Tigre de Sibérie

Tigre de Sibérie
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 Tigre de Sibérie (Panthera tigris altaica) au zoo de Copenhague
Tigre de Sibérie (Panthera tigris altaica)
au zoo de Copenhague
Classification
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Sous-embr. Vertebrata
Classe Mammalia
Sous-classe Theria
Infra-classe Eutheria
Ordre Carnivora
Sous-ordre Feliformia
Famille Felidae
Sous-famille Pantherinae
Genre Panthera
Espèce Panthera tigris
Sous-espèce
Panthera tigris altaica
Temminck, 1844
Répartition géographique
Panthera tigris altaica dark world.png
Statut de conservation UICN :

EN D : En danger
2008
Schéma montrant le risque d'extinction sur le classement de l'UICN.

Statut CITES : Cites I.svg Annexe I ,
Révision du 23-06-2005
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Le tigre de Sibérie ou tigre de l'Amour (Panthera tigris altaica) est la plus grande sous-espèce du tigre.

Sommaire

Description

Il a en général un corps plus long et plus massif que le tigre du Bengale, et des pattes plus larges; sa taille au garrot va de 90 cm à 110 cm. Ses griffes mesurent environ 10 cm.

Le Tigre de Sibérie pèse de 180 à 306 kg pour les mâles et de 100 à 167 kg pour les femelles[1]. Le plus gros tigre de Sibérie, tué en 1950, atteignait les 384 kg[2]. Le Tigre de Sibérie (partageant approximativement cette place avec l'Ours Grizzly) est le troisième plus gros prédateur terrestre derrière l'Ours kodiak et l'Ours polaire [3]. Les deux pouvant atteindre un poids de plus d'une tonne.

La longueur totale du corps est comprise entre 2,7 et 3,3 m pour les mâles et entre 2,4 et 2,75 m. La longueur du crâne est de 341 à 383 mm pour les mâles et 279 à 318 mm pour les femelles[1].

La robe du Tigre de Sibérie possède la particularité d'avoir une fourrure d'été et une fourrure d'hiver. Cette particularité était partagée avec le Tigre de la Caspienne, disparu dans les années 1930. La fourrure d'hiver est plus longue et épaisse, presque hirsute[2] et souvent plus claire que celle d'été[4] ; il s'agit d'une adaptation évolutive qui lui permet de supporter les baisses de températures hivernales de son aire de répartition et de se camoufler dans la neige.

En 1972, un Tigre de Sibérie a été observé à nager sur huit kilomètres[4]

Une caractéristique du Tigre de Sibérie est sa très faible diversité génétique qui s'explique par les déclins successifs du nombre d'individus de la sous-espèce[5].

Phylogenèse

Article détaillé : Sous-espèce du tigre.

En 2009, une étude menée sur les haplotypes d'ADN mitochondrial de vingt tigres de la Caspienne (Panthera tigris virgata) sauvages[Note 1] a montré que cette sous-espèce est très proche du tigre de Sibérie. Des analyses phylogéographiques complémentaires révèlent que le plus proche ancêtre commun de ces deux sous-espèces date d'il y a 10 000 ans seulement. Les auteurs supposent que cet ancêtre, parti de l'est de la Chine aurait colonisé l'Asie centrale en passant par le corridor de Gansu et également traversé la Sibérie[6].

La validité de la sous-espèce que forme le Tigre de Sibérie a été vérifiée par des études menées sur les marqueurs moléculaires en 2004[5].

Comportement

Reproduction

Article détaillé : Cycle de vie du tigre.

Ils atteignent leur maturité sexuelle vers 3-5 ans. Leur gestation dure 95 à 112 jours. La portée compte environ 3 à 4 petits mais peut aller jusqu'à 7. Quant aux chiffres liés à la reproduction, ils sont sensiblement identiques à ceux des autres sous-espèces. Bien que leur reproduction soit assez difficile en zoo, deux tigres de Sibérie sont nés dans le zoo de la ville roumaine de Galati le 21 mai 2007[7].

Le Tigre de Sibérie est l'espèce en captivité qui présente le plus haut risque d'agressivité lors de la rencontre entre le mâle et la femelle[8]. Le pourcentage de spermatozoïdes normaux est supérieur à 60 % pour le Tigre de Sibérie[9],[10].

