StarCraft II

StarCraft II
StarCraft II
Starcraft 2 logo.jpg

Éditeur Blizzard Entertainment
Développeur Blizzard Entertainment
Concepteur Dustin Browder
Musique Russell Brower, Derek Duke, Glenn Stafford

Date de sortie 27 juillet 2010[1]
Version 1.4.2.20141 (9 novembre 2011)
Genre Stratégie temps réel
Mode de jeu Un joueur, multijoueur
Plate-forme Windows[2], Mac OS X[3]
Média DVD-DL, téléchargement
Langue Allemand, anglais, chinois, coréen, espagnol, français, italien, polonais, portugais, russe
Contrôle Clavier, souris

Évaluation PEGI : 16+
ESRB : T
Moteur Havok
Configuration recommandée - PC
Système d’exploitation Windows Vista ou Windows 7
Processeur 2,4 GHz Dual Core
Mémoire vive Go
Carte graphique Nvidia GeForce 8800GT ATI Radeon HD 3870
Espace disque 12 Go
Réseau Connexion haut débit
Configuration recommandée - MAC
Système d’exploitation Mac OS X 10.5.8
Processeur Intel Core 2 Duo
Mémoire vive Go
Carte graphique Nvidia GeForce 9600GT ATI Radeon HD 4670
Espace disque 12 Go
Réseau Connexion haut débit

StarCraft II est un jeu vidéo de stratégie en temps réel (STR) développé par Blizzard Entertainment. La première partie du jeu appelé StarCraft II: Wings of Liberty sort dans le monde le 27 juillet 2010 sur PC et MAC et fait suite à StarCraft sorti en 1998 et à son extension StarCraft: Brood War[1]. StarCraft II est divisé en trois parties : le jeu de base - sous-titré Wings of Liberty - devant être complété par deux extensions appelées Heart of the Swarm et Legacy of the Void[4].

Le jeu prend place au 26e siècle et relate les affrontements entre trois espèces distinctes pour la domination d’une zone de la voie lactée connue sous le nom de Secteur Koprulu : Les Terrans constitués de descendants de bagnards terriens exilés loin de leur monde natal ; les Zergs, une race d’insectes modifiés génétiquement et obsédés par l’assimilation des autres espèces de la Galaxie ; et les Protoss, une race d’humanoïde disposant de technologies et de pouvoirs psioniques très avancés et cherchant à préserver leur civilisation de la menace des Zergs. L’action de StarCraft II: Wings of Liberty se déroule quatre ans après les événements de StarCraft: Brood War et se concentre sur la lutte d’un groupe de rebelles Terrans mené par Jim Raynor combattant un régime autoritaire appelé Dominion. Les deux extensions Heart of the Swarm et Legacy of the Void devraient se concentrer respectivement sur l’histoire des Zergs puis des Protoss.

Comme son prédécesseur, le jeu a reçu des critiques très positives des journalistes spécialisés qui vantent notamment son système de jeu et son scénario très travaillé. Le jeu fut cependant critiqué du fait de l’absence de certaines possibilités pourtant présentes dans StarCraft comme celle de jouer en LAN. StarCraft II connaît rapidement un important succès commercial avec plus de 3 millions de copies vendues un mois après sa sortie et en décembre 2010, Blizzard Entertainment annonce avoir vendu 4,5 millions de copies depuis la sortie du jeu.

