Saint-Priest (Rhône)

Saint-Priest (Rhône)
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45° 41′ 50″ N 4° 56′ 41″ E / 45.697222, 4.944722

Saint-Priest
Image illustrative de l'article Saint-Priest (Rhône)
Armoiries
Administration
Pays France
Région Rhône-Alpes
Département Rhône (département)
Arrondissement Arrondissement de Lyon
Canton Canton de Saint-Priest
(chef-lieu)
Code commune 69290
Code postal 69800
Maire
Mandat en cours
Martine David
2008 - 2014
Intercommunalité Grand Lyon
Site web http://www.ville-saint-priest.fr/
Démographie
Population 40 917 hab. (2007)
Densité 1 377 hab./km²
Gentilé San-Priods, San-Priodes (on trouve aussi "San-Priot(e)s[1]"
Géographie
Coordonnées 45° 41′ 50″ Nord
       4° 56′ 41″ Est
/ 45.697222, 4.944722
Altitudes mini. 189 m — maxi. 263 m
Superficie 29,71 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Saint-Priest [sɛ̃pʁijɛst][2] est une commune française du département du Rhône dans la région Rhône-Alpes. Saint-Priest se trouve en banlieue sud-est de Lyon.

Située en banlieue de Lyon et membre de la communauté urbaine du Grand Lyon, Saint-Priest est la cinquième ville du département du Rhône (quelque 41 000 habitants en 2010) et la seconde en termes de superficie (environ 3.000 hectares). Elle fait partie des communes dites de l'Est lyonnais.

Ses habitants sont appelés les San-Priods ("San-Priodes" en patois francoprovençal ou "Priestois" pour le nom francisé - source : association des "Amis du vieux Saint-Priest" appelée également "La San Priode"). Cependant, on qualifie également (et ce, de façon plus courante) les habitants de Saint-Priest de "San-Priots" ("San-Priotes" au féminin - source : "Association Sportive des Amis San-Priots").

Sommaire

Géographie

Commune de la banlieue est de Lyon.

Saint-Priest est située au sud-est de Lyon, dont elle est séparée par les communes de Vénissieux à l'ouest et Bron au nord-ouest. En plus de la ville de Saint-Priest elle-même, la commune de 2 971 hectares — la plus étendue de la communauté urbaine après Lyon — couvre les hameaux de La Fouillouse et Manissieux et de Mi-Plaine, plusieurs zones industrielles et commerciales, et de vastes étendues non construites, qui représentent plus de 50% de la superficie totale.

Accès

Histoire

Le village dans les années 1900
Des traces anciennes

Lors de travaux d'aménagement, de nombreuses pièces archéologiques, surtout des céramiques, ont été mises au jour et prouvent que le site a été occupée depuis des temps très anciens[3].

Les plus anciens vestiges découverts jusqu'alors dans le sud et sud-est lyonnais, dataient de la période du Néolithique moyen (vers 4500–3500 avant JC). La découverte à cette occasion, d'un fragment de vase indique une période encore plus ancienne (vers 5000–4700 avant JC). Ce fragment proviendrait de la culture cardiale remontant au Néolithique ancien, originaire du bassin méditerranéen, qui s'est développée dans le nord du couloir rhodanien. La découverte de fosses, de foyers domestiques, d'éléments de céramique et d'outils en silex témoigne d'une occupation de ce lieu pendant tout le Néolithique et jusqu'au début de l'âge du bronze (vers 2000 avant JC).

Des vestiges de villages ou de hameaux, répartis sur une dizaine d'hectares, permettent d'attester un habitat vers les XIe et Xe siècles av. J.-C., type d'habitat regroupé qui semble s'être poursuivi et développé jusqu'au Premier 'âge du fer' (VIIeVe siècle av. J.‑C.) et qui peu à peu est devenu une zone à vocation agricole. Quelques traces subsistent de l'époque gallo-romaine : des fossés et un vestige de chemin qu'on distingue encore ainsi qu'une petite cabane marquée par des trous de poteaux[4].

