Télévision

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Une famille américaine regardant la télévision, 1958

La télévision est un ensemble de techniques destinées à émettre et recevoir des séquences audiovisuelles, appelées programmes (émissions, films et séquences publicitaires).

La transmission de ces programmes peut se faire par ondes radioélectriques ou par réseau câblé. L'appareil permettant d'afficher les programmes est un téléviseur, ou, par métonymie, une télévision, ou par apocope télé.

La télévision est tributaire d'un réseau économique (publicité, redevance), politique et culturel (langues nationales ou régionales, genres et formats).

Sommaire

Histoire

Chronologie

Un téléviseur, 1958
  • 1884 : l'inventeur allemand Paul Nipkow fait breveter un dispositif d'analyse d'images par lignes, le disque de Nipkow, qui est à la base de la télévision mécanique.
  • 1892 : invention du tube cathodique par Karl Ferdinand Braun.
  • 27 janvier 1926 : naissance officielle de la télévision.
  • 28 décembre 1927 : le gouvernement Poincaré crée le service de radiodiffusion, rattaché aux PTT.
  • 14 avril 1931 : première transmission d'une image de trente lignes, de Montrouge à Malakoff, par René Barthélemy.
  • 6 décembre 1931 : Henri de France fonde la Compagnie générale de télévision (CGT).
  • Décembre 1932 : réalisation par René Barthélemy d'un programme expérimental en noir et blanc d'une heure par semaine : "Paris Télévision. Une centaine de postes reçoivent ce programme, la plupart dans les services publics.
  • 26 avril 1935 : première émission officielle de télévision française.
  • Novembre 1935 : la télévision passe en 180 lignes de définition et un émetteur d'ondes courtes est installé au sommet de la tour Eiffel.
  • 4 janvier 1937 : premières émissions, tous les soirs de 20h à 20h30. Il y a une centaine de postes chez des particuliers.
  • 3 septembre 1939 : arrêt des émissions pour cause de guerre avec l'Allemagne.
  • 1944 : René Barthélémy met au point la définition de la télévision à 819 lignes.
  • 29 mars 1945 : réémission de la télévision française depuis les studios de Cognacq-Jay abandonnés par les Allemands.
  • 5 juin 1947 : premier direct en dehors des studios, depuis le théâtre des Champs-Élysées à Paris.
  • 20 novembre 1948 : le standard d'émission est désormais à 819 lignes. La France est le seul pays à l'adopter, les autres pays choisiront les 625 lignes.
  • 1951 : ce sont les premières émissions publiques en couleurs aux Etats-Unis.
  • 11 juillet 1962 : premières images de télévision transmises en direct par satellite entre Andover (États-Unis) et Pleumeur-Bodou (Bretagne, France)[1].
  • 1964 : création du premier écran à plasma, inventé dans une université de l’Illinois aux États-Unis par Donald L. Bitzer et H. Gene Slottow.
  • 1967 : le Secam, norme de codage de la vidéo en couleurs sur 625 lignes inventée par Henri de France, est adopté pour la télédiffusion française. L' URSS et les pays satellites d'Europe de l'Est s'y rallieront tout comme la plupart des pays francophones d'Afrique et du Moyen-Orient.

Les techniques de télévision

La télévision est un moyen de diffuser par un courant électrique (ligne) ou par une onde (voie hertzienne), de façon séquentielle, les éléments d'une image analysée point par point, ligne après ligne. À l'origine, un mécanisme permet l'exploration d'un ensemble de cellules photoélectriques (mosaïque). Plus tard, le balayage de la mosaïque s'effectue par un mince faisceau d'électrons (analyse cathodique) et la première mosaïque composée d'éléments de sélénium est décrite, en 1877, par George R. Carey (Boston, États-Unis).

