Simon Loueckhote

Simon Loueckhote
Simon Loueckhote

Parlementaire français
Date de naissance 7 mai 1957 (1957-05-07) (54 ans)
Mandat Sénateur
Début du mandat 1992
Fin du mandat 2011
Circonscription Nouvelle-Calédonie
Groupe parlementaire RPR (1992-2002)
UMP (2002- )
Ve République

Simon Loueckhote est un homme politique français d'origine Kanak, sénateur représentant la Nouvelle-Calédonie de 1992 à 2011. Il est né le 7 mai 1957 à la tribu de Nyimëhë (ou Nimaha) dans le district coutumier de Fayaoué à Ouvéa (Nouvelle-Calédonie), dans une famille originaire de l'île. Il a toutefois été éduqué, au gré des affectations de son père, à la tribu de Gatope à Voh, puis à Koumac et enfin à Nouméa.

Sommaire

Fidèle de Jacques Lafleur

Instituteur de formation, il entre toutefois assez tôt en politique. Kanak anti-indépendantiste, élevé dans une famille de tradition gaulliste, repéré par le sénateur Dick Ukeiwé, c'est un ancien membre du Rassemblement pour la Calédonie dans la République (RPCR) sous les couleurs duquel il remporte les élections municipales de 1983 à Ouvéa (il s'allie toutefois à son principal adversaire en lui laissant la fonction de maire et en prenant le poste de premier adjoint, alliance qui se clôt par l'union des élus municipaux indépendantistes de l'île à partir de 1985 qui le relègue dans l'opposition) et dont il fut la tête de liste dans les Îles Loyauté lors de toutes les élections provinciales de 1989 à 2004, il a également été le président du Congrès, l'assemblée délibérante du territoire, au nom de ce parti de 1989 à 1995 et de 1998 à 2004. Il est l'un des signataires de l'Accord de Nouméa pour le RPCR le 5 mai 1998[1].

Parlementaire

Fidèle de l'ancien leader de ce parti et ancien député Jacques Lafleur, il est son suppléant dans la 1re circonscription avant d'être choisi pour remplacer Dick Ukeiwé, autre Kanak hostile à la l'indépendance, pour représenter le Territoire au Sénat en 1992. Le 27 septembre, il l'emporte de peu face au candidat du FLNKS, le grand-chef de Saint-Louis Rock Wamytan, par 192 voix de grands électeurs contre 188, et est ainsi à l'époque le benjamin de la chambre haute du Parlement français. Réélu le 23 septembre 2001 face à la veuve du leader indépendantiste Jean-Marie Tjibaou, Marie-Claude (par 52,63 % des suffrages exprimés contre 47,37 %), il siège au groupe RPR de 1992 à 2002 puis UMP désormais. De 1993 à 1995, il est d'ailleurs secrétaire national du RPR auprès du secrétaire général, Alain Juppé.

Au Parlement, il préside l’Intergroupe parlementaire de l’outre-mer de 2002 à 2004 ainsi que la commission nationale d'évaluation de la Loi de Programme pour l'Outre-mer depuis 2006. Il est également président délégué du groupe France - Vanuatu - Îles du Pacifique. Plusieurs fois membre de la commission des Affaires sociales (d'octobre 1992 à juin 1998, de juillet 1998 à janvier 1999, de février à octobre 1999), des Lois constitutionnelles, de la Législation, du Suffrage universel, du Règlement et d’Administration générale (de juin à juillet 1998, de janvier à février 1999, ces deux fois pour participer aux travaux parlementaires liés aux négociations de l'Accord de Nouméa et à son application, étant notamment nommé le 4 février 1999 comme membre titulaire de la commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion du projet de loi organique relatif à la Nouvelle-Calédonie et du projet de loi relatif à la Nouvelle-Calédonie, il est de nouveau membre de la commission des Lois d'octobre 1999 à mai 2000 et de juin à juillet 2009 cette fois pour travailler à la révision de la loi organique), des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées (de mai 2000 à octobre 2005, il en est alors l'un des secrétaires à partir du 5 octobre 2001, de janvier 2008 à juin 2009 et depuis juillet 2009, il a acquis une certaine spécialisation pour les questions de défense et de sécurité internationale en étant auditeur de la 55e session de l'Institut des hautes études de défense nationale de 2003-2004 et de la 17e session de l'Institut national des hautes études de sécurité de 2005 à 2006, il s'est notamment beaucoup impliqué dans le débat sur l'embuscade de Surobi qui a causé, le 18 août 2008 en Afghanistan, la mort de 10 soldats français dont l'un de ses parents, le caporal Mélam Baouma, 22 ans, et s'insurge particulièrement contre une caricature parue dans le quotidien belge De Morgen qu'il juge « infâmante et blessante à l'égard de la France, de son armée » ainsi que pour la « Nouvelle-Calédonie au lendemain du rapatriement du corps de Mélam Baouma » dans une lettre adressée à Nicolas Sarkozy[2]) et de la commission de la Culture, de l'Éducation et de la Communication (d'octobre 2005 à janvier 2008)[3].

