Wilfrid Esteve

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Wilfrid Estève

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Wilfrid Estève, né le 3 mars 1968 à Carcassonne dans l'Aude (France), est un photojournaliste et président de l'association FreeLens.

Il est également en charge de la direction artistique et éditoriale du studio de création Hans Lucas et de la direction pédagogique du département Photo, à l'École des métiers de l'Information.


Sommaire

Biographie

Basé sur le témoignage et l'enquête, le travail photographique de Wilfrid Estève est réalisé sur les terrains de l'actualité ou dans les zones de tension (Afrique de l'Ouest, Europe, Moyen-Orient). En parallèle, il poursuit un travail sociétal sur l'immigration en France et collabore, depuis 1995, avec plusieurs rédactions dont De l'air, ELLE, Libération, Le Monde, Géo, Marie-Claire, National Geographic, Paris Match ou VSD.

Wilfrid Estève a reçu en 2005, en tant qu'écrivain la mention spéciale du prix Nadar pour l'ouvrage "Photojournalisme, à la croisée des chemins ". Selon Michel Guerrin, rédacteur en chef du service culture au journal Le Monde et spécialiste de la photographie, « C'est un livre pétri de doutes et d'inquiétudes, qui dresse un pénible état de la profession depuis dix ans. Cet ouvrage, richement illustré, raconte les bouleversements industriels, techniques, culturels de l'image de presse... Tout n'est pas sombre dans ce récit militant, plus impressionniste que documenté. Les auteurs montrent qu'une voie est possible pour la qualité, à condition que les photographes, seuls ou en collectifs, sachent imposer leur regard à côté du flot d'images que la presse dévore. Ils montrent la voie en publiant des portfolios en exemple : la Tchétchénie par Stanley Greene, le collectif Tendance Floue, le travail de Guillaume Herbaut sur les victimes de Tchernobyl, le combat désespéré des soldats Mhongs au Vietnam, par Philip Blenkinsop. D'utiles informations pratiques sur le statut et le droit du photographe, sur la façon dont le reporter peut démarcher les clients (magazines et quotidiens) concluent l'ouvrage »[1].

Entrepreneur, il a fondé ou initié la création plusieurs structures, souvent liées à la photographie ou aux média : en 1996, l'agence photographique l'Oeil Public, en 2005 la coopérative de photographes Picturetank, dont il a été le vice-président. Il conçoit et dirige la même année le projet pluridisciplinaire Territoires de fictions.

Depuis 2004, il préside FreeLens, anciennement appelée l'Association nationale des Journalistes Reporters Photographes et Cinéastes-FreeLens.

En 2006, il fonde le studio de création et de production audiovisuel Hans Lucas et devient directeur pédagogique de la filière photographie puis sociétaire de l'École des Métiers de l'Information. En 2007, il crée le Prix Tremplin Photo de l'EMI, première bourse de formation au photojournalisme remise durant le festival Visa pour l'image.

En 2008, Wilfrid Estève prend la co-direction de l'agence photographique MYOP et crée avec l'association FreeLens et Julien Cassagne, Photojournalisme.fr, webzine dédié à la photographie d'information et aux photojournalistes, dont il est directeur de la publication.

Prix et récompenses

Expositions

Son travail a fait l’objet d’expositions individuelles, collectives et de projections dont :

  • “Territoires” lors de la Biennale internationale de la Photographie et des Arts visuels de Liège en Belgique en 2008.
  • “Territoires de fictions” durant le “Ayvalık Fotoğraf Festivali’ne Doğru” en Turquie et les Rencontres numériques de La Villette à Paris en 2007.
  • “Madame la Présidente” commande photographique des Rencontres internationales de la photographie d’Arles en 2007.
  • “France à quoi tu penses ?” durant le festival européen de photographie de Reggio Emilia en Italie en 2007.
  • “Il secolo delle vacanze” au Musée Capitolini (François Pinault Foundation), à Rome en Italie en 2006.
  • “Political marketing” à la Fundacja Transfotografia à Sopot et à la galerie Fabryka Trzciny à Varsovie en Pologne en 2006.
  • “Territoires de fictions” à la galerie du Château d’eau à Toulouse, durant les Rencontres internationales de la photographie d’Arles et le festival ”Enzimi”, à Rome en 2006.
  • “Alguien nos mira” au MUVIM, Museu Valencià de la Il.lustratio i de la Modernitat, à Valence en Espagne en 2005.
  • “Images entre histoire et poésie” au Musée de la Conciergerie, à Paris en 2004.
  • “Le Photojournalisme à Paris”, vente aux enchères à l’hôtel Drouot-Richelieu, à Paris en 2003.
  • “3672, la Free story”, à la galerie photo de la Fnac Italie 2, à Paris en 2003.
  • “Le Photojournalisme aux enchères”, vente aux enchères à l’hôtel Drouot-Richelieu, à Paris en 2002.
  • “Neighbours” au Palais de Tokyo, à Paris en 2002.
  • “New York” avec le collectif l’Oeil Public à l’Espace Miramar, à Cannes en 2001.
  • “Un soupçon de réel” au Centre Atlantique de la Photographie, scène nationale de Brest en 2000.
  • “Les Nomades de la techno”, projection durant le festival international Visa pour l’image à Perpignan en 2000.
  • “Ferveurs noires en banlieue parisienne”, lors du XIe Festival international du Scoop et du Journalisme d’Angers, dont il est lauréat du prix “Jeune reporter” en 1996.

