Saint-Étienne-lès-Remiremont

Saint-Étienne-lès-Remiremont
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48° 01′ 27″ N 6° 36′ 19″ E / 48.0241666667, 6.60527777778

Saint-Étienne-lès-Remiremont
Hôtel de ville
Hôtel de ville
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Lorraine
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Canton Remiremont
Code commune 88415
Code postal 88200
Maire
Mandat en cours
Michel Demange
2008 - 2014
Intercommunalité Communauté de communes de la Porte des Hautes-Vosges
Site web www.ville-st-etienne-remiremont.fr
Démographie
Population 3 919 hab. (2006)
Densité 116 hab./km²
Gentilé Stéphanois
Géographie
Coordonnées 48° 01′ 27″ Nord
       6° 36′ 19″ Est
/ 48.0241666667, 6.60527777778
Altitudes mini. 370 m — maxi. 819 m
Superficie 33,81 km2

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Voir la carte administrative

Saint-Étienne-lès-Remiremont est une commune française, située dans le département des Vosges et la région Lorraine.

Ses habitants sont appelés les Stéphanois.

Sommaire

Géographie

La ville se situe à la confluence de la Moselle et de la Moselotte. La forêt occupe 70 % du terrain communal, couvrant deux massifs opposés dont l'un, le Fossard, situé au nord, culmine à 819 m.

Histoire

Connue dès le VIIe siècle sous le nom de Sancti Stépha, la commune fut l'enjeu des rivalités opposant les ducs de Lorraine aux Chanoinesses de Remiremont.

Remiremont vient du nom de « Romaric » qui fonda, sur le Saint Mont ou mont Habend, deux monastères, un d'hommes et un de femmes[1]. Ce dernier, transféré en 870 dans la vallée, fut à l'origine de la ville. Exempté en 1070 de la juridiction épiscopale et relevant directement de l'empereur, le chapitre devint un « chapitre noble » très fermé : l'abbesse avait rang de princesse du Saint-Empire. Au XVe siècle, les ducs de Lorraine établirent leur suzeraineté sur le chapitre en prenant le titre de Comtes de Remiremont[2]., et dont l'érection de la Grande Borne marqua la fin en 1492.

La peste, dont nous conservons l'histoire à travers la léproserie de « La Madeleine »[3]: A la sortie de la ville de Remiremont, à droite de la route qui conduit vers Bussang et Mulhouse se trouve la Chapelle de la Madeleine. La lèpre, et les guerres successives, réduisirent sa population à 60 habitants en 1710, avant qu'en 1766, Saint Étienne - comme toute la Lorraine - devienne française. Nommée Val Moselle sous la Révolution[4], elle comptait 1322 habitants en 1804.

Le 11 octobre 1936, la commune a pris son nom actuel.

Durant la Seconde Guerre mondiale, un groupe de résistants de la commune s’est constitué pour lutter contre l'occupation allemande : le « Maquis du Haut-du-Bois ».

Le 25 septembre 1944, la libération de Saint-Etienne est intervenue, après la Fusillade de Ménafaing.

Évolution de l'urbanisme

En 1860, la commune fut amputée par annexion au profit de la ville de Remiremont, de 382 ha situés à Révillon-la Croisette[5].

Un projet de fusion avec la ville de Remiremont a été élaboré en mai 1954, mais celui-ci avait été refusé par cette dernière. Une "Communauté de Communes de la Porte des Hautes-Vosges" sera finalement créée le 1er janvier 2004. Elle regroupe cinq communes : Dommartin-lès-Remiremont, Remiremont, Saint-Étienne lès Remiremont, Saint-Nabord et Vecoux. Le projet de Schéma Départemental a proposé en 2011 d’inclure dans son périmètre la commune d’Eloyes dans la Communauté de Communes.

Le plan d'urbanisme du "Plateau de la May" a été approuvé en 1961 et a permis la construction de 100 logements HLM et l'urbanisation et l'équipement de tout le secteur.

1971 est la date à laquelle les études de faisabilité pour la réalisation du parc nautique sur le site du plan d’eau de Noirgueux ont été achevées. Mais le projet a finalement été abandonné à la suite du refus de la commune de Saint-Nabord.

Un plan de Plan de prévention du risque inondation a été arrêté par monsieur le Préfet des Vosges le 18 novembre 2008.

Un Plan d’occupation des sols (POS) a été approuvé le 15 mai 1992 et le Plan Local d'Urbanisme (PLU) approuvé le 5 décembre 2008, qui lui a succédé, a été révisé le 5 décembre 2008 et le 19 août 2011.

Un périmètre de protection des ouvrages de Captage d'eau potable a été arrêté par monsieur le Préfet des Vosges le 12 juillet 2010.