Alimentation et chasse

Chasse d'un Tigre de Sibérie sur un daim.

Malgré sa force et l'acuité de ses sens, le tigre de Sibérie doit passer beaucoup de temps à la chasse et ne réussit à tuer qu'une fois sur dix. Il chasse essentiellement les cervidés et les sangliers, et il lui arrive de s'en prendre à un ours mais l'issue du combat entre ces deux forces de la nature est assez incertaine. Il peut également nager pour pêcher du poisson, mais sa morphologie est bien adaptée aux grosses proies. Il peut manger jusqu'à 25 kilos de viande par jour. Quand il le peut, le tigre choisit d’attaquer des animaux jeunes, vieux ou boiteux, qui auront moins de réflexes et seront moins rapides, afin de faciliter l’attaque.

Il approche à environ 10-25m de sa proie avant de bondir pour saisir l'animal à la nuque, les pattes postérieures plantées au sol. Les petites proies sont tuées par la morsure à la nuque, mais les grosses proies sont renversées au sol et étouffées par morsure à la gorge. Il chasse à l’affût et à l’approche, préférant tendre une embuscade plutôt que de poursuivre sa proie.

Le pelage d’hiver du tigre de Sibérie est plus épais et long, ce qui lui permet de résister à des températures allant jusqu’à -40°.Le mâle vit en solitaire et repousse les autres mâles. Les mâles et les femelles marquent leur territoire en urinant et en griffant les arbres. Ce félin est un très bon nageur, il peut parcourir facilement un lac de 5 km à la nage

Chorologie

Aire de distribution

L'aire de répartition du Tigre de Sibérie s'étend du bassin de l'Amour-Oussouri à la frontière nord-est de la Chine et peut-être en Corée du Nord. La plus forte population russe se trouve en Primorie[11]. 90 % de la population de Tigres de Sibérie se trouvent dans la réserve de Sikhote-Aline avec très peu d'échanges génétiques avec les autres populations[5].

Son habitat favori est les forêts de conifères. Selon WWF, il ne reste que 360 à 400 tigres de Sibérie présents à l'état sauvage sur les territoires de la Chine, de la Russie, de la Sibérie et de la Corée du Nord[12].

La densité de population du Tigre de Sibérie est particulièrement faible. Des données récoltées dans les années 1990 montrent une densité de population de 0,6 à 0,86 tigres pour 100 km2 dans le District de Lazovskiy et de 0,13 à 0,45 tigres pour 100 km2 au Sikhote-Aline[13].

A l'origine, le Tigre de Sibérie se rencontrait en Mandchourie, en Corée et dans l'extrême-Orient russe[14]. Jusqu'au début du XXe siècle, l'extrême-orient russe demeure mal connu du tsar de Russie et en 1906, Vladimir Arseniev est chargé d'explorer la région ; il a comme guide le golde Dersou Ouzala. La région de Sikhote-Aline regorge d'animaux sauvages en ce temps-là, mais Dersou Ouzala note déjà la chasse aux fauves des officiers russes à Vladivostok et surtout le saccage de la Mandchourie par la Chine[15]. Vladimir Arseniev s'étonne durant son séjour de ne jamais voir de tigre, appelé amba par son guide[16]. La Révolution russe accélère l'exploitation sauvage de la Sibérie lorsque les soldats affamés piochent dans les ressources naturelles de la région. De grandes chasses aux tigres sont par la suite organisées par les chefs du Parti unique : une dizaine de tigres peut être abattue en une seule chasse, les jeunes tigres découverts sont capturés pour fournir les cirques[15].

Au bord de l'extinction dans les années 1930 avec une estimation des individus sauvages comprise entre 20 et 30 individus[11]. Le gouvernement russe décide la création d'une réserve de biosphère à Sikhote-Aline en 1936 après avoir chassé les Mandchous de l'Oussouri et de l'Amour. Dans les années 1940, les populations de tigres tombent à une vingtaine[15]. La Seconde guerre mondiale permet un relâchement de la pression humaine sur le Tigre de Sibérie[15] et les populations remontent dès l'interdiction de la chasse en 1947[11]. La sous-espèce est déclarée protégée en 1962[15]. Un projet d'étude par la pose de collier émetteur américain est cependant avorté par une interdiction de l'administration Nixon[15]. Dans les années 1980, on compte 250 à 430 individus et des propositions d'ouverture de chasse sportive afin de réguler la population qui s'attaque au bétail et n'aurait pas assez de gibier pour survivre[11].

