Robert Mazlo

Robert Mazlo

Robert Mazlo

Robert Mazlo
Naissance 1er avril 1949
Beyrouth (Liban)
Nationalité Française
Activité(s) Joaillier, gemmologue, designer, sculpteur, peintre, écrivain, maître en Tarot, Expert judiciaire près la Cour d’Appel de Versailles
Formation Atelier de joaillerie familial (BeyrouthLiban) et Istituto Benvenuto Cellini (Valenza-Pô – Italie)
Œuvres réputées - Bague "le Fil du Temps". Collections permanentes de l'Historisches Uhren-Museum de Wuppertal, Allemagne.

- Bague "Hermès Trismégiste". Collections du Deutsches Edelstein Museum d'Idar-Oberstein, Allemagne.

Robert Mazlo est avant tout artiste joaillier, mais aussi designer, peintre, sculpteur et écrivain français.

Sommaire

Biographie

Une enfance phénicienne

Robert Mazlo
Robert Mazlo

Né à Beyrouth, Robert Mazlo descend d’une longue lignée d’orfèvres, établie dès le XVème siècle par Georgius Sayegh el-Mazloum dit « l’Orfèvre », dont l’activité d’orfèvre-alchimiste est connue à Venise dès 1470. Robert est le fils de Joseph Mazloum, marchand d’Art, qui dirige également l’atelier de joaillerie ancestral. Sa mère, Alice Naggiar, artiste peintre, est issue d’une lignée de sidérurgistes originaires d’Asie Mineure et établie à Alep au XIXème siècle. Ainsi entouré, Robert prend rapidement conscience de sa vocation et intègre l’atelier familial où se perpétuent les traditions d’orfèvrerie et de joaillerie phéniciennes. Toutefois, il doit lutter pour imposer sa passion car son père, qui considère le travail manuel comme dégradant, s’y oppose vigoureusement. Il bénéficie en contrepartie du soutien indéfectible de sa mère et de son grand-père maternel, Mikhaël Naggiar, qui lui « délie les mains ». Ce dernier, alors devenu maître d’un empire de l’acier, n’a jamais oublié ses racines, celles de la culture artisanale des orfèvres Scythes.

La fascination de Robert pour « ce qui est caché » et son penchant pour le mysticisme trouvent probablement leur origine dans la diversité des influences religieuses subies dès son plus jeune âge. L’ancien élève du collège de Saïda (Sidon - Liban), aime évoquer le choc éprouvé à la vue du décor du Mithraeum. Il se souvient aussi du spectacle des danses et musiques des derviches tourneurs de l’ordre soufi de Konya, exilés à Alep, auquel son parrain, comptable de l’ordre, le faisait assister enfant.

Une formation italienne

En 1968, Robert Mazlo part se former en Italie à l’Institut d’Art Benvenuto Cellini de Valenza-Pô. Élève du Maestro Grossi, joaillier des Papes et concepteur des « Bagues à Secrets », il remporte en 1972 le premier prix au concours de Maître d'art en métaux précieux ainsi que la médaille d'or de la ville de Florence.

Il est ensuite initié aux prémices du Design des années 70 par le Milanais Elio Carmi, fervent disciple du courant moderniste initié par le Bauhaus. Alors qu’Élio Carmi l’encourage vivement à adopter la nationalité italienne pour enseigner et prendre part à l’éclosion de ce nouveau mouvement, Robert Mazlo préfère rentrer à Beyrouth où il établit son atelier de création en 1973.

Maximos III Mazloum
Maximos III Mazloum

L’exil

Quand la guerre civile éclate en 1975, il s’exile définitivement à Paris, accompagné de son plus jeune frère. Ce départ vers la France s’inscrit dans l’histoire familiale. De tradition grecque-melkite catholique, les Mazloum entretiennent depuis le XIXème siècle des liens étroits avec la France.

Son aïeul, Maximos III Mazloum, patriarche de l’Église grecque catholique de 1833 à 1855, a ainsi fondé en 1821 la paroisse grecque catholique de Saint-Nicolas à Marseille (aujourd’hui la plus ancienne paroisse de rite oriental d'Europe) avec le soutien du roi de France Louis XVIII.

En 1841, devenu Grand Maître de l’Ordre Hospitalier de Saint Lazare, Maximos se substitue au Saint-Siège et au roi Charles X de France, contraint à l'exil pour la protection des Lieux Saints. En remerciement, il reçoit la nationalité française et l’État lui fait don de la paroisse de Saint-Julien-le-Pauvre à Paris qui adopte le rite grecque-melkite catholique.

