Société de Philosophie de Montréal

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Société de Philosophie de Montréal

La Société de Philosophie de Montréal, fondée en 1933, est une association d'universitaires, de chercheurs et d'étudiants en philosophie appartenant à divers courants de la philosophie. La Société de Philosophie de Montréal était issue du Département de philosophie de l’Université de Montréal avant de partager ses activités avec le Département de philosophie de l’Université du Québec à Montréal.

Historique

La Société de Philosophie de Montréal a été fondée en 1933. Par son ancienneté, elle compte parmi les premières sociétés de penseurs au Québec, après la Société historique de Montréal (1858), et l’ACFAS, l'Association Canadienne pour l'Avancement des Sciences (1923). Sa visée initiale était de donner la possibilité au thomisme de se mesurer aux autres doctrines philosophiques modernes et contemporaines.

Le mardi 28 février 1933, paraissait cette annonce dans le quotidien Le Devoir : « La société de philosophie. Son objet : le progrès des études de philosophie. Son conseil : Mgr Georges Gauthier, président honoraire, P. Ceslas Forest, o.p. président actif. La dernière encyclique du Pape sur l’enseignement de la philosophie dans les universités catholiques ouvre une ère nouvelle. C’est en se guidant sur ce document pontifical que la Faculté de philosophie de l’Université de Montréal s’est récemment réorganisée. La jeunesse a répondu en s’inscrivant plus nombreuse que jamais à ses cours. Pour étendre son rayonnement et intensifier la curiosité scientifique et philosophique, le conseil de cette faculté vient de fonder une Société de Philosophie, l’une des sociétés dont la fédération constitue l'Association canadienne-française pour l'avancement des sciences (Acfas). Le siège en est à l'Université de Montréal. Elle a pour objet : (a) le progrès des Études philosophiques au Canada; (b) la discussion des principaux problèmes de l'heure présente; (c) l'étude des rapports entre la philosophie et les sciences. Un comité de vigilance composé du doyen de la Faculté de Philosophie ou de son représentant accrédité et de deux membres nommés par le Conseil de la Faculté a un droit de censure absolue sur toutes les doctrines enseignées ou discutées sous les auspices de la Société de Philosophie. […][1]»

Dès sa fondation en 1933, la Société de Philosophie de Montréal, ou SPM, fut membre de l'ACFAS, alors que cette jeune association regroupait déjà de nombreuses sociétés. Cette fréquentation de la culture scientifique fait de la SPM un théâtre d’affrontement avec la doctrine thomiste, qui répondait de plus en plus mal aux questions que suscitait l'évolution des idées scientifiques, techniques, économiques, sociales et politiques. L’histoire de la SPM dans ses trente premières années montre que les débats philosophiques prennent une place grandissante dans le cadre de l'avancement des sciences au Québec.

En 1963, la SPM adopte des règlements sous la présidence de Lucien Martinelli. Le vice-président devient automatiquement président à la fin de son mandat. De 1968 à 1970, la Société était dirigée par Gilles Demers, qui a probablement succédé à Lucien Martinelli; le vice-président est Jacques Dufresne; le secrétaire-trésorier, François Charbonneau; les conseillers: Marie-Josée De Groot (la première femme membre du Conseil de la SPM), Normand Lacharité, Pierre Sauriol. Ses activités se limitent à quelques conférences par année. Automne 1968 : Normand Lacharité et Alistair Mackinnon — dans l'historique ci-dessous, nous indiquerons seulement quelques prestations parmi les nombreuses conférences présentées par session, un peu moins d'une dizaine à l'Automne, autant à l'Hiver. Hiver 1969: Jerzy A. Wojciechowski et Georges Gusdorf, Guy H. Allard, et aussi un colloque intitulé « La philosophie contestée ». Automne 1969 : Jacques Lavigne, Laurent Giroux. Hiver 1970 : Madeleine Préclaire, Pierre Laberge. Ayant trop peu d’activités, quatre conférences par an, la SPM périclite.