L'évolution de la cité

Au cours du XXe siècle, la ville de Saint-Priest est passée de 2.500 à 40.0000 habitants, c'est dire l'évolution rapide qu'elle a connue. Vers 1900, Saint-Priest est un village où la majorité des habitants, les San-Priots, vivent de l'agriculture : des céréales (blé, avoine, seigle) du maraîchage, un peu de vigne et de l'élevage. Une culture extensive la plus pratiquée alors en France, Saint-Priest étant néanmoins un grand fournisseur de lait pour les Lyonnais.

La sous-traitance pour le tissages lyonnais, surtout pratiquées dans les hameaux de de Manissieux et de Mi-Plaine, est une activité complémentaire. En matière industrielle, trois entreprises dominent : Giroudière, la maison Dufour et Maret.

C'est après 1918 que s'ouvre pour elle l'ère industrielle qui va vite provoquer le doublement de sa population[5]. Deux hommes, industriels de renom, vont marquer la Ville dès le début du XXe siècle : Marius Berliet et Henri Maréchal. Après 1945, cette tendance va largement s'amplifier : le nombre d'habitants double chaque décennie pour atteindre plus de 40.000 habitants vers la fin des années 'soixante dix'.

Déjà en 1936, le maire de l'époque Théophile Argence dote la ville d'équipements collectifs (la Maison du Peuple, plusieurs stades et groupes scolaires) et rachète le château. De nouveaux quartiers virent le jour avec des immeubles tels que Les Habitations Bon Marché (HBM) de Théo Argence place Salengro puis suivirent les cité HLM du centre-ville, les Alpes, Diderot, mozard et Bellevue (années 1960), Bel-Air I et II (années 1970), Bel-Air III (années 1980), le quartier Porte-Joie (années 1990) et le quartier des Hauts de Feuilly (années 2000) avec ses maisons à énergies renouvelable, proches du Parc Technologique.

Le 1er janvier 1968, la commune est détachée du département de l'Isère et est rattachée au département du Rhône.

Dans les années 2000, la ville a continué sa politique d'équipements publics et a vu l'arrivée en 2003 du tramway.

Administration et politique

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2003   Martine David PS Maire
1983 2003 Bruno Polga PS Maire
1977 1983 Louis Gireau PS Maire
1972 1977 Marius Joly   Maire
Politique

Saint-Priest est une ville très ancrée à gauche, comme d'ailleurs la plupart des villes de la ceinture est lyonnaise.
Ses trois derniers maires sont socialistes, et aux élections régionales de 2010, la liste de Jean-Jack Queyranne (Parti socialistes et écologistes) y obtient 54,34% des voix au second tour, devant celle de Françoise Grossetête (UMP - 26,52%) et celle de Bruno Gollnisch (FN - 19,14%).

La ville de Saint-Priest a la particularité d'avoir mis en place de manière volontaire des Conseils de Quartier. Constitués d'habitants volontaires, ils sont un maillons essentiel de la démocratie locale et participative.

Population et société

Démographie

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 1100 1210 1253 1489 1718 1854 1981 2152 2209
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 2312 2428 2518 2475 2506 2410 2724 2387 2584
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 2577 2608 2543 2704 4268 5957 5336 5673 7115
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 -
Population 10681 20419 36734 42677 41876 40974 41000 40917 -
Notes, sources, ...
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes - Sources : Cassini[6] et Insee[7]

Enseignement

Saint-Priest est située dans l'académie de Lyon.

  • Collège Colette
  • Collège Boris Vian
  • Collège Gérard Phillipe
  • Lycée Condorcet (Général et Technologique)
  • Lycée Professionnel Fernand Forest

Manifestations culturelles et festivités

Maison Théo Argence

Le centre culturel de Saint-Priest, ancienne Maison du Peuple, porte désormais le nom de Centre Culturel Théo Argence (CCTA), du nom de l'ancien maire de la ville à l'époque du Front populaire.

