Richerenche

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Richerenches

Richerenches
Carte de localisation de Richerenches
Pays France France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Arrondissement d'Avignon
Canton Canton de Valréas
Code Insee 84097
Code postal 84600
Maire
Mandat en cours
Pierre-André Valayer
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de l'Enclave des Papes
Latitude
Longitude
44° 21′ 37″ Nord
       4° 54′ 47″ Est
/ 44.3602777778, 4.91305555556
Altitude 115 m (mini) – 174 m (maxi)
Superficie 10,96 km²
Population sans
doubles comptes
691 hab.
(2006)
Densité 63 hab./km²

Richerenches est une commune française, située dans le département de Vaucluse et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, dans l'enclave de Valréas.

Ses habitants sont appelés les Richerenchais[1].

Sommaire

Géographie

Situation de l'Enclave des Papes dans le département Vaucluse

Avec les trois autres communes du canton (Grillon, Valréas et Visan), Richerenches constitue une enclave du département de Vaucluse dans celui de la Drôme et de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur dans la région Rhône-Alpes (surnommée Enclave des Papes). La commune de Richerenches est située à l'ouest de celle-ci.

Accès et transport

Les routes départementales 18, 20 et 142 passent sur la commune.

L'accès depuis le TGV se fait depuis Avignon (gare TGV ou gare du centre ville), Orange ou Montélimar.

Relief

Plaine agricole, le territoire de la commune de Richeranche est relativement plat avec une différence de dénivelé de 59 mètres seulement.

Sismicité

Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[2].

Hydrographie

La Coronne traverse la commune sur un axe est-ouest au sud du bourg, tandis que l'Aulière et le Canal du Moulin arrivent depuis la commune de Valréas[1].

La communauté de communes de l'Enclave des Papes a dans ses compétences la gestion de l'hydraulique, c'est-à-dire des ouvrages hydroliques, cours d'eau, etc.

Climat

La commune est située dans la zone d’influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en latitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Cependant, l'enclave étant située au nord de la région PACA, quasiment à la limite Nord de la culture de l'olivier, certains préfère plutôt parler d'un climat méditerranéen à influence continentale. Le froid de l'hiver est donc plus important qu'au sud du département. Enfin, le Mistral peut y souffler[3].

Mois
Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Année
Températures maximales moyennes (°C) 8 10 15 17 22 26 29 29 24 19 12 9 17,3
Températures minimales moyennes (°C) 2 3 5 7 11 15 17 17 14 11 6 3 9,3
Températures moyennes (°C) 4 6,5 10 12 16,5 20,5 23 23 19 15 9 5,5 13,3
Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 41,8 27,5 27,2 60,9 49,9 33,2 33,3 29,1 68,5 92,3 68,7 40,9 573,3
Source : (uk) Données climatologiques de Valréas (Vaucluse) 2000-2007

Histoire

Préhistoire et Antiquité

Le premier site habité fut celui de Bolboton. Il n'en reste aujourd'hui qu'une ferme qui porte ce nom. Ce toponyme venant d'un thème pré-celtique *borb désignant des sources ou des rivières, indique une occupation dès l'antiquité[4]. Mais aucun vestige n'a été encore découvert à proximité.

Moyen Âge

Le fief de Bolboton fit partie des biens donnés par le prieur de Saint-Saturnin-du-Port, en 954, à l’abbaye de Cluny. Cette donation fut confirmée, entre 963 et 1066, par Conrad, roi de Bourgogne. En 1251, Alphonse de Poitiers, gendre de Raymond VII de Toulouse et héritier de ses domaines, ayant fait dresser l’état de ses biens dans le Livre Rouge, il y est noté que les terres de Bolboton dépendaient alors du prieuré clunisien de Saint-Pierre de Colonzelle[5].

Ferme Templière (Mas de Bourboton) du seigneur Hugues de Bolboton, actuellement Gîtes de France

La Commanderie de Richerenches fut fondée en 1136 par le frère Templier Arnaud de Bedos, chargé de prospecter en Provence à la recherche de terrains et de recrues. Le lieu-dit Ricarensis (qui donna le nom de Richerenches) lui fut donné par Hugues de Bolboton, à l'initiative de l'évêque Pons de Grillon[5].

Encouragé, il fit venir les frères Guichard et Hugues de Parnac, deux autres chevaliers du Temple. Leur arrivée amplifia le mouvement de donation. Cette même année ce furent 18 seigneurs du Tricastin qui cédèrent aux templiers les biens qu'ils possédaient entre le ruisseau de l'Essonne et l'étang du Grenouillet avec droit de chauffage et droit de pâture[6].

