Toponymie occitane

Toponymie occitane

En Occitanie, la plupart des noms de lieux (villages, lieux-dits, anciennes paroisses) ont une origine occitane.

Sommaire

Toponymes pré-occitans

Préceltiques

  • Une couche très ancienne de toponymes remonte à des origines antérieures à la celtisation de la contrée : on considère les langues qui les expliquent comme pré-indo-européennes, cependant certaines langues mal identifiées comme le ligure (sud est) pourraient être d'origine indo-européenne. Il reste des traces de ces langues archaïques dans la description d'éléments du relief et de l'hydrographie essentiellement : en particulier les sommets, les cours d'eau et parfois l'habitat.
    • Ainsi la racine kar-/gar-, pierre se retrouve dans Garonne ou la Crau. Du côté de Chalabre, dans l'Aude, la contrée du Kercorb, est également formée de cette racine kar-/ker-.
    • La racine cl-app, pierre donne Clapiers, le Clapas (nom traditionnel occitan de Montpellier).
    • Le mot occitan cauna, grotte, d'origine prélatine, donne la Caunette.

Celtiques (gaulois)

Ils constituent une part importante de la toponymie occitane et ils sont notamment localisés au nord. Ils sont généralement mieux identifiés que ceux de la période précédente.

Les grandes villes et les grandes régions du sud de la France, dans une moindre mesure qu'au nord cependant, portent souvent un nom d'origine gauloise : Limoges, Saintes, Riom, Nîmes, Carpentras, etc.

    • le radical lat- est généralement rapproché du substantif féminin latis, sans doute celtique, qui désigne « un marais », « un marécage ». On trouve également cette racine late dans des toponymes attribués à des bourgs situés dans des zones de marais, notamment en Provence ou en Languedoc-Roussillon : Arelate[1] (ancien nom d'Arles), Pierrelatte, Lattes, etc.

Gallo-romans et latins

  • La romanisation, accompagnée sur la partie sud est du territoire d'une certaine présence romaine, a pour conséquence la latinisation dans cette Gaule méridionale. Dans leur domaine terrien, les Gallo-romains établissent des Villa rustica|villae. On comprend donc que beaucoup de toponymes actuels doivent leur nom à un propriétaire gallo-romain, celte latinisé ou encore vétéran récompensé.
    • les noms en -ac, -at (Auvergne, Limousin), -acq (Béarn..), (en Catalogne) et certains en -as sont issus du suffixe gallo-roman *-ACU, d'origine celtique *-ako. Ils continuent d'être utilisé (sauf en Provence), mais souvent avec le nom d'un propriétaire à consonance latine, exemple: Aurillac, Nérac, Florac, Ambazac
    • les noms en -an, certains en -ans (suffixe latin -anum) se développent désormais à côté du suffixe indigène -acum, exemples : Cucugnan, Sérignan, Samatan, Mimizan, parfois le nom de personne est tout de même gaulois.
    • les noms en -argues (suffixe latin -anicum, pluriel -anicos) sont typiques du sud est, exemple: Marsillargues, Vendargues, Lansargues
    • les noms dérivés de gentilices gallo-romains qui ne présentent pas ces suffixations, exemple : Lézignan-Corbières vient de Licinianus ou encore Albi vient de Albius.

Germaniques

  • Rome, affaiblie par le chaos du Bas-Empire, ne peut s'opposer, au Ve siècle aux invasions germaniques. En 418, l'empereur Honorius doit céder l'Aquitaine aux Wisigoths qui établissent leur capitale à Toulouse; puis il s'étendent en Espagne et, en 462, occupent Narbonne et la Septimanie. Le souvenir d'Alaric se maintient dans la Montagne d'Alaric qui domine la vallée de l'Aude entre Carcassonne et Lézignan-Corbières.
    • les noms en -e(i)n(s). Le suffixe -ing-os, -ing-as, devenu -ens, -ans (parfois, quand ce n'est pas -anicos), -eins ou -ein en occitan, s'est souvent ajouté à des noms de personnes germaniques. Exemple : Tonneins (Toninge, 1253).
    • les terminaisons en -ville. Tout comme dans le nord de la France, les formations de toponymes en -ville existent en Occitanie. Elles se concentrent dans la région toulousaine, et semblent correspondre à une occupation franque ou wisigothique de domaines gallo-romains plus anciens. Exemple : Ramonville-Saint-Agne, avec Raginmundus (occitan Ramond, français Raymond) ; Aucamville (Ochamsvilla vers 1089), avec *Ogamarus ou *Auka. À noter, les formes occitanes francisées ou non du même appellatif : -vielle, -fielle, -viala, toujours avec le même mode de composition (influencé par la syntaxe germanique) : nom de personne (généralement d'origine germanique) + appellatif : Ainsi trouve-t-on Ségoufielle (Seguenvilla 1196), qui correspond à Séguenville (Seguinvilla 1147), composé avec un nom d'homme similaire Siguwinus (cf. nom de famille Seguin, Séguy) ; Endoufielle (Andofielle 1569), avec Andulfus, etc.
    • des noms germaniques pris absolument, c'est-à-dire utilisés seuls, comme on le constate au nord de la France, exemple : Routier vient du nom de personne Rotheri.