Inspiré par le Pantélégraphe de Caselli (1856)[2], le principe du balayage gogole apparaît en 1879, dans un projet de « télectroscope » de Constantin Senlecq, notaire dans le Pas-de-Calais : un mécanisme de pantographe explore la face arrière d'un verre dépoli sur lequel est projetée l'image d'un objet.

Un téléviseur portatif

En 1884, l'ingénieur allemand Paul Nipkow dépose un brevet de « télescope électrique » (elektrisches teleskop). Un disque, percé à sa périphérie de trous disposés selon une spirale centripète, analyse en tournant les brillances d'une ligne de l'image transmise par un objectif. Le décalage des trous permet de passer d'une ligne à l'autre. Dans ces divers cas, le caractère réversible de chacun des procédés doit assurer la reproduction de l'image.

En 1891, Raphael Eduard Liesegang publie l'ouvrage : Beiträge zum Problem des electrischen Fernsehens (Contribution sur la question de la télévision électrique). L'ouvrage R.W. Burns, Television, an international history of the formative years, The Institution of Electric Engineers, London, 1998 ne mentionne pas Liesegang mais il dit que Rosing (cité ci-dessous) reconnaît sa dette envers lui.

En 1907, le russe Boris Rosing dépose un brevet qui propose d'utiliser un tube cathodique, perfectionné en 1898 par Ferdinand Braun, pour reproduire une image analysée par des moyens électromagnétiques. L'année suivante un Anglais, Campbell-Swinton, propose l'utilisation du tube cathodique aussi bien à l'analyse qu'à la reproduction de l'image. Aucun de ces projets ne mentionne la reproduction du mouvement.

Ces projets conduisent un Russe, émigré aux États-Unis, Vladimir Zworykin, à déposer en 1923 un brevet de télévision « tout électronique » (all electronic), alors qu'en Grande-Bretagne Logie Baird obtient une licence expérimentale en 1926 pour son televisor[3]. Les années 1930 allaient alors être marquées par des tentatives diverses d'émissions en Europe, principalement par la BBC de Grande-Bretagne, ainsi qu'aux États-Unis, mais la bataille entre les différentes licences et techniques utilisées, d'une part, et la Seconde Guerre mondiale d'autre part, allaient retarder l'avènement de la télévision comme média populaire.

Les États-Unis, sortant grands gagnants de la guerre, furent les premiers à imposer une normalisation technique qui permit une progression rapide des stations d'émission et un accroissement fulgurant du parc des récepteurs (30 000 en 1947, 157 000 en 1948, 876 000 en 1949, 3,9 millions en 1952[4]). "L'année 1949 est [alors] celle de l'explosion. La grille des programmes de l'automne abonde en émissions en tous genres, annonciatrices de ce que nous pouvons voir à l'écran aujourd'hui : fictions comiques et dramatiques, théâtre, films, sport et, bien sûr, variétés et jeux de connaissances générales richement dotés"[5].

En 1957, le pape Pie XII proclama que Claire d'Assise était la sainte patronne de la télévision[6].

La télévision en France

Technique

Principes de base

Standards de diffusion

Moyens de diffusion

Différents moyens de diffusion peuvent être utilisés :

Moyens de réception

Télévision et société

Le média de masse dominant

« Aux États-Unis, le nouveau média a évincé la radio et le cinéma pour s’imposer comme la forme de divertissement populaire standard dans les années 1950 ; pays prospère, la Grande-Bretagne a suivi dans les années 1960 » rapporte l’historien Eric Hobsbawm[7].

En France, en 2007 chaque famille possèdait en moyenne 1,8 téléviseur, selon le cabinet d’audit GfK[8].

Selon une enquête menée au cours de l’année 2006 auprès des Français, la télévision resterait allumée en moyenne six heures par jour[9].