Cependant, au milieu des années 1980, une succession d'hivers rigoureux cumulés aux changements politiques consécutifs de la fin de l'URSS poussent les populations locales à prélever leur repas dans la nature : daims, élans et sangliers - nécessaires à la survie du félin - diminuent[17]. De plus, le braconnage, la déforestation et l'exploitation minière sauvage accroissent la pression humaine sur le Tigre de Sibérie[17]. Entre 1992 et 1994, quarante à soixante tigres sont braconnés chaque année pour leur peau et leurs os, à destination du marché chinois[17]. En 1994, la population de Tigre de Sibérie retombent entre 150 et 200 individus[11].

La protection du Tigre de Sibérie est à nouveau relancée : dès 1992, le Hornocker Wildlife Institute lance un appel pour protéger le félin dans et autour de la réserve de biosphère de Sikhote-Alin. Cela débouchera sur un projet-cadre de protection de l'habitat du Tigre de Sibérie en collaboration avec des chercheurs russes, avec la création de corridors biologique, de multiples zones de sauvegarde dont un noyau central inviolé et la gestion de la déforestation, de la construction de routes et de l'exploitation minière des sites non-protégés. En 1995, le premier ministre russe Viktor Tchernomyrdine engage une stratégie nationale de préservation par l'ajout de patrouille aux frontières chinoises[17]. Durant l'hiver 1995-1996, une grande opération de comptage des tigres, organisée par l'université de Moscou, coordonnée par l'américain Daly Miquelle et financée par l’United States Agency for International Development, est entreprise et donne des résultats inespérés : entre 430 et 470 tigres sont comptés sur les 93 000 m2 de forêt montagneuse inspectée[17]. Cette collaboration, dite projet « Tigres de Sibérie », entre les États-Unis et l'URSS/Russie est l'une des toutes premières entre les deux blocs de la guerre froide et permet la première étude d'ampleur sur cette sous-espèce avec la pose de nombreux colliers émetteurs sur des spécimens sauvages[15].

Toutefois, les conditions économiques désastreuses de l'ancien empire soviétique poussent à la négociation des ressources naturelles de la Sibérie et les forêts et sols sont vendus à de grandes compagnies minières et forestières internationales, notamment américaines et coréennes. Ces compagnies passent outre les accords les forçant à replanter et laissent derrière elle un paysage lunaire. De plus, l'exploitation commerciale de la Sibérie a pour conséquence l'ouverture de voies de communication favorables au développement du braconnage[15],[Note 2].

En 2010, l'UICN considère qu'il reste entre 18 et 22 Tigres de Sibérie en Chine, 331 à 393 tigres en Russie (tigres adultes et sub-adulte, la population fertile approcherait 250 individus) et qu'il est possible que des Tigres de Sibérie survivent en Corée du Nord. Depuis le début des années 2000, la population du Tigre de Sibérie est considérée comme stable, mais plusieurs études semble indiquer une tendance à la diminution[5].

Les études menées sur le Tigre de Sibérie nécessite l'emploi d'un hélicoptère pour les traquer tant leur territoire est vaste[18].

Protection

Sa fourrure a une très grande valeur marchande en Asie (environ 10.000 €), et dans tout l'extrême orient, on attribue à ses organes des vertus curatives quasi-miraculeuses. Ses os sont utilisés dans la pharmacopée chinoise. Le tigre de Sibérie est protégé par la « Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction », CITES (acronyme de l'anglais Convention of International Trade of Endangered Species). Il fait par ailleurs l'objet de programmes d'élevage en parcs zoologiques. Il est aussi protégé par la WWF.

L'union internationale pour la conservation de la nature (UICN) classe le Tigre de Sibérie comme en danger critique d'extinction (CR) depuis 1996[5].

le Tigre de Sibérie fait l'objet d'un programme européen d'élevage (EEP)[19] et d'un programme américain pour les espèces menacées (SSP)[20].

