Université de Bretagne occidentale

Université de Bretagne occidentale
Université de Bretagne occidentale
Université de Bretagne occidentale
Informations
Fondation 1971
Type Université publique
Régime linguistique Français
Localisation
Coordonnées 48° 23′ 56″ N 4° 29′ 56″ W / 48.39883, -4.49948° 23′ 56″ Nord
       4° 29′ 56″ Ouest
/ 48.39883, -4.499
  
Ville Brest
Pays Drapeau de France France
Région Bretagne
Campus Brest,
Quimper,
Morlaix
Direction
Président Pascal Olivard
Chiffres clés
Étudiants 20 000
Divers
Affiliation Université européenne de Bretagne
Site web www.univ-brest.fr/

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Université de Bretagne occidentale

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Université de Bretagne occidentale

L'université de Bretagne occidentale (nom officiel : Université de Brest[1], abrégée en UBO) est une université pluridisciplinaire et publique située à Brest en France. Elle a été créée en 1971 à partir de plusieurs composantes de l'Université de Rennes.

Elle est implantée sur différents sites en Bretagne : Brest, Quimper, Morlaix, Rennes, Saint-Brieuc, Vannes. Plus de 20 000 étudiants y travaillent dans 21 composantes.

Sommaire

Historique

Premières délocalisations universitaires

Pour faire face à l'augmentation du nombre d'étudiants consécutive au Baby boom, Le développement de nouveaux sites universitaires en Bretagne devient une nécessité à partir de la fin des années 1950. l'Université de Rennes, alors unique université de la région, ouvre ainsi à Brest plusieurs annexes. Deux collèges universitaires chargés de la propédeutique ouvre ainsi en 1959 et en 1960, le premier scientifique et le second littéraire[b 1]. Ils accèdent au rang de faculté en 1966 pour la faculté de sciences et techniques, et en 1968 pour la faculté de lettres et sciences sociales[2]. Ceux-ci sont rejoints en 1966 par une école de médecine, et en 1967 par un Institut municipal de Droit. L'embryon d'une nouvelle université, alors traditionnellement structurée en 4 facultés (droit, Lettres, médecine, et science), est ainsi mis en place. Ces composantes sont rejointes en 1968 par l'Institut universitaire de technologie de Brest et en 1970 par l'Institut universitaire de technologie de Quimper, dépendant eux aussi de l'Université de Rennes[b 1]. Les évènements de mai 68 imposent la création de nouvelles universités par la Loi Faure. L'université de Rennes qui servait de tutelle aux composantes de Brest est scindée en 2 universités: l'université Rennes 1 et l'université de Haute Bretagne.

Création et développement

L'université de Brest a été mise en place par arrêté ministériel le 27 mars 1969. Ses statuts ont été approuvés par arrêté ministériel le 4 novembre 1970. Elle a été érigée en établissement public à caractère scientifique et culturel, selon le décret no 70-1174 du 17 décembre 1970, à compter du 1er janvier 1971[3]. Le nom breton de Skol-veur Breizh Izel est d'abord proposé comme nom pour l'établissement, mais le nom d'université de Bretagne occidentale est finalement retenu[4].

L'université continue son développement avec en 1972 l'ouverture d'une UER de droit et de sciences économiques à Brest, suivit en 1978, par l'ouverture d'une faculté d'odontologie, et en 1989 par l'ouverture de l'Euro-Institut d'Actuariat Jean Dieudonné[b 1]. Il est aussi décidé d'étendre l'université vers le sud de la Bretagne pour éviter qu'une nouvelle université n'y soit créer[4],[n 1]. En 1973, l'Institut universitaire de technologie de Quimper ouvre une antenne à Lorient avec un premier département d'Hygiène et Sécurité. Celui-ci est suivi en 1975 par un second département de Génie thermique et Énergie qui aboutis par la même occasion à la création d'un nouvel IUT de plein droit, l'Institut universitaire de technologie de Lorient[b 1].

Incubation de l'université de Bretagne-sud

Article détaillé : Université de Bretagne-Sud.

