Saint-suliac

Saint-suliac

Saint-Suliac

Saint-Suliac

La grève de Saint-Suliac
La grève de Saint-Suliac

Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Canton Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine
Code Insee abr. 35314
Code postal 35430
Maire
Mandat en cours
Pascal Bianco
2008-en cours.
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Malo
Démographie
Population 901 hab. (2006[1])
Densité 165 hab./km²
Aire urbaine 81 962 hab.
Gentilé Suliaçais, Suliaçaise
Géographie
Coordonnées 48° 34′ 15″ Nord
       1° 58′ 17″ Ouest
/ 48.5708333333, -1.97138888889
Altitudes mini. 0 m — maxi. 73 m
Superficie 5,46 km²

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Saint-Suliac est une commune française, située dans le département d'Ille-et-Vilaine et la région Bretagne.

Ses habitants sont les Suliaçai(se)s.

Sommaire

Géographie

Saint-Suliac se situe au nord de l'Ille-et-Vilaine à 10 km de Saint-Malo, 20 km de Cancale, 15 km de Dinan et de Dinard, 20 km de Dol-de-Bretagne, 25 km de Combourg, 40 km du cap Fréhel et du Mont-Saint-Michel, 45 km de Bécherel, 60 km de Rennes.

Saint-Suliac est classé parmi les plus beaux villages de France depuis 1999 : village portuaire typiquement breton, il est organisé autour de son église et de son port, en de multiples petites rues tortueuses et charmantes. C'est pratiquement une presqu'île. Ses très nombreux sentiers côtiers de randonnées vont à la rencontre de sites naturels : au moulin à marée de Beauchet, aux anciennes salines des Guettes (fondées en 1736), à la Pointe du Puits, à la Pointe de Grainfollet, au Mont-Garrot, qui offrent de magnifiques belvédères sur l'estuaire de la Rance, sur les pays de Saint-Malo, Dol-de-Bretagne, Dinan et du Mont-Saint-Michel.

Saint-Suliac, village de pêcheurs sur les bords de la Rance, est l'un des rares villages véritablement maritimes de cet estuaire, entre Saint-Malo et Dinan.

Administration

Municipalité

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
mars 2001 mars 2008 Roger Dufresne
mars 2008 Pascal Bianco
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Intercommunalité

La commune fait partie de la Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Malo. [2] Cet Établissement public de coopération intercommunal créé le 1er janvier 2001 regroupe 18 communes où vivent près de 83 000 habitants (2009).

Démographie

Évolution démographique
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1866 1876 1881 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005
1437 1614 1384 1577 1753 1884 1970 1990 1025 967 1050 975 918 909 881 858 829 802 792 751 722 684 555 545 610 614 768 802 853 901
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Histoire

À l'origine

La région de Saint-Suliac a été habitée depuis bien longtemps comme en témoigne la présence d'un menhir du néolithique, "La dent de Gargantua", et autrefois de trois menhirs, d'un dolmen et d'une allée couverte de 13 m sur le versant sud du Mont-Garrot.

De l'époque paléolithique, la découverte en 1951, d'un gisement exceptionnel de 6000 silex taillés (pointes, racloirs, grattoirs, burins, percoirs, ...) nous prouve l'intense activité de cette industrie installée sous un abri sous roche de Grainfolet.

A l'époque gallo-romaine, des villas sont construites au sud de Garrot et aussi proches du bourg actuel de Saint-Suliac.

En 560, un moine gallois nommé Tysilio ou Suliau (dénommé plus tard Suliac) a vécu sur les hauteurs du Mont-Garrot, il y a fondé un monastère dont la chapelle Saint-Laurent, fut la première église du village. De cette lointaine époque (VIe siècle) subsistent quelques pierres sculptées récupérées sur les ruines de l'ancien monastère et maintenant intégrées à l'appareillage de certaines maisons. Les vignes plantées autour du monastère produiront, dès le Moyen Âge, des vins assez réputés.

Xe-XVIIe siècle

Durant le premier tiers du Xe siècle, les Vikings s'installent à Saint-Suliac sur l'estuaire de la Rance et sur le site d'une enceinte plus ancienne, reconstruisent une cité portuaire fortifiée au sud du Mont-Garrot, dénommée "Gardaine". Ils abandonneront ce site stratégique après leur défaite de 939, à l'origine de leur repli vers la Normandie.

