- Salignac (Alpes-de-Haute-Provence)
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Salignac
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton Volonne Code commune 04200 Code postal 04290 Maire
Mandat en coursMichel Lauferon
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes Lure-Vançon-Durance Démographie Population 518 hab. (2008) Densité 36 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 431 m — maxi. 802 m Superficie 14,42 km2 Salignac est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Salignacais.[1]
Sommaire
Géographie
La commune est située dans la vallée de la Durance. Elle compte plusieurs hameaux, dispersés dans une dépression vallonnée. Le village de Salignac est lui situé à 520 m d’altitude[2].
Communes limitrophes
Accès
Salignac est traversée par la gare ferroviaire située à Sisteron (5 km) sur la ligne Lyon-Perrache - Marseille-Saint-Charles (via Grenoble) et désservie également par les TER (Marseille - Briançon), ainsi qu'une gare routière.
Distance des grandes villes françaises
L'orientation et la localisation de Salignac par rapport à quelques grandes villes françaises sont données dans le tableau suivant. Distance à vol d'oiseau[3] :
Ville Marseille Nice Montpellier Lyon Toulouse Strasbourg Bordeaux Paris Nantes Rennes Lille Distance Orientation
107 km (S)
115 km (S-E)
179 km (S-O)
200 km (N)
369 km (O)
511 km (N-E)
528 km (O)
594 km (N)
680 km (N-O)
736 km (N-0)
754 km (N)
Hydrographie
Elle est traversée par le Riou de Jabron[4],[5]. Elle conflue avec la Durance[6] sur le territoire de la commune dans sa partie ouest, à l'altitude 434 mètres[5]. C'est une rivière à la fois alpine et méditerranéenne, à la morphologie bien particulière. Elle est dite « capricieuse », et était autrefois redoutée pour ses crues (elle était appelée le 3e fléau de la Provence[7]) aussi bien que pour ses étiages.
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Les cantons de Banon, La Motte-du-Caire, Noyers-sur-Jabron sont classés en Zone 1a (risque très faible), ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron, Turriers et Volonne, en Zone 1b (risque faible) et ceux d'Entrevaux, Les Mées, Valensole, Manosque-Nord, Manosque-Sud-Est, Manosque-Sud-Ouest et Peyruis, en Zone 2 (risque moyen)[8].
Géologie
Article connexe : Géologie des Alpes.Le territoire se situe en limite est des Baronnies orientales, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre trois formations géologiques majeures des Alpes[9] :
- la nappe de Digne à l'est[10], au niveau du lobe de Valavoire[11] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écaille) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe.
- la faille de la Durance au sud ouest, dans la vallée ;
- le Plateau de Valensole au sud-est : bassin molassique du Miocène et du Pliocène composé de roches sédimentaires détritiques (dépôts liés à l'érosion des montagnes apparues à l'Oligocène).
Climat
Article détaillé : Climat des Alpes-de-Haute-Provence.Salignac n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Sisteron[12].
Relevé météorologique de la région de Sisteron mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 0 0,5 3 5,4 9,1 12,7 15,4 15,3 12 8,2 3,7 1,1 7,2 Température moyenne (°C) 4,3 5,7 8,7 11,2 15,3 19,2 22,4 22,1 18 13,4 8,2 5,2 12,8 Température maximale moyenne (°C) 8,6 10,9 14,4 16,9 21,4 25,7 29,3 28,9 24 18,5 12,6 9,3 18,4 Précipitations (mm) 26,9 24,3 23,8 44 40 27,9 20,9 32,7 45,9 53,5 52,4 30,7 423 Source : Relevé météo de Sisteron[13]Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D 26.98.6024.310.90.523.814.434416.95.44021.49.127.925.712.720.929.315.432.728.915.345.9241253.518.58.252.412.63.730.79.31.1Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Urbanisme
Logement
Salignac comptait 254 logements en 2007 (contre 196 en 1999). Les constructions neuves sont dans la moyenne française, par contre, la commune connaît un important déficit de constructions érigées entre 1949 et 1974 qui s'explique par l'exode rural.