Sommaire

Trame

StarCraft II prend place dans l’univers de science fiction de StarCraft. L’action de la série se déroule dans une zone de la Voie lactée appelée secteur Koprulu. Les Terrans exilés de la terre sont gouvernés par une faction totalitaire appelée la Confédération qui est opposée à plusieurs groupes rebelles. En décembre 2499, une race extraterrestre disposant de technologies et de pouvoirs psioniques très avancés, les Protoss, entre en contact avec l’humanité en détruisant une colonie de la Confédération. Les Terrans découvrent alors qu’une seconde race d’extraterrestres, les Zergs, est en train d’envahir plusieurs autres colonies et que les Protoss détruisent les planètes touchées par cette invasion[5]. L’action de StarCraft II se déroule quatre ans après la conclusion de la campagne de StarCraft: Brood War dans laquelle Sarah Kerrigan réussit à prendre le contrôle de l’essaim sur Char avant de défaire les forces Protoss et Terrans qui tente de l’empêcher de dominer le secteur[6]. Depuis, Kerrigan et les Zergs ont plus ou moins disparu de la circulation. Débarrassés pour un temps de cette menace, les Protoss se bornent maintenant à un rôle d’observateurs, laissant le secteur Koprulu sous la domination du Dominion Terran. Jim Raynor a formé un nouveau groupe révolutionnaire appelé les « pirates de Raynor » dont l’objectif est de renverser l’empereur Arcturus Mengsk.

Personnages

Article détaillé : Personnages de StarCraft.

Dans la campagne de StarCraft II: Wings of Liberty, le joueur suit Jim Raynor qui dirige un groupe de révolutionnaire visant à renverser le Dominion d’Arcturus Mengsk[7]. Dans son combat, il est secondé par Matt Horner qui commande le vaisseau des rebelles[8]. Sur Mar Sara, Raynor retrouve Tychus Findlay avec qui il part à la recherche des pièces d’un artefact Xel’Naga[9]. Au cours de ses recherches, il s’associe à Gabriel Tosh – chef d’un groupuscule d’assassin disposant de pouvoir psionic appelé « Spectres » – et vient en aide à Ariel Hanson dont la colonie est menacée par les Zergs. Après une rencontre avec le templier noir Zeratul[10], Raynor s’allie avec le fils d’Arcturus – Valérian Mengsk – et avec le général Horace Warfield avec qui il se rend sur Char afin d’utiliser l’artefact pour rendre à Sarah Kerrigan sa forme humaine[11].

Scénario

Sur Mar Sara, Jim Raynor qui tente de libérer la population locale du contrôle du Dominion, rencontre son ancien camarade Tychus Findlay. Il lui propose un travail richement rémunéré : s’emparer d’un mystérieux artefact Xel’Naga également recherché par le Dominion. C’est alors que les Zergs envahissent Mar Sara ainsi que tout le secteur de Koprulu, et Raynor doit évacuer la planète à bord de son vaisseau, appelé « Hyperion » et commandé par Matt Horner.

Raynor s’embarque ensuite dans une série de missions visant à retrouver les pièces manquantes de l’artefact qu’il revend à l’énigmatique Fondation Moebius, dirigée par le mystérieux Docteur Emil Narud. Lors de ses recherches, il rencontre Gabriel Tosh qu’il aide à récupérer le gaz nécessaire à l’entrainement de nouveaux Spectres. Raynor aide aussi la chercheuse Ariel Hanson alors qu’elle tente de sauver sa colonie d’une invasion Zergs. Enfin, Matt Horner lui demande également son aide pour des missions visant à déstabiliser le Dominion. Lors de ces différentes expéditions, les Rebelles de Raynor sont amenés à combattre les Zergs menés par la Reine des Lames, mais aussi des Terrans du Dominion et les Tal’Darim, Protoss fanatiques, sectaires et hostiles. Suite à la récupération d’une des pièces de l’artéfact, le Templier Noir Zeratul s’introduit sur l’Hyperion pour confier à Raynor un cristal Ihan lui permettant d’entrevoir une prophétie concernant le futur des Zergs et des Protoss, la création d’un hybride Zerg/Protoss et lui révèle que seule Kerrigan a le pouvoir d’empêcher l’éradication de toute vie dans le secteur.