C’est Venant Cauchy qui la relèvera à partir de novembre 1972: « La Société de philosophie de Montréal existe depuis déjà plusieurs décennies. Elle a connu des périodes d'intense activité, et d'autres où, par un fâcheux concours de circonstances, elle n'a pu remplir son rôle de forum philosophique. En août et septembre 1971, elle organisait le 15e Congrès de l'Association des Sociétés de Philosophie de Langue Française [ASPLF]. Au début de cette année 1972, elle connut un regain d'activité en offrant au public une série de trois conférences données par MM. Yvon Gauthier, Alexis Klimov et Jean Proulx. »

Le bureau élu le 20 avril 1972 se compose de Venant Cauchy, président (1972 - 1974); Georges Hélal, vice-président; Gérard Potvin, secrétaire; Nicolas Kaufmann et Yves Mongeau, conseillers; Joseph N. Kaufmann quitte le conseil, est remplacé par Raymond Montpetit auquel se joint Françoise Labarre. Afin de redonner vie à la Société, Venant Cauchy propose aux membres, outre les trois conférences habituelles, « une série de rencontres informelles, de conférences et de colloques sur les problèmes actuels du Québec » , tous les deux mercredis en soirée. La SPM rencontre ainsi l'un des objectifs assignés par ses fondateurs: « la discussion des principaux problèmes de l'heure présente » . Ces rencontres se prolongeront sur plusieurs années, mais bientôt la Société revient à son activité de conférences.

Le mandat de Pierre Gravel (avril 1974 - février 1976) sera moins dynamique. Automne 1974 : Algirdas Julien Greimas, Jean-Paul Audet. Plus rien entre janvier 1975 et mai 1976. Lors d’une assemblée en février 1976, la dissolution est proposée, la SPM sera sauvée par les interventions de Roland Houde et Georges Hélal. Lors de l’assemble d’octobre 1976, il est proposé que des étudiants puissent siéger au Conseil, Louise Poissant, alors secrétaire-trésorière propose Pierre Bellemare, tandis que Roland Houde propose Marie-Armelle Thébault. Cette mesure dynamisera considérablement la Société. La cotisation des membres ordinaires ou associés est portée à $10,00, et celle des Étudiants est à $2,00. Automne 1976 : Cesare Vasoli, Claude Lefort. Deux panels complètent le programme : « Actualité de l'utopie » et « Psychanalyse et philosophie ».

Les titres des conférences et des panels constituent un témoignage très précieux des préoccupations intellectuelles des milieux culturels et académiques de Montréal, ils nous font apprécier l’influence des penseurs européens. Les années 1978-1979 et 1979-1980 sont des succès, à l'instar des trois précédentes. Lors de l'assemblée d’octobre 1980, un nouveau conseil est élu: Marielle Cauchy, présidente (la première présidente de la SPM), Yvon Gauthier, vice-président; Louise Poissant, secrétaire-trésorière; Pierre Valois, Louise Marcil-Lacoste, Georges Hélal et Marc Bélisle, conseillers. Parmi les conférenciers 1978-1979: Gérard Raulet, Claude Chabrol, Jean-François Lyotard et le panel « L'Écriture et les femmes ». Avec une conférence hors programme de Henri Laborit en octobre 1978.

Hiver 1979 : Mikel Dufrenne et trois panels: « L'intellectuel et le pouvoir » (où l'on retrouve notamment Denise Bombardier face à Claude Lagadec); « Thomas d'Aquin aujourd'hui »; « Légitimité du nationalisme ». En 1979-1980 : Michel Serres, Jacques Derrida, avec quatre tables rondes: « Le livre blanc et l'enseignement de la philosophie » et « La pragmatique », « La philosophie dans la rue » et « Psychanalyse: théorie et pratique ». Suivis de trois autres panels à la session d'hiver 1980 : « La femme et le (pouvoir) théorique » et « Philosophie et ordinateur », « Criminalité et philosophie. » Automne 1980, quatre panels : « Philosophie et politique », « Philosophie et sciences humaines » et « Philosophie et esthétique », « L'interdisciplinarité : principe et pratique ». Hiver 1981 : Mikel Dufrenne, un panel sur le droit de grève, Gloria Oreinstein.

