Saint-Loup-Champagne

Saint-Loup-Champagne

Saint-Loup-en-Champagne

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Saint-Loup-en-Champagne
Carte de localisation de Saint-Loup-en-Champagne
Pays France France
Région Champagne-Ardenne
Département Ardennes
Arrondissement Rethel
Canton Château-Porcien
Code Insee 08386
Code postal 08300
Maire
Mandat en cours
Robert Carré
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes des Plaines du Porcien
Latitude
Longitude
49° 27′ 20″ Nord
       4° 13′ 16″ Est
/ 49.4555555556, 4.22111111111
Altitude (mini) – (maxi)
Superficie 15,77 km²
Population sans
doubles comptes
223 hab.
(1 999)
Densité 14 hab./km²

Le village de Saint-Loup-en-Champagne est une commune française, située dans le département des Ardennes et la région Champagne-Ardenne

Sommaire

Historique

Avant le décret n°2002-500 du 10 avril 2002, la commune s'appelait Saint-Loup-Champagne

Saint-Loup-en-Champagne apparait sur la Table de Peutinger sous le toponyme latin de meduanto.

Les chartes citent le nom latin « Sanctus Lupus In Campaniâ ». On me nomme successivement Saint Leu En Champagne au XIIIème siècle, Sainct Loup au XIVème, Saint Leup En Champaigne et Saint Leup De lés Avenson au XVème. Puis Saint Loup En Champagne, la préfecture avait enregistré sans le « en » : Saint-Loup-Champagne.

Le conseil municipal a du rectifier cela par délibération du 25 février 2000 conformément à l’usage local, paru au journal officiel du 13 avril 2002 (sans les traits d’union par les correcteurs d’orthographe des ordinateurs).

Les habitants se nomment « les Thoins ».

Le village de Saint-Loup-en-Champagne bâti dans un vallon et entouré de fossés, se trouve à proximité de la voie romaine de Reims à Cologne. Il offre au visiteur le site de son ancien château totalement détruit et une église presque entièrement reconstruite, à une date récente, sauf le chevet.

Le Saint Patron

« Saint Leu » est né prés d’Orléans en 573, nommé évêque de Sens en 609 par Thierry II, roi de Burgondie. Exilé par Clotaire II puis pardonné, il est mort le 1er septembre 623. Il est fêté au village le 1er septembre.

L'église

Eglise paroissiale de Saint-Loup-en-Champagne

L'église en 1910

La tour de l’église a été refaite au-dessus du portail, tandis que l’ancienne tour romane se trouvait à sa place normale, à la croisée du transept. Elle forme un porche au rez-de-chaussée, précédant la nef refaite avec elle, comme l’indique une inscription qui résume l’historique de l’édifice entier.

Cette église construite pendant le XIème siècle, agrandie et embellie quatre cents ans plus tard, menaçait ruine. Elle a été rétabli également en deux fois, grâce aux efforts combinés de la commune et de l’état. Le transept et le sanctuaire ont été restaurés en 1879 – 1880. La nef et le clocher ont été reconstruits en 1887.

Sous le haut patronage de s. Em. Mgr Langénieux, cardinal, archevêque de Reims, de Mr. Joucla-Pelous, préfet des Ardennes, sous l’administration de Mr. Modaine, maire, Mr. Manceaux, curé. L'architecture de la tour, comme celle des nefs, s’inspire des lignes gothiques flamboyantes de l’abside. Les combles sont couvertes d'ardoises.

Les cloches

Charlotte - Henriette - Suzanne

Les trois cloches actuelles ont été transportées en 1887 de l’ancienne tour carré du transept, installées dans un beffroi neuf à l’étage campanaire percé d’ouïes larges et bien espacées. A cette date, les cloches furent fondues sur place par les fondeurs Antoine et Loiseaux.

