Sainte-Tulle

Sainte-Tulle

43° 47′ 12″ N 5° 45′ 57″ E / 43.7866666667, 5.76583333333

Sainte-Tulle
Pont pétrifié, parc Max-Trouche de Sainte-Tulle
Pont pétrifié, parc Max-Trouche de Sainte-Tulle
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Canton Manosque-Sud-Est
Code commune 04197
Code postal 04220
Maire
Mandat en cours
Rémy Charpy
2009-2014
Intercommunalité Communauté de communes Sud 04

Pays de Haute-Provence

Démographie
Population 3 247 hab. (2007)
Densité 190 hab./km²
Gentilé Tullésains
Géographie
Coordonnées 43° 47′ 12″ Nord
       5° 45′ 57″ Est
/ 43.7866666667, 5.76583333333
Altitudes mini. 269 m — maxi. 521 m
Superficie 17,07 km2

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Voir la carte administrative

Sainte-Tulle (Santa Túlia en provençal selon la norme classique et Santo Tùli selon la norme mistralienne) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Tullésains.

Sommaire

Géographie

Le village est situé à 299 m d’altitude[1].

Relief

Géologie

Hydrologie

Sismicité

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Les cantons de Banon, La Motte-du-Caire, Noyers-sur-Jabron sont classés en Zone 1a (risque très faible), ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron, Turriers et Volonne, en Zone 1b (risque faible) et ceux d'Entrevaux, Les Mées, Valensole, Manosque-Nord, Manosque-Sud-Est, Manosque-Sud-Ouest et Peyruis, en Zone 2 (risque moyen)[2].

Climatologie

Voies de communication et transports

Voies routières

Sainte-Tulle est située sur l'ancienne RN 96 (actuelle RD 4096), qui relie Château-Arnoux-Saint-Auban à Aubagne.

Sainte-Tulle est à 8 kilomètres de la bretelle autoroutière de Manosque (sortie 18) située sur l'autoroute A51 qui assure une communication rapide vers le sud en direction d'Aix-en-Provence et de Marseille et vers le nord en direction de Gap et de Sisteron.

Les accès secondaires sont assurés par la RD 105 au nord, qui rejoint à Pierrevert.

Services autocars

Sainte-Tulle est desservie par trois lignes express régionales LER Provence-Alpes-Côte d'Azur[3] qui sont les suivantes:

Le village est aussi reliée par une ligne départementale[7].

Transports ferroviaires

La gare SNCF la plus proche est celle de Manosque - Gréoux-les-Bains situé à 5 kilomètres de Sainte-Tulle, desservie par les TER de la ligne Lyon-Perrache - Marseille-Saint-Charles (via Grenoble).

La gare TGV la plus proche de Sainte-Tulle est celle d'Aix-en-Provence TGV.

Histoire

La présence humaine à l'époque préhistorique puis pendant la période gallo-romaine à Sainte-Tulle est attestée en de nombreux endroits, tant en colline qu'en plaine, par la présence de vestiges de ces époques (outils en pierre, sépultures, monnaies, poteries...). Le nom romain du village, situé sur un carrefour de routes, peut être Bormonicum[1].

Du XIe au XVe siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possède un prieuré (actuelle chapelle à l’écart du village) et l’église paroissiale jusqu’au XIIIe siècle[8]. Le fief est détenu par les Villemus (XIIIe-XVe siècles), puis les Glandevès (XVIe siècle), les Oraison au XVIe siècle et enfin les Valbelle jusqu’à la Révolution[9].

Le village est ravagé par la peste noire de 1348 et, quelques décennies plus tard, par le passage répété de bandes de pillards qui anéantissent les derniers survivants. Le village fantôme est repeuplé au milieu du XVe siècle par Jean de Villemus, seigneur de Sainte-Tulle, qui fait venir des étrangers (Piémontais, Savoyards...) ;

Pendant les guerres de religion, en avril 1590, la bataille de Sainte-Tulle est particulièrement meurtrière, au passage de la Durance, un peu au-dessous du village, et fait plus de 500 victimes.