Actualité et média

La télévision est dans la société occidentale l'un des principaux médias d'information, le journal de 20 heures enregistre de très fortes audiences, mais cette portée médiatique n'a pas toujours bonne réputation. Certains sont insatisfaits des analyses, qu'ils trouvent superficielles, d'autres y voient parfois une certaine partialité dans les propos des journalistes, et le choix des informations peut être le témoin, voire l'amplificateur, d'une certaine obsession planant autour d'un sujet. Par exemple, le sujet du 11 septembre a martelé les écrans pendant plusieurs jours, alors que d'autres conflits importants n'ont pas été abordés (notamment sur TF1, France 2, France 3 et M6)[travail inédit ?].

La véracité des propos tenus dans un journal télévisé est présumée, mais les détracteurs émettent des réserves : les rapports économiques et financiers qu'entretiennent les chaînes télévisées avec le reste du monde peuvent biaiser l'authenticité et les faire se heurter à certaines formes de censure ; les journalistes étant dépendants de ces informations, il est possible qu'une entité fasse pression sur eux pour qu'ils n'ébruitent pas un scandale, au mépris de la transparence et de la qualité de leurs comptes rendus[travail inédit ?].

La qualité des programmes

  • Les chaînes de télévision sont accusées de céder à la facilité dans la diffusion des programmes au détriment de la qualité[travail inédit ?].
  • La neutralité des programmes de télévision est considérée par certains comme discutable, ils la voient comme participant autant à la désinformation qu'à l'information des spectateurs[travail inédit ?].
  • Les séries télévisuelles sont accusées par certains d'être des fictions qui s'inspirent de la réalité, parfois uniquement de la réalité d'un certain milieu où les gens ne se fréquentent qu'entre eux; elles peuvent déformer le sens des réalités chez les téléspectateurs, ou provoquer des frustrations de par ce décalage illusoire[travail inédit ?].
  • Les chaînes de télévision ont été accusées de propager la vulgarité et le voyeurisme, notamment lors de l'apparition des émissions de télé-réalité[travail inédit ?].
  • La télévision est accusée par certaines associations d'être une machine fonctionnant au service des grandes entreprises diffusant des séquences de publicité (les "annonceurs"). La déclaration de Patrick Le Lay, président de la première chaîne française TF1 sur son rôle de vente de "temps de cerveaux disponible" aux annonceurs a été interprétée par ces associations comme un aveu de la réalité de la télévision. Le Lay avait déclaré en juillet 2004 : "dans une perspective 'business', soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c'est d'aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit. […] Or pour qu'un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c'est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible."[10][travail inédit ?].
  • La logique mercantile de la télévision expliquerait, selon ses critiques[Qui ?], la réduction au cours des dernières années de la durée de chaque plan. Christophe Girard, adjoint au maire de Paris et chargé de la culture, écrit, dans la page Débat du journal Le Monde du 24 août 2008, que chaque plan "excède désormais rarement dix secondes.", ce qui contribue à "placer l'esprit du téléspectateur sous tutelle, dans un état de fascination télévisuelle." Cela nuit par ailleurs, selon lui, au fond des émissions : "A la télévision, couper l'image est un moyen très efficace de couper la parole, voire de détruire la pensée ou de noyer le poisson... Ce saucissonage des plans rend difficile la production d'une pensée qui ait un peu de continuité. Chaque intervention ne dure pas plus d'une ou deux minutes et se voit elle-même découpée en tranches de cinq secondes"[11].

Certaines personnes[Qui ?] refusent de critiquer la télévision dans son intégralité et voient en ce média un objet-clé de la culture populaire[travail inédit ?].