Blason Blasonnement
Tiercé ondé en pairle renversé au premier d'or à une clef et une croix de Lorraine de sable mise en pal ; au deuxième d'or à un clocher de gueules ajouré de sable et couvert d'argent ; au troisième d'argent à la quenouille de gueules mise en fasce.
Commentaires : L'emblème stéphanois a été adopté en 1986. L'onde en pairle évoque la confluence des deux rivières, la clé et la croix rappellent l'histoire de la cité, le clocher très particulier est celui de l'église paroissiale construite au XVIIIe siècle et la quenouille représente l'industrie textile qui a présidé au développement de la ville.

Patrimoine

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Le patrimoine architectural et mobilier, étudié par le service régional de l'inventaire, est particulièrement important[6],[7]:

Outre Le site naturel inscrit du St Mont[8] situé à cheval sur les communes de Saint-Etienne-lès-Remiremont et Saint-Amé[9],[10],[11]

- Au village, l’église de l’invention de Saint-Étienne (XVIIIe s), consacrée en 1759, et son orgue de 1872 des frères Géhin[12],[13]. La cloche en bronze de l’église, de 1777[14]. Le tableau représentant « Madame de Raigecourt-Gournay, chanoinesse de Remiremont présentée par saint Romary à Saint Arnould, évêque de Metz » l'a été depuis le 27 décembre 1907[15]. Les vitraux, dans le cœur, réalisés en souvenir du 2ème centenaire de l’église, en l’’An 1951, rappellent « l’union de tous les Stéphanois »

- La grotte érigé en ex-voto, dans le site derrière l'église.

- Le site archéologique, situé sur le sommet du Saint-Mont à cheval sur les communes de Saint –Etienne-lès-Remiremont et Saint-Amé. Site inscrit sur l’inventaire des sites par arrêté du 25 janvier 1944, puis sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 7 juillet 1995[16].

Article détaillé : Chapelle Sainte-Claire.

- La Chapelle de Ste-Claire, bâtie vers 1730 par les chanoines qui habitaient le St-Mont. Cette chapelle, comme en témoigne l’inscription au-dessus de la porte, a été dédiée à Ste-Claire (la troisième abbesse du St-Mont) et à St-Romaric (l’un des fondateurs du monastère). C’est vers la fin du XIe siècle que le monastère d’hommes disparut,

- L'étang creusé en 1731, à proximité de la chapelle Ste claire,

- Les colonnes du XIe s, et peut-être même antérieures, réemployées dans l'ancienne ferme St-Romary.

- Un pavillon du XVIIIe siècle avec son escalier extérieur clos recouvert de tavaillons, situé entre la chapelle et la ferme restaurant.

- À 500 mètres environ de l’auberge de St-Romaric, à proximité de l'ancienne ferme de « La Piotte », ancienne métairie des chanoines, une petite chapelle construite en 1690,

- Sur le flan méridional du Saint-Mont, une fontaine "miraculeuse" dite de Sainte Claire.

- La chapelle de Sainte-Sabine au lieu dit « Sainte-Sabine » sur la montagne du Fossard[17], du XVIIIe siècle, avec éléments du XI ou XII e siècle.

- La Haute Borne, datant de 1492, 4e quart XVe siècle, dite « La Haute Borne » classée au titre des monuments historiques le 1er mars 1966[18],[19].

- Le Pont des fées, inscrit sur l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques le 4 février 1988. Vestiges gallo-romains et d’époques postérieures[20].

- Une croix monumentale en pierre, XVIe siècle à la sortie du hameau, sur la R.N. 66 a été inscrite sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 25 avril 1942 [21].

- La pierre « Kerlinkin »[22],[23], datée de l'ère préhistorique, Menhir ou pierre dressée, portant des inscriptions druidiques, dans le massif du Fossard[24], vient de cairn (tas de pierres),

- Le site néolithique du Moury dans la forêt du Fossard[25].


1884-1892 : Construction des casernes Marion et Victor[26].

L'ancienne caserne Victor est actuellement utilisée pour des bâtiments administratifs (hôtel de ville, poste) et pour le logement collectif.

Cadre de vie 
Ville fleurie avec trois fleurs attribuées par le Conseil national au Concours des villes et villages fleuris[27].