Après avoir collecté les différentes pièces de l’artefact Xel’Naga, Raynor rencontre le propriétaire de la Fondation Moebius qui se révèle être le fils d’Arcturus Mengsk, Valérian. Celui-ci, dans le but de montrer qu’il est digne de succéder à son père, propose à Raynor de l’aider à envahir Char et à rendre son humanité à Kerrigan grâce à l’artefact. Lors de l’attaque de Char, la flotte du Dominion est sévèrement touchée mais Raynor réussit à prendre pied sur la planète où il vient au secours du général Horace Warfield qui, blessé mais reconnaissant d’avoir sauvé ses hommes, lui confie le commandement des troupes. Raynor lance alors l’assaut sur le centre névralgique de la planète et en utilisant l’artefact parvient à stopper les attaques Zergs et à rendre sa forme humaine à Kerrigan. Alors que lui et son équipe la rejoignent, Tychus Findlay révèle être à la solde d’Arcturus Mengsk et, pour retrouver entièrement sa liberté, tente de tuer Kerrigan, mais Raynor la défend en tuant celui-ci[11].

Système de jeu

Le système de jeu de StarCraft II conserve les éléments de gameplay qui avaient fait le succès de StarCraft. Comme dans celui-ci, trois races complètements différentes sont disponibles – les Terrans, les Protoss et les Zergs – chacune disposant d’unités distinctes et de ses propres mécanismes de jeu. Dans les modes « partie personnalisé » et multi-joueurs, le nombre d’unités disponible pour chaque race est sensiblement le même que dans StarCraft[12]. Certaines unités sont similaires à celles du jeu original mais disposent maintenant de nouvelles améliorations comme le « zealot » des Protoss – une unité de mêlée de StarCraft – pour lequel le joueur peut rechercher une capacité lui permettant de charger pour atteindre plus rapidement l’ennemi[13]. De nouvelles unités inspirées par les événements survenus lors des campagnes de StarCraft et de Brood War font leur apparition[14]. Les unités de StarCraft II possèdent de nouveaux types de capacités qui encouragent les interactions avec l’environnement du jeu. Certaines unités comme les « faucheurs » ou les « colosses » peuvent par exemple franchir les falaises[15],[16] et d’autres comme les « traqueurs » peuvent se téléporter sur de courtes distances[17]. De nouveaux mécanismes de jeu font leur apparition. Certaines unités Protoss peuvent par exemple être téléportées directement près d’un pylône après une amélioration de leurs bâtiments de production de troupe[14]. Les Protoss peuvent également accélérer la vitesse de production d’une unité ou de recherche d’une amélioration grâce à une capacité disponible sur leur bâtiment principal. Les Terrans peuvent maintenant améliorer leur bâtiment principal pour donner à celui-ci de nouvelles capacités comme la possibilité d’appeler des « mules » qui peuvent récolter du minerai plus vite que les ouvriers de base. Le bâtiment principal peut également être amélioré en un bâtiment défensif. De leur côté, les Zergs disposent dans StarCraft II d’une unité spéciale pouvant répandre du « creep » et pouvant créer de nouvelles larves sur les bâtiments principaux Zergs et augmenter ainsi leur capacité de production d’unités. Certaines unités Zergs peuvent maintenant se déplacer lorsqu’elles sont enterrées[18]. La campagne de StarCraft II met à disposition du joueur des unités additionnelles uniquement disponibles dans ce mode. Celles-ci sont pour la plupart des unités abandonnées lors du développement ou des unités issues du jeu original comme les « vautours » ou les « ombres »[19].

