Vice amiral PIVET

Vice amiral PIVET

Louis-Joseph Pivet

Louis-Joseph Pivet (né le 10 mars 1855 à Granville, décédé le 16 janvier 1924)[1] est un amiral français.

Biographie

Habitant chez ses parents au 4 rue des juifs, en face du port et de la mer, à 14 ans, il décide que la navigation sera sa carrière, et demande à aller au Collège de Cherbourg.

Il est reçu à l’école navale en 1872, il a 17 ans. En octobre 1874: sur le « BORDA » à Brest, Aspirant de 2eme classe

En mars 1875: sur la « RENOMMEE », à Ville Franche et Toulon En Avril 1876: sur le « RICHELIEU », en partance en campagne en méditerranée, en Août, il est à Alexandrie. Il est Aspirant de 1ere classe

En Octobre 1876: il embarque sur le VICTOIRE, puis en décembre 1876 il est sur la "MAGICIENNE", Division navale du Pacifique, pour le Chili, le Pérou, Panama, San Francisco, puis Tahiti et retour avec nouvelle escale à Valparaiso.

22 juin 1878 : Enseigne de vaisseau. juillet 1879 : il est sur le transport « CREUSE », bâtiment qui transporte des forçats vers la nouvelle Calédonie Le transport Creuse est réarmé en juillet 1879 pour un voyage en Nouvelle-Calédonie. Une glacière est embarquée. Au retour à Cherbourg, désarmement et refonte.

Octobre 1880: il prend part à la campagne de TUNISIE, sur le cuirassé "COLBERT", Escadre de Méditerranée (bombardements de SFAX & GABÈS). Il y reçoit le baptême du feu.

31 octobre 1882: Lieutenant de vaisseau.

Juillet 1883 2eme Aide de camp de l’Amiral CONTE, commandant la Division navale du Levant. Sur le «VÉNUS» (Dernier grand navire construit en bois avec une forme de frégate (3-mâts carrés) sur plans de Desfontaine. Il avait une cheminée télescopique. La dénomination de cette corvette a varié selon les années et les auteurs : corvette à barbette, frégate de 3ème rang, croiseur de 1ère classe, armée en plate ou en flûte, corvette à batterie.) Puis sur le «COURONNE»: Grèce, Turquie, Beyrouth.

L’Amiral le détache auprès d’une commission internationale instituée par le Gouvernement Ottoman et chargé de déterminer l’île de l’archipel la plus propice à l’établissement d’une station quarantaine; la réussite de cette mission lui vaut des compliments ministériels. Durant le séjour en Grèce, il est détaché auprès de la famille royale. 1885: Officier breveté Canonnier. 1886: à bord du « COURONNE », il est fait chevalier de la légion d’honneur. Il a 31 ans 1887: à l’école des torpilles, à Toulon 1888/1889 Il est sur le Croiseur "D'ESTAING", Adjudant de division, à la Division navale de l’océan indien et station navale de Madagascar et des Comores (Division de l'Océan Indien). De novembre 1889 à mai 1891, Officier d'ordonnance du Ministre de la Marine. Il reçoit le titre et les insignes d’Officier d’Académie Il est nommé commandant de l'aviso "ÉLAN", qu’il rejoint en juin, En juillet, il passe 8 jours à Saint Servan pour faire passer des examens aux élèves pilotes. Il reçoit de nombreuses invitations dont celle du Général VOSSEUR qu’il a connu « dans le temps à Athènes ». 1892 Il commande l’Aviso « ELAN » et l'École de pilotage de la flotte. Il est deux fois félicité pour ses études sur les Iles anglo-normandes et sur le balisage de nuit en temps de guerre. Il rédige un livre des instructions nautiques des côtes françaises Le cinquième navire de ce nom est un aviso de 2ème classe à hélice de 237 tonneaux filant 12 noeuds et armé par 72 hommes. Construit en 1877, il sera condamné en 1910 après avoir été remplacé par le Chamois. Jusqu'à son abordage par le trois-mâts Théodore-Ducos à Bordeaux le 16 août 1887, il est affecté à l'école de pilotage, et navigue de manière intensive le long des côtes françaises et anglaises en Manche et en Atlantique. Après l'abordage, l'intention de le réparer et de le transformer en convoyeur de sous-marins est finalement abandonnée en raison du coût de l'opération : il est désarmé le 31 décembre 1907. Il épouse à Saint Servan la fille du Général VOSSEUR

septembre 1893, il est affecté au Service hydrographique.

1er janvier 1896 Capitaine de frégate, il est Second sur le croiseur "SUCHET" et prend part aux opérations de l'escadre internationale en Crète, lors de la guerre gréco-turque et se distingue en sauvant des populations, d’abord chrétienne à Canée, puis musulmanes à Siata et dans l’arrière pays de Siata .