L'ordre du Temple y fit construire une ferme fortifiée ainsi qu'une chapelle achevée en 1147[1]. L'ordre fit également assécher les marais environnants. En 1138, la « Commanderie de Richerenches » devint une préceptorie avec sous ses ordres de nombreuses autres maisons de Provence[5]. Elle exerça des droits suzerains sur les commanderies de Visan, Grillon, Valréas, Buisson, Bouchet, Sainte-Cécile et Saint-Paul-Trois-Châteaux[6].

L'activité de cette Commanderie était orientée sur la culture du blé et de la vigne ainsi que sur l'élevage de chevaux et de moutons. Richerenches était alors réputée pour la qualité de ses chevaux, tous destriers de guerre (appelés aussi turcoman), solides physiquement, dont la quasi totalité était envoyée en Terre Sainte. En 1139 Le seigneur Hugues de Bolboton se fit Templier, céda à l'Ordre tous ses biens et terrains et fut nommé commandeur de Richerenches cette même année[5].

En 1230, un conflit s'éleva entre le précepteur Bertrand de la Roche et Geoffroy, l'évêque du Tricastin. La discorde avait comme motif la jouissance des pâturages de la Baume-de-Transit. Il fallut l'arbitrage de Jean des Baux, dit de Baussan, évêque de Toulon, pour réconcilier les deux parties[6].

Guigues Adhémar, Grand Maître de la Milice de Provence, en présence de De Guillaume Hugolin, précepteur du Temple de Richerenches, et de tous les commandeurs, rendit hommage, en 1290, au pape de tous les biens templiers entre les mains de Philippe de Bernisson , nouveau recteur du Comtat Venaissin[6]. Lors de la dissolution de l'Ordre du Temple, au Concile de Vienne, en 1308, ces terres furent données aux Hospitaliers puis au pape Jean XXII en juin 1317[1].

En juin 1331, 5 000 gens d'armes, sous la conduite de Guichard de Poitiers-Valentinois et de son cousin Hugues Adhémar, descendirent ravager le Haut Comtat. Ils s'en prirent particulièrement au siège de l'ancienne préceptoriale qu'ils pillèrent et incendièrent. Seul resta intact et habité le castellas de Bolboton, perché, à 400 mètres d’altitude sur la colline voisine de ce lieu qui désormais eut pour nom les « Vieilles Richerenches »[1].

En 1389, après s'être attaqué à Visan, Raymond de Turenne se dirigea vers les Richerenches, fief de Dieudonné d’Estaing[7], évêque du Tricastin, et le castellas de Bolboton. Il prit d'assaut ce dernier, détruisit le village de Montaigu qui se trouvait à proximité sur le territoire de Valréas et fit fuir les Richérenchois.

Renaissance

Le castellas de Bolboton, en 1409, était encore considéré comme une place forte. Il fut démantelé en 1411. C’est à cette date que les Valréassiens obtinrent le droit de récupérer les ruines des remparts des « Vieilles Richerenches » et des maisons détruites de Bolboton. Claue Faure, un historien du Comtat Venaissin, explique :

« Les habitants de Valréas avaient supplié le cardinal de Thurey de leur accorder l’autorisation de prendre les pierres des maisons écroulées et depuis longtemps inhabitées et de s’en servir pour réparer leurs murailles. Ils demandèrent aussi le droit de pâture sur le territoire. Le cardinal avait accordé cette autorisation mais ses ordres n’avaient pas été exécutés. A sa mort, François de Conzié manda son trésorier pour s’assurer si les pierres demandées appartenaient au pape ou à des particuliers : dans le premier cas, les habitants de Valréas pouvaient les prendre ; mais ils devaient s’en servir seulement pour réparer et fortifier les murs de clôture de leur ville[8]. »
Le beffroi (1747) et son horloge

La Révérende Chambre Apostolique - le ministère des finances pontificales - en tant que Dame foncière de ces deux fiefs, les octroya au seigneur de Baume-de-Transit. En 1476, comme ces lieux étaient toujours inhabités, la ville d’Avignon les racheta pour le compte du cardinal-légat Julien de la Rovère, le futur pape Jules II. Celui-ci tenta de repeupler le village. Mais en 1487, les nouveaux habitants en butte aux exigences financières de Guillaume Adhémar de Monteil, l'évêque du Tricastion, préférèrent quitter les lieux. Il fallut les interventions des frères Antoine et Pierre Allard, Jean et Vincent Néalme, conseillers de la ville de Valréas, pour que le prélat acceptât de baisser ses dîmes du 1/12e au 1/18e[9].