Les résidences principales représentent que 204 logements soit 80,3 % du parc (79,1 % en 1999), réparties à 90,0 % en maisons individuelles (96,4 % en 1999) et 8,8 % en appartements (1,0% en 1999) (respectivement 56,1 % et 42,4 % en France métropolitaine). 81,3 % des habitations principales comportent 4 pièces et plus[14]. Les propriétaires de leurs logements constituent 74,2 % des habitants contre 22,2 % qui sont locataires (respectivement 57,4 % et 39,8 % en France métropolitaine).
Les nombre moyen de pièces principales est de 4,7 pour les maisons et 3,2 pour les appartements (respectivement 4,4 et 3,5 en 1999).
Toponymie
Salignac se nomme Salinhac en occitan vivaro-alpin.
Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois vers 1200 (castrum de Saliniaco) est interprété comme dérivant du gentilice romain Sallinius ou Salinus[15],[16].
Histoire
Le territoire de la commune compte plusieurs tumulus, ainsi que quelques vestiges d’époque romaine.
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes au XIIIe siècle, sous le nom de Salinacum, en référence à la source salée. Il était alors perché sur un promontoire, à l’est de l’emplacement actuel.
Le village étant sur la rive gauche de la Durance, il appartenait au Comté de Provence.
La reine Jeanne lui donne le droit de franc-alleu (XIVe siècle).
Politique et administration
Administration municipale
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 15 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[17]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et Michel Lauferon a été réélu conseiller municipal au premier tour avec le quatorziième total de 251 voix, soit 77,47 % des suffrages exprimés. La participation a été de 80,20 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[18].
Listes des maires
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2001 réélu en 2008[19] Michel Lauferon MRC Instances judiciaires et administratives
Salignac est une des neuf communes du canton de Volonne qui totalise 11 400 habitants en 2007[20]. Le canton a fait partie de l’Arrondissement de Sisteron du 17 février 1800 au 10 septembre 1926, date de son rattachement à l'Arrondissement de Forcalquier.et de la Deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence Salignac fait partie du canton de Volonne depuis 1793[21]. Salignac fait partie des juridictions d’instance de Forcalquier, de la prud'hommale de Manosque, et de grande instance de Digne-les-Bains[22].
Fiscalité locale
L'imposition des ménages et des entreprises à Salignac en 2009[23] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 4,00 % 0,00 % 5,53 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 10,78 % 0,00 % 14,49 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 13,18 % 0,00 % 47,16 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 0,00 % 13,75 % 10,80 % 3,84 % La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[24]).
Population et société
Démographie
Superficie et population
Le village de Salignac a une superficie de 1 442 ha et une population de 504 habitants (en 2004), ce qui le classe[31] :
Rang Superficie Population Densité France 18 396e 13 103e 21 711e Provence-Alpes-Côte-d'Azur 591e 710e 506e Alpes-de-Haute-Provence 67e 161e 39e Arrondissement de Forcalquier 31e 61e 26e Canton de Volonne 7e 7e 7e Enseignement
La commune dispose d’une école primaire publique[32]. Ensuite les élèves sont affecté au collège de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[33],[34].Ensuite les élèves poursuivent au Lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[35]
Santé
Il n'y a pas de médecin à Salignac, les plus proches sont à Peipin (3 km) ou à Sisteron (3,9 km)[36]. Les pharmacies les plus proches sont aussi à Peipin ou Sisteron[37].
Salignac dépend du centre hospitalier de Manosque.
Économie
Revenus de la population
En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 16 721 € (15 027 € en France) pour 282 foyers fiscaux, seul 58,2 % de ces foyers sont imposés avec un revenu net de 32 483 € représentant un impôt moyen de 1 239 € [38],[39].
Population active
La population âgée de 15 à 64 ans s'élevait en 2007 à 347 personnes (273 en 1999), parmi lesquelles on comptait 73,0 % d'actifs dont 69,1 % ayant un emploi et 3,9 % de chômeurs (contre 5,7 % en 1999)[40].