Interface

L’interface de StarCraft II fonctionne suivant le même principe que celle de StarCraft. Ainsi la partie centrale de l’écran reste la partie du territoire sur laquelle le joueur opère et on retrouve les compteurs de ressources en haut à droite et la mini-map en bas à gauche, surplombée d'une horloge indiquant le temps écoulé dans le jeu. De nombreuses fonctionnalités introduites dans Warcraft III font cependant leur apparition dans le jeu comme la possibilité de sélectionner plusieurs bâtiments simultanément ou le fait de pouvoir placer un point de ralliement directement sur une ressource. L’interface de StarCraft II offre néanmoins de nouvelles options par rapport à ces prédécesseurs avec entre autres la possibilité de sélectionner jusqu’à 200 unités (contre douze dans le jeu original) permettant ainsi de leur assigner des ordres plus facilement. Le système de production d’unité à partir de plusieurs bâtiments a été modifié par rapport à celui de Warcraft III et le joueur doit maintenant cliquer (ou utiliser le raccourci prévu à cet effet) pour chaque unité qu’il souhaite produire indépendamment du nombre de bâtiments sélectionnés. L’interface permet également de visualiser les groupes assignés à des raccourcis clavier à l’aide d’onglets et tous les raccourcis claviers sont maintenant personnalisables via le menu option[20].

StarCraft II offre également de nouvelles options d’analyse des parties. L’outil permettant d’enregistrer des parties puis de les regarder est toujours présent mais permet en plus de visualiser de nombreuses informations comme les « actions par minutes » des joueurs ou les informations concernant les unités, les ressources ou les bâtiments.

Mode de jeu

StarCraft II propose plusieurs modes de jeux différents : Le mode campagne consiste en une succession de missions dans lesquels le joueur doit amener les Terrans de Jim Raynor à la victoire. La salle où le joueur recevait les instructions concernant les missions est remplacée par une version interactive du vaisseau amiral des rebelles dans lequel le joueur se déplace comme dans un jeu en pointer et cliquer[21]. Contrairement à la campagne de StarCraft, celle de StarCraft II: Wings of Liberty n’est pas linéaire : certaines missions sont optionnelles mais permettent de décrocher les crédits nécessaires pour débloquer de nouvelles unités et de nouvelles technologies mais aussi d’engager des mercenaires. Il faut cependant réussir un certain nombre d’entre elles pour débloquer les missions de l’intrigue principale. Certaines missions proposent au joueur de faire un choix quant à leur dénouement : Par exemple, dans la mission colonie, le joueur peut choisir d’aider les Protoss à éliminer toute trace d’infestation Zerg ou de les combattre pour aider la colonie dirigée par Ariel Hanson[22]. Dans le premier cas, la mission se termine par la mort de celle-ci et le joueur obtient l’accès à des technologies Protoss alors que dans le deuxième cas, celle-ci réussit à trouver un antidote au virus infectant les colons et le joueur obtient l’accès à des technologies Zergs. Les missions n’ayant pas été jouées du fait de ces choix peuvent cependant l’être plus tard via l’interface « rapport de combat » mais les bonus donnés par celles-ci ne sont pas accessibles au joueur. Les objectifs des missions de la campagne de StarCraft II: Wings of Liberty ne se limitent pas toujours à détruire la base adverse. Dans une des missions, le joueur doit par exemple récolter des minerais dans un environnement volcanique régulièrement envahi par de la lave qui force le joueur à mettre ses troupes en sécurité sur les hauteurs[21]. Dans une autre mission, le joueur est confronté à des ennemis n’attaquant que la nuit et dans la mission « infiltration » le joueur contrôle uniquement un « spectre » et à pour but d’influencer une bataille mené par deux IA.

Le mode « partie personnalisé » permet de jouer contre l’IA du jeu indépendamment de la campagne ou contre d’autres joueurs humains uniquement sur Internet via la nouvelle version de la plate-forme multi-joueurs de Blizzard Entertainment Battle.net. Celle-ci offre toujours la possibilité de trouver automatiquement un adversaire (ou une équipe) à son niveau, pour un match dont le résultat influe sur le classement des joueurs sur le serveur. Les joueurs sont ainsi répartis entre différentes ligues en fonction de leur niveau, les 200 meilleurs joueurs du serveur étant placés dans une ligue appelée « grand maître »[23]. Pour aider les débutants à se lancer dans le mode multi-joueurs, Blizzard Entertainment met à disposition du joueur des cartes spécialement créées pour l’aider à se familiariser avec les différents éléments du système de jeu de StarCraft II. Plusieurs niveaux d’IA et un mode multi-joueurs à vitesse de jeu réduite sont également disponibles pour s’entrainer[21].