Stella* Images

Stella* Images est une plateforme de diffusion regroupant des agences photographiques indépendantes. Son but est de créer un moteur de recherche transversal et multilingue, permettant de regrouper une photographie d’auteur tournée vers l’international.

A travers la création d’un portail «full-web» et d’un moteur de recherche transversal et multilingue, le groupement d’intérêt économique Stella*images s’est fixé pour principaux objectifs de :

- Regrouper une photographie d’auteur tournée vers l’international, - Mettre en avant la diffusion de grands reportages ainsi que la création multimédia, - Affirmer les identités et l’indépendance de chacun de ses membres.

Face à la déstabilisation du marché, le portail Stella-Images propose une offre diversifiée à un réseau de clients mondial. Ce réseau d’agences vise également à lutter contre la baisse générale des tarifs, les contrats de cession abusifs, la banalisation de la photographie comme un bien de consommation.

La version Bêta du portail est en ligne depuis août 2009. La plateforme sera ouverte aux clients durant le premier semestre 2010.

Cinq structures françaises en sont fondatrices, elles se sont associées dans la création d'un GIE, groupement d'intérêt économique. Il s'agit de l'agence VU', du collectif le Bar Floréal, Signatures-Photographies, de la coopérative Picturetank et de l'École des métiers de l'information ainsi que du studio de création et de production audiovisuel Hans Lucas.

Hans Lucas

Directeur artistique associé, Wilfrid Estève dirige avec Virginie Terrasse et Lorenzo Virgili le studio de création et de production audiovisuelle Hans Lucas[2] depuis novembre 2006. Le nom du studio est un clin d'oeil à Jean-Luc Godard dont Hans Lucas fut le pseudonyme.

Comme les autres genres cinématographique et télévisuels - la fiction, le clip…-, le documentaire se décline lui aussi sur le web. Il s’interroge sur les différentes moyens d’expression possible du web : écritures, photographies, création sonore, films, réseau, temps réel et trouve une nouvelle forme d’écriture et de diffusion.

Passerelle entre information et création, Hans Lucas répond aux nouvelles narrations et stratégies de communication éditoriale liés à l'univers du multimédia (POM pour Petite Oeuvre Multimédia et documentaire interactif) et de la téléphonie mobile (applications iPhone et Android).

MYOP

Depuis mai 2008, Wilfrid Estève est photographe associé à l'agence MYOP[3].

Créée en 2005, cette agence de photographes représente 19 auteurs, son originalité est de diversifier les regards. Issus de la photographie plasticienne, du photojournalisme et du documentaire, les membres véhiculent un point de vue et proposent un questionnement pertinent du monde contemporain.

Ancré dans la politique photographique du journal Libération et du magazine Géo, dont la plupart des membres en sont pigistes réguliers, les photographes de MYOP réalisent des commandes pour les plus grands magazines français et internationaux dont le journal Le Monde ou les magazines Elle, Marie Claire, National Geographic, Newsweek, Paris Match ou The Times.

Les œuvres des auteurs de l'Agence MYOP ont été récompensé : Prix W. Eugene Smith (Alain Keler en 1997), Prix Kodak de la critique (Julien Daniel en 2004), bourse 3P de Yann Arthus Bertrand (Alain Keler en 2004), deux bourses FIACR (Oan Kim en 2008), Mention spéciale du jury du Prix Nadar (Wilfrid Estève en 2005), Prix Paris Match (Alain Keler en 1986), World Press Photo (Alain Keler en 1986, Julien Daniel en 2001 et 2002), Prix Fuji 2002 (Julien Daniel), World Press Photo Joop Swart Masterclass (Alexis Cordesse en 1993), Prix des Voies Off des rencontres photographiques d'Arles (Wilfrid Estève en 2000).

La structure a ses bureaux à Paris, ses domaines d'expertise vont du secteur de l'information, à celui de la communication d'entreprise ou au développement de projets culturels. Myop est libre de définir sa politique éditoriale, artistique et commerciale, c'est l'une des dernières agences indépendantes en France avec L'Oeil Public et son acronyme à deux significations : « Mes Yeux Objets Patients », en référence à l’Évolution esthétique de Paul Éluard.