En 1981 Marielle Cauchy, dans son rapport à l'assemblée, invite les professeurs de collèges et les femmes à participer en plus grand nombre. Automne 1981 : Francis Jacques, Claude Lefort, avec deux panels : « L'autre célibataire », « Psychanalyse et féminité ». Hiver 1982 : panel « Anthropologie et féminisme », Michel Serres, Daniel Charles. Un nouveau Conseil est élu : Yvon Gauthier, président; Louise Poissant, vice-présidente; Jacques G. Ruelland, secrétaire; Claude Piché, trésorier; Pierre Valois, Marc Bélisle et Marielle Cauchy, conseillers. Automne 1982 : Simone Goyard-Fabre, panel « Mère-fille aujourd'hui ». Hiver 1983 : Pierre Aubenque, panel « Femmes et langage ». Adoption d’un logo en décembre 1982 à l’initiative de Louise Poissant : un médaillon ornant un vase attique, Œdipe et le Sphinx.

Hiver 1984. deux panels : « Le concept d’égalité dans les rapports hommes/femmes », « L’an Orwell », conférence de François Latraverse. Nouvelle équipe en octobre 1984 : Louise Poissant présidente, vice-président : Jacques G. Ruelland, secrétaire : Suzanne Foisy, trésorier : Claude Piché, conseillers : Yvon Gauthier, François Latraverse, Luc Abraham, Marielle Cauchy. Au programme 1984-1985 : Sarah Kofman, Hans-Georg Gadamer fait salle comble, trois panels : « Violence et politique », « Eros et esthétique », « Guerre et stratégie ». Hiver 1985 : panel sur Marcel Duchamp, panel « Édition et recherches au Québec ». Une conférence hors programme sur la franc-maçonnerie suscite une petite controverse.

En 1985, la visibilité de la SPM est la plus forte, affichage efficace, collaborations avec des revues pour publier les textes, les membres sont gratifiés d’une carte de membre attrayante, etc. Automne 1985 : Sylvain Auroux, Rémi Brague et Michel Henry. Le 15 novembre 1985, Hans-Georg Gadamer fait encore salle comble. Hiver 1986, deux panels : « Le néo-libéralisme est-il un conservatisme? » et « Architecture et postmodernisme », ainsi qu'une conférence de Claude Lefort sur Tocqueville; deux ouvrages font aussi l'objet de débats : ‘’D'un miroir et de quelques éclats’’, de Pierre Gravel, et ‘’Un échiquier centenaire: théorie de la valeur et formation des prix’’, collectif dirigé par Gilles Dostaler.

L'assemblée d’octobre 1986 élit Jacques G. Ruelland président; vice-présidente : Suzanne Foisy; secrétaire: Guila Chétrit; trésorier: Claude Piché; conseillers: Michaël La Chance, Georges Leroux, Louise Poissant, Philippe Thiriart. Automne 1986 : Gilles-Gaston Granger, deux panels : « La bioéthique en question », « Comment peut-on être behavioriste (ou Persan) aujourd'hui ? ». Hiver 1987 : Sylvain Auroux, panel « Cinéma et philosophie ». L'année 1987-1988 voit une assistance accrue pour les panels « Philosophie et musique », « L'esprit ou le cerveau? », « La paix » et plusieurs conférences sur le thème du langage. Il faut signaler aussi le panel « Philosophie et patriotisme en 1837 » du 25 novembre 1987, qui se déroulera malgré la terrible tempête de neige qui paralyse la métropole et que le principal invité, le député Gérald Godin, se présente malgré tout. Les conférenciers étrangers sont aussi nombreux que variés et intéressants, mais les auditeurs, dans la plupart des réunions, se laissent de plus en plus désirer.

Depuis le renouveau des années 1970, la SPM agit en tant qu'entité séparée, indépendante et autonome, libre d'élire qui elle veut à son conseil et libre de choisir ses invités et ses sujets de panels. La tutelle et la censure qui pesaient sur elle lors de sa fondation sont révolues.