Février 1898 sur le "BOUVINES", puis sur le cuirassé « AMIRAL DUPERRE » Chef d‘état-major du Contre Amiral Commandant la 2eme division de l'Escadre du Nord.

1899 et 1900: il commande la "MANCHE", en deux campagnes en ISLANDE et TERRE-NEUVE. Après avoir assisté les navires français en pêche autour de l’Islande, et se dirigeant vers Terre-Neuve, il se trouve en situation périlleuse du fait d’une banquise non prévisible et d’une grave avarie qu’elle provoque. Il ramène cependant son bâtiment à Terre-Neuve et reçoit un témoignage ministériel de satisfaction pour son sang froid et son esprit de décision. En 1900, Il est de nouveau nommé Commandant de l’aviso-transport «MANCHE» dans la Division navale de Terre Neuve.il rencontre un ouragan violant qui lui vaut un nouveau témoignage de satisfaction il est ensuite à BREST en octobre, Chef de la 2ème Section de l'Etat-major de l'arrondissement maritime. 2 avril 1902 Il est promu Capitaine de vaisseau et est nommé Officier de la Légion d'Honneur. Le 14 avril, il prend le commandement du croiseur de 1ere classe « TAGE » de la force navale de l’atlantique

Au 1er janvier 1903 (nomination du 27 novembre 1902), Commandant le croiseur cuirassé "BRUIX" - 5 500 ch - 8 canons - port BREST - pavillon du Contre-amiral Joseph BUGARD, Commandant une division de l'Escadre du Nord.

1er juin 1903 Il commande la « JEANNE-D'ARC » Le quatrième Jeanne d'Arc fut à l'époque le plus grand et le plus puissant de nos croiseurs cuirassés. Long de 145 mètres, déplaçant 11 300 tonnes, le bâtiment portait deux canons de 194 et quatorze de 138. Ses six cheminées lui donnaient une silhouette caractéristique. En 1903, le Jeanne d'Arc porta la marque du président Loubet pour le voyage de celui-ci en Algérie. C'est en 1912 qu'elle remplaça le Duguay-Trouin comme navire-école d'application. Pendant la Première Guerre mondiale, le Jeanne d'Arc s'illustra aux Dardanelles (1914) puis sur le canal de Suez, sur les côtes de Syrie et d'Asie Mineure. En 1919, il reprit ses fonctions d'école d'application et fit neuf campagnes avant de s'arrêter, à bout de bord, en 1928. Il fut rayé des listes de la flotte six ans plus tard.

1904 Il commande le croiseur cuirassé la "GLOIRE" (Construit à Lorient en 1899 - Armé en 1900 - Rayé des effectifs en 1922.)

1905 Il commande le cuirassé "RÉPUBLIQUE" dont il suit les travaux d'achèvement et pratique les essais avant de l'emmener en Escadre de Méditerranée. Les plans de ce navire furent signés par Max BAHON. Les plans de base de ce navire émanaient du Service Technique qui venait d’être créé ; ils appliquaient les idées d’Emile BERTIN et réalisaient des progrès importants sur les types antérieurs : Un seul calibre de grosse artillerie (4 X 305 en deux tourelles axiales, avant et arrière) ; artillerie moyenne constituée par 18 X 164, dont douze en tourelles et six en casemates. Protection étendue à toute la longueur de la coque et assurée par une muraille haute en acier spécial, complétée par un cofferdam en abord et par deux ponts formant blindage par éclats. La puissance motrice était répartie sur trois lignes d’arbres contre deux seulement sur le « Courbet », ce qui réduisait le danger de chavirement, en cas d’invasion d’eau dans une des chambres. La vitesse était de plus de 19 nœuds. Le Capitaine de Vaisseau PIVET décora de la Croix de la Légion d’Honneur Max BAHON sur le pont de ce bâtiment.

Novembre 1907: Il est promu Contre-amiral et nommé Major Général du 2eme arrondissement maritime de Brest De1909 à 1911 Commandant une division de l'escadre de Méditerranée, pavillon sur le "JULES-FERRY", puis le "VICTOR-HUGO". Dans le cadre d’une opération internationale, cette escadre participe au sauvetage d’un grand nombre de chrétien arméniens menacés d’extermination

Participation active en avril 1909 en Cilicie (A lire Documents militaires français sur les massacres de Cilicie, en avril 1909, et le sauvetage des Arméniens de Kessab par la Marine française dans la baie de Bazit)

11 juillet 1912 Il reçoit la cravate de commandeur dans l’ordre de la légion d’honneur Février 1913 Il est promu au grade de Vice Amiral