Présence dans les parcs protégés

Peter Jackson estime que seulement 20 % de la population de Tigres de Sibérie russes vivent dans une réserve naturelle. Les réserves se situent à Sikhote-Aline (3 471 km2), Lazovskiy (1 165 km2) et Kedrovaya Pad (179 km2). La plus grande réserve en termes de superficie, Sikhote-Aline, ne peut accueillir des Tigres de Sibérie que sur deux tiers de sa surface, en raison d'une végétation inappropriée ; en 1986, 25 tigres y ont été décomptés. A Lazovskiy en 1993, il a été estimé que 22 tigres vivaient dans le parc et une dizaine en périphérie. En 1991, la réserve de Kedrovaya Pad accueillait 9 individus[11]. En 2004, on estime le nombre de Tigre de Sibérie à 450 individus[21]

En Chine, la présence du Tigre de Sibérie à la réserve naturelle du Mont Paektu a été rapporté dans la presse chinoise dans les années 1990. Cette même réserve, qui est frontalière à la Corée du Nord, pourrait abriter les derniers Tigres de Sibérie coréens[11].

Alors que les derniers tigres à l'état sauvage auraient disparu du sud de la péninsule Coréenne en 1922, des tigres de Sibérie ont été importés en Corée du Sud en 1986.Depuis que la Corée du Sud a importé des tigres, le premier tigre né dans le sud de la péninsule est mort à l'âge de dix-sept ans en décembre 2006. Il s'appelait « Paektu », référence au mont Paektu, point culminant de la Corée. Fin 2006, 18 autres tigres étaient nés en Corée du Sud depuis 1986[22]. Fin 2009, on estime à 500 le nombre de tigres vivant à l'état sauvage en Corée du Sud, tandis que 421 sont élevés en captivité[23].

Le tigre de Sibérie dans la culture

Le tigre est un des animaux légendaires de la culture coréenne, très présent notamment dans les contes coréens[24]. Le tigre blanc de l'ouest représente l'esprit de la montagne en Corée[25]

Le tigre est surtout le symbole du pouvoir, de la puissance et de la férocité : les « cinq tigres » désignent des soldats courageux qui gardent les quatre points cardinaux et le centre. Le tigre avait aussi la réputation de repousser les démons[26].

Un proverbe coréen dit « Quand on parle du tigre, il arrive », qui est un équivalent du proverbe français « Quand on parle du loup on en voit la queue »[27].

Afin de sauver les derniers tigres de Sibérie tout en leur permettant de vivre en liberté, la création de sanctuaires est à l'étude. Le pays le mieux placé pour accueillir quelques représentants de cette magnifique espèce est, de l'avis de tous les spécialistes, le Canada dont la flore, la faune et le climat, se rapproche le plus de la Sibérie.

Notes et références

Notes

  1. Les spécimens utilisés sont issus des collections des museums. Le choix s'est porté sur les tigres dont l'aire de collecte correspondait à l'aire de distribution supposée du Tigre de la Caspienne.
  2. Ce désastre écologique est également un désastre humain, puisque les populations locales Nanaïs, Toungouses et Oudéguées ne profitent pas de l'exploitation de leur territoire.