Effet sur le sommeil et la concentration

  • Plusieurs études scientifiques ont montré que la télévision altère le sommeil chez les enfants, provoquant des heures irrégulières ou tardives de coucher ou en suscitant de l’agitation avant le coucher[12]. Une étude scientifique publiée en 2008 concernant l’impact de la télévision sur les jeunes enfants (4 à 35 mois) montre que « les enfants de moins de trois ans regardant beaucoup la télévision auraient un sommeil agité et se réveillent plusieurs fois durant la nuit. Pour l’auteur de l’étude, le problème posé est de grande importance, car beaucoup de parents comptent sur la télévision pour endormir leurs enfants »[13]. En France, la Caisse d’allocations familiales dispense le conseil suivant : « La télévision est une dévoreuse de temps de sommeil : les films ou feuilletons du soir retardent le coucher et les dessins animés du mercredi, du samedi et du dimanche matin incitent l’enfant à se lever »[14].
  • La télévision est accusée de développer la passivité, ainsi qu’une dégradation de la condition physique des spectateurs par des comportements associés : grignotage et manque d’activité[réf. nécessaire].

Dans la culture populaire

Dans La Grande Lessive (!) (1968), Jean-Pierre Mocky raconte l'histoire d'un professeur de littérature qui, déplorant les effets de la télévision sur la concentration et le sommeil de ses élèves, décide de saboter la télévision en appliquant un produit chimique sur les antennes de télévision.

Effets sur le développement de l'enfant

La télévision serait dangereuse pour le développement des bébés. En France, la direction générale de la santé (DGS) a publié un avis négatif concernant les chaînes de télévision pour enfant, suite aux travaux du groupe d’experts réunis le 16 avril 2008[15]. Les associations familiales et les syndicats d’enseignants réunis dans le Collectif inter-associatif enfance et média[16], rappelant que les chaînes de télévision destinées aux bébés représentent un danger pour leur santé et leur développement intellectuel et émotionnel, ont demandé aux pouvoirs publics l’interdiction des chaînes Baby TV et Baby first[17],[18].

Une enquête américaine publiée en octobre 2007, soutenue par la Fondation Tamaki et le National Institute of Mental Health, a été menée auprès de plus de 1 000 parents d'enfants âgés de 2 à 24 mois. Selon Frederick Zimmerman, chercheur à l'université de Washington et auteur principal de l'étude : « Si la télévision en quantité appropriée peut être utile à un certain âge pour les enfants et leurs parents, il a été démontré qu'un excès de télévision avant 3 ans est associé à des problèmes du contrôle de l'attention, un comportement agressif et un développement cognitif pauvre. »[19].

En comparant les performances des enfants à des tests cognitifs standardisés en fonction de la date d'introduction de la télévision dans les différentes villes américaines (entre 1940 et le milieu des années 50), les économistes Matthew Gentzkow et Jesse Shapiro montrent que l'exposition à la télévision avant l'âge d'entrée à l'école n'a pas d'effet négatif sur les performances cognitives des enfants. Au contraire, il semble que l'exposition à la télévision avant l'entrée à l'école augmente légèrement les performances des enfants. L'effet sur les performances d'expression orale, de lecture et de connaissances générales est plus fort pour les enfants issus de famille dans lesquelles l'Anglais n'est pas la langue maternelle[20].

L'Académie Américaine de Pédiatrie (en), suite à une méta-analyse de 50 études sur les conséquences de la télévision sur les enfants, émet la recommandation de bannir l'écran de télévision ou de l'ordinateur à tout enfant de moins de 2 ans (90% de ces enfants américains regardent une forme de média numérique 1 à 2 heures par jour), ces médias nuisant à leur attention et diminuant la communication des parents avec leur enfant [21].

Effets sur la violence

La télévision est accusée de banaliser ou de susciter la violence : l’habitude de voir des images violentes désensibilise le spectateur, lui confère le sentiment que « le monde extérieur est hostile et dangereux » et favorise la reproduction de comportements agressifs[22].

Effets sur la santé

La télévision est accusée de contribuer à l'augmentation de l'obésité à la fois par l'inactivité physique qu'elle entraîne pour le spectateur et par l'effet de la publicité pour des produits alimentaires souvent gras et sucrés. Il existe un lien entre une forte exposition aux publicités télévisées et l'obésité des jeunes de 2 à 18 ans. L'exposition à la publicité télévisée portant sur des aliments de haute densité énergétique (notamment sucrés et gras) est associée à une prévalence plus élevée de l'obésité[23].