Sur la grosse cloche de d'un mètre et dix centimètres de diamètre, il était écrit :

« En 1840, messieurs Antoine et Loiseaux nous ont refondues d’une en deux. Cette refonte est due à la générosité d’une très forte majorité des chefs de famille de la commune, qui ont fait choix de Mr. Etienne Batteux, maire, pour mon parrain, qui m’a choisi madame Jeanne Trichet, son épouse, pour ma marraine. Ils m’ont donné les noms de Emma Jeanne- Elise et nous avons été bénites par Mr Charles Baudet, curé de Saint Loup. »

Sur la cloche de moyenne taille de 90 centimètres de diamètre, il était écrit :

« En 1840, j’ai été donnée à l’église de Saint Loup par la générosité de feu Mr. Ponce Minet, fils de feu Mr. Paul Minet et de Marie Jabart qui a été ma marraine, et mon parrain M. Paul Marcel Surply ; ils m’ont donné le nom de Marie. »

Sur la petite cloche de 80 centimètres de diamètre :

« En 1840, messieurs Antoine et Loiseaux fondeurs, nous ont refondues d’une en deux, cette fonte est due a la générosité d’une très forte majorité des chefs de famille de la commune, qui ont fait choix de M. Nicolas Tronchet, propriétaire, pour mon parrain, qui m’a choisi Jeanne Trichet l’aîné, son épouse, pour ma marraine. Ils m’ont donné les noms de Austrégilde-Uranie-Marie. »

Il résulte des textes que les fondeurs ont d’abord établi une sonnerie de deux cloches, la grosse et la petite, avec le bronze de l’unique cloche précédente. Ils ont fondu la même année une troisième cloche, qui forma la moyenne des deux premières.

Procès verbal de la bénédiction des cloches de 1840 :

« L’an de grâce mil huit cent quarante, le dix neuvième jour du mois de juillet, sixième dimanche après la Pentecôte, ont été bénites, trois cloches dans cette paroisse de Saint Loup, l’une par le curé d’Avançon, né à Saint Loup, les deux autres par moi Charles Baudet, curé de Saint Loup. (Monsieur Hennequin, curé du canton, ayant refusé à cause de son grand âge (90 ans) de procéder à cette bénédiction, avec l’autorisation de Mgr Gros, vicaire capitulaire, le siège vacant par le décès de Son Eminence le Cardinal de Latil). M. Renaud Boulet, curé d’Avançon et moi Charles Baudet, avons signé ce présent acte le jour, le mois et l’an sus dits.[1] »

L’abbé Baudet a été curé de Saint Loup du 15 août 1826 au 7 juin, date de sa mort. Ces trois cloches furent enlevées en 1917 par les Allemands et remplacées en 1921.

Les trois nouvelles cloches sont bénies en novembre 1921 par l’abbé Bouchy.

Nom Poids Note Parrain Marraine Remplace Remarque
Charlotte Elisabeth 1050 kg Mi Léon Pasté, maire de la commune Charlotte Elisabeth Druart, épouse de Léon Pasté Emma Jeanne Elise Noms des enfants du village morts à la guerre 1914-1918 gravés dans le bronze.
Henriette Jeanne Marie 900 kg env. Fa dièse Fromentin César Fromentin Henriette, sœur de Fromentin César Marie
Suzanne Andrée Antoinette Marguerite 700 kg env. Sol dièse Chevalier Auguste Angèle Boulay Austrégilde-Uranie-Marie

Histoire

La grande guerre

Du 23 août 1914 au 11 novembre 1918, Les Ardennes furent le seul département français entièrement occupé par l’armée allemande. Cinquante et un mois de violences, puis de harcèlements et de privations[2]. Vers le 20 août 1914, l'armée allemande franchit la frontière franco-belge. Des combats se déroulent à Charleroi, Dinant et Rossignol[2]. Les récits des atrocités allemandes dans les Ardennes, colportées par les réfugiés Belges, terrorisent la population[2].

Toutes les maisons doivent rester ouvertes, elles sont fouillées de fond en comble plusieurs fois par semaine[2].

En 1916, les 102 communes de la région se voient réclamer 2 100 000 marks[2], en 1917 un 1 500 000 marks[2]. À ces taxes il faut ajouter les réquisitions en tout genre : la récupération des métaux pour les industries de guerre (la mauvaise volonté des ardennais rendit difficile la collecte des objets en cuivre)[2]. De nombreux biens sont concernés dont le bois de chauffage, les meubles, les noyers pour les crosses de fusil, le charbon, les chevaux, les vaches, les pommes de terre, le foin, la laine des matelas, les clenches de porte.

Les populations ardennaises sont étroitement contrôlées et assignées à résidence[2].

Quelques soldats ont exprimé publiquement leur repentir de ces actes. Les occupants se sont efforcés de contrôler les populations ardennaises par tous les moyens.