Une nouvelle église romane est construite au centre du bourg actuel, dont il ne subsiste que la porte principale du pignon ouest. En 1136, la paroisse de Saint-Suliac qui dépendait de l'évêché de Saint-Malo, passe sous la dépendance de la très puissante abbaye de Saint-Florent-lès-Saumur, en Anjou. A la fin du XIIIe siècle, on reconstruit l'église, ce qui va lui donner sa belle stylistique gothique du XIIIe siècle. A cette époque, la paroisse compte ainsi sur son territoire deux autres prieurés, Saint-Laurent de Garrot fondé par saint Suliac, qu'elle conserve et Sainte-Marie-des-Stablons en La Ville-es-Nonais, qui dépend de l'abbaye de Saint-Sulpice.

Les Chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem possédaient un fief, un hôpital et la chapelle Saint-Gilles au village antique de Doslet. Ils construisent à la fin du XIe siècle sur les bords de la Rance un autre hôpital, aumonerie et une chapelle Saint-Jean-Baptiste, à Port-Stablon (Port-Saint-Jean), où ils assurent le passage en bateau sur la Rance, vers Port Saint-Hubert en Plouër.

En 1597, lors des guerres de Religion, l'église est fortifiée et occupée militairement. Le 29 août, Saint-Suliac est bombardé violemment par deux galères embossées sur la plage, alors que le bourg est attaqué par l'arrière par plusieurs régiments. L'attaque est fatale : 250 morts autour de l'église au soir du 29 août 1597.

Les habitants du village portuaire de Saint-Suliac sont en grande partie des marins. Ils pratiquent la pêche aux lançons sur des chippes, la pêche côtière sur des maquereautiers et embarquent pour la grande pêche sur les Bancs ou à Terre-Neuve. Ils naviguent également sur les navires de commerce armés au cabotage ou au long-cours. Ils sont enfin présents sur les navires corsaires pratiquant la course lors des guerres.

En 1693, les Anglais, ne pouvant vaincre les corsaires malouins, décident de détruire Saint-Malo. Ils lancent contre les remparts un brûlot de quatre cents tonneaux bourré de poudre, de matières inflammables, de bombes, de vieux canons. Heureusement, le feu est mis trop vite à la machine infernale qui ne cause que des dégâts matériels et un fracas épouvantable. L'oscillation du sol est senti jusqu'à Saint-Suliac, Port Saint-Jean et Doslet.

XVIIIe siècle

Lors des nombreuses guerres du XVIIIe siècle, les corsaires effectuent de véritables exploits et le suliaçais Thomas-Auguste Miniac de La Moinerie se distingue particulièrement avec la prise du Ruby en 1707 et au siège de Rio de Janeiro en 1711, comme le précise lui-même Duguay-Trouin, dans ses Mémoires.

En 1758, les Anglais ravagent à nouveau les bords de la Rance.

Lors de la Révolution, Saint-Suliac s'appelle désormais "Port-Suliac" et Port Saint-Jean reprend son ancien nom "Port-Stablon". En octobre 1792, le prieur doit se cacher et le vicaire s'exiler et un curé constitutionnel est installé à Port-Suliac. Le 20 octobre a lieu l'inventaire des objets du culte dans les chapelles de La Ville-ès-Nonais, Port-Stablon et Doslet. Ces chapelles et les biens appartenant aux religieuses de Saint-Sulpice : la Métairie-aux-Abbesses, la Moinerie, ... sont déclarés biens nationaux. Le 5 janvier 1793, le Directoire de Saint-Malo décide de fermer l'église, parce que des cérémonies religieuses y sont célébrées malgré leur interdiction. L'église de Port-Suliac sert alors de Temple de la déesse Raison. Le conseil municipal au complet doit assister aux fêtes de la Décade, avec le Comité de Surveillance et la Société Populaire. En septembre 1795, on enlève le pavage de l'église pour récupérer le salpêtre (poudre à canon), mais les odeurs fétides qui se dégagent des tombeaux découverts entraîne le déplacement des fêtes de la Décade au presbytère.

XIXe siècle

Le Consulat rétablit le culte catholique à l'église, avec le nom de "Saint-Suliac" et rends au clergé la chapelle romane de Saint-Gilles de Dolet, celles de Saint-Anne de la Viile-es-Nonais et de Saint-Jean-Baptiste à Port-Saint-Jean.

En 1813, les chapelles de Dolet et de Port-Saint-Jean, pillées sous la Révolution, en mauvais états, sont désaffectées et vendues. En 1831, les ruines de la chapelle de Saint-Laurent de Garot sont enlévées.

Le XIXe siècle voit le tourisme se développer lentement avec quelques constructions de villas balnéaires.

En 1846, l'antique chapelle Sainte-Anne des moniales de La Ville-ès-Nonais est démolie, pour faire place à une chapelle beaucoup plus grande construite en forme de croix.

En juin 1846, une épidémie de choléra se déclare à Saint-Suliac et fait 13 victimes en quelques jours.

