


Personnalités liées à la commune

  • Duc de Mercoeur (Philippe-Emmanuel de Lorraine) : gouverneur de Bretagne, il y éradiqua violemment le protestantisme. Baron d’Ancenis, il était propriétaire des Forges, des étangs, et de la forêt d’Ancenis-les-Bois en Riaillé.
  • Gilles Trébuchet, maître-fondeur à la Poitevinière et arrière grand-père de Sophie Trébuchet mère de Victor Hugo. Ce dernier se serait inspiré des évènements de Riaillé pour écrire certains passages de son roman : 1793
  • Abbé Julien Prod’homme : originaire de Pannecé, ancien aumônier des Chouans de l’armée du Bas-Anjou et de Haute-Bretagne il rouvrit, en 1800, l’église de Riaillé vendue comme bien national en 1794.
  • Famille Demangeat : Maîtres des Forges de Riaillé durant la première moitié du XIXe siècle ; Xavier Demangeat fut maire de Riaillé de 1830 à 1832.
  • Famille de Durfort-Civrac, héritière des Forges de la Baronnie d’Ancenis elle fut, pendant plus d’un siècle, la bienfaitrice de Riaillé : écoles privées, patronage, etc.
  • Jean Rouaud, écrivain, né en 1952 à Campbon, évoque Riaillé, sous le nom de Riancé, puis directement, dans ses livres autobiographiques et familiaux, notamment Les Champs d'honneur et Des hommes illustres, sa mère étant originaire de Riaillé.

Notes

Compléments

Articles connexes

Liens externes

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