Saint-fuscien

Saint-fuscien

Saint-Fuscien

Saint-Fuscien
Carte de localisation de Saint-Fuscien
Pays France France
Région Picardie
Département Somme
Arrondissement Amiens
Canton Boves
Code Insee 80702
Code postal 80680
Maire
Mandat en cours
Dominique de Witasse Thézy
élu en mars 2008
Intercommunalité Communauté d'agglomération Amiens Métropole
Latitude
Longitude
49° 50′ 18″ Nord
       2° 18′ 56″ Est
/ 49.8383333333, 2.31555555556
Altitude 38 m (mini) – 113 m (maxi)
Superficie 9,92 km²
Population sans
doubles comptes
874 hab.
(2006)
Densité 88 hab./km²

Saint-Fuscien est une commune française, située dans le département de la Somme et la région Picardie.

Sommaire

Géographie

La Picardie peut être subdivisée en dix-huit régions naturelles ou petits pays. Saint-Fuscien se trouve dans l’Amiénois. Situé sur le plateau sud d'Amiens, la commune se situe à une distance de 6 km au sud d'Amiens, capitale départementale et capitale régionale picarde. Saint-Fuscien est un bourg résidentiel de plus de 900 habitants. Le village fait partie du District du Grand Amiens, devenu par la suite Amiens Métropole.

D’un point de vue géologique, la commune est sur le plateau picard formé au crétacé supérieur (terrains secondaires ou mésozoïque); c'est un plateau crayeux recouvert de limon. La couche de limon assez mince laisse parfois affleurer la craie. Pendant longtemps, la région a été un pays de petites terres qui étaient difficiles à cultiver et ceci obligeait les paysans parcellaires à trouver un second métier durant l'hiver. Jusqu'au 19e siècle, les coupeurs de velours et les culottières ont travaillé à domicile pour le textile amiénois. A présent, les remembrements et la modernisation des fermes permettent une exploitation plus aisée des terres agricoles sous forme de polyculture et d'élevage[1].

La région est largement occupée au cours de l’année par des masses d’air humides et fraîches venues de l’Atlantique nord, réchauffées cependant par les eaux plus tièdes de la dérive nord-atlantique. En hiver, elle est généralement plus humide que froide et se situe en limite ouest des avancées d’air polaire continental froid et sec.


Histoire

L'histoire du village de Saint-Fuscien débute réellement avec la fondation du monastère à la fin du VIe siècle.

Que s'est-il-passé en ce lieu avant la fondation du monastère?

les hommes de la civilisation acheuléenne (300 000 à 90 000 av. J.-C.) avaient taillés des silex pour se confectionner des armes et des outils. Ensuite, les Celtes se sont installés dans la région. Ce furent d'abord des tribus hallstattiennes. Les princes de ces tribus vont décliner au Ve siècle av. J.-C. et une nouvelle migration celtique se produit alors en provenance du Nord-Est (période de la Tène). Les celtes de la Tène étaient de redoutables guerriers. Enfin ce furent les celtes-belges qui ont traversé le Rhin pour s'installer dans le nord-ouest. La tribu belge qui s'est installée ici était la tribu des Ambiens (ambiani). Ces tribus belges ont été soumises par les légions romaines de César en 57 av J.-C.[2]. Durant la période gallo-romaine, la voie romaine qui part de Samarobriva (Amiens) vers le sud traverse la région.

Le martyr de Fuscien et la fondation du monastère de Saint-Fuscien-au-Bois

Au IIIe siècle, le chrétien Fuscianus quitte Rome pour aller évangéliser la tribu gauloise des Morins. Cette tribu était située au nord des Ambiens. Avec Victoric, Fuscien est de passage en 303 dans le village de Sama (actuellement Sains-en-Amiénois) où ils ont converti Gentien. A cette période, les chrétiens sont persécutés. Le 11 décembre 303, les soldats romains décapitent Gentien à Sains, puis emmènent Fuscien et Victoric dans les bois où ils leur tranchent la tête. La légende dit alors que les 2 martyrs seraient ensuite revenus à Sains en portant leur tête dans les mains[3]. Au VIe siècle, un prêtre retrouve le tombeau des 3 martyrs qui devient alors un lieu de culte. La vénération du culte de saint Fuscien amène à la fondation, à la fin du 6e siècle, d'un monastère sur le lieu de sa décapitation. Lors des invasions normandes, le monastère sera détruit (859), reconstruit (880) puis détruit à nouveau en 925, Il restera alors en ruine pendant environ 2 siècles.

