Thiers-sur-Thève

Thiers-sur-Thève

49° 09′ 11″ N 2° 34′ 23″ E / 49.1530555556, 2.57305555556

Thiers-sur-Thève
Ruines du château : l'ancienne chapelle.
Ruines du château : l'ancienne chapelle.
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Picardie
Département Oise
Arrondissement Senlis
Canton Senlis
Code commune 60631
Code postal 60520
Maire
Mandat en cours
Didier Jeudon
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes Cœur Sud Oise
Démographie
Population 1 085 hab. (2007)
Densité 174 hab./km²
Gentilé Thierois,Thieroises
Géographie
Coordonnées 49° 09′ 11″ Nord
       2° 34′ 23″ Est
/ 49.1530555556, 2.57305555556
Altitudes mini. 54 m — maxi. 102 m
Superficie 6,25 km2

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Thiers-sur-Thève est une commune française, située dans le département de l'Oise et la région Picardie. Ses habitants sont appelés les Thierois et Thieroises[1];

Sommaire

Géographie

La horticulture sous serres appartient désormais au passé à Thiers.

Thiers-sur-Thève est situé dans le sud du département de l'Oise, à la lisière sud de la forêt de Chantilly, sur la RD 607 entre Pontarmé et Mortefontaine, à une distance orthodromique de 36 km au nord-nord-est de Paris, respectivement de 6 km au sud du chef-lieu d'arrondissement de Senlis. La distance routière de la capitale est de 44 km par la RD 1017 et l'autoroute A1, via le connecteur n° 7 de Survilliers / Saint-Witz, et l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est éloigné de 21 km. La RD 607 constitue l'unique accès à Thiers ; l'autoroute traverse le territoire communal à l'est du village sans moyen de la rejoindre directement. Concernant les transports en commun, Thiers est desservi à certaines heures par la ligne d'autocars n° 13 du réseau départemental Sud-Oise, gare d'Orry-la-Ville - Coye - Senlis. Du lundi au vendredi, trois cars partent le matin pour la gare d'Orry-la-Ville - Coye qu'ils rejoignent en 15 min, et deux cars en reviennent en soirée. Le mardi et vendredi, jour de marché à Senlis, deux aller-retours sont proposées pour cette ville. Le tarif est de € 2,20 pour un ticket aller-retour à destination d'Orry, La Chapelle-en-Serval ou Senlis[2].

Thiers-sur-Thève compte cinq communes limitrophes, dont Pontarmé est celle avec Thiers partage le plus de limites communes, à savoir 5,8 km pour une circonférence totale de 12 km environ. Bien que Pontarmé soit situé à l'ouest de Thiers, la limite nord de Thiers donne également sur Pontarmé. Par contre, Mont-l'Évêque ne cotoie Thiers que sur 200 m environ, au nord-est de la butte aux Gens d'Armes et au-delà de l'autoroute. Sinon, toutes les parcelles de la forêt d'Ermenonville qui touchent le territoire communal de Thiers à l'est sont situées sur Fontaine-Chaalis. Le golf de Morfontaine et les pistes d'essais du C.E.R.A.M. correspondent à la commune de Mortefontaine, et ce sont le parc Astérix et le hameau de Neufmoulin qui sont situés sur la commune de Plailly, au sud-est[3].

Communes limitrophes de Thiers-sur-Thève
Mont-l'Évêque
Pontarmé Thiers-sur-Thève Fontaine-Chaalis
Plailly Mortefontaine

Comme son nom l'indique, Thiers est situé sur la Thève, petit affluent de l'Oise qui coule à travers la forêt de Chantilly. Cette forêt et plus précisément sa partie appelée forêt de Pontarmé, occupe 195 ha soit 31 % du territoire communal. S'y ajoutent le Bois Bourdon et plusieurs petits bois privés disseminés sur le territoire, conférant à Thiers le caractère d'un village-clairière. Le relief est pratiquement plat, exception faite de la butte aux Gens d'Armes au nord-est, point culminant de la commune à103 m d'altitude. C'est une butte-témoin sablonneux avec une végétation de pins et bruyères, proche de la forêt d'Ermenonville. Le point le plus bas est localisé à l'endroit où la Thève quitte la commune, près des étangs de Saint-André, à 54 m au-dessus du niveau de la mer. Le village lui-même est situé à une altitude inférieure à 54 m.

Le « Trou de Sable » entre le GR 1 et le stade.