Le Salon Petite Édition Jeune Illustration a lieu tous les ans en novembre. Des artistes internationaux de l'édition jeunesse exposent leurs travaux, des ateliers et des conférences sont proposés aux visiteurs.

La Foire d'automne a lieu annuellement en septembre. S'y mêlent concours agricole, exposition d'animaux de ferme, forains, camelots et animations.

Santé et Sport

La ville possède de nombreux équipements sportifs, surtout dans les sports collectifs avec par exemple l'équipe de rugby du SAL Saint-Priest, -Stade Auto Lyonnais patronné par les 'Automobiles Berliet', qui songe à ses splendeurs passées quand elle pointait en deuxième division.

L'accent est mis sur les disciplines handisport avec d'excellents résultats comme le tir à l'arc avec pour la saison 2009 un titre de champion de France par équipe (arc à poulies) et un titre de vice-champion de France en catégorie 'vétéran'. Une politique qui porte ses fruits.

La ville de Saint-Priest comporte 5 clubs de foot :

  • Association Sportive de Manissieux Saint-Priest (ASMSP) - Equipe fanion en D1 (11ème division) - Stade : Stade de Manissieux
  • Portugais de Saint-Priest - (ASJPSP) - Equipe fanion en D1 (11ème division) - Stade : Stade Jean-Bouin
  • Association sportive Cheminot Saint-Priest (ASCSP) - Pas d'équipe fanion pour la saison 2011/2012 - Stade : Stade Jean-Bouin
  • Association sportive de Saint-Priest (ASSP) - Equipe fanion en CFA2 (5ème division) - Stade : Stade Mendes-France + Stade Municipal
  • Entente sportive de Saint-Priest (ESSP) - Equipe fanion en D1 (11ème division) : Stade : Stade Mendes-France

Cadre de vie et Environnement

Les milieux naturels et agricoles sont localisés à l'est de la commune, ainsi que sur le secteur nouvellement aménagé de la forêt de Feuilly, au niveau du parc technologique. Les milieux agricoles sont essentiellement composés de grandes cultures présentant une faible biodiversité. Seules quelques prairies de fauche et de pâturage sont encore présentes sur la commune. Elles constituent des lieux de gagnage pour l'avifaune locale. On notera la présence de quelques reliques de pelouses sèches abritant des orchidées (orchis bouc essentiellement) à l'extrémité est de la commune (secteur de La Fouillouse).

Économie

  • Usine KTM
  • Usine Renault Trucks
  • Présence d'une pépinière d'entreprises de haute technologie, dont Mérial, depuis 2001 : le Parc technologique de Lyon.
  • Une partie importante de la superficie de la commune est encore consacrée à l'agriculture (colza, tournesol...) principalement à l'est de la ville elle-même.
  • Il y a à peine quelques années, l'élevage bovin était encore présent jusqu'au cœur de la ville, sur ce qui est appelé aujourd'hui le carré Rostand, espace longtemps préservé malgré la présence de grands ensembles immobiliers tout autour.

On trouve encore les traces de l'importante activité agricole de la commune à travers l'architecture: les anciens corps de ferme (XVIIIe, XIXe siècle), souvent en pisé, sont très présents, en particulier dans le village et dans les hameaux de La Fouillouse et de Manissieux. Souvent réhabilité voire divisés en appartements, ils témoignent d'une époque aujourd'hui révolue.

Lieux et monuments

Le Château des XIVe siècle et XVIe siècle

Au Moyen Age, au temps où Saint-Priest est encore possession savoyarde et son territoire partagé entre seigneurs et évêques de Lyon, le Château n'est qu'une Maison Forte. Le premier seigneur de Saint-Priest, le Chevalier Humbert Richard, reçoit en 1336 le château en donation de l'Abbaye d'Ainay. Après lui, six autres Richard se succèderont jusqu'à la vente du Comté de Saint-Priest, à Jacques Guignard en 1645.