En 1609, les sources de Combe Loubière — actuellement quartier de Prévérend — sont captées et leurs eaux sont conduites dans le village par une canalisation de 2 km jusqu'à la fontaine Plus-haute (fontaine Ronde). En 1670, le Grand chemin royal " venant des villes de Marseille et Aix pour aller dans les provinces du Dauphiné et ailleurs " est dévié par le village grâce à un pont à deux arches en pierres de taille de Mane sur le torrent du Chaffère ainsi que, l'année suivante, la construction — aux frais de la communauté — d'un nouveau Grand logis (hôtel-restaurant) pour le compte du seigneur.

L’épidémie de peste de 1720, partie de Marseille, se propagea un peu partout en Provence et emporta en quelques semaines à Sainte-Tulle 426 personnes sur une population de 810 habitants.

Le pont à deux arches sur le Chaffère est emporté par une crue soudaine, le 26 août 1743.

Durant la Révolution, les terres communales des iscles de la Durance sont distribuées à tous les habitants en 1792 et le château seigneurial est incendié le dimanche 3 septembre de la même année. La commune compte une société patriotique, créée courant 1791. Elle est affiliée au club des Jacobins de Paris[10]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Tulle-les-Durance[11].

La ville s’insurge contre le coup d’État de Napoléon III. 44 personnes furent passées en jugement et 17 d'entre elles condamnées à la déportation en Algérie.

Au XIXe siècle, Sainte-Tulle joue un rôle prééminent dans le domaine de la sériciculture (élevage des vers à soie)[9] avec la réalisation d'une magnanerie expérimentale et la conduite de recherches scientifiques sur les maladies des vers à soie (Eugène Robert). La construction d’une centrale de production d’électricité thermique en 1919, puis d’une centrale hydroélectrique en 1922, remplacée par une plus moderne en 1965 dans le cadre de l’aménagement hydroélectrique Durance-Verdon[12], l’ouverture de l’École des métiers (EDF) en 1958 ainsi que la mise en place du Poste commun de commande des barrages du Verdon et de la Durance en 1981 sont aussi des dates importantes pour la vie de ce village.

L’excellence de sa politique édilitaire en matière d’équipements (théâtre, école, mairie, installations sportives et touristiques) lui vaut le prix du village moderne, en 1931[1].

Toponymie

Le nom du village apparaît pour la première fois au XIe siècle (Sancta Tulia), d’après le nom de la martyre Tullia, fille de saint Eucher, sous sa forme occitane, qui a été francisée par la suite[13].

Héraldique

Blason Sainte Tulle04.svg

Blasonnement :
D'azur aux deux lettres capitales S et T d'or en chef et une rose d'argent en pointe[14].

Économie

Une centrale hydroélectrique utilisant les eaux de la Durance est implantée sur la commune depuis 1965[15].

Administration

Intercommunalité

Sainte-Tulle fait partie de la Communauté de communes Sud 04 dont elle est le siège.

Cette intercommunalité est composée des communes suivantes :

Corbières, Pierrevert et Sainte-Tulle

Municipalité

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1945 Jean Nicolas   Comité local de libération
1945 1947 Auguste Boulard    
1947 1949 Émile Gibert    
1949 1953 Henri Fluchère    
1953 1978 Pierre Girardot PCF Député
1978 1989 Henri Rocca PCF Conseiller général du canton de Manosque-Sud-Est (1985-1992)
1989 2001 Mario Denadai[16] PCF Conseiller général du canton de Manosque-Sud-Est (1992-2003)
2001 2009 Yannick Philipponneau[17],[18] PCF[19] Conseiller général du Canton de Manosque-Sud-Est depuis 2003,
démissionne de la mairie en 2009
2009 en cours Rémy Charpy[20] PCF  

Enseignement

La commune est dotée de cinq établissements d’enseignement :

Politique environnementale

Sainte-Tulle est classé deux fleurs au concours des villes et villages fleuris.