Le patrimoine naturel et paysager de Thiers-sur-Thève est protégé par deux ZNIEFF du type 1. La ZNIEFF n° national 220014323 « Massif forestier de Chantilly / Ermenonville » concerne sur Thiers l'ensemble des parcelles de la forêt de Chantilly, appelée ici forêt de Pontarmé, et les petits bois privés à la lisière de cette forêt[4]. La ZNIEFF n° national 220014325 « Bois de Morrière » porte essentiellement sur un bois de ce nom situé sur la commune de Plailly, mais englobe également le Bois Bourdon au sud de Thiers, les près humides à l'est du village, et l'ensemble du secteur au-delà de l'autoroute, avec notamment la lisière des bois autour de la butte du Maulois[5]. L'ensemble du territoire communal fait partie du site classé « Forêts d'Ermenonville, de Pontarmé, de Haute-Pommeraie, butte et clairière de Saint-Christophe », créé par arrêté du 28 août 1998 sur la base de la loi du 2 mai 1930 relative à la protection des monuments naturels et des sites de caractère artistique, historique, scientifique, légendaire ou pittoresque[6]. Antérieurement, l'ensemble de la commune avait déjà été retenu pour le site inscrit de la vallée de la Nonette, créé par arrêté du 6 février 1970[7]. Ce site inscrit a préfiguré le Parc naturel régional Oise-Pays de France pour sa partie située dans l'Oise, créé par décret du 13 janvier 2004 et incorporant l'ensemble de la commune de Thiers[8]. - Concernant la randonnée pédestre et équestre, la commune est traversé d'est en ouest par le GR 1, passant par la forêt et parfois en lisière de forêt, en provenance d'Ermenonville, et en direction des étangs de Commelles et de la gare d'Orry-la-Ville - Coye. Par la forêt, l'on peut rejoindre Senlis, Mont-l'Évêque ou l'abbaye de Chaalis. Des chemins ruraux permettent de rejoindre La Chapelle-en-Serval, mais en raison de la présence du parc Astérix, du circuit d'essais et du golf de Morfontaine, tout le secteur au sud-est du village est parfaitement inaccessible.

Histoire

Administration

La « villa Brica » de 1904 est devenue la nouvelle mairie en 2011.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 mars 2008 Jacky Boyelle    
mars 2008 en cours Didier Jeudon    
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique

D’après le recensement Insee de 2007, Thiers-sur-Thève compte 1 085 habitants (soit une augmentation de 11 % par rapport à 1999). La commune occupe le 8 712e rang au niveau national, alors qu'elle était au 8 836e en 1999, et le 143e au niveau départemental sur 693 communes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Thiers-sur-Thève depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint 2007 avec 1 085 habitants.

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 222 208 238 242 271 284 281 282 281
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 274 291 281 292 272 284 254 248 270
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 276 287 284 277 254 292 301 340 384
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 -
Population 450 522 568 679 824 978 1 072 1 085 -
Notes, sources, ... Sources : base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusqu'en 1962[9], base Insee à partir de 1968 (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[10],[11]

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (14,8 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 49,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,4 %, 15 à 29 ans = 16,9 %, 30 à 44 ans = 23,9 %, 45 à 59 ans = 22,4 %, plus de 60 ans = 14,4 %) ;
  • 50,5 % de femmes (0 à 14 ans = 21,8 %, 15 à 29 ans = 15,9 %, 30 à 44 ans = 25,3 %, 45 à 59 ans = 21,8 %, plus de 60 ans = 15,1 %).
Pyramide des âges à Thiers-sur-Thève en 2007 en pourcentage[12]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,0 
90  ans ou +
0,5 
3,7 
75 à 89 ans
5,4 
10,7 
60 à 74 ans
9,2 
22,4 
45 à 59 ans
21,8 
23,9 
30 à 44 ans
25,3 
16,9 
15 à 29 ans
15,9 
22,4 
0 à 14 ans
21,8 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[13]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,2 
90  ans ou +
0,8 
4,5 
75 à 89 ans
7,1 
11,0 
60 à 74 ans
11,5 
21,1 
45 à 59 ans
20,7 
22,0 
30 à 44 ans
21,6 
20,0 
15 à 29 ans
18,5 
21,3 
0 à 14 ans
19,9 

Héraldique

Armes de Thiers-sur-Thève

Les armes de Thiers-sur-Thève se blasonnent ainsi :

Tiercé en pairle : au 1er de gueules au château donjonné ruiné d’argent maçonné de sable, ouvert et ajouré du champ, au 2nd d’or à l’arbre de sinople posé sur une champagne ondée d’azur chargé de trois burelles ondées d’argent, au 3eme d’argent à la cognée de sable semestrée d’une scie passe-partout du même posée en pal

Lieux et monuments

Monument historique

Thiers-sur-Thève ne compte qu'un seul Monument historique.