Comme si la même histoire se poursuivait, c'est l'Exarque de Saint-Julien-le-Pauvre, Joseph Nasrallah, qui présente Robert Mazlo à Georges Gorse en 1976. Ce dernier, ministre mais aussi maire de Boulogne-Billancourt, encourage Robert Mazlo à établir son atelier dans sa ville. Pour son apport à la France des techniques de fabrication antiques héritées des Phéniciens et des Scythes, Robert Mazlo reçoit la nationalité française, puis se voit attribuer le titre de Maître Artisan.


Parcours

Hermès Trismégiste
Hermès Trismégiste

Les débuts parisiens

Très vite après son arrivée à Paris, Robert Mazlo est sollicité par les galeries d’art contemporain, participant ainsi, entre autres, à la FIAC de 1979 à 1983.

En 1979, sa bague "le Fil du Temps" intègre les collections permanentes de l'Historisches Uhren-Museum de Wuppertal, Allemagne, qui classe l’oeuvre au nombre des dix bagues les plus emblématiques du XXème siècle.

En 1987, la bague "Hermès Trismégiste" entre dans les collections du Deutsches Edelstein Museum d'Idar-Oberstein, Allemagne.

Entre 1979 et 1994, pour la maison S.T. Dupont, il met au point une nouvelle technique de serti de diamants destiné aux agrafes de stylos et aux barillets des briquets.

L’épisode Swatch

prototype Swatch signé - 1981
prototype Swatch signé - 1981

A partir de l’automne 1980, Robert Mazlo va participer à l'aventure de la Swatch. Sollicité par Ernst Thomke, PDG de la société horlogère suisse ETA, il travaille comme créatif et designer, aux côtés des deux pionniers, Elmar Mock et Jacques Müller. Leur objectif : créer une montre (qui devait à l’origine s’appeler « Popularis ») accessible au plus grand nombre et destinée notamment aux pays du Tiers-monde. Une montre fabriquée en plastique et dont la pile puisse être changée sans intervenir sur le boîtier.

Auprès de ces ingénieurs, Robert Mazlo impose une nouvelle esthétique d’épure minimaliste qui devait connaître son apogée au cours des années 90. (voir: [1] ) « La toute première, ma préférée, la pure, qui n’a jamais été commercialisée (en voir la raison: "accessoring" [2]était d’un classicisme renversant : un simple rond » se souvient Elmar Mock, à propos de la première Swatch (Libération, juin 1995)

Parmi les challenges relevés avec ETA : la fabrication de la plus petite montre au monde. Une montre dont le diamètre n’excède pas celui d’une cigarette et dépourvue de remontoir. A partir de cette montre, Robert Mazlo concevra une collection de Haute Joaillerie toujours pour ETA.

Ses compétences de maître lapidaire l’amènent aussi à créer, toujours pour ETA, un boîtier de montre entièrement sculpté en pierre (granit) : la Rockwatch, commercialisée par Tissot.

L’aventure prend fin en 1985 quand Elmar Mock est congédié par le nouveau PDG, Nicolas Hayek.

Parallèlement à ces collaborations avec l’industrie horlogère, Robert Mazlo avait poursuivi son œuvre artistique. Il avait acquis la réputation de joaillier créateur spécialisé dans la conception de bijoux-œuvres d’art, uniques et réalisés sur mesure. Il avait également signé le graphisme des sigles olympiques des Jeux de Munich pour la délégation des athlètes libanais.

La rupture

L'année 1984 sera celle des ruptures. Fortes. Les dissensions et autres différences de vue au sein de la famille provoquent la fin de la collaboration entre les deux frères. Robert adopte même le nom de MAZLO, décision hautement symbolique qui lui vaudra d’être déshérité par son père.

Les années de maturation

Au milieu des années 80, commence une longue période de silence. Au cours de cette retraite volontaire de 14 ans, Robert Mazlo concrétise son rêve d’atelier-laboratoire où, grâce à une rationalisation drastique de l’espace, il optimise l’efficacité des tâches. Lieu privilégié de transmission, le nouvel atelier accueille apprentis et stagiaires pour réhabiliter le travail en équipe, sauvegarder et réapprendre les techniques traditionnelles comme elles se pratiquaient au Moyen Âge et plus encore à la Renaissance.