C'est la famille Guignard, venue de la bourgeoisie lyonnaise, qui devient seigneur du château et ne va cesser pendant deux siècles de l'étendre et de l'embellir. Le plus illustre membre de cette famille, François Emmanuel Guignard, sera Ministre de l'Intérieur du roi Louis XVI. Après sa mort en 1821, le château sera vendu en 1838. Il va alors connaître un déclin progressif, racheté et revendu plusieurs fois, et finira propriété des Missions Africaines avant d'être finalement racheté par la Ville à l'instigation de son maire Théophile Argence, en 1938.

C'est le maire socialiste Bruno Polga qui va décider de sa rénovation en 1995. Cette opération de sauvegarde du patrimoine permettra de mettre au jour d'importants vestiges gallo-romains conservés maintenant au Musée gallo-romain de Fourvière. Une superbe stèle funéraire datée du IIe ou IIIe siècle, a également été découverte à cette occasion. Selon les archéologues, il s'agit du monument d'un enfant d'une dizaine d'années nommé Julius Victor, qui a été installé dans le château.

Les autres monuments
  • Fort de 1890
  • Cité Berliet, cette cité pavillonnaire fut construite par Marius Berliet face à son usine à partir de 1916. La cession par Renault Véhicules Industriels n'est devenue effective qu'en 2002.
  • Ancienne mairie sur la place du village avec sa fontaine
  • Église Saint-Priest, dite Église du Village
  • Église moderne Notre-Dame-de-la-Paix
  • Église de Manissieux (église Sainte-Marguerite)
  • Plusieurs croix du XIXe siècle à différents carrefours

Personnalités liées à la commune

  • Théophile Argence (1892-1975)

Il a été maire de Saint-Priest de 1929 à 1940. Né à Saint-Rambert, c'est d'abord un militant syndical qui siège à la direction de la Fédération Unitaire des Métaux et un militant politique qui adhère à la SFIO[8] et remporte les élections municipales de mai 1929.

À sa tête, il va réorganiser et développer la petite ville : réseaux d'eau et de gaz, achat de terrains, construction du stade ou de la Maison du peuple en 1935. Il milite pour le développement du sport et la culture populaire, l'aide aux plus défavorisés et fait racheter le château par la commune. L'ancienne Maison du Peuple devenue le Centre culturel porte maintenant son nom.
  • Charles Ottina (1902 -1974)

Il a été maire de Saint-Priest de 1949 à 1972. Pendant les vingt trois ans de son mandat, la ville a connu un développement considérable. Il fut à l'origine de la construction de la nouvelle Mairie, en dessina les plans, préfigurant ainsi ce qu'allait être le nouveau centre-ville. Pour loger une population de plus en plus nombreuse, Il lança un vaste programme de constructions à prix modérés et s'occupa de la réfection du Parc du Château.

  • Louis Raverat

Conseiller municipal après 1945, Louis Raverat (1909-1970) est à l'origine du jumelage avec la ville allemande de Mühlheim am Main. En son honneur, un square de Saint-Priest porte son nom.

  • Charles Ravat (1900–1959)

Il participe largement, dans les années 1920, au développement des usines Maréchal. Puis il devint le brillant dirigeant de l'Amicale Laïque, très attaché à la vie associative et sportive de Saint-Priest.

  • Marcel Vernay

Ce conseiller municipal a également été pendant de nombreuses années correspondant du journal Le Progrès dans la commune. Militant associatif et adjoint aux sports de 1971 à 1977, il a beaucoup participé à l'animation de la cité. Également passionné d'histoire locale, il a fait don à la ville d'un fonds de photographiques de qualité basé sur ses années de journaliste.