Julien de la Rovère les rétrocéda, le 15 janvier 1502, au Collège du Roure, ex Collège Saint-Nicolas d'Annecy, qui passa un acte d’habitation pour les repeupler. Seules, après 177 ans d’abandon, les « Autres Richerenches » le furent et donnèrent naissance à l’actuel village qui porte ce nom. Bolboton resta désert et aujourd’hui ce site est uniquement signalé par une ferme portant cette dénomination située au confluent du Lez et de l’Aulière[10].

En 1562, les « Autres Richerenches » furent attaquées, en pleine guerres de religion, par le baron des Adrets. Le village, à nouveau déserté, ne retrouva que peu à peu ses activités. Le 23 mai 1590, la Révérende Chambre Apostolique, redevenue Dame foncière, ne retira que 7 florins de son fief grâce à la dérivation pour l'eau du moulin[9].

Période moderne

Le beffroi fut édifié au cours des années 1746 et 1747. Sur sa façade méridionale fut installée une horloge. Quant à la façade de l'église, elle fut entièrement refaite selon les plans de l'architecte Jean-Baptiste Franque, en 1765[10].

Possessions pontificales, Avignon et le Comtat Venaissin furent rattachés à la France le 14 septembre 1791. Le 28 mars 1792, ces territoires formèrent deux nouveaux districts, Avignon dans les Bouches-du-Rhône et Carpentras dans la Drôme.

Le 12 août 1793 fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.

Monument aux morts des deux dernières guerres mondiales

En 1800, il y eut modification des limites départementales, Suze-la-Rousse étant rattachée à la Drôme, ce qui eut pour conséquence l'enclavement du canton vauclusien de Valréas, devenu dès lors l'Enclave des Papes)

Article détaillé : Histoire de Vaucluse.

Période contemporaine

Dans le premier quart du XXe siècle, fut édifié le monument aux morts de la commune. Il est dû aux ciseaux du sculpteur Henri Guérin et est inscrit depuis le 14 décembre 1955 à l'inventaire général du patrimoine culturel[11].

À la fin des années 1950, l'archevêque d'Avignon nomme une nouveau curé dans la paroisse de Richerenches, l'abbé Heri Michel-Reyne, originaire de Jonquières. Ce fut à son initiative que fut instituée la « Messe aux truffes » en l'honneur de saint Antoine et du diamant noir.

Toponymie

Les formes les plus anciennes attestées sont Ricarensis, en 1138, et Richernsis, en 1143. Ces deux toponymes indiquent une origine liée au nom d'un homme germain, Richari, auquel a été accolé le suffixe germain -ing puis croisé avec le suffixe pré-latin -incum[12].

Héraldique

Blason de Richerenches

D'argent au chêne de sinople, fruité de sable.[13]
Ce sont les armes de Julien de la Rovère, futur pape Jules II, Rovère désignant le chêne rouvre nommé roure en provençal

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
mars 2008 Pierre-André Valayer UMP
André Charransol DVD
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[14])
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
362 454 445 466 542 616 691
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Économie

Agriculture

L'agriculture tient une place importante dans l'économie des communes de l'enclave, avec la culture de la vigne ainsi que la production et l'échange de truffes. Richerenches est d'ailleurs réputée pour être la capitale de la truffe provençale.

Le vignoble produit de vins classés en Côtes-du-rhône. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément le label Vin de pays de la Principauté d'Orange

L'on trouve sur le territoire de la commune une cave coopérative, « Le Cellier des Templiers », et deux domaines privés, le domaine Saint-Alban et le domaine La Guiberte.[15]

Tourisme

Le patrimoine hérité des Templiers, les paysages de l'enclave et le marché truffier attirent les touristes.

La commune dispose d'un office de tourisme 1 étoile situé dans la maison Templière de la commanderie qui date de 1136, où il est possible de visiter le petit musée de la truffe et du vin ainsi que la maquette de la commanderie telle qu'elle se présentait au XIIe siècle, la grande salle de l'étage accueille régulièrement des expositions, des concerts et autres manifestations.

La commune dispose également d'un comité des fêtes.[16]

Les touristes peuvent loger en locations meublées ou chambres d'hôtes.