De manière plus générale, le temps passé devant l'écran est corrélé avec une augmentation du risque de diabète de type II, de survenue de maladies cardio-vasculaires ainsi qu'une augmentation de la mortalité, toute cause confondue[24].

En 2011 un Français (Michel Desmurget, Docteur en Neurosciences) sort un livre (TV lobotomie (ISBN 978-2-31500-145-3)) qui réunit les conclusions d'études parues sur plusieurs années. Abordant de multiples aspect de santé (ex: psychologie, développement intellectuel, répercussions sociales) [25].

2011, un article dans L'Humanité Dimanche indique que la diffusion de violences à la télévision aurait pour objectif de favoriser la consommation de produits gras et sucrés (affichés lors des publicités) [26].


Effets sur les élections

Effet sur la participation électorale

En comparant la participation électorale par ville en fonction de la date d'introduction de la télévision aux Etats-Unis, l'économiste Matthew Gentzkow montre que l'introduction de la télévision a un fort effet sur la baisse de la participation électorale. Cet effet s'explique principalement par une baisse de la lecture des journaux et de l'écoute de la radio qui conduisent à une baisse des connaissances politiques[27].

Effet sur les résultats de l'élection

Les économistes Stefano Dellavigna et Ethan Kaplan ont comparé l'évolution du vote en faveur des Républicains entre 1996 et 2000 dans les villes pour lesquelles la chaîne de télévision conservatrice Fox News a été ajoutée au réseau cablé et dans les villes qui n'ont pas accès à Fox News. Ils mettent en avant un effet de l'introduction de Fox News sur le vote en faveur des Républicains. Dans les villes où Fox News a été introduite, les Républicains ont gagné entre 0,4 et 0,7 points de pourcentage entre 1996 et 2000[28]. Cette étude montre le pouvoir de persuasion potentiel de la télévision.

En comparant les résultats aux élections parlementaires russes de 1999 dans les régions où il existait une chaîne de télévision indépendante du gouvernement et dans les régions où il n'en existait pas, les économistes Ruben Enikolopov, Maria Petrova et Ekaterina Zhuravskaya montrent qu'il existe un effet massif sur le résultat électoral. En présence d'une chaîne de télévision indépendante, le score du parti gouvernemental baisse de près de 9 points de pourcentage[29].


Effet sur le capital social

En s'appuyant sur des données indonésiennes, l'économiste Benjamin Olken montre que l'introduction de la télévision diminue la participation à des organisations sociales et la confiance en soi[30].