Références

  1. a et b (en) Peter Jackson, « Description and Behavior Part One » sur http://www.catsg.org/, Cat Specialist Group
  2. a et b Peter Jackson et Adrienne Farrell Jackson (trad. Danièle Devitre), Les félins : toutes les espèces du monde, Delachaux et Niestlé, coll. « La bibliothèque du naturaliste », octobre 1996, 272 p. (ISBN 2-603-01019-0)  , p. 95-96
  3. (fr) Zdenek Veselovsky (trad. Élisabeth de Lavigne), Le tigre : Un chasseur solitaire, Gründ, coll. « Animoscopie », avril 1996 
  4. a et b (en) Peter Jackson, « Description and Behavior Part Two » sur http://www.catsg.org/, Cat Specialist Group
  5. a, b, c, d et e Référence UICN : espèce Panthera tigris altaica Temminck, 1844 (en)
  6. C. Driscoll, N. Yamaguchi, G. Bar-Gal, A. Roca, S. Luo, D. Macdonald et S. O'Brien, « Mitochondrial phylogeography illuminates the origin of the extinct caspian tiger and its relationship to the amur tiger », dans PLoS ONE, vol. 4, 2009 [texte intégral (page consultée le 25 août 2009)] 
  7. Source : "Rare Siberian tiger cubs born at zoo", dépêche de l'agence Reuters, 26 juillet 2007
  8. (fr) Frédéric Rein, « «Tinka» la tigresse sera-t-elle mère un jour? », dans Le matin, 16 mai 2009 [texte intégral (page consultée le 17 mai 2009)] 
  9. En comparaison, celui de l'homme est normal à 70 % en moyenne.
  10. (fr) Alain Fontbonne, Xavier Lévi, Emmanuel Fontaine, JY Routier, « L'insémination artificielle chez les félidés » sur http://www.academie-veterinaire-defrance.org, Académie vétérinaire de France. Consulté le 2 avril 2009
  11. a, b, c, d, e, f et g (en) Peter Jackson, « Status of the Amur or Siberian Tiger » sur http://www.catsg.org/, Cat Specialist Group
  12. Source : WWF, site junior de la fédération belge
  13. (en) Peter Jackson, « Population Status » sur http://www.catsg.org/, Cat Specialist Group
  14. (fr) Michael Nichols et Geoffrey C. Ward (trad. Florence Illouz), Le tigre [« The Year of the Tiger »], Paris, National Geographic, 2000, 156 p. (ISBN 2-7441-2875-9) 
  15. a, b, c, d, e, f, g et h Rémy Marion (dir.), Cécile Callou, Julie Delfour, Andy Jennings, Catherine Marion et Géraldine Véron, Larousse des félins, Paris, Larousse, septembre 2005, 224 p. (ISBN 2-03-560453-2 et 978-2035604538) (OCLC 179897108)  , « Des tigres dans la neige », p 24-28
  16. Pascal Picq et François Savigny, op. cit., p. 35
  17. a, b, c, d et e Michael Nichols et Geoffrey C. Ward, op. cit., p. 38
  18. Michael Nichols et Geoffrey C. Ward, op. cit., p. 48
  19. (en) TIGERS sur http://www.quantum-conservation.org/. Consulté le 8 mars 2009
  20. (en) AZA, « Conservation Programs Information » sur http://www.aza.org. Consulté le 26 mars 2009
  21. Rémy Marion (dir.), Cécile Callou, Julie Delfour, Andy Jennings, Catherine Marion et Géraldine Véron, Larousse des félins, Paris, Larousse, septembre 2005, 224 p. (ISBN 2-03-560453-2 et 978-2035604538) (OCLC 179897108)  , p. 66
  22. Source : dépêche de l'agence KBS, 30 décembre 2006
  23. Source : article du JoongAng Daily, 10 novembre 2009
  24. Voir la présentation de l'ouvrage "Tigre et kaki et autres contes de Corée" à cette adresse
  25. Pascal Picq et François Savigny, op. cit., p. 36
  26. Source : le site resonnance.free.fr, symboles de l'Asie
  27. Source : André Fabre, "Le coréen sans peine", Assimil, 1999, pp. 55-56. ISBN 2-7005-0190-X

Annexes

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Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

  • Michael Nichols et Geoffrey C. Ward (trad. Florence Illouz), Le tigre [« The Year of the Tiger »], Paris, National Geographic, 2000, 156 p. (ISBN 2-7441-2875-9)  (fr)
  • Kailash Sankhala (trad. Florent Jouty), Le tigre : ses mœurs - son histoire - son avenir, MLP Editions, 1998, 96 p. (ISBN 2-7434-1070)  (fr)
  • Pascal Picq et François Savigny, Les tigres, Évreux, Odile Jacob, octobre 2004, 192 p. (ISBN 2-7381-1342-7)  (fr)
  • John Seidensticker, Peter Jackson, Sarah Christie, Riding the tiger: tiger conservation in human-dominated landscapes, Cambridge University Press, 1999, 383 p. (ISBN 0521648351 et 9780521648356) [lire en ligne]  (en)

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