Chaque année, le troisième dimanche de janvier, on célèbre dans l'église la Messe dite "des truffes", cérémonie créée à la fin des années 1950 par le curé de la paroisse l'abbé Henri Michel-Reyne[17]. Lors de cette messe (en provençal), des truffes sont données en offrande lors de la quête, puis une pesée et une vente aux enchères est organisée devant la mairie.

Équipements ou Services

Éducation

La commune possède une école primaire[18], ensuite les élèves sont affectés au Collége Vallis Aéria à Valréas[19].

Sports

Plusieurs parcours à vélo permettent de visiter les communes de l'Enclave des papes et leur patrimoine.[20]

Un club de football (Avenir Sportif de Richerenches) et une société de chasse.[16] La pétanque se pratique malgré l'absence d'un club.

Un parc de loisirs familial, le Fun Parc Aventure de Richerenches, permet la pratique du laser ball ainsi que quad et kart cross.[21]

Santé

Pas d'aménagement particulier de santé sur la commune, mais centre hospitalier, pharmacies et divers médecins sur la commune voisine de Valréas.

Vie locale

Culte

Catholique (église)

Écologie et recyclage

La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de l'Enclave des Papes.

Lieux et monuments

La préceptorale templière

Patrimoine civil

Patrimoine religieux

  • Statue d’une Vierge Noire, Notre-Dame de Coronne. Cette vierge noire a été datée du XIIIe siècle. Trois siècles plus tard, la chapelle de Bolboton, dédiée à cette Vierge Noire, portait le nom de Notre-Dame des Veilles, comprendre les Vieilles, sous-entendues Richerenches.
  • Église reconstruite au début du XVIe sur la base d'une église templière achevée en 1147 et détruite avec l'abolition de l'Ordre du Temple.[23]
  • La Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Encontre (XVIIe)
  • La Chapelle Saint-Alban
  • Oratoires (Saint-Joseph, de la Vierge et Saint-Yriez)

Personnalités liées à la commune

Henri Michel-Reyne, fondateur de la Messe des truffes.

Richerenches et le cinéma

Une grande partie des scènes du film télévisé Le serre aux truffes', tiré du roman de Pierre Sogno, et réalisé par Jacques Audoir, avec Pierre Vaneck, Christian Barbier et Franck Dubosc a été tournée à Richerenches[24]

Notes et références

  1. a , b , c , d  et e Robert Bailly, op. cit., p. 335.
  2. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
  3. (fr) La climatologie du Vaucluse
  4. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1713.
  5. a , b , c  et d Ripert de Monclar, Le Cartulaire de la Commanderie de Richerenches de l’Ordre du Temple, Avignon – Paris, 1907
  6. a , b , c  et d Jules Courtet, op. cit., p. 271.
  7. Dieudonné d’Estaing, simple doyen de Laon, était devenu évêque de Saint-Paul-les-Trois-Châteaux le 23 décembre 1388. Son oncle était le cardinal Pierre d’Estaing
  8. Claude Faure, Études sur l’administration et l’histoire du Comtat Venaissin du XIIIe au XIVe siècle (1229–1417), Paris-Avignon, 1909.
  9. a  et b Jules Courtet, op. cit., p. 273.
  10. a  et b Robert Bailly, op. cit., p. 336.
  11. (fr) Base Mérimée
  12. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1895.
  13. Armorial du Comtat Venaissin
  14. (fr) Richerenches sur le site de l'Insee
  15. (fr) les vins de Richerenches
  16. a  et b (fr) les associations de Richerenches
  17. (fr) Richerenches : la messe aux truffes
  18. (fr) Enseignement publique primaire en Vaucluse
  19. (fr) Carte scolaire du Vaucluse
  20. (fr) L'Enclave des papes est encore plus sympa à vélo ! article www.laprovence.com du mercredi 30 avril 2008
  21. (fr) Les loisirs de Richerenches
  22. (fr) Commanderie templière de Richerenches
  23. (fr) Patrimoine
  24. (fr) Le Serre aux truffes

Bibliographie

  • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique du département du Vaucluse, Avignon, 1876.
  • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986. (ISBN 2903044279)
  • Florian-Gabriel Serron (texte) et Annick Guillaume (photos), Richerenches la secrète. Un marché en terre de truffes, Balade explicative des codes et rites du marché de Richerenches.

Pour approfondir

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Articles connexes

Liens externes

Communes de la Communauté de communes de l'Enclave des Papes

Grillon  · Richerenches  · Valréas  · Visan

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