Comme pour StarCraft ou Warcraft III, un éditeur de niveau est fourni avec le jeu. Celui-ci permet comme ses prédécesseurs de créer des cartes et des campagnes mais inclut en plus la possibilité de créer des mod. Différents éléments mis de côté lors du développement ou issus du jeu original et n’étant pas inclus dans StarCraft II peuvent être utilisés dans l’éditeur[24]. L’éditeur de niveau de StarCraft II est plus perfectionné que celui de StarCraft et permet en autre de créer un système de héros similaire à celui de WarCraft III[25] ou de modifier l’interface du jeu[26]. Blizzard Entertainment a également modifié la façon dont les cartes sont distribuées : celles-ci sont en effet publiées sur Battle.net plutôt que stockées localement. StarCraft II devrait également disposer d’un « marché» où les meilleurs cartes pourront être vendues via Battle.net[27].

Développement

Le développement de StarCraft II a été annoncé le 19 mai 2007 au Blizzard Worldwide Invitational à Séoul en Corée du Sud[28],[29]. Retardé par manque de ressources durant le développement de World of Warcraft, le développement de StarCraft II commence en 2003 peu après la sortie de Warcraft III: The Frozen Throne[30],[31]. D’après Rob Pardo (en) et Chris Sigaty, le développement de StarCraft II prend à nouveau un retard d’un an en 2005 du fait du besoin de ressource pour World of Warcraft[32].

Dès l’annonce du jeu, le jeu est prévu pour fonctionner sur les plates-formes Windows XP, Vista et Mac OS X et est compatible avec DirectX 9 (Pixel Shader 2.0) et DirectX 10 bien que l’équipe de développement ait décidé de ne pas utiliser d’effet graphique spécifique à cette dernière version[2],[3]. Le jeu exploite le moteur de jeu physique Havok permettant ainsi un rendu réaliste d’interaction avec l’environnement, telle la chute de débris glissant le long d’une rampe d’accès[2],[33],[28].

Durant le développement du jeu, les fans furent invités à participer par l’intermédiaire de question et de retour via des sites de fan et des forums. Par l’intermédiaire d’un « représentant officiel », Blizzard Entertainment a ainsi régulièrement mis à dispositions des fans des séries de questions/réponse, des pages internet concernant les unités ou les bâtiments, des vidéos et des messages des employés du studio afin de tenir la communauté de StarCraft II au courant du processus de développement du jeu. Blizzard a ainsi déclaré que des modifications qui avaient été proposées par des joueurs avaient été implémentées dans le jeu[34].

Extensions

Lors d’une conférence se tenant pendant la BlizzCon 2008, Blizzard Entertainment à annoncé que StarCraft II sortirait sous la forme d’une trilogie[35]. La première partie intitulée Wings of Liberty mettant en scène les Terran est sortie le 27 juillet 2010 et devrait être suivie de la campagne des Zergs appelée Heart of the Swarm. Celui-ci devrait contenir des éléments inspirés des jeux de rôles, le joueur contrôlant Sarah Kerrigan qui pourra gagner des niveaux au fur et à mesure des missions de la campagne. La trilogie devrait se clore sur la sortie de Legacy of the Void qui se focalisera sur les Protoss. Dans la campagne de cette extension, le joueur contrôlera Zeratul et devra utiliser la diplomatie pour rallier les tribus Protoss afin d’acquérir de nouvelles technologies et de nouvelles unités[36].