Chacun, maître, ouvrier, apprenti, stagiaire, participe aux différentes étapes de l'ouvrage. Cette transmission transversale des compétences évite le cloisonnement des métiers inhérents aux ateliers de joaillerie qui privilégient la stricte séparation des savoir-faire.

Entre 2000 et 2004, Robert Mazlo reprend le chemin des expositions. Après avoir multiplié les apparitions dans des salons grand public et professionnels, il ouvre la galerie MAZLO à Saint-Germain-des-Prés en 2005.


Œuvre et influences

Le Designer

Histoire personnelle oblige, l’œuvre de Robert Mazlo est fortement marquée par l’expérience italienne. Très influencés par l’esthétique minimaliste héritée du Bauhaus, les premiers bijoux s’inscrivent dans le courant idéologique de l’Arts and Crafts. On retrouve associé à des accents orientaux, ce même intérêt pour la forme pure, l’alliance de matériaux naturellement sophistiqués. Le but est moins de contraindre la matière que de magnifier ses qualités.

Le joaillier humaniste

Au long de ses 14 années de silence et alors qu'il tourne le dos à sa famille, Robert Mazlo revient aux fondamentaux initiés par quelques personnages marquants de la dynastie, tels que Georgius Sayegh el-Mazloum (Byblos 1449 -Venise 1527) ou le patriarche Maximos III Mazloum (Alep 1779 – Beyrouth 1855). Il se consacre à l’étude intensive du Nombre d’Or et du Tarot. Sa pratique de la joaillerie en ressortira notablement influencée.

A l’instar de ces deux ancêtres, Robert Mazlo exprime par son art un constant va et vient entre Orient et Occident. Ses œuvres se situant toujours sur une ligne de fracture entre Romantisme et Classicisme. Le bijou est traité comme un accident survenu de cette rencontre ou friction improbable entre deux mouvements antagonistes.

Le Tarot surgit alors comme une évidence. Comme le "double" de l'aventure de Robert Mazlo. Comme lui, le Tarot est issu d’Orient dans sa forme originelle. Il est entré en Occident par l'Italie puis Marseille, grâce aux Templiers et marchands-voyageurs. Ses recherches le mènent d’ailleurs à en trouver la preuve tangible en redécouvrant le Tarot des Mamelouks conservé à Topkapi. Il multiplie également les rencontres marquantes, dont celle d'Alejandro Jodorowsky qu'il met sur la piste de la plus ancienne version connue du Tarot dans sa forme actuelle, le Tarot de Chosson (1672).

Robert Mazlo se nourrit donc de cet héritage et de ses codes pour articuler ses propres œuvres. Il exhume les données alchimiques élaborées par Georgius Sayegh el-Mazloum et réinvente le test « alchimique », qui devient une constante de son travail de commande.

Le questionnaire auquel il soumet ses commanditaires fait ressortir un ensemble de formes, chiffres, couleurs. Interprété à la lumière du Tarot et de l’Alchimie, cet ensemble lui permet de concevoir les bijoux souhaités.

Face à une démarche aussi individuelle et aussi individualisée, il devient hasardeux définir un style « Mazlo ». Seule constante de son œuvre : le rapport indéfectible à l’individu dont la personnalité seule détermine les contours de l’objet final. L’artiste ne se définit plus comme un créateur au sens moderne du terme. Il prend place dans la lignée des artisans du Quattrocento, les Botticelli, da Vinci et Giorgione, dont les œuvres fourmillent de codes et d’allusions ésotériques tout à la fois universelles et impossibles à décrypter par les non-initiés.

Mazlo construit cette aura de mystère autour de ses bijoux pour se faire l’interprète d’une histoire intime et personnelle, celle du destinataire du bijou. Une matérialisation de son secret.

Ses bijoux sont une mise en scène de la condition humaine tiraillée entre la conscience de sa mortalité combattue par son aspiration au Divin, et la nécessaire remise en question des certitudes, y compris et surtout artistiques. Une fois la technique parfaitement maîtrisée, il devient nécessaire non pas de la désapprendre, mais de la triturer jusqu'à en recueillir la quintessence.