Par contre, on peine à trouver des appellatifs toponymiques d'origine germanique et cela, contrairement à la moitié nord de l'hexagone.

Toponymes occitans

Constructions

Châteaux forts

Du XIe au XIIIe siècle, autour d'un château en bois ou en pierre – ouvrage défensif construit sur un tertre naturel ou artificiel (occitan mòta, « motte ») ou bien sûr, un éperon rocheux – se développent des villages.

Castels, castelars, mottes et castelnaus

Dérivé du latin castellum, « petite forteresse », apparenté lui-même à castra qui, à l'époque gallo-romaine puis dans les textes carolingiens, désignait une « ville fortifiée », d'où Castres et Castries, le mot castèl, « château », est bien connu en occitan (chastel, en nord-occitan, castèth en gascon). Exemple, Castelnaudary (Aude) ou Castelnau-le-Lez (Hérault).

Le terme mòta (au sens de « motte », « butte artificielle ») a formé nombre de lieux-dits ou de toponymes tels que Lamotte, nom de commune du canton de Bollène (Var), Lamothe-Cassel (avec un -th hellénisant) (Lot). Par métonymie, le terme a fini par désigner le château bâti sur une hauteur artificielle ou non, ainsi à La Motte-Chalencon (Drôme), où à La Motte-Vieille on aperçoit les vestiges d'un château et d'un vieux village sur une falaise[2].

Autres noms de châteaux forts

Si castèl a beaucoup de représentants ou de dérivés, d'autres termes de la langue d'oc en sont synonymes.

  • Au masculin caire, siginifie « pierre anguleuse, pierre de taille » ; au féminin caira, « roche ». Ce qui a permis de désigner telle ou telle construction forte. Exemples : Belcaire ou Beaucaire.
  • Le terme garda ou gardiava du sens de « gardien » à celui de « lieu de guet ». Exemple : La Garde.
  • Le mot miranda, belvédère, tour de guet, est à l'origine de Mirande, chef-lieu d'arrondissement du Gers. Le diminutif mirandòl se retrouve dans Mirandol-Bourgnounac (Tarn).
  • Sala, « salle », qui eut le sens de « demeure fortifiée ». Exemples : Salles, Sallèles.
  • Tor ou torre qui veut dire « tour ». Exemple : Lastours.

Villes et villages

En Provence et dans le Bas-Languedoc, une bastida désigne une maison de campagne ou une ferme. Dans le Sud-Ouest au contraire le mot prend le sens d'une petite ville généralement fortifiée.

Les fermes

Le terme bòri (masc.) (maison isolée, ferme au XVIIIe siècle) a donné Les Borrys, hameau à Mérindol (Vaucluse).

Les cabanes des travailleurs extra-muros

Issu d'un bas latin barrum, « boue », « pisé », ou dérivé de barra, « barre », le terme occitan barraca, « baraque », a donné de nombreux lieux-dits et noms de hameaux en Languedoc : ainsi Baraque-de-Trémolet en Lozère et Baraque-Pachin dans l'Aveyron. Le sens est celui d'habitation rudimentaire à la disposition du berger transhumant, du muletier et du voyageur[3]. Dans son Dictionnaire du monde rural[4], Marcel Lachiver définit ainsi la baraque : « Auberge où les rouliers pouvaient renforcer leurs attelages sur les routes à très forte déclivité, ces auberges encadrent généralement les portions déclives. On pouvait y faire aussi des réparations sommaires, les aubergistes étant souvent charrons ou maréchaux. Le mot a donné de nombreux lieux-dits les baraques ».