  • François-Emmanuel Guignard, vicomte de Saint-Priest (1735-1821)
  • Joseph Rogniat, né à Saint-Priest en 1776, général du Génie, baron d'Empire, théoricien de la guerre, très hostile à Napoléon.
  • Willy Plazzi, conseiller municipal (PCF), président de groupe des élus communistes et intervention citoyenne à l'intercommunalité du Grand Lyon.
  • Kader Attou et Mourad Merzouki, danseurs et chorégraphes nés à Saint-Priest.
  • Daniel Firman, artiste-plasticien travaille à Saint-Priest

Enseignement supérieur et recherche

  • l'Université de Lyon II. Le campus de Bron-Saint-Priest accueille :
    • faculté des langues
    • faculté de géographie, histoire, histoire de l'art et tourisme
    • faculté de droit et de science politique
    • faculté d'anthropologie et de sociologie
    • institut de psychologie
    • institut de la communication, de l'information

Jumelages

Transports

Transports urbains

Voir l'article détaillé sur les : Transports en commun lyonnais

Saint-Priest est reliée à Lyon et à certaines villes du département du Rhône par des autobus et la ligne T2 du tramway.

Autobus[9] :

  • Ligne 26 (Lyon Bachut - T2 / Manissieux Pierre Blanche)
  • Ligne 48 (Saint-Priest Bel-Air - T2/ ZA Pesselière)
  • Ligne 50 (Saint-Priest Hôtel de Ville - T2 / La Fouillouse)
  • Ligne C25 (Lyon Gare Part-Dieu - Métro B et T1 / Parilly - Métro D / Saint-Priest Salengro )
  • Ligne 62 (Gare de Vénissieux/ Saint-Priest Jules Ferry - T2/ Mions Jules Vallès)
  • Ligne 76 (Corbas les Balmes/ Saint-Priest Jules Ferry - T2/ Décines Grand Large)
  • Ligne 93 (Hôpital Feyzin Vénissieux/ Gare de Vénissieux - T4 et Métro D/ Porte des Alpes - T2/ Parc Technologique - T2)
  • Ligne Zi1 (Gare de Vénissieux - Métro D et T4 / Saint-Priest Hôtel de Ville - T2)
  • Ligne départementale 296 (Lyon Part-Dieu / Saint-Priest / Mions)

Tramway [9]: Ligne T2 Perrache – Grange Blanche – Porte des Alpes – Saint-Priest. La ligne T2 circule à Saint-Priest de 4h55 à 23h41, sauf le dimanche et fêtes de 5h40 à 23h41 (horaires correspondant aux premier et dernier départs de Bel-Air).

Le parc relais de Bel-Air propose 120 places de stationnement accessibles 24h/24 et 7j/7.

Transports routier

La commune est traversée par la RN6, l'A43 qui va de Lyon à Chambéry, au tunnel du Fréjus et à Grenoble, ainsi que par l'A46 (ou rocade est), qui relie l'A6 à l'A7 en évitant le tunnel de Fourvière, via l'ensemble des autoroutes Lyonnaises (A6, A42, A43, A7 et A47). Le carrefour A43/A46 à Saint-Priest connaît de fréquents bouchons au moment des grands départs en vacances d'hiver comme d'été.

Notes et références

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 17/07/2011.
  2. Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
  3. Lors du creusement du Parc Technologique, sur la ZAC dite des Perches.
  4. Voir l'association des "Amis du vieux Saint-Priest", "La San Priode".
  5. De 2.704 habitants en 1921, elle grimpe à presque 6.000 habitants en 1931
  6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 3 février 2010
  7. Recensement de la population au 1er janvier 2007 sur INSEE. Consulté le 3 février 2010
  8. Section Française de l'Internationale Ouvrière, nom du Parti socialiste de l'époque
  9. a et b http://www.ville-saint-priest.fr/Transports-en-commun.1715.0.html

Voir aussi

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