Ce faisant, Robert Mazlo entre dans un univers de pensée commun à des artistes et penseurs, tels que Wassily Kandinsky, Walter Gropius, Piet Mondrian, Pablo Picasso, Aldous Huxley, ou encore, plus récemment, le metteur en scène Peter Brook et le musicien Keith Jarrett, qui tous ont été influencés de manière directe ou indirecte par la pensée de G.I. Gurdjieff. L’apport de la philosophie de ce penseur sur la démarche artistique de Robert Mazlo est ici essentiel en ce qu’elle propose une « démolition », une « destruction » des systèmes existants, condition préalable et nécessaire à toute édification de l’Être, et a fortiori d’une œuvre d’art.

Il va même, dans ses œuvres les plus personnelles, jusqu'à appliquer à la joaillerie une forme « d’écriture automatique », laissant libre cours à son inconscient pour redécouvrir le jeu des correspondances entre références visuelles, tactiles et musicales.

Œuvre écrite et Tarot

Robert Mazlo commence à écrire vers l’âge de 16 ans, époque à laquelle il est initié à la Philosophie. Il se prend de passion pour la problématique métaphysique et pour l’œuvre de Blaise Pascal (« Le Roseau Pensant »). Il rédige plusieurs nouvelles et un roman qu’il détruira en un autodafé ainsi que l’ensemble de ses œuvres peintes à la veille de son départ du Liban. Dans les années 90, il renoue avec sa vocation de jeunesse et entreprend l’écriture d’un conte philosophique né de ses recherches sur le Tarot : Les Tablettes d’Hermès. L’ouvrage s’inscrit dans la lignée des contes philosophiques d’Asie Mineure issus pour la plupart de la tradition orale. Le propos, sous son apparente naïveté, dissimule un discours hermétique, codifié et truffé de références à l’Alchimie. L’humour n’en est d’ailleurs pas absent et s’apparente aux maximes et histoires-enseignements de Nasr Eddin Hodja, figure mythique très populaire de l’Asie Centrale au Bassin Méditerranéen.

Le Tarot y est abordé comme un vecteur de sagesse, une forme d’enseignement par l’image, qui n’est pas sans rappeler la fonction initiale de l’art religieux, de l’Égypte pharaonique aux sculptures allégoriques des cathédrales du Moyen Âge. La fonction de l’image comme instrument de connaissance est étudiée à la lumière d’œuvres d’art exemplaires appartenant notamment au Quattrocento, que l’auteur dissèque, décrypte et analyse pour en retirer des idées et concepts de portée universelle.

Depuis la parution de ce premier livre (Editions Ramuel), il a entrepris l’écriture d’un nouvel ouvrage traitant des pierres précieuses.

Expositions

Expositions personnelles

Galerie « Minéraux et Gemmes », rue du Faubourg St Honoré, Paris (1977)
Galerie « Tertio »,Versailles (1978)
Galerie « Chéret », Paris (1979 et 1982)
Galerie « Monade », Paris (1980)
Galerie « Marie Zisswiller », Paris (1980 et 1981)
Galerie « Vina », De Beers, Paris (1982)
Galerie « Eau Forte», Paris (1983)
Galerie « Mariko Yuda », Japon (1984)

Expositions collectives

Galerie « Bernheim Jeune », Paris (1978)
Galerie « La Curia du Louvre », Paris (1980 et 1981)
Hôtel Intercontinental, Francfort (1981)
Maison d’Amérique Latine, Paris (1981)
Maison de la Culture Arménienne, Paris (1981)
Galerie du Claridge, Paris (1981)
Centre Culturel Japonais, Paris (1983)

Salons

Salon des Artistes Décorateurs S.A.D. Grand Palais, Paris (1978)
Salon International de la bijouterie de Monte-Carlo, Monaco (1979)
FIAC, Paris (1979-1983)
Galerie « La Pochade », Paris (1979-1983)
Salon International de la Bijouterie, Munich, Allemagne (1983)
Art Expo, New York (2001)
Journées des Joailliers Créateurs, Artcurial, Paris (2003 et 2004)
Kara, Paris (2004)
International Jewellery Tokyo (2007)

Références

Hajjar J. (1957). Un lutteur infatigable, Maximos III Mazloum. Harissa.
Dick Ignace (1994). Les Melkites. Brepols.
Vogue Nippon. Janvier 2008.
Ateliers d’Art. Novembre - décembre 2004.
92 Express, numéro 154. Septembre 2004.
92 Express, numéro 157. Décembre 2004 - janvier 2005.

Liens externes

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