La répartition par catégories socioprofessionnelles de la population active de Limans [Note 1] fait apparaître une sous-représentation des « ouviers » et « employés » et une sur-représentation des « artisans, commerçants, chefs d'entreprise » et « Professions intermédiaires » par rapport à la moyenne de la France métropolitaine, qui confirme que Limans est une commune agricole[41].
Répartition de la population active par catégories socioprofessionnelles (recensement de 2007)
Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d'entrepriseCadres, professions
intellectuellesProfessions
intermédiairesEmployés Ouvriers Salignac 2,1 % 16,7 % 10,4 % 31,3 % 18,8 % 20,8 % Moyenne nationale 2,4 % 6,4 % 12,1 % 22,1 % 29,9 % 27,1 % Sources des données : L'Internaute Emploi
Salignac avait en 2007 un taux de chômage de 14,8 % (contre 20,2 % en 1999) supérieur à la moyenne nationale (9,6 % en 2005 et 12,9 % en 1999). La répartition de la population est conforme à la moyenne nationale avec 17 % de retraités et 24 % de jeunes scolarisés mais très légérement supérieur pour les actifs 48,8 % (contre 45,2 % au niveau national)[42].
En 2007 on comptait 72 emplois dans la commune, contre 47 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune étant de 241, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 2] est de 30,0 % (contre 36,5 % en 1999), ce qui signifie que la commune offre à peine un emploi pour trois habitants actifs[40], ce qui explique 15,8 % des actifs travaille dans la commune et 76,1 % dans une autre commune du département .
La répartition par secteurs d'activité des emplois à Salignac du fait de sa taille n'est pas diffusée par l'INSEE.
Industrie
Une centrale hydroélectrique utilisant les eaux de la Durance est installée sur la commune.
Agriculture
La commune de Salignac possède trois labels Appellation d'origine contrôlée (AOC) (Banon, Huile d'olive de Provence et Huile d'olive de Haute-Provence)et huit labels Indication géographique protégée (IGP) (Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé)[43].
Fromage de Banon
Le banon est protégé par une AOC depuis 2003. C'est le premier fromage de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur à obtenir une appellation d'origine contrôlée. L'INAO a donné son accord pour sélectionner selon les « usages locaux, loyaux et constants » 179 communes dont la production du lait des élevages de chèvre de races provençale, rove et alpine peut revendiquer l'appellation, dont 111 dans les Alpes-de-Haute-Provence, 33 dans les Hautes-Alpes, 21 dans la Drôme et 14 dans le Vaucluse.
C'est un fromage à pâte molle à croûte naturelle, élaboré à partir de la technique du caillé doux et moulé à la louche avant d'être emmitouflé dans des feuilles de châtaigniers brunes et liées par un brin de raphia naturel[44]. Il est auparavant trempé dans de l'alcool pour éviter les moisissures.
Huile d'olive de Provence AOC
L'huile d'olive de Provence est protégée par une appellation d'origine contrôlée (AOC) à la suite d'une enquête diligentée par l'INAO, dont les conclusions ont été déposées auprès de la commission le 26 octobre 2006, réunie à Arles, et la signature du décret paru au Journal officiel le 14 mars 2007[45].
Pour pouvoir postuler à l'AOC, l'huile d'olive de Provence doit être élaborée à base des variétés aglandau, bouteillan, cayon, salonenque ainsi que celles dénommées localement brun, cayet, petit ribier et belgentiéroise. Il faut au moins deux de ces variétés principales présentes au sein de l'oliveraie[45],[46].
Agneau de Sisteron
L'agneau de Sisteron est un agneau élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale pendant 60 jours minimum, ayant un âge compris entre 70 et 150 jours et pesant près de 13 à 19 kg. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[47], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge agneau de Sisteron accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[48],[49].
Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[50].