L'université joue un rôle dans la création de la 4e université bretonne, l'Université de Bretagne-Sud. Afin de faire face à l'augmentation du nombre d'étudiants à la fin des années 1980, l'ouverture d'une nouvelle université est projetée. Le comité interministériel d’aménagement du territoire dote le 4 octobre 1990 le site Lorient-Vannes du statut de Pôle de développement universitaire (PDU)[b 2]. Plusieurs composantes sont ainsi ouvertes de 1990 à 1993 à Lorient et à Vannes. Une partie des ouvertures de filières est faite par les 2 autres universités bretonnes, Rennes 1 et Rennes 2. Le travail de l'UBO se concentre sur le site de Lorient. L'IUT déjà présent depuis 1973 se voit enrichir d'un nouveau département de Organisation et gestion de la production en 1992. Il suivis l'année suivante par l'ouverture d'un IUP Génie des systèmes industriels. Des enseignements de sciences sont aussi introduit, avec en 1990 l'ouverture d'un DEUG de sciences[b 3] ; une mention de DEUG identique est ouverte à Vannes la même année, porté celui-ci par l'Université Rennes 1[b 4].

Lorsque cette nouvelle université ouvre finalement en 1995, l'intégralité des composantes ouvertes à Lorient et à Vannes lui sont ainsi léguées. Le site de Quimper, dont le transfert d'autorité est un temps envisagé, reste dans le giron de l'UBO.

Développement récents

L'université poursuit son développement. L’Institut universitaire européen de la mer (IUEM) est ouvert en 1997, suivis d'un Institut d'administration des entreprises, l'IAE de Brest en 2001. Une filière de sport est créée pendant la même période. Un DEUG STAPS est ouvert en 1996 afin de décharger l'Université Rennes 2, jusqu'à là seule université bretonne à offrir cet enseignement. En 2000, cela abouti à la création d'une UFR de STAPS[b 5]. L'établissement récupère en 2007 la gestion de l'Institut universitaire de Formation des Maîtres de Bretagne[5]

Des partenariats sont développés à l'échelle de la région avec la mise en place de l'association « université de Bretagne » en 2001, suivis par la mise en place du PRES université européenne de Bretagne en 2007[6]

L'université accède à l'autonomie au 1er janvier 2010[7].

Les présidents de l'université de Bretagne Occidentale

Le président actuel de l’université est Pascal Olivard, qui fut doyen de la faculté des sciences et techniques entre 2001 et 2007[8]. C’est la neuvième personne à exercer cette fonction depuis la création de l’établissement[9]. Il est élue en 2007 puis confirmé à ce poste en 2008 dans le cadre de l'application de la LRU[8].

•  depuis 2007 Pascal Olivard[8]
•  2002-2007 Jean-Claude Bodéré[10],[4]
•  1997-2002 Pierre Appriou[11],[4]
•  1992-1997 Jean-Claude Bodéré[12],[4]
•  1987-1992 Firmin Tuffin[9]
•  1982-1997 Claude Babin[9]
•  1977-1982 Michel Quesnel[9]
•  1972-1977 Julien Quéré[9]
•  1969-1972 Raymond-François Le Bris[13],[9]

Composantes

Les composantes de l'UBO sont les suivantes :

Instituts universitaires de technologie

  • IUTBrest, Quimper et Morlaix) : génie biologique, gestion des entreprises et administrations, génie mécanique et productique, génie électrique et informatique industrielle, gestion administrative et commerciale.
  • 5 IUP
    • IUP GMP : IUP Génie mécanique et productique
    • IUP II : IUP Ingénierie informatique
    • IUP IIA : IUP Innovation en industrie alimentaire
    • IUPMAC : IUP Métiers des arts et de la culture
    • IUP Telecom : IUP Télécommunications et réseaux

Unités de formation et de recherche

Le parvis de la fac de Lettre et des Sciences Humaines de l'UBO dans le centre-ville de Brest.

Instituts

Écoles doctorales

  • École doctorale des sciences de la matière de l'information et du vivant [ED 373]
  • École doctorale des sciences de la mer [ED 156]
  • École doctorale lettres, langues-société-gestion [ED 253]

Implantations

Brest

carte du campus de Brest

La première implantation de l'université concerne le collège universitaire scientifique et se fait dans des baraquements situés à côté de hôpital Morvan, à l'emplacement de la future faculté Segalen. Ils sont transférés en 1963 sur le plateau du Bouguen. En 1985, l'UFR de droit et sciences économiques s'y implante lui aussi[2].

La faculté des lettres et sciences sociales est déménagée en 1994 dans son implantation actuelle[2]. La « faculté Segalen » est inaugurée le 18 octobre 1994 par le président français François Mitterrand. Elle est construite dans le cadre du plan de modernisation des universités françaises « Université 2000 » avec un budget de 110 millions de francs, en même temps qu'un restaurant universitaire de 700 places construits lui avec un budget de 21,4 millions de francs[16].