Accueil

Aperçu des notes obtenues
StarCraft II: Wings of Liberty
Média Pays Notes
Computer and Video Games US 93 %[37]
Eurogamer US 90 %[38]
Game Informer US 100 %[39]
GamesRadar US 100 %[40]
GameSpot US 95 %[21]
GameSpy US 4 / 5[41]
IGN US 90 %[42]
VideoGamer.com US 100 %[43]
Compilations de notes
Metacritic US 93 %[44]
Game Rankings US 92,67 %[45]

StarCraft II: Wings of Liberty fut accueilli de manière très enthousiaste par les critiques spécialisées comme le montrent les notes globales de 93 % et 92,67 % calculées par les sites Metacritic et Game Rankings[44],[45]. Les journalistes spécialisés vantent notamment son système de jeu qui conserve les éléments de gameplay qui avaient fait le succès de StarCraft tout en l’enrichissant. Dès sa sortie le jeu connait un important succès commercial avec un million de copies vendues le jour de sa sortie et plus de 3 millions de copies vendues en un mois[46],[47]. En décembre 2010, Blizzard Entertainment annonce avoir vendu 4,5 millions de copies depuis la sortie du jeu[48].

Absence de la fonction LAN

Blizzard Entertainment a annoncé le 29 juin 2009 que le jeu n’intégrera pas de possibilité de connexion en réseau local (LAN) et que toutes les parties multijoueurs devront passer par les serveurs de Battle.net[49]. La nouvelle fut reçue avec déception par les fans. Une pétition a d’ailleurs été créée[50].