Notes et références

  1. http://www.telesatellite.com/articles/debuts_de_la_tv/
  2. Albert, Pierre et Tudesq, André-Jean, Histoire de la radio-télévision, Paris, Presses universitaires de France, 1981, p.61
  3. Albert, Pierre et Tudesq, André-Jean, Histoire de la radio-télévision, Paris, Presses universitaires de France, 1981, p.63
  4. Albert, Pierre et Tudesq, André-Jean, Histoire de la radio-télévision, Paris, Presses universitaires de France, 1981, p.67
  5. Winckler, Martin, Séries télé. De Zorro à Friends, 60 ans de téléfictions américaines, Paris, Flammarion, Librio Références, 2005, p.12-13.
  6. Lettre apostolique du pape
  7. Eric Hobsbawm, L’Âge des extrêmes. Histoire du court XXe siècle, 1914-1991, Complexe, 2003, p. 647.
  8. http://www.ladepeche.fr/article/2007/12/03/396732-Le-Noel-des-ecrans-plats.html
  9. Enquête - L’évolution des comportements face à l’arrivée de la télévision par ADSL, Échos du Net, publié le 6 avril 2007. Consulté le 12 février 2011.
  10. Par exemple cité dans une conférence de l'université d'Orléans
  11. Christophe Girard, "Pour une télé-vision de la télévision", in Le Monde, 24 août 2008, page 12
  12. Parmi d’autres études, celle publiée en 2005 dans la revue américaine Pediatrics [1] et la position de l’America academy of pediatrics en 2001 [2]
  13. Étude du Dr Dimitri Christakis, de l’Université de Washington, publiée en 2008 [3].
  14. Les Infos Familiales (journal de la CAF) no 177, 17 septembre 2007 [PDF].
  15. Avis de la DGS reproduit sur le site de l’UNAF.
  16. Notamment les Associations familiales catholiques, la Confédération syndicale des familles, le Conseil français des associations pour les droits de l’enfant, le Conseil national des associations familiales laïques, Familles de France, les Scouts de France, la PEEP et la FCPE, le SGEN-CFDT, la Ligue de l’enseignement, le Syndicat des enseignants (SE-UNSA), le SNES, le SNUIPP/FSU, l’Union Nationale des Associations Familiales et l’UNAPEL.
  17. Famille et Éducation magazine no 470, janvier/février 2008, page 14.
  18. Communiqué du CIEM faisant référence à l’avis de la DGS.
  19. Sur le site de Figaro.fr
  20. (en) Matthew Gentzkow et Jesse Shapiro, « Preschool Television Viewing and Adolescent Test Scores: Historical Evidence from the Coleman Study », dans Quarterly Journal of Economics, vol. 123, février 2008 [texte intégral (page consultée le 07/06/2011)] 
  21. (en) Committee on Public Education, « Media Use by Children Younger Than 2 Years », dans Pediatrics, vol. 107, no 2, février 2001 [lien DOI] 
  22. http://www.temoignagechretien.fr/ARTICLES/Livres/«-TV-Lobotomie-»-petit-ecran-grand-malaise/Default-7-2527.xhtml
  23. Serge Hercberg (professeur de nutrition et président du comité de pilotage du PNNS), Yannick Le Marchand-Brustel (directrice de recherche Inserm, président de l'Association française d'étude et de recherche sur l'obésité), Joël Ménard (professeur de santé publique), Dominique Turck (professeur de pédiatrie, président du comité d'experts en nutrition humaine de l'Afssa), in Libération, 25 avril 2008, page 32.
  24. Grøntved A, Hu FB, Television Viewing and Risk of Type 2 Diabetes, Cardiovascular Disease, and All-Cause Mortality: A Meta-analysis, JAMA, 2011;305:2448-2455.
  25. http://teleobs.nouvelobs.com/articles/tv-lobotomie-le-livre-qui-denonce-les-mefaits-de-la-tele
  26. http://www.maxmilo.com/images/press/TV%20Humanite%20Dimanche.pdf Nourrissons-les aux images violentes, c'est bon pour les affaires !, Humanité Dimanche 24/02/2011 p90
  27. (en) Matthew Gentzkow, « Television and Voter Turnout », dans Quarterly Journal of Economics, vol. 121, août 2006 [texte intégral (page consultée le 07/06/2011)] 
  28. (en) Stefano Dellavigna et Ethan Kaplan, « The Fox News Effect: Media Bias and Voting », dans Quarterly Journal of Economics, vol. 122, août 2007, p. 1187-1234 [texte intégral (page consultée le 07/06/2011)] 
  29. (en) Ruben Enikolopov, Maria Petrova et Ekaterina V. Zhuravskaya, « Media and Political Persuasion: Evidence from Russia », dans American Economic Review, à paraître [texte intégral (page consultée le 07/06/2011)] 
  30. Olken, Benjamin A.. 2009. "Do Television and Radio Destroy Social Capital? Evidence from Indonesian Villages." American Economic Journal: Applied Economics, 1(4): 1–33. DOI:10.1257/app.1.4.1

Voir aussi

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Bibliographie

Santé :

Filmographie

Articles connexes

Télévisions nationales
Chaînes de télévision
Émissions de télévision

Liens externes



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