Les moulins

Lieux d'extraction

Lieux de traitement de matières minérales

Selon Ernest Nègre, le toponyme Forcalquier (in castro Furnocalcario en 1018-32, castel de Fornchalcerii vers 1103) provient de l’association des termes occitans forn, four, et calquièr, littéralement « four calcaire », mais qu’il faut comprendre au sens étymologique de « four à chaux » (calx, chaux ; calcarius, de chaux, à chaux)[5].

Églises et chapelles

Les routes

Caussada, équivalent occitan du français « chaussée » (l'un et l'autre issus d'un bas latin (via) calciata, route formée de pierres bien tassées), est connu en toponymie dans le sens de « grande route », « route aménagée », ainsi dans Caussade, chef-lieu de canton du Tarn-et-Garonne[6].

Les reliefs

Les hauteurs

  • Tuc ou Truc représentent une « hauteur », en général une « butte » ou une « colline ». Ce microtoponyme est fort répandu. Une variante suc existe aussi. Dans le domaine gascon il n'est pas rare de tomber sur des toponymes graphiés en Tucoèra ou encore Tecoèra et qui se rapportent à des monticules, souvent dunaires. Les noms de lieux La Tecoèra et le patronyme déformé en « Latécoère » en sont sans doute des exemples.
  • Mont, « mont », du latin montem : innombrables sont les lieux ainsi désignés, souvent avec un déterminant, ainsi les divers Montpezat du Gard, du Gers, du Tarne-et-Garonne, etc., « mont aux fortes pentes » selon Jacques Astor qui rapproche ce toponyme de La Pezade, issu de (via) pesata, « voie en pente », « pente » (du latin pendere, pensum)[7].
  • Le latin podium, au sens de petite éminence a, en quelque sorte, un abondante descendance : puy en français, puèi en Béarn, puch, poi ou piau en Gascogne, et, dans les régions de parler languedocien, puèg, puòg, ou pèch.
  • La còsta, « montée, pente, versant », est très fréquente en microtoponymie. À Rignac, dans l'Aveyron, La Coste est un versant de la vallée de l'Aveyron. Dans les noms de lieux avec épithète, ce sens de versant est bien apparent : Costecalde est l' adrech, Costubague est l'ubac. Costepeyrouse est un versant rocailleux, l'antinomique Costeplane est un replat de versant. Un dérivé de còsta, còstiera, désignant le coteau, se retrouve dans La Costière de Nîmes, qui domine les plaines du Rhône[8].
  • Le terme ròca désigne non seulement une « roche », un « rocher », mais aussi une « hauteur rocheuse ».
  • Le mot sèrra désigne une « colline de forme allongée ». La Plaine des Serres, en Agenais, correspond à de véritables plateaux.
  • Le mot aunessa évoque en gascon une élévation de terrain. On en trouve une illustration, bien que cacographiée, dans la dénomination « Onesse » (commune d'Onesse et Laharie, Landes).
  • La pena , « penne » en français, est un rocher élevé, une crête de montagne, un escarpement. Voir Penne-d'Agenais (Lot-et-Garonne) ou Les Pennes-Mirabeau (Bouches-du-Rhône).
  • Dans le même genre on trouve balc ou bauç , qui a donné les Baux-de-Provence (Bouches-du-Rhône).

Les plaines

  • Issu du latin planum, l'occitan plan désigne une plaine. On trouve ainsi, Le Pla (Ariège).
  • Le terme cauma ou calma désigne un « plateau rocheux », voire une « lande ». Parfois réduit à calm, cam ou can.

Les vallées

La nature

La nature du sol

  • Clapareda, plaine caillouteuse, terrains pierreux, difficiles à travailler, très souvent arides, se retrouve dans Les Claparèdes à Bonnieux (Vaucluse)[9].
  • Còdol, « caillou, galet », dérivé de còde, dont le pluriel donne Coudols à Viala-du-Tarn (Aveyron) et Coudoux dans les Bouches-du-Rhône. L'adjectif dérivé en -òs, codolòs, « caillouteux », donne Font-Coudoulouse, source dans la commune de Bellegarde (Gard)[10].

Les eaux

  • Lo potz, « le puits » est à l'origine de noms de hameaux : Pouts, communes de Ponson-Debat et d'Arudy (Pyrénées-Atlantiques), Le Poux, commune de Vorey (Haute-Loire). Le diminutif en -òl se retrouve dans Pouzol (Puy-de-Dôme, Aude, Hérault); le diminutif en -èl dans Pouzet, Villeneuve (Aveyron)[11].