Quimper

En 1996 est ouvert à Quimper le Pôle universitaire Pierre Jakez Hélias[2].

Enseignement et recherche

Formation

L'université de de Bretagne occidentale propose à la rentrée 2010 un total de 30 mentions de licence[17],

La licence générale est délivrée dans plusieurs domaines qui se déclinent ensuite en mentions puis en spécialités. Il est proposé dans l'université une licence « arts-lettres-langues » qui compte trois mentions, une licence « droit, économie, gestion » qui compte cinq mentions, une licence sciences humaines et sociales qui compte sept mention, une licence « sciences et techniques des activités physiques » qui compte deux mentions, et une licence « sciences, technologies, santé » qui compte 13 mentions. Lors de leurs évaluations par l'AERES, six de ces mentions ont obtenue la notation A ou A+, 16 la notation B, et huit la notation C[17],[n 2]. De plus, l’université propose l’enseignement de 26 mentions de licences professionnelles[18].

De la même façon, le master est délivré dans plusieurs domaines qui se déclinent ensuite en mentions puis en spécialités et éventuellement en parcours. Il est proposé dans cette université un master « sciences et technologies » avec 11 mentions et 20 spécialités[19], un master « sciences de la vie, de la santé et de l’écologie » avec une mention et 12 spécialités[20], un master « sciences humaines et sociales » avec 12 mentions et 40 spécialités[21].

Assurée par le Service universitaire de formation continue et d'éducation permanente, l'UBO propose une formation continue qui concerne 3500 stagiaires par an, et 1400 inscrits dans des parcours diplômant[22].

Échanges internationaux

L’université est partie prenante dans des programmes d’échanges généraux tels qu’Erasmus ou CREPUQ, et est aussi liée à des universités étrangères par des conventions bilatérales.

Les étudiants étrangers représentent, avec environs 1200 membres, 7% de la population étudiante de l'université. Les étudiants venant de Chine, avec 27%, suivis du Maroc, avec 15%, sont les 2 communautés les plus importantes. L’IUEM, l’IAE et l’UFR sciences et techniques rassemblent à eux seuls près de la moitié de ces étudiants[a 1]. Pour l'année 2008-2009, et avec 1.05 % de ses étudiants inscrits issus d'un échange Erasmus, l'université figure à la 35e des université française pour cette population[23]. Les échanges sortant concernent environs 210 étudiants par ans[a 1].

Recherche

4 axes de recherche:

* Axe Sciences de la Mer Axe organisé au sein de l'OSU-IUEM. Il rassemble 8 laboratoires, dont 6 associés au CNRS, 3 à l'IFREMER, 2 à l'IRD. Cet axe développe la formation avec les Master SML (Sciences de la Mer et du Littoral) et l'école doctorale EDSM (École Doctorale des Sciences de la Mer).

* Axe Agro-Santé

- le domaine santé s'organise au sein de l'IBRBS (Institut Brestois de Recherche en Biologie Santé) avec l'IFR Scinbios. Il rassemble 6 laboratoires dont 2 associés à l'INSERM. Cet axe est associé aux masters STS et à l'école doctorale SICMA.

-le domaine agro-alimentaire comporte 2 laboratoires reconnu au niveau du ministère.

* Axe Math-STIC-Matière Cet axe s'organise avec l'ISSTB (Institut Supérieur des Sciences et Technologies de Brest). Il rassemble 9 laboratoires dont 4 associés au CNRS, un à Telecom Bretagne, un à l'ENSIETA et un à l'UBS. La formation est organisée dans le cadre des masters STS et de l'école doctorale SICMA

* Axe Sciences humaines et sociales Cet axe s'organise au sein de la fédération de recherche ISHS (Insitut des Sciences de l'Homme et de la Société), reconnue par le ministère. Il comporte 11 laboratoires, dont 2 associés au CNRS.