Administration

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
décembre 1863 janvier 1870 Toussaint Leduc    
février 1870 août 1879 Jean-Baptiste Guyon    
août 1879 janvier 1881 Charles Creusot    
janvier 1881 mai 1888 Jacques Mathieu    
mai 1888 septembre 1892 Emile Desjardin    
septembre 1892 mai 1896 Jean-Baptiste Baunin    
mai 1908 janvier 1914 Emile Desjardin    
janvier 1914 janvier 1919 Emile Galland    
janvier 1919 mai 1940 Joseph Claude    
octobre 1940 avril 1945 Auguste Broqué    
avril 1945[29] juin 1970 Antoine Dinkel Sans étiquette Président directeur général entreprise Grégoire & Dinkel[30]
juin 1970 mars 1971 Maurice Couval    
mars 1971 mars 1977 Maurice Briqué    
mars 1977 mars 2001 Jean Valroff PS Professeur de l'enseignement technique, député (1981-1986)
mars 2001 mars 2008 Claude Bonnard    
mars 2008 en cours Michel Demange[31]    
Toutes les données ne sont pas encore connues.
Jumelage 
Drapeau du Portugal Vila das Aves (Portugal) depuis 1986 (décembre)

Démographie

Évolution démographique
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008
3 369 3 741 3 936 4 497 4 085 4 057 3 919 3 879
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Personnages célèbres

  • Nabil Baha, footballeur marocain né à Remiremont en 1981, est issu d'une famille domiciliée dans la commune.

Annexes

Notes et références

  1. Habendum le Saint Mont, La montagne des quatre saints : le monastère du Saint Mont
  2. J.J. Bammert, * Les Nobles Dames de [Remiremont] 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont (Prix Erckmann-Chatrian, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont, (Vosges), 4e trimestre 1971.
  3. Inscrite sur l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques le 16 juillet 1991, et en qualité de site inscrit le 24 janvier 1944, est, avec ses abords, située à cheval sur les communes de Remiremont et St-Etienne-lès-Remiremont. C’est le seul édifice qui reste des bâtiments de cette ancienne léproserie créée lors de la seconde épidémie de lèpre en Lorraine. Le sol de la nef comporte plusieurs pierres tombales.
  4. (fr) Noms des communes des Vosges sous la révolution Française : Val Moselle, Saint-Etienne-lès-Remiremont
  5. Une seconde modification est intervenue sous le mandat d'Antoine Dinkel, alors maire de Saint-Étiennne-lès Remiremont. Ce nouveau changement de limites territoriales avec Remiremont a permis de réaliser le quartier HLM et l’école intercommunale à cinq classes de Révillon.
  6. (fr) Saint-Etienne-lès-Remiremont : Bases Mérimée et Palissy sur le site officiel du ministère français de la Culture
  7. Francis Puton, Fiches documentaires et notices de repérage établies sur l’ensemble du patrimoine architectural et mobilier de Saint Étienne lès Remiremont, Service régional de l'inventaire de Nancy, 1969 
  8. Sites inscrits de Lorraine : Le Saint Mont à cheval sur les communes de Saint-Amé et Saint-Étienne-lès-Remiremont
  9. René Dinkel, L’encyclopédie du patrimoine, 1514 p, Paris (éditions Les Encyclopédies du patrimoine), septembre 1997 (ISBN 2-911200-00-4), Chapitre V page 137 : Fig.V3 Source ancienne extraite de l’ouvrage). Pour les monuments religieux, on peut citer des ouvrages comme celui du Père bénédictin Gabriel Bucelin (1599-1681). Durant ses voyages il a réalisé un journal agrémenté de dessins d’abbayes. Celles-ci sont conservées à la bibliothèque du Land de Baden-Württemberg à Stuttgart (mss HB V 15 a). Il fut prieur de Saint-Jean de Feldkirch (province du Vorarlberg, Autriche), qui dépendait de l’abbaye de Weingarten. Traduction de la légende du dessin (en latin du XVIIe en haut et à gauche de l’illustration) : Le mont Saint-Romaric, communément désigné « Saint-Mont », situé à 683 mètres d’altitude, au-dessus de la ville forte du même nom appelée Remiremont, est un monastère de l’ordre de Saint-Benoît, relevé de ses ruines dans un site très élevé et remarquable.
  10. XX. JAHRGANG, INHALT VON HEFT 2, NEUE KIRCHENBAUTEN IM ERZBISTUM PADERBORN 1948-1967, TEXT – UND BILD – DOKUMENTATION, p 148
  11. Randonnée au Saint Mont
  12. Source : Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), , Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, 1991, 677 p. (ISBN 2-87692-093-X).
    Présentation de l'orgue de la commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont: pages 559 à 561
     
  13. (fr) Site sur les orgues du Département des Vosges : Page sur l'orgue de l’église de Saint-Etienne-lès-Remiremont
  14. Cloche classée au titre des objets mobiliers par arrêté du 02 décembre 1922
  15. Base de données Palissy. Tableau représentant Madame de Raigecourt-Gournay
  16. Notice no PA00135425, sur la base Mérimée, ministère de la Culture : Site archéologique du Saint-Mont
  17. La montagne du Fossard et sa forêt regorgent de curiosités naturelles et historiques : La chapelle de Sainte Sabine
  18. Notice no PA00107285, sur la base Mérimée, ministère de la Culture : Borne dite La haute Borne.
  19. A la découverte de la Haute Borne
  20. Saint-Etienne-lès-Remiremont : Pont des fées
  21. Notice no PA00107261, sur la base Mérimée, ministère de la Culture : Croix en pierre à la sortie du hameau
  22. Le Saint Mont et la pierre Kerlinkin
  23. Gilbert Altenbach et B. Legrais, Lieux magiques et sacrés d’Alsace et des Vosges : « Les hauts lieux vibratoires de la santé », éditions de Rhin, 1983 (ISBN 2 86339 012 o).
    p. 33 : Les Vosges spirituelles ; pp. 119 à 124 : Le « Menhir » Kerlinkin, Ondes de vie harmonieuse de la forêt de Frossard et de la chapelle Sainte-Sabine
     