Entrée du château.
  • Ruines du château, place du Château (classées Monument historique par liste de 1862[14]) : Le château de Thiers a été construit vers 1250-1260 par Thibault de Beaumont et son épouse Jeanne, de la famille des Bouteiller de Senlis. Après la mort de Thibault, ses héritiers vendirent le château à Renault de Nanteuil-le-Haudouin, évêque de Beauvais, en août 1276. De septembre 1310 à octobre 1311, onze templiers y furent détenus en attendant leur procès. Sinon, le château servait de résidence de campagne aux évêques de Beauvais, juqu'à être partiellement ruiné lors de la Grande Jacquerie en 1358. Une commission chargée d'évaluer les dégâts subis par les différentes possessions du diocèse recommenda sa remise en état, mais deux ans plus tard, l'on décida finalement d'y renoncer. La seigneurie de Thiers demeura toutefois la propriété des évêques de Beauvais pendant deux siècles encore. Pendant ce temps, le démantèlement du château fut ordonné en 1431, avec évidement des tours et rabaissement des murailles à une hauteur de 3 m. Le 24 janvier 1624, Estienne Chantrelle, garde forestier, obtint la concession du château liée à l'obligation de faire construire une maison avec les pierres se trouvant dans la cour, mais avec interdiction de démolir les ruines. - Le château de Thiers est une petite forteresse de la forme d'un carré régulier de 56,80 m de cote, avec quatre tours rondes aux angles et deux autres tours identiques au milieu des murailles est et ouest, mesurant 9,40 m de diamètre. Le logis et les dépendances s'alignent le long de la muraille sud, avec, en son centre, le portail flanqué de deux autres tours, qui ont été intégrées dans des maisons construites après la destruction du château. À droite de l'entrée, le rez-de-chaussée servait de magasin, et l'étage abritait une vaste salle. Le XIIIe siècle ayant été une période paisible, les murs extérieurs ont été percées de grandes fenêtres. Dans des ébrasements en tiers-points s'inscrivent des ouvertures gemellées rectangulaire, surmontées d'un oculus trèflé quadrilobe. La chapelle se situait dans la tour sud-est, et deux arcades ainsi que des chapiteaux en restent toujours visible. Quant à l'aile à gauche de l'entrée, elle est nettement moins bien conservée. En dépit du classement aux monuments historiques en 1862, le pignon ouest a été démoli en 1870, pendant la guerre franco-prussienne[15],[16]. L'intérieur du château est aujourd'hui partagé entre plusieurs propriétés privées et ne se visite pas.

Autres éléments du patrimoine

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  • Église Saint-Martin, rue Aveline : Petite église sans caractère particulier, qui est le fruit de plusieurs reconstructions au cours des siècles. La nef unique de trois travées et le chœur à pans coupés forment des unités distinctes. En 1473, l'église de Thiers était en ruines suite à la Guerre de Cent ans et des incursions de bandes armées, et comme les moyens manqaient aux villageois pour la rebâtir, l'évêque les autorisa d'organiser une quête dans tout le diocèse. D'autres reconstructions eurent lieu en 1641 et 1782/83. L'actuel clocher devant la façade occidentale a été édifié en 1848 suite à la destruction du précédent dans un grave incendie, qui avait également affecté plusieurs maisons du village. Comme particularité, Thiers et Pontarmé ont toujours formé une paroisse unique avec deux églises et deux conseils de fabrique, mais un seul presbytère localisé à Pontarmé et un seul curé[17]. En 1820, la commune de Thiers refusa de participer à l'entretien du presbytère, qu'elle avait toujours assuré à concurrence de 40 %, et en abandonna tout droit de propriété[18].
  • Abreuvoir sur la Thève, rue de l'Abreuvoir : Ce n'est qu'un simple terre-plein séparé de la Thève par un muret en hémicycle, afin de préserver ce lieu où des habitants emmenaient boire leur bétail.
  • Lavoir communal, près du pont sur la Thève, rue de Senlis : Depuis la rue, il paraît comme un petit bâtiment rectangulaire très simple. L'unique ouverture est une porte grillagée, permettant d'apercevoir le bassin à l'intérieur. Des toits en appentis protègent l'espace autour du lavoir des intempéries de trois côtés.
  • Fontaine Sainte-Geneviève, rue de la fontaine du Gué[19]: Au pied d'un banc en pierre, sous un tilleul, une source donne naissance à un ruisseau. Ce fut jadis la fontaine Sainte-Geneviève, où un escalier à droite du banc permettait de descendre. Il est aujourd'hui envahi par la végétation, tout comme la source. Rien ne rappelle ici un gué (abreuvoir).
  • Trois calvaires, près du chevet de l'église, rue de Mortefontaine et chemin de la Croix Rouge : La croix à côté de l'église est en fer forgé et extrèmement simple. Le calvaire de la rue de Mortefontaine, au carrefour avec la rue du Bourdon Saint-Denis, date de 1883. Sa petite croix en fer forgé finement ciselé est plantée au sommet d'une colonne à chapiteau sculpté de feuilles d'acanthe, qui repose sur un gros pupitre cubique. La Croix Rouge tient son nom de la couleur dans laquelle cette grande croix en fonte est peinte. Elle repose directement sur un pupitre.
  • Butte aux Gens d'Armes, à 1,5 km au nord-est du village, en forêt de Pontarmé, près de l'autoroute : Culminant à (103 m)seulement, cette butte-temoin représente pourtant le point le plus élevé de ce secteur de la forêt de Chantilly. Evoquant une dune de sable, c'est un des sites naturels remarquables de la cette forêt, caractérisé également par sa végétation de pins sylvestres et de bruyères. Elle rappelle la forêt d'Ermenonville proche, et constitue en même temps le principal site de landes en forêt de Chantilly[20].