Les grottes

La végétation

Les arbres
  • Le noisetier ou coudre est l'avelanièr, d'où les toponymes Lavelanet ou l'Abélanet.
  • Le terme albar désigne en général : peuplier blanc, saule, viorne obier. Que l'on retrouve dans Albaret-le-Comtal.
  • Le bouleau se dit beç en occitan languedocien. On retrouve là l'origine de Besse.
  • Le châtaignier se dit castanh. On voit l'origine des noms de lieux Castans ou de Castanet-Tolosan.
  • Le chêne : la toponymie du chêne est fort riche, car il existe une assez grande variété d'essences ainsi nommées.
    • Casse représente le chêne pédonculé.
    • Garric désigne le chêne « kermès », d'où le nom de garriga, « terres incultes où poussent les kermès ».
  • Le hêtre : fau, fag ou fay donne Lafage, Le Fau, Le Faget ou La Fayette.
Bois et forêts
  • L'occitan bosc est utilisé pour désigner des étendues boisées, mais il est bien moins fréquent que bosc en Normandie orientale.

La faune

  • Les noms d’oiseaux (ausèl) :
  • les mammifères et divers :
    • grenolhet, lieu marécageux où abondent les grenouilles, dérivé de granolha (grenouille) (+ suffixe collectif -et), a donné dans le Gard, le Granouillet, nom de ruisseau tributaire du Nizan, affluent du Rhône; de même, granolhièr (granolha + suffixe collectif -ièr) se retrouve dans La Grenouillière dans le Cantal, dans une zone de sources, près de Lafeuillade-en-Vézie[12].

L'agriculture

Les champs

  • Fromental, terre à blé, se retrouve tel quel dans Fromental, hameau de la commune de Rentières (Puy-de-Dôme)[13].
  • Les lieux-dits « Le Devès », du latin defensum, participe passé neutre substantivé de defendere, au sens de « chose défendue » puis de « terrain clôturé », renvoient à une terre close par le seigneur pour en interdire l'accès, que ce soit un bois pour se réserver le droit de garenne, le droit de chasse, ou une parcelle cultivée pour interdire celle-ci au troupeau de la communauté, même après les récoltes.

Les cultures

  • Le nom du blé, lo blat, singulier à valeur collectve, est représenté par Le Blat, hameau de la commune de Beaumont (Ardèche)[13].

Les produits de la terre

  • farina (« farine ») en occitan central, se retrouve en haria dans le domaine gascon. Une illustration toute particulière de ce terme est l'appellation de la commune landaise Onesse et Laharie (orthographié Aunessa e La Haria en occitan normalisé). On retrouve une étymologie semblable sur le tracé de l'ancienne voie romaine de Bordeaux à Boios (Lamothe) dénommée Camin Roman , La Levada, mais aussi Camin Hariau , c'est-à-dire « chemin de la farine » = celui où l'on convoyait la farine, d'après les historiens du Pays de Buch.

Notes et références

  1. Encyclopédie universalis, consultée le 4/05/2008, et patrimoine.ville-arles, consulté le 4/05/2008.
  2. Jacques Astor, op. cit., Rubrique MOTTE (LA), pp. 526-527.
  3. Jacques Astor, op. cit., p. 104.
  4. Marcel Lachiver, Dictionnaire du monde rural. Les mots du passé, Fayard, 1997.
  5. Ernest Nègre, Toponymie globale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève, Librairie Droz, 1990. Volume II : Formations non-romanes ; formations dialectales, VIe partie, notice 25091, p. 1349.
  6. Jacques Astor, op. cit, p. 310.
  7. Dictionnaire des noms de familles et noms de lieux du Midi de la France, Éditions du Beffroi, 2002, pp. 511-512 et 516.
  8. Jacques Astor, Dictionnaire des noms de familles et noms de lieux du Midi de la France, Éditions du Beffroi, Millau, 2002, 1296 pages, en part. rubrique COSTE, LACOSTE, p. 260.
  9. Jacques Astor, op. cit., rubrique CLAPARÈDE, pp. 239-240.
  10. Jacques Astor, op. cit., pp. 260-261, rubrique COUDAYROLLES.
  11. Jacques Astor, op. cit., rubrique Poux, pp. 628-629.
  12. Jacques Astor, op. cit., rubrique GRAULHET, p. 389.
  13. a et b Jacques Astor, op. cit., p. 352.

Bibliographie

Liens externes


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