Notes et références

  1. a et b Communiqué de presse du 3 mai 2010, Blizzard Entertainment, consulté le 4 mai 2010.
  2. a, b et c FAQ du site officiel, Blizzard Entertainment, consultée le 19 mai 2007.
  3. a et b Communiqué de presse du 19 mai 2007, Blizzard Entertainment, consulté le 19 mai 2007.
  4. (en) StarCraft II sera une trilogie, GameSpot, 10 octobre 2008.
  5. (en) L’histoire jusque là : Partie 1 - StarCraft, Blizzard Entertainment, 21 novembre 2007.
  6. (en) L’histoire jusque là : Partie 2 - Brood War, Blizzard Entertainment, 16 avril 2008.
  7. Biographie de Jim raynor, Blizzard Entertainment.
  8. Biographie de Matt Horner, Blizzard Entertainment.
  9. Biographie de Tychus Findlay, Blizzard Entertainment.
  10. Biographie de Zeratul, Blizzard Entertainment.
  11. a et b (en) Scénario, IMDB. Consulté le 29 janvier 2011.
  12. (en) Andrew Park, « Présentation de StarCraft II – Ce que l’ont sait jusque-là », GameSpot.com, 20 mai 2007.
  13. (en) Unités de StarCraft II : Zealot, Blizzard Entertainment. Consulté le 15 septembre 2011.
  14. a et b (en) Présentation des Protoss, Blizzard Entertainment. Consulté le 15 septembre 2011.
  15. (en) Unités de StarCraft II : Faucheur, Blizzard Entertainment. Consulté le 15 septembre 2011.
  16. (en) Unités de StarCraft II : Colosse, Blizzard Entertainment. Consulté le 15 septembre 2011.
  17. (en) Unités de StarCraft II : Traqueur, Blizzard Entertainment. Consulté le 15 septembre 2011.
  18. (en) Unités de StarCraft II : Reine, Blizzard Entertainment. Consulté le 15 septembre 2011.
  19. (en) Brad Shoemaker, « Questions et réponses : StarCraft II », Giantbomb.com, 17 octobre 2008.
  20. Session de jeu sur StarCraft II, JudgeHype.com, Juillet 2008.
  21. a, b, c et d (en) Kevin Vanord, « Critique de StarCraft II: Wings of Liberty sur PC », GameSpot.com, 2 août 2010.
  22. (en) Guide de jeu pour StarCraft II, GameSpot.com. Consulté le 15 septembre 2011.
  23. (en) Ligue « grand maître » - Saison 3, Blizzard Entertainment. Consulté le 15 septembre 2011.
  24. (en) Brad Shoemaker, « BlizzCon 07: Pardo demos StarCraft II campaign », GameSpot.com, 3 août 2007.
  25. (en) StarCraft II: Wings of Liberty - Interview de Chris Sigaty, IGN.com. Consulté le 29 janvier 2011.
  26. (en) BlizzCon 2009 : Battle.net 2.0 et l’éditeur de niveau, Sc2blog.com, 24 octobre 2009.
  27. (en) Browder, Dustin & Rob Pardo. Interview. BlizzCon Panels. 2010..
  28. a et b (en) Charles Onyett, « Blizzard Worldwide Invitational – Annonce de StarCraft II », IGN.com, 18 mai 2007.
  29. (en) Andrew Park, « StarCraft II annoncé à Séoul », GameSpot.com, 18 mai 2007.
  30. (en) Rob Fahey, « World of Warcraft fait prendre un an de retard à StarCraft II », Eurogamer.net, 29 juin 2009.
  31. (en) Charles Onyett, « Discussion au sujet de StarCraft II », IGN.com, 19 mai 2007.
  32. (en) Samuel Horton, « World of Warcraft fait prendre un an de retard à StarCraft II », SK-Gaming.com, 30 juin 2009.
  33. (en) Blizzard Entertainment utilisera le moteur physique Havok, Havok, 14 septembre 2006. Consulté le 18 juin 2007.
  34. (en) Archive des questions/réponses de Karune, World of Raids. Consulté le 29 janvier 2011.
  35. Nouvelle en direct du BlizzCon, JudgeHype, 11 octobre 2008.
  36. (en) Steve Watts, « Tout ce que vous devez savoir sur la trilogie StarCraft II », 1UP News, 20 octobre 2008.
  37. (en) Andrew Wooden, « Critique de StarCraft II: Wings of Liberty », Computer and Video Games, 30 juillet 2010.
  38. (en) Oli Welsh, « Critique de StarCraft II: Wings of Liberty », EuroGamer.net, 3 août 2010.
  39. (en) Adam Beissener, « Critique de StarCraft II: Wings of Liberty », Game Informer, 3 août 2010.
  40. (en) Tyler Nagata, « Critique de StarCraft II: Wings of Liberty  », GameRadar.com, 30 juillet 2010.
  41. (en) Eric Neigher, « Critique de StarCraft II: Wings of Liberty », GameSpy.com, 4 août 2010.
  42. (en) Charles Onyett, « Critique de StarCraft II: Wings of Liberty », IGN.com, 3 août 2010.
  43. (en) Martin Gaston, « Critique de StarCraft II: Wings of Liberty sur PC », Videogamer.com, 30 juillet 2010.
  44. a et b (en) Bilan des scores obtenus par StarCraft II: Wings of Liberty sur PC, Metacritic.com.
  45. a et b (en) Bilan des scores obtenus par StarCraft II: Wings of Liberty sur PC, Game Rankings.
  46. (en) StarCraft II : Meilleurs lancement d’un jeu PC en 2010 !, Blizzard Entertainment, 3 août 2010.
  47. StarCraft II dépasse les 3 millions de ventes en un mois, Blizzard Entertainment, 1er septembre 2010.
  48. (en) Résultat 2010, Activision, 9 février 2011.
  49. Press Tour Juin 2009 > Interview de Rob Pardo, publié par JudgeHype, le 29 juin 2009.
  50. Pétition LAN in Starcraft 2 Please créée le 29 juin 2009, et ayant récolté plus de 25 000 signatures en 3 jours, et dépassant les 250 000 signatures près d’un an après sa création.

Liens externes


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article StarCraft II de Wikipédia en français (auteurs)

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