Le prêtre de Pauvres résume le sentiment général qu’inspire aux ardennais le comportement de l’envahisseur :

« Peuple de sauvages, fourbe et avide, en dessous des Huns d’Attila… Ce qu’il faut, ce qu'il faudra, ce sera d’entretenir non seulement la haine, mais le dégoût de l’allemand qui est le péché intégral[2]. »

De Monsieur Pasté Octave, ancien Maire de Saint-Loup-en-Champagne (de 1891 au 30 septembre 1919.)

« La commune d’Avançon nous a remis une quantité de couverts, chandails, gants, biscuits, haricots et autres articles qui ont été bien reçus par les habitants de notre commune. Je vous remercie du don généreux qui nous a servi a souhait. Notre commune a été moins saccagée, mais les habitants en ont souffert autant. Nous avons été chassés du village et enfermés pendant 4 jours dans l’église d’Avançon. Durant ce temps, nous avons été mis à sac, tout nous a été enlevé, pillé, incendié ; des mines ont détruits certaines parties du village, voilà le résultat de la guerre ; tant pis pour ceux qui sont sur le passage. Encore une fois merci, nous n’oublierons jamais le bien que vous faites à nos familles. Octave Paste. »

Guerre 1940-1945

Le 9 juin 1940, le chef d’escadron entre en liaison directe avec le commandant Masse, le groupement d’action d’ensemble à Saint Loup, et place un observatoire au signal de Saint Loup (en haut du mont de Blanzy). Mais les batteries subissent des pertes et mal abritées sont parfois dans l’obligation de se taire. Les 2ème et 3ème batteries du 123 RALCA (artillerie lourde 105L) prennent position dans le bois au sud de Saint Loup à contre pente, elles sont prisent sous un bombardement aérien violent à plusieurs reprises puis subissent des tirs d’artillerie ennemis qui préparent l’attaque allemande dans cette région[3].

Le 15 mai, le 24ème régiment d'infanterie est dirigé sur l’Aisne en camion. Installé les 16 et 17 mai, le front a une étendue de 20 km de Château Porcien à Vieux les Asfeld pour défendre la rive sud de l’Aisne.

Le PC du colonel Sausse est situé à Saint Loup dans la dernière maison à l’angle de la route départementale qui monte en pente douce vers Blanzy et de la rue basse. Au signal sont installés un poste de commandement et un poste d’observation. Le 2éme bataillon occupe la ligne d’arrêt au signal Saint Loup, cote 146 et bois Jean Claude.

Le 15 mai, les habitants de Saint loup reçoivent l’ordre d’évacuation et vont aller grossir les colonnes de réfugiés.

Du 17 au 20 mai, le 24e régiment d'infanterie s’oppose à plusieurs tentatives de franchissement de la rivière par les allemands, les rejetant à chaque fois avec des pertes sensibles par de vigoureuses contre attaques. Le régiment remporte un succès en maintenant ses positions malgré l’étendue de son front. Entre le 21 et le 23 mai le régiment profita du répit pour ré-articuler son dispositif Le 9 juin à 3h30 un violent bombardement par mines, avions et artillerie se déclenche sur l’ensemble de la position. De violents combats ont lieu les 9 et 10 juin. Les troupes allemandes sont supérieurs en nombre et en armes blindées. 10 juin enfoncement de la ligne d’arrêt. Malgré la résistance des différents bataillons le régiment est complètement encerclé et son colonel est fait prisonnier. Le drapeau est sauvé le dernier coup de feu est tiré à 23 heures. Des rescapés participent à la défense de la Suippe. Le 24 RI après ces violents combats n’existe plus, mais il a tenu sa mission « tenir sans esprit de recul »[3].

Le colonel allemand dira au colonel Sausse :

« Je vous félicite de la magnifique résistance de votre régiment, ce fut très dur pour nous[3]. »

Au départ de Paris le 24ème comptait 83 officiers, 250 sous officiers, et 2800 hommes, il ne reste que 8 officiers 47 sous officiers et 350 hommes[3]. Sur le terroir de Saint Loup 86 soldats sont décédés dont le commandant De Vansay du 19ème GDCA. Le 24ème RI dépend de la 10ème DI avec les 5ème RI, 46ème RI et 32ème RA. Tous ces régiments sont en garnison à Paris.

Monuments

Ancien château

Une maison de culture importante est située au sommet du côteau dominant le village au sud, à l’endroit où la carte de Cassini place le Château de Saint Loup. Ce domaine appartient à la famille Griffon De Finfe, de Montlaurent.