Miel de Provence
Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée, tant pour le miel toutes fleurs que pour le miel de lavande et lavandin[51]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500, dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 t/an, soit 8 % de la production nationale[52]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au nord par une ligne Montélimar / Digne, avec au sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[53].
Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[50].Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château fort en ruines
- Château de "Vallée", proche de la Durance, avec chapelle détachée[54]
- Ruines de l’ancien village
- Église Saint-Clément[28]
- Église Sainte-Thérèse-de-l’Enfant-Jésus, de style roman, consacrée en avril 1950[55]. La croix de procession, du XVIe siècle, en cuivre doré, est ornée d’émaux peints (elle est classée monument historique au titre objet depuis 1908[56])
- Chapelle ruinée au-dessus du village, voûtée en berceau, avec un clocher (1853)[57]
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
« De gueules à une fleur de lys d'or, surmonté d'une couronne élevée de fleurs de lys, du même. »[58]Pour approfondir
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
Articles connexes
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Huile d'olive de Provence AOC
Liens externes
Notes et références
Notes
- Y compris les actifs sans emploi
- INSEE L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'
Références
- (fr) Habitants de Salignac sur habitants.fr
- Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p 445
- (fr) Distance entre Salignac et les plus grandes villes Françaises, Annuaire Mairie
- (fr) SANDRE, « Fiche Cours d'eau : torrent la blaisance (X1110520) ». Consulté le 12 décembre 2010
- Géoportail - Institut Géographique National (France), « Géoportail »
- (fr) SANDRE, « Fiche rivière la Durance (X---0000) »
- mistral et le Parlement d'Aix La tradition provençale dit que les deux premiers étaient le
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale), par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- Carte géologique de la France au 1:1 000 000
- La Nappe de Digne et les structures connexes,par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- (fr) Station météo la plus proche : Sisteron, MSN Météo
- (fr) Relevé météo de Sisteron, MSN Météo
- (fr) Recsencement 2007 à Salignac, INSEE
- Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 363
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes, § 7346, p 477, qui ne signale comme unique possibilité que Sallinius
- (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
- Résultats élections municipales 2008 à Salignac sur linternaute.com
- Site de la préfecture des AHP
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- (fr) Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales
- (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
- (fr) Impots locaux à Salignac, taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009 Insee,
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- (fr) Populations légales 2008 de la commune de Salignac, INSEE
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 199 Sous la direction d’
- Salignac sur le site de l’Insee
- notice communale de Salignac sur la base de données Cassini, consultée le 31 juillet 2009 EHESS,
- (fr) Classement des villes : Salignac, Annuaire des Mairies
- (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
- (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
- (fr) Site de la cité scolaire Paul Arène, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Médecins proches de Salignac, Pages Jaunes
- (fr) Pharmacies proches de Salignac, Pages Jaunes
- (fr) Rapport de l'INSEE sur Salignac sur site de l'Insee [PDF]
- (fr) CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl sur site de l'Insee
- (fr) Résultats du recensement de la population - 2007 - Emploi sur site de l'INSEE
- L'emploi à Salignac sur l'internaute
- (fr) Emploi à Limans sur l'Internaute
- (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Salignac sur INAO
- Bernard Teyssandier, Connaître les fromages de France du terroir à la table, éditions Jean-Paul Gisserot, 1994, p. 63.
- Décret du 14 mars 2007 relatif à l'huile d'olive de Provence AOC, INAO
- Les variétés d'olives
- (fr) Site officiel de l'agneau de Sisteron sur agneaudesisteron.fr
- (fr) Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005 sur agneaudesisteron.fr
- (fr) Fiche de l'IGP Label Rouge Agneau de Sisteron, INAO, 20 février 2007
- Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
- Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
- Les apiculteurs en Provence
- La transhumance des ruches provençales
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 271
- op. cit., p 392 Raymond Collier,
- Croix de procession, sur la base Palissy, ministère de la Culture, consultée le 10 février 2009 Arrêté du 19 juin 1908,
- Raymond Collier, op. cit., p 380
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
Catégorie :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
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