L'abbaye de Saint-Fuscien-au-Bois

En 1105, Enguerrand de Boves, comte d'Amiens, 1042-1116, dote l'abbaye de Saint-Fuscien qui est restaurée et occupée par des bénédictins qui viennent de l'abbaye de Corbie. L'abbaye est mise en commende en 1533. En 1648, la réforme de Saint Maur (voir: Congrégation de Saint-Maur ) est introduite dans l'abbaye pour revenir à un régime monastique strict fidèle à la vie bénédictine. A cette époque, le logis abbatial (dit à présent « château de Saint-Fuscien ») est reconstruit. L'église de l'abbaye sert pour le culte du village et les moines font l'école et instruisent les enfants gratuitement et charitablement[4].

abbaye de Saint-Fuscien.

Lors de la révolution française, la congrégation bénédictine de Saint Maur est dissoute (1790) et les biens de l'abbaye deviennent propriété de la nation. En avril 1791, une pétition (73 signatures) des habitants demande à l'évêque du département de la somme d'intervenir auprès du préfet pour la conservation de l'église, du cimetière, de l'école et du logement d'un prêtre car un décret de l'Assemblée Nationale ordonne la vente des biens de l'abbaye. Les bâtiments conventuels sont vendus à un particulier. De grandes modifications sont effectuées et une partie des bâtiments est démolie pour récupérer des matériaux de construction. Le Septidi 17 Thermidor an 12 (Dimanche 5 Août 1804), le conseil municipal demande la restauration de l'église pour y accueillir les paroissiens car il y a plus de 500 habitants dans la commune composée de 125 maisons pour 135 ménages et il n'y a plus d'église dans le village. En 1820, une chapelle sera aménagée dans une ancienne grange et la construction d'une nouvelle église sera décidée en 1865. Cette église a été très endommagée lors de l'incendie criminel de 2005.

L'école des Frères

En 1825, le révérend père Lardeur (1776-1863) achète ce qui reste de l'abbaye pour y installer une école de la congrégation des Frères de Saint Joseph. Les écoles de cette congrégation ont eu une grande renommée sous le second empire. Cette congrégation sera interdite en 1888[5]. Les bâtiments conventuels furent alors à nouveau vendus à un particulier. A présent, il ne subsiste que l'hôtel abbatial (dit château) et un petit pavillon de l'ancienne abbaye de Saint-Fuscien-au-bois.

Le village de Saint-Fuscien et les guerres[6]

Saint-Fuscien a subi les invasions normandes et les vikings ont détruit deux fois le monastère (en 859 et en 925). Les villages de la seigneurie de Boves étaient reliés au château (11° siècle) par des galeries creusées dans la craie qui permettaient aux habitants de se "mucher" en cas d'attaque.

Le traité de Troyes en 1420 octroya la région aux Bourguignons. En 1470, Louis XI attaque les Bourguignons de Charles-le-Téméraire et les combats durent plusieurs années. En 1472, les bourguignons saccagent et brulent l'abbaye de Saint-Fuscien-aux-Bois. Il faudra attendre le traité de Picquigny entre Louis XI et Edouard IV d'Angleterre (1475) puis la mort de Charles-le-Téméraire (1477) pour que Saint-Fuscien soit dans le royaume de France.

la guerre de 1870 à Saint-Fuscien

En septembre 1870, suite à la défaite de Sedan, Napoléon III est prisonier du roi de Prusse Guillaume I. Le 4 septembre, le gouvernement de Défense Nationale proclame la déchéance de l’empire. Une armée du Nord est alors constituée.

Pendant la guerre de 1870-71, les prussiens viennent par le sud pour attaquer Amiens qui est protégée par une ligne fortifiée longue d'environ 9 km. Cette ligne est constituée par 12 ouvrages de défense reliés par des tranchées et passe par Saint-Fuscien (côte 102). Le village de Saint-Fuscien est alors occupé par les Prussiens. Fin novembre 1870, de violents combats ont lieu et Amiens tombe le 28 novembre.

Saint-Fuscien et la bataille d'Amiens

La bataille de Villers-Bretonneux ou bataille d'Amiens eut lieu le 27 novembre 1870, durant la guerre franco-allemande. L'armée française sous les ordres du général Farre affronte les Prussiens commandés par Edwin von Manteuffel, et à l'issue d'une journée de combat, les troupes françaises doivent battre en retraite et abandonner Amiens aux mains des Prussiens.