Personnalités liées à la commune

Notes

  1. Cf. Thiers-sur-Thève (60520) sur Habitants.fr - Nom des habitants des communes françaises. Consulté le 14 novembre 2011.
  2. [PDF] Horaire de la ligne 13 sur Oise-mobilité. Consulté le 14 novembre 2011.
  3. Communes limitrophes et autres renseignements topographiques selon la carte topographique 1 : 25 000e « TOP 25 » de l'IGN, consultable en 3D sur le site Geoportail. Consulté le 14 novembre 2011. Distances mesurées par l'outil proposé dans le mode de visionnage en 3D.
  4. Cf. Description de la znieff Massif forestier de Chantilly / Ermenonville sur DREAL Picardie. Consulté le 14 novembre 2011.
  5. Cf. Description de la znieff Bois de Morrière sur DREAL Picardie. Consulté le 14 novembre 2011.
  6. [PDF] Forêts d'Ermenonville, de Pontarmé, de Haute-Pommeraie, butte et clairière de Saint-Christophe sur DREAL Picardie. Consulté le 14 novembre 2011.
  7. Cf. [PDF] Vallée de la Nonette sur DREAL Picardie. Consulté le 14 novembre 2011.
  8. Cf. [PDF] Journal officiel de la République française du 15 janvier 2004, p. 1143-1144 sur DREAL Picardie. Consulté le 14 novembre 2011.
  9. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 26 octobre 2010
  10. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 26 octobre 2010
  11. Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 26 octobre 2010
  12. Évolution et structure de la population à Thiers-sur-Thève en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 26 octobre 2010
  13. Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 26 octobre 2010
  14. Notice no PA00114919, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  15. Cf. Ernest Dupuis, « Notice sur le château de Thiers », dans Comité Archéologique de Senlis, Comptes-Rendus et Mémoires, Senlis, Imprimerie Eugène Dufresne, 4e série, vol. II, 1897-98, p. 17-31 [texte intégral (page consultée le 12 novembre 2011)] .
  16. Cf. Didier Joseph-François, C. Leblanc et A. Vénacque, Étude urbaine de Thiers-sur-Thève, Orry-la-Ville, Parc naturel régional Oise-Pays de France, 2006, pdf, 35 p. [lire en ligne (page consultée le 12 novembre 2011)]  ; p. 27-29.
  17. Cf. Ernest Dupuis, « Notice sur le château de Thiers : L'église », dans Comité Archéologique de Senlis, Comptes-Rendus et Mémoires, Senlis, Imprimerie Eugène Dufresne, 4e série, vol. II, 1897-98, p. 32-33 [texte intégral (page consultée le 12 novembre 2011)] .
  18. Cf. Ernest Dupuis, « La Seigneurie et le village de Pontarmé », dans Comité archéologique de Senlis, Comptes-rendus et mémoires, Senlis, Imprimerie Eugène Dufresne, 3e série, vol. IX, 184, p. 1-128 [Lire sur Gallica texte intégral (page consultée le 10 novembre 2011)]  ; p. 44.
  19. Cf. Son Histoire - Notre Histoire sur Thiers-sur-Thève (site officiel). Consulté le 13 novembre 2011.
  20. Cf. le magazine du parc, Soyons parc, n° 16, p. 6.

Bibliographie

  • Maurice Delaigue, Promenade en vallée de Thève : Saint-Sulpice-la-Ramée, Vallière-Mortefontaine, Thiers-sur-Thève, Pontarmé, Montgrésin, Comelle, Coye-la-Forêt, Lamorlaye-le-Lys, Baillon, Royaumont, s.l., à compte d'auteur, s.d. (ca. 1990), 109 p. (ISBN 295045691X) 
  • Pierre Divoux, « Constats archéologiques aux abords du château de Thiers-sur-Theve », dans Comptes rendus et mémoires de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Senlis, 1986-1989, p. 161-164 
  • Ernest Dupuis, « Notice sur le château de Thiers », dans Comité Archéologique de Senlis, Comptes-Rendus et Mémoires, Senlis, Imprimerie Eugène Dufresne, 4e série, vol. II, 1897-98, p. 17-58 [texte intégral (page consultée le 12 novembre 2011)] 

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