  24. Les massifs montagneux : Le massif de Fossard
  25. Civilisation girondine, comprenant Menhirs érigés par l’homme et un dolmen , Randonnée au massif du Fossard
  26. Monument inauguré le jour de la Saint-Etienne en l’an 2000 : Saint Étienne rend hommage aux siècles passés. Le granit de ce monument a été offert par la Société granite Leaders.
    L’histoire de Saint-Etienne-lès-Remiremont
    • 1492 Haute borne
    • Au VIIe siècle « Sancti Stépha »
    • 1759 L’église est consacrée
    • 1789 Saint Étienne s’appelle Val Moselle
    • 1805 Construction de la mairie-école du Tabois (Fossard)
    • 1822 Moulin Guilgot
    • 1844 Naissance du textile à Saint Étienne
    • 1856 Le Moulin devient usine textile
    • 1878 Reprise des Grands moulins par Géliot
    • 1884-1892 Construction des casernes Marion et Victor
    • 11 avril 1937 Saint-Etienne devient Saint-Etienne-lès-Remiremont
    • 25 septembre 1944 Libération de Saint-Etienne – Fusillade de Ménafaing
    • Septembre 1977 Arrivée de la Gendarmerie Mobile -5e et 15e BCP
    • 19871999 Départ et fin du textile – Reconversion économique
  27. Villes et Villages Fleuris de France
  28. De la IIIe République à nos jours, d'après la plaque présentant les maires élus depuis la IIIe République, visible dans les locaux de l'Hôtel de Ville.
  29. À la fin de la guerre 1939-1945, Antoine Dinkel fut, sur avis du comité départemental de libération en raison de son activité au sein du maquis du Haut-du-Bois, désigné par le Préfet pour administrer Saint-Étienne-lès-Remiremont. Élu au scrutin du 6 mai 1945 et maire le 26 mai 1945, il devient à 31 ans le plus jeune maire de France
  30. Entreprise crée en 1945, aujourd’hui intégrée au Groupe Livio péduzzi
  31. (fr) Résultats officiels des élections municipales 2008 à Saint-Étienne-lès-Remiremont sur le site officiel du Ministère de l'Intérieur

Bibliographie

Documentation sur le patrimoine de la commune de Saint-Etienne-lès-Remiremont et Remiremont

  • J. J. Bammert, prix Erckmann-Chatrian, Les Nobles Dames de Remiremont, 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, Remiremont, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont, 4e trimestre 1971 (ISBN dépôt légal n°28).
    Publication en 20 brochures, chacune contenant un chapitre : Chapitre 1 : Les Temps Premiers, Chapitre 2 : Le Monastère sur la montagne, Chapitre 3 : Les Translations dans la Vallée, Chapitre 20 : La Fin
     
  • Charles Kraemer et Michel Rouillon, Guide historique et archéologique du Saint Mont et ses environs, Epinal, Groupe de recherches archéologiques des Hautes Vosges (GRAHV), août 1990 
  • Nicole Lemaître, Montagnes sacrées d’Europe. Actes du colloque « Religions et montagnes », Tarbes, 2005, 427 p. (ISBN 2-85944-516-1).
    Actes du colloque "Religion et montagnes", Tarbes, 30 mai-2 juin 2002 / textes réunis et publiés par Serge Brunet, Dominique Julia et Nicole Lemaitre. Pages 109 à 119, par Marie-Hélène Colin – Université de Nancy 2 : Des saints vosgiens de la montagne ? Amé, Romaric et Claire p 109; Le Saint-Mont : un haut lieu p 110; Des saints vosgiens de la montagne ? p 111; Le « discours » sur les saints p 112; Des saints vosgiens de la montagne ? p 113; Le culte des saints du Saint-Mont p 113; Les Kyrolés p 116; Carte : les saints du Saint-Mont p 119
     
  • Bernard Puton, Promenades aux mégalithes des environs de Remiremont 
  • Charles Kraemer, Le Peuplement des Vallées de Haute Moselle et de Moselotte au Haut Moyen Âge, 08 mars 2008, 15 p.
    Conférence de la Société d'Histoire Locale
     

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