Un petit monument moderne en pierre

Monument de Saint Loup

Érigé en souvenir d’une légende locale, le monument se trouve placé dans un ravin verdoyant à gauche de la route venant de Blanzy. Sous une figure de Saint Loup, on lit :

« Ici a été enterrée par les Huguenots, au temps de la Ligue, la relique de Saint Loup, enlevée par eux de l’église, mais devenue, dit-on si pesante en ce lieu qu’ils ne purent l’emporter plus loin. »

Selon la légende[4], au XVIème siècle, sous Henri III, les protestants ravagent la région. Ils saccagent l’église de Saint Loup et trouvent dans une châsse le pouce conservé du saint patron de la paroisse. Ils s’en emparent et veulent le jeter dans un marais voisin. Mais plus ils avancent, plus le pouce devient lourd, si lourd même, qu’a un moment, ils ne peuvent plus avancer.

Croix du terroir

Sur la route de Tagnon, à gauche en sortant du village, une croix en fer forgé (2m40 de hauteur, 1m60 de largeur aux bras) se détache au bas d’un talus. Elle est fixée sur un socle en pierre non saillant, et on lit : fait par Pierre-Pascal Rénéuf à Château. Ce nom est celui d’un ouvrier de Château Porcien qui a laissé dans la contrée beaucoup d’autres spécimens de son œuvre. Les extrémités de la croix sont fleurdelisées et des lamelles s’enroulent entre les bras. Au-dessus du Christ en plomb, une plaque en forme de cœur porte le texte suivant :

« A la gloire de dieu, M Fr. Dauphinot a fait élever cette croix à l’intention de Lambert Dauphinot et de M. Malvaux, ses père et mère, et (de) sa fille qui repose sous cette croix, et bénite par M. Masseau, dessert, posé la première année de l’Empire français, l’an de J.-C. 1804[5] »

Monument aux morts

Monument aux morts en 1924

Le monument est formé d'une pyramide en granite, où se lisent les noms des sept victimes de la grande guerre. Une grande croix de guerre est placée au milieu d'un hémicycle formé de feuillages.

Plus tard un coq et une plaque de marbre sont ajoutés, les deux rameaux aussi déplacés.

Dans les années 1960, lors d'une réhabilitation, les obus seront remplacés par des piliers et des chaînes, les rails et le transformateur disparaissent également.




Stèle commémorative de l'observatoire du groupement d'action d'ensemble du 24ème RI

Observatoire du 24 RI

Suite au remembrement de Blanzy La Salonaise, les limites du terroir ont été modifiées. La stèle est maintenant sur le territoire de Blanzy.

Mais cet emplacement possède désormais un numéro cadastral enregistré comme propriété de la commune de Saint Loup.




Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
1840 1852 M. Etienne Batteux
1852 1887 M. Modaine
1891 1919 M. Octave Pasté
1919 1931 M. Léon Pasté
1932 1940 M. Auguste Chevalier
1941 1944 M. Georges Nocton
1944 1969 M. Edmond Pasté Conseiller Général
1970 1971 M. René Fromentin
1972 1977 M. Louis Bausseron
1977 1995 M. François Devie
1995 2001 M. Etienne Bausseron
2001 2008 M. Régis Fromentin
2008 M. Robert Carré[6]
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[7])
1962 1968 1975 1982 1990 1999
215 232 201 220 217 223
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Personnalités liées à la commune

Galerie

Notes et références

  1. Archives paroissiales de la Commune
  2. a , b , c , d , e , f , g , h  et i Les Ardennais pendant la grande guerre, de Gilles Deroche
  3. a , b , c  et d La Bataille de Rethel : 16 mai - 10 juin 1940 de Robert Marcy - 1990 - (ISBN 2905339144)
  4. Saint Loup En Champagne par H. Jadart, écrit fin du 19ème siècle, Archives départementales des Ardennes
  5. Géographie traditionnelle et populaire du département des Ardennes d'Octave Guelliot - 1931
  6. [pdf]Conseil général des Ardennes consulté le 23 juin 2008
  7. Saint-Loup-en-Champagne sur le site de l'Insee

Bibliographie

  • Mourir à Saint Loup, Jean-Paul Tricoire
  • Géographie traditionnelle et population des Ardennes (O Guelliot)
  • Statistiques du département des Ardennes (E Dubois)
  • Les Ardennais pendant la grande guerre (G Deroche)
  • La bataille de Rethel juin 1940 (R Marcy)
  • Le journal L'Ardennais - Archives départementales des Ardennes et de L'Aisne - Archives famille PASTE

Liens externes

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