Démographie

Évolution démographique
Années 1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
Population 64 feux 63 feux 789 741 863 972 1072 1164 1081 1001
Années 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
Population 924 896 960 887 850 802 790 718 647 636
Années 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 624 667 662 683 1515 1149 1237 1224 1365 1635
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 - -
Population 1857 2458 2520 2805 2855 3055 3230[23] 3247[24] - -
Notes, sources, ... Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[9] ; Insee[25], EHESS[26] pour les chiffres issus des recensements légaux
Courbe d'évolution démographique de Sainte-Tulle depuis 1793

Lieux et monuments

Panoramique du village.

Les lavoirs de la fontaine Plus-basse, construits à la fin du XVIIIe siècle et couverts en 1864-1865, sont les plus grands du département. Construits en contrebas de la place Jean-Jaurès, ils comprennent deux galeries[27] :

  • l’une de cinq travées contient cinq bassins étroits ; l’eau qui y coule de robinets muraux passe ensuite sous le sol pour rejoindre les bassins transversaux ;
  • l’autre galerie, de trois travées, abrite trois longs bassins transversaux.

L’église du village a été construite en 1587, sur le modèle de l’église des Carmes à Manosque, à l'emplacement de l'ancienne église qui s'était effondrée par suite des guerres de religion. Au-dessus de la porte, un grand clocher-arcade supporte trois cloches, dont une est datée de 1603 et classée monument historique au titre objet[28]. Sa nef de quatre travées voûtées d’arêtes, débouchant dans une abside semi-circulaire, placée sous un arc ogival[29]. Elle a des parties du XIVe et du XVIIIe siècle[1]. Cette église est placée sous le vocable de Notre-Dame et de saint Blaise[9].

  • La tour de l'horloge (1544).
  • La fontaine Ronde ou fontaine Plus-haute (1609[30]).
  • Le Grand logis et son moulin à huile (1671).
  • Le centre Maurice Mollet (probablement fin XVIIe siècle).
  • Chapelles[31] :
    • l’ancienne chapelle Sainte-Consorce à l’Escale (proche du pont Mirabeau), avait une crypte. Elle a été démolie dans les années 1960 ;
    • Chapelle des Pénitents (face à l’église).
  • Le théâtre municipal, la mairie et l'école Max-Trouche construits dans les années 1930.
  • Le parc municipal Max-Trouche, lieu de détente et de promenade.
  • La fontaine recouverte de mousse derrière les terrains de tennis[32].
  • Le boulodrome[33].

Sainte-Tulle possède aussi un antiphonaire sur parchemin daté de 1704[1],[34] — œuvre unique classée monument historique en 1907[35] — orné d'abondantes miniatures polychromes et de lettres dorées à l'or fin. Il fut offert au début du XVIIIe siècle au curé de cette paroisse par un prêtre de Néoules.

La chapelle à crypte

La chapelle Sainte-Tulle, au sud du bourg, sur le bord de la Chaffère, est une des quelques chapelles médiévales à crypte en milieu rural de Provence[36]. Les auteurs hésitent entre une datation haute (VIIIe-IXe siècles[1]) ou basse (XIIe siècle (Raymond Collier, mais avec hésitation, étant donné sa construction extrêmement fruste avec peu d’éléments de datation[37]). La documentation n’en fait mention qu’à la fin du XIe siècle au plus tôt, en 1119 de façon certaine[36].