Automne 1988 : la philosophie allemande, Hobbes, le langage, Sartre, la science chez les Grecs, sont à l'honneur: le 4 octobre 1988, Michel Contat parle de Sartre, et le 18 octobre, André Robinet disserte sur Hobbes. Le 8 mars 1989, une table ronde sur la Révolution française remporte un certain succès. Mais ce sont là les « points forts » du programme; la plupart des conférences attirent peu. L'assemblée générale du 18 octobre 1988 élit le Conseil suivant: François Latraverse, président (Suzanne Foisy ayant décliné l'offre); la vice-présidence est vacante; Guila Chétrit est secrétaire et Claude Piché, trésorier; Paul Dumouchel, Michaël La Chance, Louise Poissant et Jacques G. Ruelland, sont conseillers. À l'automne 1989, six invités sur dix sont des visiteurs étrangers: James Gasser, Pierre Hadot, Jean-Marie Beyssade, Franco Volpi, Gérard Raulet, Alain-Philippe Segonds. L'assistance moyenne baisse sensiblement. En hiver 1990, même constat : les conférences de Pierre Aubenque et d'Alain Boyer, ainsi que la table ronde « Mutations 1990 », autour de Macluhan, pourtant très intéressantes, attirent peu.

En 1990 François Latraverse annonce que « L'année 1990-1991 marque un tournant pour notre Société. Son conseil d'administration a résolu que les activités de la Société alterneront annuellement entre les deux universités francophones de notre ville. Cette décision a pour buts de rendre les conférences accessibles à un plus large public, d'accueillir les chercheurs invités dans les deux institutions et de pourvoir la Société d'une assise vraiment métropolitaine. Les conférences de l'année auront lieu à l'UQAM. Le siège social demeure à l'Université de Montréal. »

A l'UQAM, chaque soirée fait presque salle comble. Les conférences de Gilbert Hottois et Pierre Pellegrin en octobre 1990 réunissent chacune une bonne cinquantaine de personnes, ainsi que les autres conférences du programme et le panel sur « Les démocraties occidentales face aux modèles politiques amérindiens ». Hiver 1991 : deux panels, « La question nationale », « L'héritage philosophique de Carnap », et une conférence de Michel Deguy. L'assemblée du 3 octobre 1990 élit Michaël La Chance au poste de président; la vice-présidente est Ghyslaine Guertin et Danièle Roussy, secrétaire; Claude Piché demeure trésorier; Paul Dumouchel, François Latraverse et Jacques G. Ruelland sont conseillers. À l'automne de 1991, la SPM revient à l'Université de Montréal. L'assistance aux réunions est moindre que l'année précédente à l'UQAM. Sur huit conférenciers, deux seulement viennent de Montréal. Hiver 1992: la table ronde « Les usages de la science » n'attire qu'une dizaine de personnes; une des conférences est tenue à l'UQAM - tel que cela s'est pratiqué quelques fois dans le passé, lorsque la conférence s'inscrit à l'intérieur d'un cours. En 1995, Jacques G. Ruelland, historien et ancien président de la SPM, publie une Histoire de la Société où il donne le détail de plus de quatre cent communications depuis 1959.

La SPM sera à l'UQAM de 1994 à avril 1995 (conférences de Jean-Pierre Cometti, Lothar Baier, François Récanati, etc.), et reviendra à l'Université de Montréal de septembre 1995 à avril 1996 (conférences de Jean-François Mattei, Dominique Janicaud, etc.) avec la fin de la présidence de François Latraverse. Elle fera son dernier tour à l'UQAM en septembre 96 alors que Alain Voizard sera président de 1996 à 1998. Faute de coordination entre les deux universités, l'UQAM se dotera de son propre cycle de conférences et l'Université de Montréal en fera autant, ce qui mettra un terme à une Société à laquelle nous devons soixante ans de rencontres et débats dans la société montréalaise et québécoise.

Bibliographie

  • Roland Houde (éd.), Histoire et philosophie au Québec, Trois-Rivières, Ed. du Bien public, 1979.
  • Yvan Lamonde, « L'histoire de la philosophie au Canada français (de 1920 à nos jours) : sources et thèmes de recherche », in Philosophiques, vol. 6, no 2 (octobre 1979), p. 327-339.
  • Jacques G. Ruelland, Philosopher à Montréal. Histoire de la Société de Philosophie de Montréal, Humanitas, 1995. 92 p. (ISBN 2-89396-123-1)

Notes et références

  1. ‘’Le Devoir’’, vol. 24, no. 48, p. 3.
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