44 laboratoires dans 10 Directions scientifiques (DS) :

  • Mathématiques et leurs interactions [DS1]
    • Laboratoire de mathématiques [UMR6205]
  • Physique [DS2]
    • Laboratoire de spectrométrie et optique laser [EA938]
    • Laboratoire d'électronique et systèmes de télécommunications [UMR6165]
    • Laboratoire de magnétisme de Bretagne [FRE 2697]
    • LATIM - Laboratoire de traitement de l'information médicale [EA2218 U650]
    • Laboratoire de physique des collisions électroniques et atomiques [EA2214]
    • Laboratoire de rhéologie et mécanique des structures [EA940]
    • Laboratoire universitaire des systèmes industriels et géophysiques [ERCS]
  • Sciences de la terre et de l'univers, espace [DS3]
    • Domaines océaniques [UMR 6538]
    • Laboratoire de physique des océans [UMR6523]
    • Laboratoire des sciences de l'environnement marin [UMR6539]
    • Chimie marine [UMR 7127]
    • Laboratoire de recherches appliquées, atmosphère - hydrosphère [ERCS]
  • Chimie [DS4]
    • Laboratoire de chimie, électrochimie moléculaires et chimie analytique [UMR 6521]
    • Laboratoire de chimie hétéro organique
  • Biologie, médecine et santé [DS5]
    • Génétique somatique et constitutionnelle - Transfert de gènes [EA2653 U613]
    • Immunologie et pathologie [EA2216]
    • Biotechnologie et physiologie végétales [ERCS]
    • Groupe d'étude de la thrombose de Bretagne occidentale [EA]
    • Ethique, Professionnalisme et Santé [JE 2535]
    • Laboratoire de toxicologie alimentaire [EA 3880]
    • Métabolisme et rôle biologique des oxylipides [EA948]
    • Unité de physiologie comparée et intégrative [EA3879]
  • Sciences humaines et humanités [DS6]
    • Centre de correspondance et journaux intimes des XIX et XXe siècles [UMR6563]
    • Centre de recherche bretonne et celtique [UMR6038]
    • Géomer LETG [UMR6554]
    • Centre d'études et de représentations du théâtre antique [EA2220]
    • Institut de géoarchitecture
    • Héritages et Constructions dans le Texte et l'Image (HCTI)
    • CEIMA - Centre d'études interdisciplinaires du monde anglophone [JE]
    • ERLA - Équipe de Recherche en Linguistique Appliquée
    • CRPSY - Centre de recherches en psychologie [JE]
  • Sciences de la société [DS7]
    • Centre de droit et d’économie de la mer [EA2221]
    • Centre de recherche administrative [EA3150]
    • Information, coordination, incitations - ECO/GESTION [EA2652]
    • Centre de recherche de droit privé [EA 3881]
    • Atelier de recherche sociologique [EA 3149]
  • Sciences et technologies de l'information et de la communication [DS9]
    • Laboratoire Informatique des Systèmes Complexes - LISyC
    • Architectures et Systèmes
  • Agronomie, productions animale et végétale, agro-alimentaire [DS10]
    • LM2e - Laboratoire de microbiologie des environnements extrêmes [UMR6197]
    • LEBHAM - Laboratoire d'écophysiologie et biotechnologie des halophytes et algues marines [EA3877]
    • Molécules à activité anti-oxydante [ERCS]
    • LUBEM - Laboratoire universitaire de biodiversité et écologie microbienne

Vie étudiante

Évolution démographique

Évolution démographique de la population universitaire

Années 1959 1972 1975 1978 1981 1984 1987 1990 1993
Population 248[2] 5 704[24] 7 842[24] 8 404[24] 8 816[24] 9 626[24] 10 997[24] 15 386[24] 19 789[24]
Années 1996 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006
Population 18 411[24] 16 616[24] 16 652[25] 16 061[26] 16 183[27] 16 626[28] 17 115[29] 17 724[30] 17 325[31]
Années 2007 2008 2009 2010 - - - - -
Population 16 849[32] 18 107[33] 18 286[34] 17 059[35] - - - - -

Sport

Les équipes de l'université ont remporté en 2011 dix titres de champion de France universitaire. Des sportifs comme l'athlète Solen Désert, triple championne de France du 400 m, ou le nageur Johann Le Bihan, médaillé de bronze aux championnats d'Europe de natation 2000, sont passés par ce club[36].

Des activités sportives sont aussi organisées par l'université, qui peuvent être pratiquées dans le cadre de formations universitaires ou dans le cadre de loisirs. Les étudiants pratiquants des activités sportives sont réunis au sein de l'association Asubo qui est chargée par l'université de gérer ces activités, et qui compte en 2011 450 licenciés[36]. Un peu plus d'une quarantaine de sports sont ainsi proposés aux étudiants, dont quinze qui peuvent être pratiquées dans le cadre d'un cursus universitaire[37].