Le général Farre décide de porter sa maigre Armée du Nord encore en formation (seulement 3 brigades) au devant des ¨Prussiens. Le 26 novembre au soir, Farre acheva la concentration de ses troupes le long d'une ligne d'Amiens à Villers-Bretonneux, sur la rive gauche de la Somme

Au centre du dispositif se trouve la 2e Brigade (Général Derroja) qui s'étendait de la Route de Montdidier à Saint-Fuscien, en passant par Boves.

Aux 17000 hommes de cette petite Armée du Nord, s'ajoutèrent les 8000 hommes de la garnison d'Amiens, commandée par le Général Paulze d'Ivoy, et chargée de la défense de la ville. Ils défendent les retranchements élevés au sud d’Amiens. Le 27 novembre, la 2ième brigade est installée au sud de Saint-Fuscien. Manteuffel commande les troupes prussiennes et réussit à réunir environ 40 000 hommes de sa Ie Armée. Il planifia une attaque pour le 27 novembre au matin : Le Ie Corps devait avancer au-delà de la rivière "La Luce", éclairé en avant par le 3e Division de cavalerie. Le général von der Goeben qui commande le VIIIe Corps d’Armée prussien donne l’ordre de l’attaque sur le flanc gauche : la 15e division allemande doit s’établir à Fouencamps et à Sains puis lancer des éléments avancés jusqu’à Saint-Fuscien et Dury.

Villers-Bretonneux.jpg

Mais l'essentiel de l'action se concentra ensuite vers Villers-Bretonneux, où des forces prussiennes attaquèrent les positions retranchées françaises.

Au sud d'Amiens, vers 8h30, les français du 2e bataillon de chasseurs avaient engagé une reconnaissance en avant de Dury, mais ils furent repoussés par les prussiens jusqu'aux retranchements de la ville.

À 13H, les allemands sont à Saint-Fuscien. Un violent combat se déroule à la ferme Cambos (située entre Saint-Fuscien et Boves) avec les français de la brigade Derroja. Les allemands ont 36 pièces d’artillerie qui sont en position sur le chemin qui va de Saint-Fuscien à Dury et qui pilonnent les batteries françaises sur Dury. Les artilleurs de marine venus d’Arras s’occupent des batteries.

Lorsque Dury et Saint-Fuscien furent occupées par les prussiens, l’armée allemande tourna la position française de Boves. Pour se dégager, le Colonel Pittié mena une contre-attaque sur l'Avre et Saint Fuscien, mais fut repoussé sur Boves où il résista aux assauts avant de se replier sur Longueau ; une dernière charge menée par le commandement Zélé arrêta définitivement l'offensive allemande.

A 16h30 le général Farre décida de la retraite : en effet les troupes françaises, bien que vaillantes, avaient perdus du terrain sur quasiment tous les points de la ligne de bataille, et les munitions étaient presque épuisées.

A la tombée de la nuit, les prussiens établissent leurs cantonnements à Boves, Fouencamps et Sains.

Dans la nuit du 27 au 28 novembre 1870, les français se replient et quittent Amiens. Les prussiens entrent alors dans la ville où reste seulement une garnison dans la citadelle qui doit se rendre au début du mois de décembre.

Environ 1 383 soldats français sont tués ou blessés, et un millier sont portés disparus. De leur côté, Les Prussiens perdent 1 216 soldats et 76 officiers.

Références sur la guerre de 1870 :

  • Terre Picarde n°26 (1989) , p. 4 , La guerre de 1870 aux environs d’Amiens par le colonel Pierson.
  • George Bruce, Harbottle's Dictionary of Battles, Van Nostrand Reinhold, 1981, ISBN 0-442-22336-6.
  • Colonel Rousset, Histoire générale de la Guerre franco-allemande, tome 2, édition Jules Tallandier, Paris, 1911.
  • Général Faidherbe, Campagne de l'Armée du Nord en 1870-1871, édition E. Dantu, Paris, 1871.
  • A. Lecluselle, La guerre dans le Nord (1870-1871), édition Corlet, Colombelles, 1996.
  • voir aussi


la guerre 14-18

Pendant la première guerre mondiale, le 4 août 1914 les allemands entrent en Belgique. La VIe armée de Joffre ne peut pas empêcher que la ville d'Amiens tombe le 31 août aux mains des allemands. Le front est venu jusqu'à Saint-Fuscien. Des pièces d'artillerie françaises sont installées dans le bas du village et le montjoie (côte 102) est le lieu de combats. Des habitations de Saint-Fuscien seront détruites. La VIe armée doit se replier sur Montdidier. Une contre-attaque de l'armée française permet de repousser les allemands le 10 septembre 1914 et Amiens est libérée le 12.