Il s'est particulièrement mobilisé au Sénat, à l'instar des députés Jacques Lafleur et Pierre Frogier, pour lutter contre la révision constitutionnelle votée par le Parlement réuni en Congrès le 19 février 2007 sur le « gel » du corps électoral pour les élections provinciales (le limitant aux seules personnes présentes en Nouvelle-Calédonie avant le 6 novembre 1998), il déclare notamment lors des débats que son adoption se ferait « contre la volonté de l'une des parties signataires, le RPCR, qui a accepté, par sa signature, le principe d'un corps électoral glissant » et qu'il s'agirait d'« une entorse à l'esprit et à la pratique qui ont toujours prévalu entre les signataires »[4]. Suite au vote du texte, il parle de « déni de démocratie »[5].

Aux Îles Loyauté

Membre du Congrès du Territoire puis de la Nouvelle-Calédonie de 1985 à 1988, de 1989 à 2009 et depuis 2011, il est conseiller du Conseil de la Région des îles Loyauté créée par le statut Fabius-Pisani en 1985 (il le préside même de 1988 à 1989, et est donc à ce titre membre du Conseil exécutif instauré par le statut dit Pons II en 1988 et boycotté par les indépendantistes). Puis il siège à l'Assemblée de la province des îles Loyauté de 1989 à 2009. Il est d'ailleurs vice-président de cette institution entre 1995 et 1996 suite au soutien apporté par les élus de sa liste au grand-chef de Maré et président du petit parti indépendantiste LKS Nidoïsh Naisseline, il s'oppose toutefois rapidement à lui à propos de ses choix financiers et économiques, notamment en critiquant sa volonté de laisser les sièges des différentes filiales de la SODIL à Nouméa, l'échec financier du ferry « Marie-Hélène » ou les rebondissements dans la construction du port de Tadine, une « politique d'exclusion » raciale et politique dans son choix du personnel provincial et sa manière de présider jugée trop autoritaire et sans partage du pouvoir[6]. Il s'allie néanmoins de nouveau avec Naisseline et au chef de file dans les Îles du petit parti indépendantiste modéré FCCI Cono Hamu dans une liste commune appelée « Un nouveau défi pour les îles » (UNDL) et tirée par le grand-chef maréen suite à l'annulation du scrutin des provinciales de 1999 dans les Îles par le Conseil d'État[7] et l'organisation de nouvelles élections pour le 25 juin 2000. Si cette coalition anti-FLNKS arrive en tête, avec 44,9 % des suffrages exprimés contre 37,3 % à la liste Union calédonienne du président sortant Robert Xowie et 17,8 % au Palika, la composition de l'assemblée née des élections de 1999 n'est pas modifiée par ce nouveau scrutin : l'UC de Xowie retrouve ses six sièges, le Palika ses deux élus et les six conseillers UNDL sont exactement ceux du RPCR, LKS et FCCI d'avant la dissolution. Le 30 juin suivant, Simon Loueckhote et Cono Hamu se présentent tous deux contre Robert Xowie au perchoir de l'hémicycle provincial : Nidoïsh Naisseline et son colistier du LKS décident de voter chacun pour l'un des deux candidats de l'opposition, tandis que Robert Xowie est réélu au premier tour avec huit voix. Candidat à tous les postes de vice-président, Cono Hamu, qui fait alors le plein des voix de l'UNDL, est battu à chaque fois par le candidat de l'UC-Palika[8].