Territoires de Fictions

Installation de la mosaïque d'images "Territoires de Fictions" aux rencontres d'Arles en juillet 2006.
"Territoires de Fictions" investi l'ensemble de l'affichage publicitaire du métro toulousain en septembre 2006.

Wilfrid Estève a conçu en 2005 le projet Territoires de Fictions ainsi que le commissariat d'exposition. La direction artistique du projet a été assuré par Virginie Terrasse et Benjamin Boccas. L'exposition qui en est issue porte un regard sur la France et rassemble cent d'auteurs dont 13 créateurs sonores, 2 graphistes, 28 réalisateurs et 57 photographes. Sa collection comprend des productions artistiques contemporaines dans les domaines de la photographie et de la vidéo. Explorant de nouvelles formes de représentation de la photographie, Territoires de Fictions a développé le concept de la POM, Petite Oeuvre Multimédia.

L'exposition combine différents médias (photographies, vidéos, pièces sonores et créations graphiques) et a été présenté en France, en Belgique, en Italie, en Pologne à plus de 30 reprises en 24 mois.

Associant 600 photographies (sous la forme de mosaïques géantes ou d'affiches grand format) et 62 vidéos autour de thématiques sociétales, Territoires de Fictions a réuni près d'un million de visiteurs depuis 2006. L'exposition investit également l'espace public de grandes villes. Pour son lancement en septembre 2006, le projet a occupé en plus de sa représentation dans la galerie du Château d'eau, l'ensemble des emplacements publicitaires des lignes du métro à Toulouse.

Pour Marta Eloy Cichocka, journaliste et professeur d'université, « Grâce à cette passerelle entre l’information et l’art, les Français s’engagent socialement et les artistes se confrontent à la frustration sociale, le manque de confiance pour la politique et la démocratie, le regain d’intérêt pour les partis extrémistes ; ainsi que les problèmes liés à l’immigration et l’intégration. Les questions sur la France d’aujourd’hui sont les questions sur la France de demain et ce sont également des questions sur le monde actuel en phase de changement » [4].

Selon le critique d'art Christian Gattinoni, "L’autre intérêt de cette opération réside dans la réflexion sur la diffusion de ces œuvres multimédia, elles accompagnent des rencontres de quartier à caractère politique, des réflexions à caractère culturel en institution comme la Maison Européenne de la Photographie, mais surtout grâce à un partenariat ces P.O.M. sont diffusés quotidiennement sur lemonde.fr »[5].

L’Œil public

Co-fondateur de l'agence photographique l'Œil public qu'il quitte en 2004, Wilfrid Estève a participé durant huit ans, à l'ascension du collectif et à la création de la structure de diffusion. L’Œil public est une agence de dix photographes indépendants qui existe depuis 1995. Elle a été distinguée par des prix photographiques prestigieux (dont World Press Photo et Prix Kodak de la critique) et collabore avec les plus grands magazines internationaux.

Selon Michel Guerrin, rédacteur en chef du service culture au journal Le Monde et spécialiste de la photographie, « L'Œil public est une structure qui s'inscrit dans une généalogie bien repérée, avec Magnum (Capa, Cartier-Bresson) pour référence d'indépendance et d'esthétique mais aussi Viva, superbe groupe d'agitateurs créé dans l'après-Mai 68, qui a marqué un retour au sujet de société (française) contre l'« événement » lointain, un engagement, une simplicité photographique, le droit du photographe à "sa propre poésie", comme disait Le Querrec »[6].

FreeLens

Depuis 2004, Wilfrid Estève préside FreeLens, anciennement appelée l'Association nationale des Journalistes Reporters Photographes et Cinéastes-FreeLens. Dès sa création, l'association n’a cessé d’affirmer la place, l’apport et le rôle de la photographie d’information dans le débat démocratique.

Fondée en 1962, ce pôle de réflexion fédère, depuis plus de quatre décennies, les grands acteurs du photojournalisme, parmi lesquels Henri Cartier-Bresson, Raymond Depardon, Gisèle Freund, Marc Riboud, Sebastião Salgado. Elle a été présidée par Robert Doisneau, Roger Pic, Patrick Bard et Lorenzo Virgili.

En septembre 2008, FreeLens lance Photojournalisme.fr, webzine dédié à la photographie d'information et aux photojournalistes.

Enseignement

Depuis 1996, Wilfrid Estève enseigne le photojournalisme dans des écoles reconnues (l'École supérieure de journalisme de Lille), des centres de formation (le CFPJ ou l'Ecole des Métiers de l'Information EMI-CFD, à Paris) ou à l'occasion d'ateliers lors de festivals.