Vie associative

Personnalité liées à l'université

Anciens étudiants

Voir aussi la liste des anciens étudiants de l'université

Enseignants

Voir aussi la liste des enseignants de l'université

Docteurs Honoris Causa

Sources et références

Sources

Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article : Ouvrage utilisé comme source pour la rédaction de cet article

  1. a et b Rapport UBO, p. 20.
  1. a, b, c et d Rapport UBO, p. 23.
  2. Rapport UBS, p. 12.
  3. Rapport UBS, p. 9.
  4. Rapport UBS, p. 10.
  5. Rapport UBO, p. 24.

Notes

  1. Le but à l'époque est de permettre à l'université d'atteindre une masse critique
  2. L'AERES évalue les diplômes en quatre catégories, A+, A, B, et C

Autres références

  1. Décret n°2000-250 du 15 mars 2000 portant classification d'établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel
  2. a, b, c, d et e « L'histoire de l'université en dix dates clefs », Le Télégramme, édition Brest, 12 mai 2011, consulté sur www.letelegramme.com le 20 juin 2011
  3. Statuts de l'université sur le site de l'université
  4. a, b, c, d et e « UBO. Parole de présidents », Le Télégramme, édition Brest, 12 mai 2011, consulté sur www.letelegramme.com le 20 juin 2011
  5. a et b « L'IUFM part à Brest, Rennes 2 digère mal », Ouest France, édition Rennes, 30 juin 2007, consulté sur www.rennes.maville.com le 20 juin 2011
  6. « Université de Bretagne. L'association dissoute. », le télégramme, 3 septembre 2009, consulté sur www.letelegramme.com le 20 juin 2011
  7. « Université: le passage à l’autonomie de l’UBO reconfirmé », Ouest-France, jeudi 10 décembre 2009
  8. a, b et c « Fiche personnalité : Pascal OLIVARD », Educpro, mars 2011, consulté sur www.educpros.fr le 19 avril 2011
  9. a, b, c, d, e et f Histoire de l'UBO, université de Bretagne-occidentale, consulté sur www.univ-brest.fr le 22 octobre 2011
  10. Nouveau président à l'UBO Espace des sciences, 14 mai 1992
  11. « Pierre Appriou nouveau président », Science Ouest
  12. Nouveau président à l'UBO, Espace des sciences, 14 mai 1992
  13. « UBO. Raymond-François Le Bris fait don d'un fonds documentaire », Le télégramme, 23 janvier 2009
  14. EURIA
  15. IAE
  16. « Faculté Segalen : «Tonton» face aux étudiants », Le Télégramme, édition Brest, 12 mai 2011, consulté sur www.letelegramme.com le 20 juin 2011
  17. a et b Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur janvier 2011, p. 30
  18. Les formations, licences professionnelles, Université de Bretagne occidentale, consulté sur www.univ-brest.fr le 6 mars 2011
  19. Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur janvier 2011, p. 31
  20. Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur janvier 2011, p. 36
  21. Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur janvier 2011, p. 40
  22. Service Universitaire de Formation Continue et d'Éducation Permanente, présentation, Université de Bretagne occidentale, consulté sur www.univ-brest.fr le 6 mars 2011
  23. Programme Erasmus, Classement français des universités françaises les plus performantes par année académiques, agence Europe-Education-Formation France, juillet 2010, p. 1, consulté sur www.europe-education-formation.fr le 26 octobre 2010
  24. a, b, c, d, e, f, g, h, i et j [PDF]L'ouest Atlantique: Bretagne et Pays de la Loirep. 31 sur www.cne-evaluation.fr
  25. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  26. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  27. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  28. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  29. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  30. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  31. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  32. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  33. Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  34. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010
  35. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
  36. a et b UBO. Un vivier de champions, Le Télégramme, édition Brest, 19 mai 2011, consulté sur www.letelegramme.com le 20 juin 2011
  37. « Sport. Une quarantaine d'activités en libre choix », Le Télégramme, pages Brest, 21 septembre 2011, consulté sur www.letelegramme.com le 22 octobre 2011
  38. "Les Persifleurs du Mal" du 13 juillet 2010, à l'occasion de la réception de Fabrice Bouthillon, professeur à l'UBOLes Persifleurs du Mal / 12/07/2010
  39. Biographie de Miossec
  40. Michel Revol, « Le frondeur du PS », Le Point, 9 aout 2007, consulté sur www.lepoint.fr le 22 mars 2011
  41. Séverine Tavennec, « Jean-Jacques Toux, programmateur des Vieilles Charrues », L'Etudiant, consulté sur www.letudiant.fr le 15 juillet 2011
  42. Archive

Voir aussi

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