Il est par la suite l'un des plus ardents critiques de la gestion de la présidence Xowie. Lors de la campagne des provinciales du 9 mai 2004, marquée par une situation délicate des Îles (la dette de la Province s'élève alors à 1,5 milliard de Francs CFP, soit environ 12,6 millions d'euros, ce qui lui vaut d'être mise sous tutelle financière de l'État pour le budget 2004), il estime que « la province des îles n’a plus d’âme, plus personne n’y croit, la situation financière est catastrophique, le "je m’en foutisme" est généralisé » et que l'obtention d'une rallonge financière ne suffira pas à rétablir la situation. Il demande un renouvellement total des cadres dirigeants de la Province et une mise sous tutelle budgétaire de celle-ci par l'État. Il se dresse également contre ce qu'il appelle la « kanakisation » précipitée des cadres administratifs : « Beaucoup de responsables d’origine européenne ont été évincés. Ils ont été remplacés par des jeunes Mélanésiens insuffisamment formés. »[9]. Le jour du scrutin, il fait le plein des voix anti-indépendantistes de la Province, soit 2 440 votes et 17,19 % des suffrages exprimés, sa liste se plaçant comme la deuxième force politique loyaltienne après celle de l'UC désormais menée par le maire de Lifou Néko Hnepeune mais maintenant sa représentation à seulement 2 élus sur 14 à [10].

Soutien longtemps inconditionnel de Jacques Lafleur, il a suivi ce dernier dans sa dissidence du RPCR en prenant la présidence du tout nouveau Rassemblement pour la Calédonie (RPC) en 2006.

Dirigeant du LMD

Bien que jusqu'alors engagé politiquement dans les Îles Loyauté et dans l'île d'Ouvéa, dont il fut conseiller municipal de 1983 à 2001, il a décidé de se présenter dans le chef-lieu du territoire, Nouméa, lors des élections municipales de 2008. Lui et sa liste baptisée « Nouméa, la diversité en mouvement » se sont ainsi positionnés en troisième position au 1er tour le 9 mars 2008 avec 12,53 %, se qualifiant donc pour le second tour au cours duquel il réunit 17,47 % des suffrages exprimés et gagne 4 élus sur 53[11]. Il décide toutefois de ne pas bénéficier lui-même de son siège, démissionnant immédiatement du conseil municipal, et fonde, à partir de sa liste et de plusieurs membres du RPC, un nouveau parti, le Mouvement de la diversité (LMD) qui, tout en se positionnant contre l'indépendance et à droite de l'échiquier politique local, veut défendre le multiculturalisme dans la société et les institutions néo-calédoniennes[12]. Il rompt ainsi définitivement avec Jacques Lafleur, qui ne l'avait pas soutenu lors des municipales. Il est également depuis lors d'un des tout premiers hommes politiques néo-calédoniennes à utiliser massivement les nouvelles technologies de l'information et tout particulièrement internet et le web 2.0, il dispose ainsi d'un blog depuis le 6 octobre 2006[13] mis à jour régulièrement (il y met notamment en ligne, toutes les semaines, son agenda)[14] et d'un compte Facebook, et est la première personne interrogée par podcasting sur le Territoire, sur le blog généraliste Calédosphère le 31 mars 2009[15].

Lors des élections provinciales du 10 mai 2009, il décide à nouveau de se présenter dans le Sud et non aux Îles Loyauté, et fait liste commune avec l'Avenir ensemble du président sortant du gouvernement local Harold Martin. Réélu au Congrès mais désormais pour le Sud (et alors que les partisans du maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la France, payant le prix de leurs divisions et de l'absence d'un meneur connu, ne sont plus représentés aux îles Loyauté), il n'y siège pourtant que momentanément puisque, le 5 juin suivant, il est élu au Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie présidé par Philippe Gomès, en charge de la fonction publique, de la qualité du service public, de la simplification administrative et du Schéma d'aménagement et de développement de la Nouvelle-Calédonie, à la faveur d'un rapprochement entre toutes les formations non-indépendantistes dans un accord de majorité baptisé « Rassemblement républicain » ou « pacte républicain ». Il a avoué lui-même que le dossier dont il a hérité dans le nouvel exécutif « n’était pas un choix personnel », et qu'il ne « connaissai(t) absolument rien » en matière de fonction publique[16]. Il est pourtant chargé de mener la réforme de cette dernière[17].