Janvier/septembre 1913 Il est membre du Conseil Supérieur de la Marine et du Comité d’Amirauté, Directeur des services de travaux et Président du Conseil technique de la marine Avril 1914/décembre 1914: il est Chef d ‘état major de la Marine

2 Août 1914 La guerre est imminente ; la flotte est concentrée en méditerranée, et constituée en Armée Navale ; il ne reste en Manche qu’une escadre légère composée de bâtiments anciens, escadre faible par rapport aux forces navales allemandes mais cela est conforme aux conventions avec la Grande Bretagne qui doit, en cas de conflit, protéger la Manche. Fin avril, le Conseil des Ministres, refuse à l’Amiral PIVET l’autorisation de poster cette flotte à l’entrée de la Manche l’estimant trop légère pour éventuellement, pouvoir s’occuper au passage des gros bâtiments allemands. Le 2 août au soir, le Président POINCARE redoute une attaque de nos ports, mais il continue à refuser l’envoi de cette flotte à l’entrée de la Manche car c’est l’envoyer au sacrifice. L’amiral n’en rédige pas moins à l’adresse du Contre-Amiral ROUYER, Commandant de cette flotte, le télégramme suivant : « Appareillez immédiatement et défendez par les armes le passage de la flotte de guerre allemande partout à l’exception des eaux territoriales anglaise » Ce télégramme est lancé après que le Président en ait seulement accusé réception. Son contenu est sur le champ mis à exécution. En méditerranée, en présence du danger présenté par deux cuirassé allemands, le très puissant Goeben et le Breslau, ce même 2 août, l’Amiral PIVET télégraphie à l’Amiral, Commandant en chef l’Armée Navale :

« Goeben et Breslau sont arrivés à Brindisi dans la nuit du 31 au 1er août. Appareillez et si on vous signale hostilités commencées, arrêtez les. Conseil des Ministres a encore décidé transport spécial de troupes se fait par navires isolés, Département guerre en acceptant responsabilité » Cet ordre n’a pas été suivi ; dès la déclaration de guerre par l’Allemagne à la France le 3 août, ces deux cuirassés allemands bombardèrent Bône et Philippeville puis se retirèrent vers l’est. Ils purent gagner Constantinople où ils permirent le scellement de l’alliance germano-turque et l ‘entrée de la Turquie dans la guerre contre la Russie ; le ravitaillement de la Russie par la Mer Noire devint impossible ; séparés de ses alliés, la Russie s’écroula en moins d’un an. A la fin de la guerre, le Général allemand LUDENDORFF put dire « l’entrée en guerre de la Turquie a permis à l’Allemagne de durer deux ans de plus »