  • voir aussi


la guerre 39-45

Des destructions ont eu lieu en 1940 lors de l'attaque de l'armée allemande. Le 5 juin 1940, une violente offensive allemande se produit et des combats se font au sud d'Amiens de Dury à Boves. Des habitants de Saint-Fuscien qui avaient vu leur maison détruite en 1914 vont trouver à nouveau leur maison endommagée lors de leur retour d'exode.

Le 15e régiment d'infanterie alpine (RIA) a participé à la bataille au sud d'Amiens du 20 mai au 8 juin 1940. Il était composé de 1200 hommes. Ils se battirent contre la 9e et 10e Panzerdivision (constitué de 418 Panzer III et IV) dont la division d'infanterie Grossdeutschland. Les survivants se rendirent aux troupes allemandes le 6 juin. Les prisonniers français reçurent l'ordre de creuser des trous, et furent abattus devant les villageois de Saint-Fuscien. Le nombre de prisonniers était d'environ 300. Cette référence se trouve dans la page 15e_régiment_d'infanterie_(France) qui cite le Recueil d'Historiques de l'Infanterie Française (Général Serge Andolenko – Eurimprim, Paris, 1949 ) mais ce fait ne m'a jamais été rapporté par les anciens du village qui ont vécu cette période.

Fin août-début septembre 1944, le village est libéré par les troupes alliées.

La vie des habitants de Saint-Fuscien

Au 18° siècle et au 19° siècle, plusieurs familles du village sont des coupeurs de velours à domicile pour l'industrie textile d'Amiens. Des culottières travaillent aussi dans leurs maisons alors que d'autres habitants allaient travailler tous les jours à Amiens à pied. D'autres encore partaient avec leurs paniers pour vendre quelques oeufs, une poule ou un lapin sur les marchés d'Amiens.

En 1847, des vaches hollandaises sont acclimatées à Saint-Fuscien[7]. Au début du XX° siècle, il existait une culture d'orchidée sous une très belle serre chauffée, créée par monsieur Graire (maire de Saint-Fuscien de 1904 à 1919).

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
mars 2008 Dominique de Witasse Thézy[8] sans étiquette -
mars 2001 2008 Richard Magnaud sans étiquette -
 ??? mars 2001 Elie Ducrocq sans étiquette -
... ... ... ... -
1904 1919 Graire ... -
Toutes les données ne sont pas encore connues.


Avec Dury et Sains-en-Amiénois, Saint-Fuscien est jumelé à la ville de Bessenbach en Allemagne.


Image blasonnement
Blason Saint-Fuscien.svg Saint-Fuscien

D'azur aux trois chevrons d'argent accompagnés de trois étoiles d'or.



Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[9])
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
363 431 687 1026 1031 966 874
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Lieux et monuments

  • Église :

construite en 1879 - 1895

28 mai 1940: l'église est touchée par l'artillerie nazie - elle sera rouverte en 1950.

Ravagée par un incendie criminel en février 2005,

restaurée, la consécration a eu lieu le 11 décembre 2008.

Notes et références

  1. Picardie, Bonneton Ed, (1980)
  2. Histoire des Gaules, C. Delaplace et J. France, A Colin Ed (1995)
  3. -a- Actes inédits des saints martyrs Fuscien, Victoric et Gentien, Charles Salmon in Mémoires de la Société d'Archéologie du Département de la Somme . Tome XVIII - imprimerie Lemer-Amiens, (1861) . -b- Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Abbé L. Jaud, Tours, Mame, (1950)
  4. Charles Salmon, Notice historique sur l'ancienne abbaye et le village de Saint-Fuscien-au-Bois, près Amiens, Lenoël-Hérouart Imprimeur - Amiens (1857)
  5. Revue d'histoire de l'Eglise de France, E. Baratay, 1998, vol 85, n° 213, p. 299
  6. G Bacquet, Les batailles de la Somme, Le courrier-picard-CA-Somme Ed, (1980)
  7. Charles Salmon, “De la race bovine hollandaise, ou notice sur les animaux de cette race, acclimatée à Saint-Fuscien depuis 1847” E. Yvert Ed, Amiens (1855) in Catalogue de la bibliothèque communale d'Amiens, page 449
  8. Liste des maires de la Somme sur http://www.somme.pref.gouv.fr, 27 janvier 2009. Consulté le 15 mars 2009
  9. Saint-Fuscien sur le site de l'Insee

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie




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