Suite à l'annulation du scrutin provincial du 10 mai 2009 dans les Îles Loyauté par le Conseil d'État le 16 octobre suivant en raison d'irrégularités dans les procès-verbaux des opérations de dépouillement et d'un recours injustifié au vote par procuration (en infraction au code électoral) et suite à un recours déposé par le Parti travailliste[18], Simon Loueckhote décide de revenir dans sa province d'origine. Il prend la tête d'une liste réunissant toutes les formations non-indépendantistes baptisée « Les Îles pour Tous » pour les nouvelles élections organisées le 6 décembre[19]. Avec pour but avoué de faire réintégrer sa famille politique dans l'hémicycle loyaltien, il appelle à instaurer des relations « culturelles, économiques, d’abord démographiques » fortes avec la Province Sud, afin de reconnaître « une réalité : la moitié de la population des îles vit en province Sud et particulièrement à Nouméa »[20], et à développer l'économie des Loyauté par le biais des « nouvelles technologies » en ayant « le courage de modifier nos structures coutumières : je propose que nous puissions extraire 10 à 20 % des terres pour se voir attribuer un statut de droit commun au service du développement économique et social »[21]. Il doit toutefois faire face au désaveu de l'ancienne tête de liste du Rassemblement-UMP aux élections du 10 mai, Michel Luepak, qui était lui aussi candidat pour diriger les anti-indépendantistes réunis lors du nouveau scrutin[22], et les attaques de ses adversaires qui lui reprochent ses hésitations entre le Sud et les Îles Loyauté et le fait de n'être éventuellement pas éligible (le Parti travailliste tente d'ailleurs de faire annuler sa candidature au motif que, considérant le nouveau scrutin du 6 décembre 2009 comme le même que celui des élections provinciales du 10 mai précédent au cours desquelles le sénateur étant candidat en Province Sud, il ne peut alors pas être présent sur deux listes différentes dans deux provinces distinctes, Simon Loueckhote pour sa part justifiant son bon droit en citant l'article 196-3 de la loi organique selon lequel « un membre d’une assemblée de province élu dans une autre assemblée de province cesse […] de faire partie de l’assemblée dont il faisait partie  »)[23].

Le 6 décembre 2009, « Les Îles pour Tous » n'obtiennent que 960 voix et 6,83 % des suffrages exprimés, soit moins que le score combiné des trois listes anti-indépendantistes lors du scrutin du 10 mai, n'obtenant que la sixième (et dernière) place et aucun élu[24],[25]. Il déclare alors : « C’est une déception. L’objectif c’était que nous puissions avoir des élus aux Iles. Et nous ne les avons pas. Pour le moment, l’entière responsabilité, moi je l’assume. On va essayer de chercher un peu pour comprendre pourquoi nous n’avons pas réussi à faire le score des trois listes présentées le 10 mai. Et puis, il faut chercher les différentes motivations dans le fait que nous avons été nous-mêmes divisés contrairement à l’apparence que nous avons donnée. L’appel de Michel Luepak à boycotter la liste… Et puis nous avons été absents depuis le 10 mai dernier. Et comme le temps nous a beaucoup manqué pendant cette campagne… Mais je ne pense pas un seul instant que le fait de nous rassembler nous ait fait perdre ces élections. Ce n’est pas possible. »[26]. Il reste toutefois membre de l'exécutif local, jusqu'au 3 mars 2011.

À cette date, il redevient membre du Congrès et de l'Assemblée de la Province Sud. Il désapprouve ensuite plusieurs choix de ses alliés de l'Avenir ensemble (leur approbation de la proposition de Pierre Frogier à l'égard des deux drapeaux[27], l'élection d'un indépendantiste, Rock Wamytan, à la présidence du Congrès et l'accord de partage des institutions et de majorité avec le Rassemblement-UMP, le FLNKS de la tendance UC et le Parti travailliste). Le 17 mars 2011, il surprend la classe politique locale en votant, avec l'autre élue issue du LMD Pascale Doniguian-Panchou, pour la liste de Calédonie ensemble menée par Philippe Gomès et non pour celle d'union Rassemblement-UMP - Avenir ensemble tirée par Harold Martin, lors de l'élection du 10e gouvernement local depuis l'Accord de Nouméa (et le troisième à se succéder en un mois). Expliquant ce choix par une volonté « que notre famille politique [les anti-indépendantistes] retrouve toute la place qu’elle devait avoir au Congrès », à savoir retrouver 7 sièges sur 11 comme c'était le cas entre 2009 et 2011, scénario qui ne s'est pas produit, notamment du fait qu'un changement de voix s'est aussi produit du côté indépendantiste[28]. Pour les élections suivantes de l'exécutif, il redonne son vote à la liste Martin, tout en choisissant Léonard Sam de Calédonie ensemble contre Rock Wamytan du FLNKS (soutenu, entre autres, par l'Avenir ensemble, et qui est réélu) à l'élection du président du Congrès du 19 août 2011. Ces critiques à l'égard de cette nouvelle majorité lui vaut d'être de plus en plus isolé : le LMD perd en mai 2011 les bureaux que le Congrès lui avait concédé depuis 2009[29], tandis que la commission d'investiture de l'UMP décide le 28 juin 2011 de ne pas le réinvestir pour les élections sénatoriales du 25 septembre suivant (lui préférant Pierre Frogier et Hilarion Vendégou, du Rassemblement-UMP). Le 15 septembre, il renonce à briguer un nouveau mandat au sein de la chambre haute du Parlement français.