Le 8 novembre 1914, L’Amiral PIVET propose à Monsieur AUGAGNEUR, Ministre de la Marine, plusieurs mesures de lutte contre les sous-marins allemands actifs en Manche ; approbation froide et sans suite du Ministre ; le 28 novembre 1914, un deuxième rapport signé Pivet insiste et détaille les mesure à prendre : il propose l´utilisation d´un nombre important de chalutiers afin d´exercer une surveillance continue, le déploiement d´aéronefs pour rechercher les sous-marins, de construire des grenades sous-marines, et d´étendre l´emploi des appareils d´écoute. Réponse peu encourageante d’AUGAGNEUR qui les adoptera quelques mois plus tard. Parmi tous ces moyens proposés, seuls l´utilisation de l´aéronef et la surveillance continue par les chalutiers s´avéra effective. Mais la constitution d´une telle flotte de surveillance ne peut être effectué sans entraîner une profonde mutation de la Marine. La nouvelle flotte, composée d´une poussière de patrouilleurs, d´escorteurs et d´aéronefs s´édifie au détriment de la flotte de ligne, condamnée à l´inaction et vidée de ses meilleurs éléments. En 1897, l'ingénieur allemand Rudolf Diesel invente le moteur qui porte son nom, à combustion interne, d'un excellent rendement. Consommant du gazole, carburant qui, à l'inverse de l'essence, ne dégage pas de vapeurs explosives, ce moteur apporte la solution du problème de la propulsion des submersibles, et toutes les marines l'adoptent rapidement. En 1914, on compte, dans le monde, une majorité de submersibles équipés de moteurs Diesel ; de 1914 à 1918, les Allemands en construisent 343, lesquels, en participant aux combats, détruisent 19 millions de tonnes de navires de commerce alliés, au prix de 178 submersibles coulés. Sur l’ambiance au Ministère, il écrivit quelques mois après à sa sœur Pauline : « Depuis longtemps, les relations avec le Ministre étaient assez tendues et surtout les rapports de l’Etat Major général avec le Cabinet du Ministre étaient devenus plus aigres que doux. A la veille de quitter Bordeaux pour rentrer à Paris, le Ministre me déclara que nous avions, lui et moi, une façon différente de comprendre le rôle d l’Etat Major à l’égard du Ministre. C’était exact et plusieurs fois j’avais fait des observations à ce sujet, souffrant mal l’immixtion de la politique dans les affaires militaires et l’opposition constante faite à mes propositions. Il ajouta qu’il y aurait intérêt à nous séparer et m’offrit la Préfecture de Cherbourg, pour que mon départ n’eut pas l’air d’une disgrâce. J’ai accepté naturellement, les deux postes étant équivalents au point de vue hiérarchique, et même celui de Cherbourg pouvant devenir plus actif dans les circonstances actuelles. » Le 4 décembre 1914, l’Amiral PIVET est nommé Commandant en Chef, Préfet maritime du 1er arrondissement à Cherbourg, Précautions à Cherbourg contre aéronefs (1er Février 1915) Avis à la population La possibilité d’incursions d’aéronefs ennemis dans la région de Cherbourg, ayant été signalée, il paraît nécessaire d’envisager, au cas où une semblable éventualité viendrait à se produire, le moyen pratique d’avertir rapidement la population en cas d’approche de semblables appareils. C’est pourquoi il a été décidé qu’aussitôt prévenue de cette approche, l’administration municipale ferait sonner le tocsin par les cloches de la Trinité, du Vœu et de Saint-Clément. A ce signal, les habitants, afin de se mettre à l’abri des projectiles ennemis, auraient à évacuer immédiatement les rues et à rentrer dans l’intérieur des maisons les plus proches, où chacun devrait s’empresser de leur donner asile. Lorsque tout danger serait écarté, un carillon ordinaire sonné par les cloches des mêmes églises, en préviendrait la population. Dès l’appel du tocsin, les pompiers de la ville se rendraient au dépôt des pompes et s’y tiendraient prêts à toute éventualité. Cherbourg, le 1er Février 1915 Le maire, A. Mahieu - Le vice-amiral, gouverneur, Pivet. 13 novembre 1915 Préfet maritime du 2ème arrondissement à BREST. Lors de son voyage en Russie en décembre 1915, lors de contacts avec le Tsar, Paul Doumer souhaite l’envoi de 300.000 hommes en France ; du matériel de guerre français, dont la Russie a besoin, sera envoyé en échange. Nicolas II accepte et, à titre d’essai, le général Akexeiev, chef d’Etat-major propose d’envoyer des militaires russes en unités constituées, encadrées par des officiers russes et mises à la disposition de l’Etat-major français. Leur matériel de guerre sera français et elles seront transportées par les bâtiments de la Marine française. Le souhait de Doumer est que 40.000 hommes soient envoyés mensuellement. En janvier 1916, une première brigade spéciale, composée de deux régiments est constituée. Le premier régiment est formé à Moscou, le second à Samara, localité sur la Volga. Les unités sont formées principalement de bataillons de réserve dont les hommes n’ont pas encore subi le baptême du feu. Le premier régiment se compose principalement d’ouvriers d’usines, le deuxième, de gens de la campagne. Cela aura de l’importance lorsque Lénine apparaîtra sur la scène politique des Soviets. Le premier contingent part le 3 février 1916 par chemin de fer. Il traverse la Sibérie et la Mandchourie. Ensuite, il atteint Marseille par mer. Il arrive dans cette ville, après 60 jours de mer, le 26 avril 1916. Ce débarquement à Marseille, Brest et La Rochelle a une grande influence sur l’opinion française : c’est encore une preuve de bonnes relations interalliées. Les trois autres brigades russes sont formées progressivement. La deuxième passe à Salonique tandis que la troisième, formée notamment à Ekaterinbourg, est envoyée en France en août 1916.

Le Vice Amiral PIVET, Préfet Maritime 2ème arrondissement à BREST accueille les Russes à Brest[2]

31 juillet 1916 Le journal officiel enregistre son élévation à la dignité de Grand Officier de la Légion d’Honneur avec la mention suivante: « Services exceptionnels rendus comme Chef d’état major Général de la marine et comme préfet maritime » 24 novembre 1916 L’Amiral LACAZE, Ministre de la Marine salue le départ dans des termes les plus élogieux

Mars 1917 Il quitte les services actifs; il décéda à Saint Servan le 16 janvier 1924 au Glorioux.

Notes et références

  1. www.marines-editions.fr[pdf]
  2. EXCELSIOR No 2077 du 23/07/1916
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