En 1850, Saint-Suliac va perdre de son importance, avec l'érection en commune, de la section de La Ville-ès-Nonais, par démembrement de 449 hectares distraits du territoire de la commune de Saint-Suliac au sud et la perte de 945 habitants des villages et hameaux de La Ville-ès-Nonais, Port-Saint-Jean, Panlivard, la Baguais, Dolet, ...

La Société des Régates de Saint-Suliac est fondée en 1865 et organise tous les ans une grande fête nautique et villageoise.

En 1872, une cale d'embarquement est construite, sur la grève, dans l'axe de la rue principale.

En 1873, la commune est particulièrement éprouvée, 18 marins de Saint-Suliac, sont portés " péris en mer " sur les Bancs de Terre-Neuve.

XXe siècle

Pour la loi de séparation de l'Église et de l'État, l'Inventaire du 8 mars 1906 fut l'objet d'affrontements sérieux entre les marins qui défendaient l'accès à l'église et le 47ème régiment d'infanterie, qui dut battre en retraite.

La construction du pont de Beauchet en 1903, puis de la gare pour l'arrivée du train TIV en 1909, vont désenclaver la presqu'île de Saint-Suliac, par de nouveaux accès, au détriment de la traditionnelle voie maritime. En 1911, sur la grève, le quai de Vinouse est construit, pour offrir une promenade aux touristes et va surtout désenclaver le hameau de La Villeneuve.

Saint-Suliac est l'un des rares villages de l'estuaire de la Rance à être tourné vers la mer et non pas vers l'intérieur des terres. Ses habitants pratiquent la pêche aux lançons (un petit poisson filiforme, dont la taille n'excède pas 20 cm) à bord des Chippes (canot creux à arrière pointu, grée au tiers) qu'ils vendaient à Saint-Malo comme appât pour la pêche aux bars, aux maquereaux ... Les pêcheurs suliaçais pratiquaient également la pêche aux seiches, (dites margates en breton), qu'ils utilisaient comme engrais dans les champs, ce qui a donné aux suliaçais, le surnom de "Margatier". Tous les ans, le Pardon du 15 août, avec sa bénédiction des bateaux, est trés suivi par les marins.

Le train TIV est abandonné en 1950 et remplacé par des autocars.

Les années 1960-70 voient un développement du village avec la construction du quai vers les Clos de Brons et d'un terre-plein sur enrochements. Des lotissements étendent le village sur Grainfolet et plus tardivement, vers les marais et vers Garrot.

Les régates et les fêtes nautiques inter-villages ponctuent la saison estivale.

En 1965, avec le développement de la plaisance et du port, une école de voile est créée, pour former les jeunes à la voile, comme derniers héritiers de cette tradition maritime.

La construction en 1963-1966 du Barrage de la Rance, en aval de Saint-Suliac, a profondément modifié l'écosystème, les fonds marins, les marnages et les courants de l'estuaire de la Rance. Le Marégraphe de Saint-Suliac, construit à cette occasion, donne les hauteurs d'eau pour l'ensemble de l'estuaire, en amont du barrage.

La chippe "Maria" construite en 1992, est la réplique à l'identique de plusieurs bateaux de pêche: les "Chippes de Saint-Suliac" réalisées d'après des plans de 1910 du chantier Lemarchand de La Landriais. Ce bateau a été primée à Brest en 1992. Son lancement a été l'occasion d'une grande fête nautique et villageoise à Saint-Suliac. Cette fête est reprise par le Comité des fêtes, qui organise tous les ans, le festival "Saint-Suliac il y a cent ans"

Héraldique

Vitrail visible au XVIIIe siècle

La commune ne possède pas d'héraldique en propre. Il a été cependant relevé au cours de travaux [3] que le vitrail principal était orné au début du XVIIIe siècle d'un écusson en alliance dont la 1re partie représentait les armes de Pierre Jean de la Motte de Lesnage, seigneur fondateur (De sable fretté d'or de 6 pièces) et la 2de celles de sa femme, Anne Thérèse du Fresne, demoiselle du Colombier (De sinople au chef denché d'or, chargé de 3 tourteaux de gueules). Il est à remarquer que le témoignage concernant le blasonnement de Mme de la Motte est fautif. Le tout était surmonté d'une couronne comtale.