Carrière politique

Chronologie générale

Activités dans les assemblées dont il fut membre

Sources

  1. Accord sur la Nouvelle-Calédonie signé à Nouméa le 5 mai 1998, JORF n°121 du 27 mai 1998 page 8039, site de Légifrance
  2. « Polémique : Une caricature de mauvais goût », Marianne, 03/09/2008, repris dans le blog officiel de Simon Loueckhote, 08/09/2008
  3. Biographie de Simon Loueckhote sur son blog officiel
  4. Séance du 16 janvier 2007 (compte rendu intégral des débats), site du Sénat
  5. H. LEPOT, « Le gel du corps électoral inscrit dans la Constitution », Les Nouvelles Calédoniennes, 21/02/2007
  6. la Lettre Calédonienne : décembre 1998
  7. Arrêt n° 208206 du Conseil d'État rendu le 15/05/2000
  8. Dossier des élections provinciales de 1999 sur le site officiel du Congrès de la Nouvelle-Calédonie
  9. P. FRÉDIÈRE, « Réquisitoire de Simon Loueckhote contre les dirigeants des Loyauté », Les Nouvelles Calédoniennes, 15/10/2003
  10. [PDF] « Publication des résultats de l'élection des membres du Congrès et des Assemblées de Province du 9 mai 2004 », Journal officiel de la Nouvelle-Calédonie, 12/05/2004
  11. Résultat des élections municipales de 2008 à Nouméa sur le site du ministère de l'Intérieur
  12. P. Frédière, « Simon Loueckhote crée un nouveau parti », Les Nouvelles calédoniennes, 10/04/2008
  13. Premier article sur son blog officiel
  14. Agenda de la semaine du 4 décembre 2009 mis en ligne sur son blog
  15. F. THÉRIAUX, « Le Sénateur Simon Loueckhote "podcasté" », Calédosphère, 31/03/2009
  16. M. BALTZER, « Simon Loueckhote, ministre malgré lui », Les Nouvelles Calédoniennes, 12/11/2009
  17. M. BALTZER, « Quel avenir pour nos fonctionnaires ? », Les Nouvelles Calédoniennes, 09/11/2009
  18. Communiqué du Conseil d'État
  19. Ph. CHÉDRIÈRE, « Six listes pour quatorze sièges aux Loyauté », Les Nouvelles Calédoniennes, 16/11/2009
  20. Y. MAINGUET, « "Ancrer davantage les îles en province Sud" », Les Nouvelles Calédoniennes, 26/11/2009
  21. Y. MAINGUET, « Simon Loueckhote : "Développer les économies issues des nouvelles technologies" », Les Nouvelles Calédoniennes, 04/12/2009
  22. « Michel Luepack contre Simon Loueckhote », Les Nouvelles Calédoniennes, 03/12/2009
  23. « Les élections aux Loyauté contestées à l’avance », Les Nouvelles Calédoniennes, 24/11/2009
  24. [PDF] Résultats des élections provinciales partielles du 6 décembre 2009 aux îles Loyauté, Nouvelles Calédoniennes
  25. « Les résultats définitifs », Les Nouvelles Calédoniennes, 09/12/2009
  26. « L'UC en tête LKU progresse », Les Nouvelles Calédoniennes, 07/12/2009
  27. « Mise au point de Simon LOUECKHOTE sur le drapeau », blog officiel du LMD, 17/05/2011
  28. M. BALTZER, « Simon Loueckhote se justifie », Les Nouvelles Calédoniennes, 21/03/2011
  29. « Lu et Vu dans l’hebdomadaire "DEMAIN" du Vendredi 27 Mai 2011 », Blog officiel de Simon Loueckhote, 28/05/2011

Voir aussi

Liens externes

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Albert Etuvé
Harold Martin
Flag of New Caledonia Congress.gif
Président du Congrès de la Nouvelle-Calédonie
26 juin 1989 - 9 juillet 1995
3 juin 1998 - 9 mai 2004


Pierre Frogier
Harold Martin



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