Voltige cosaque

La voltige en ligne est un sport équestre qui se pratique avec une ligne droite, de 60-100m, le cavalier lance son cheval au bout de la ligne au grand galop, lâche sa figure, revient en selle et arrête son cheval au bout de la ligne. On peut aussi pratiqué cette voltige en cercle, sans longeur, le cheval lancé à un galop rapide, le voltigeur exécute ces figures.

La voltige en ligne fut pratiqué par tous les peuples cavaliers depuis l'invention de l'étrier. Elle est d'origine guerrière servant à se dissimulé, feindre la mort ou même attaquer. Les cosaques l'ont beaucoup pratiqué ces derniers siècles, c'est pourquoi on l'appelle de nos jours voltige cosaque, elle n'est pourtant pas plus cosaque qu'autre chose. En France la voltige en ligne a longtemps été utilisé par les militaires, il était indispensable de savoir ramassé un objet lancé au grand galop sans descendre de cheval, une figure qui est maintenant pratiqué en horse-ball. C'est l'ancêtre de la voltige en cercle, ou le cheval est à un tout petit galop et ou un longeur règle la vitesse du cheval. La voltige en ligne est désormais une discipline incontournable de la cascade équestre que ce soit en spectacle ou au cinéma.

Parmi les nombreuses figures On trouve la croix de la mort, le cavalier se pend par un étrier se retrouvant ainsi à la verticale tendant une jambe vers le ciel et les bras en croix parallèles au sol.

Le dissimulé, le voltigeur s'assoie sur un étrier, une main au pommeau en tendant la jambe dans le sens du cheval de façon à se retrouver à l'horizontale ce qui dissimule le cavalier; le poirier.

La croix, le cavalier s'assoie sur un des deux étriers et met ces bras en croix, cela permettait au cavalier de tirer derrière lui.

Les passage sous l'encolure et sous le ventre des figures de dissimulations. Les à terre à cheval et double à terre a cheval, ou le cavalier descend tape à terre et remonte.

Les vire-tournes : la première : le cavalier tourne sur un étrier s'assoie sur l'encolure envoie ces deux jambes au dessus de la tête du cheval, tape à terre et remonte; la deuxième : le cavalier tape à terre tourne au dessus de la selle, se réceptionne sur l'encolure à l'envers et repart.

La trainade : le voltigeur les deux pieds aux étriers se lâche dans le vide et laisse ces bras trainer au sol afin de feindre la mort.

La ramassade : le voltigeur garde les pieds dans les étriers pour plus de sécurité, le voltigeur se tient au pommeau et descend jusqu'à atteindre le sol afin de ramasser un quelconque objet.

Le drapeau : le voltigeur s'appuie sur les étriers et se met debout perpendiculaire au cheval et parallèle au sol.

L'étendard : on peut le faire de plusieurs façons, en bref le voltigeurs garde une jambe en contact avec la selle, se leve tend l'autre jambe parallèlement au cheval ainsi qu'un bras tout en se tenant au pommeau.

Le debout : le voltigeur se lève sur sa selle.

On utilise une selle spéciale pour voltiger. Les principales caractéristiques d'une selle de voltige sont que les étriers sont attachable et qu'on à un pommeau. Les selles cosaque cependant sont de nos jours très appréciées, elles sont matelassées, faciles à faire, très solide et des très bonne qualités, et surtout les cosaques ont inventé une petite poignée flexible accroché au pommeau appelée le tarrachok.

Selle de voltige