La chapelle est construite sur un terrain vierge à l’époque, et ses dimensions d'origine, assez vastes, laissent penser à un pèlerinage, le culte de sainte Tulle de Manosque se répandant à cette époque[36]. La crypte est creusée dans le roc. Elle est constituée de trois salles en plein cintre qui ont servi à des inhumations entre le XIIe et le XIVe siècle, les tombes fouillées ayant livré des traces d’abondants bouquets de fleurs déposés sur les défunts[36]. La chapelle fut endommagée puis reconstruite à plusieurs reprises (la dernière fois au XVIIIe siècle). Cette chapelle, vendue pendant la Révolution de 1789 fut rachetée et restaurée par la fabrique de l'église de Sainte-Tulle dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Les deux collatéraux qui dataient du Moyen Âge ont été détruits vers 1850[38]. La nef subsistante, à deux travées, débouche dans une abside semi-circulaire en cul-de-four. Il est vraisemblable que la nef ait été plus longue à l’origine[36]. Elle appartient maintenant à la commune.

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

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Articles de Wikipédia

Liens externes

Bibliographie

  • Christian Blanc, Les Lavoirs de la fontaine Plus-Basse, Association Rancure, 1998.
  • Christian Blanc, Mémoire d'une forêt, Parc naturel régional du Luberon, 2 tomes, 2005.
  • Christian Blanc, Marc Donato, Jean Vivoli, Sainte-Tulle, un village pendant la Révolution, association Tétéa Durance Luberon, 1989.
  • Andrée Courtemanche, Repeuplement et immigration à Sainte-Tulle pendant la seconde moitié du XVe siècle (1447-1480), Québec, décembre 1992.

Sources

Bibliographie

  • Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
  • Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969

Notes

  1. a, b, c, d, e et f Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7) 
  2. Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
  3. Info LER PACA
  4. Horaires et tarifs LER Ligne 25
  5. Horaires et tarifs LER Ligne 28
  6. Horaires et tarifs LER Ligne 29
  7. Conseil Général 04 Réseau transport bassin Manosque
  8. Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », inGuy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p 229
  9. a, b, c et d Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 199
  10. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-301
  11. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 114
  12. Jean-Paul Clébert et Jean-Pierre Rouyer, La Durance, Privat, Toulouse, 1991, dans la collection Rivières et vallées de France, ISBN 2-7089-9503-0, p 152
  13. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume III : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, § 28635, p 1643
  14. Banque du Blason
  15. Clébert & Rouyer, La Durance, op. cit., p 152
  16. Mario Denadai est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Robert Hue (PCF) à l’élection présidentielle de 1995Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1995, page 5736, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
  17. Yannick Philipponneau est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Robert Hue (PCF) à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002 ; il a ensuite parrainé celle de Marie-George Buffet (du même parti) à l’élection présidentielle de 2007, cf Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
  18. Pour l’élection de 2008, voir le site de la préfecture des AHP
  19. Parti communiste français, liste des maires communistes, publiée le 6 mars 2008 (sic), consultée le 25 septembre 2010
  20. « Rémy Charpy, le militant d'hier aujourd'hui devenu maire », La Provence, 31 mars 2009.
  21. Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Manosque, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010
  22. Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des collèges publics, publiée le 6 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010
  23. Insee, Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009
  24. Insee, Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010
  25. Sainte-Tulle sur le site de l'Insee
  26. EHESS, notice communale de Sainte-Tulle sur la base de données Cassini, consultée le 31 juillet 2009
  27. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 429
  28. Arrêté du 20 juin 1990, notice de la Base Palissy, consultée le 10 décembre 2008
  29. Raymond Collier, op. cit., p 219-220
  30. Raymond Collier, op. cit., p 427
  31. Raymond Collier, op. cit., p 403 et 409
  32. Quelques photos de la fontaine.
  33. Photographie ancienne du boulodrome.
  34. Raymond Collier, op. cit., p 534
  35. Arrêté du 4 avril 1907, notice de la Base Palissy, consultée le 10 décembre 2008
  36. a, b, c, d et e « Sainte-Tulle », in Archéologie médiévale, Éditions du CNRS, 2009, tome 39, p. 218-219
  37. Raymond Collier, op. cit., p 45
  38. Rémi Fixot, « Sainte-Tulle », in Archéologie médiévale, éditions du CNRS, 2007, tome 37, p. 238

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