Lieux et monuments


  • Église du XIIIe-XIVe siècle, classé MH, remarquable par sa tour fortifiée, entourée d'un enclos paroissial, une construction devenue rare dans cette partie de la Bretagne ;
  • Nombreuses maisons datant des XIVe et XVe siècles, elles présentent des façades de granit d'une grande unité de couleur.
  • Vestige du camp viking du Xe siècle, classé MH, enceinte fortifiée quadrangulaire visible surtout par mer pleine dans l'anse de Vigneux au sud du Mont-Garrot ;
  • Oratoire de Grainfolet (1894), belvédère sur l'estuaire de la Rance;
  • La dent de Gargantua, menhir classé MH ;
  • Le moulin à marée de Beauchet ;
  • Les sites classés, sentiers côtiers de randonnée :
    • pointe de Grainfollet ;
    • pointe du Mont-Garrot ;
    • pointe du Puits ;
    • anciennes salines des Guettes ;
    • marais de la Goutte, où poussent dans les parties les plus salées les phragmitaies (Phragmites australis) [4]
  • Les vignes de Garrot, 1250 pieds de chenin plantés en échalas sur les coteaux sud du Mont-Garrot.
  • L'estuaire de la Rance, trés beau site classé MH et protégé pour son environnement marin : Site d'Intérêt Communautaire Natura 2000.

Équipements ou services

Sports

Le CNR, Club Nautique de Rennes et Centre Nautique de Rance, association de pratique de loisir et sportive des activités de voile - planche à voile, optimist, laser, catamaran et habitable - et d'activités de voile scolaire et de découverte du milieu marin sous forme de journées scolaires ou de classes de mer, exerce ses activités tout au long de l'année. Situé sur le front de mer à Saint-Suliac, sur l'estuaire de la Rance et à Rennes, aux Landes et étangs d'Apigné. Le club a formé plusieurs champions de France de planche à voile. Il propose une formule originale d'accompagnement des jeunes à la formation de : moniteur de voile. Adhérent au réseau " École française de voile", il s'astreint au respect de sa Charte de qualité.

Personnalités liées à la commune

  • Guillaume, comte de Marbœuf, sgr de La Baguais, (1648-1712), président de Parlement de Bretagne 1691-1712.
  • Claude Toussaint Marot, comte de La Garaye (1674-1755), bienfaiteur et promoteur des salines de Saint-Suliac, en 1736.
  • Joseph & Thomas Miniac, sr de La Villeneuve, capitaines corsaires de 1705 à 1711.
  • Thomas-Auguste Miniac, sr de la Moinerie, capitaine corsaire de 1702 à 1707, lieutenant de vaisseaux des escadres Duguay-Trouin.
  • Louis Thomas Marie Harrington, sr de La Villeneuve (1723-1813), négociant armateur, premier maire de Saint-Suliac en 1789.
  • Jean & Thomas Herbert, sr de La Porte-Barrée, capitaines corsaires aux XVII & XVIII e siècles.
  • Léopold Victor Charner, amiral (1797-1869)]
  • Elvire comtesse de Cerny, (1818-1899), folkloriste, écrivain de contes, légendes et traditions populaires.
  • Alfred Adophe Caravaniez (1855-1917), sculpteur, artiste renommé.
  • Hyacinthe Perrin (1877-1965), architecte DPLG.
  • Roger-Edgar Gillet, un peintre de renommée mondiale

Notes et références

  1. données officielles 2006 sur le site de l’INSEE
  2. Site de Saint-Malo Agglomération. Consulté le 29 Décembre 2007
  3. Procès-verbal manuscrit du 3 juin 1774 (Archives d'Ille-et-Vilaine cote 4B1281-1292)
  4. Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, p. 40.

Pour approfondir

Bibliographie

  • (fr) Elvire Cerny (de), Saint-Suliac et ses traditions, Rue des Scribes, Rennes, 1987 (réédition) (ISBN 2906064033) 
  • (fr) Abbé Auffret, La Ville-es-Nonais, histoire de Sainte-Anne-sur-Rance, Montsouris, Paris, 1957 
  • (fr) Aimé Lefeuvre, Julien Pétry, La vie à Saint-Suliac avant 1914, Danclau, Dinard, novembre 1989 (ISBN 2907019015) 
  • (fr) François X. Perrin, Yves Perrin, Saint-Suliac à travers son église, étude historique et archéologique, Ed° Patrimoine Saint-Suliac, (réédité en 2004), 4 juillet 1993 (ISBN 2950775500) 
  • Henri Battas, "Saint-Suliac, Précis historique", imp. Bretonne, Rennes, 1956.
  • Aimé Lefeuvre, Julien Pétry, La Chippe de Saint-Suliac, Danclau, Dinard, 1990 (ISBN 2907019031)
  • Loïc Langouët "Un retranchement normand insulaire : Gardaine à Saint-Suliac". Bulletin d'information de l'AMARAI , 1991, n°4., p. 55-63.
  • Alain Droguet, La culture de la vigne à Saint-Suliac au Moyen Âge, dans Le Pays de Dinan, 1992, p. 183-194. (ISSN 07526199)

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