En 2006, il devient directeur pédagogique de la filière photographie de l'École des Métiers de l'Information, surnommé aussi l'Autre école. En 2007, il crée le Prix Tremplin Photo de l'EMI, première bourse de formation au photojournalisme remise durant le festival Visa pour l'image.

Le parcours qualifiant en photojournalisme dont il assume la direction avec Mat Jacob du collectif Tendance floue et Lorenzo Virgili compte parmi ses anciens stagiaires, la lauréate 2008 du prix Mark Grosset (Elisabeth Schneider), la lauréate 2007 du prix Visa d’or Magazine au festival International du Photojournalisme Visa pour l’Image et du Prix Spécial du Jury du festival international du Scoop et du Journalisme d'Angers (Lizzie Sadin), les deux lauréats 2004 et 2002 du prix Kodak de la critique (Julien Daniel et Jérômine Derigny), le lauréat 2005 du grand Prix Calderon (Jérôme Sessini) du festival du Scoop et du Journalisme d'Angers, deux lauréats, en 2004 et en 2005, de la bourse 3P (Lizzie Sadin et Frédérique Jouval), la lauréate 2003 au grand Prix international du Reportage Humanitaire CARE (Florence Gaty), le lauréat du Prix Fnac Attention Talent 2002 et du Prix Fuji 2002 (Julien Daniel) et deux lauréats au World Press Photo en 2001 et 2002 (Julien Daniel).

Citations

"Depuis plus de dix ans, le monde de la photographie est déstabilisé. Les nouvelles technologies ont redéfini les pratiques de toute une profession. De profonds changements s'opèrent dans les domaines de la production, de la distribution et de la consommation. "Une nouvelle e-économie émerge. Elle bouscule notre façon de penser, de travailler, de voir le monde, sans que nous nous soyons préparés."

"Alors que la photographie est devenue un produits de consommation, il est nécessaire de réagir. Allons-nous à notre tour, encourager une consommation boulimique de l'information et renforcer un sentiment d'urgence ? Nous contenter d'alimenter les machines à illusions que sont les banques images et de submerger, d'intoxiquer le public de photographies ? Le traitement présent de l'actualité ne risque-t-il pas de conduire à un état de malbouffe médiatique ? Dans ce marché de la surconsommation, il est essentiel de prendre du recul, d'analyser, de ne pas lâcher le fil de notre histoire. Essayer de ne pas se focaliser sur des évènements en délaissant les conditions profondes qui en sont les causes."

"Essayer de comprendre la façon dont le public construit sa vision du monde. Combattre la montée de l'ignorance, de l'intolérance et la peur de l'autre. La peur tue l'esprit. Cette curiosité dans l'acte photographique est une passerelle essentielle en direction des autres cultures. Ne laissons pas le lecteur se faire happer par le sensationnel et l'auteur se changer en un œil voyeur. Les médias nous imposent leur réalité, les rédactions poussent à l'information spectacle."

"La photographie contemporaine est à la croisée des chemins. Les générations précédentes se sont par exemple inscrites dans une démarche journalistique autour du témoignage. Qu'en est-il aujourd'hui ? Il est inhabituel en France qu'un jeune photographe se revendique du photojournalisme, développe un angle pertinent et affirme un point de vue. Or, faire disparaître les traces de positions politiques du reportage revient à faire un contresens absolu sur sa nature même. C'est désincarner le rêve et la révolte. En entrant dans l'histoire, la photographie a perdu son désir de transformer le monde."

"Nous ne désirons pas façonner une culture du consensus. Aujourd'hui, on ne sait plus montrer, on ne sait même plus voir. Le danger est que les enjeux financiers se substituent au témoignage et au sentiment. Et que le dictat d'une sous-culture succède à celui d'une seule vision du monde."

"N'oublions pas que l'exclusion c'est aussi être privé du regard de l'autre et que la manière d'informer, de s'informer est un enjeu démocratique majeur."

Wilfrid Estève durant le colloque "Le photojournalisme est-il un acte politique ?" organisé en 2005 par le festival Visa pour l'image.[7]

Publications

  • Olivia Colo, Wilfrid Estève et Mat Jacob, Photojournalisme, à la croisée des chemins, Marval et CFD, 2005 (ISBN 2862343757) [présentation en ligne] 
  • Patrick Bard, Marie José Mondzain, Wilfrid Estève, Youri Kozirev, Bernard Stiefgler, Paul Fusco, Jacques Windenberger (préface de Jean-François Leroy et Jean Lelièvre), Actes du colloque "VISA POUR L'IMAGE", Images évidence, 2005, 90 p. (ISBN 2-9520268-2-3) 
  • Wilfrid Estève et Sarah de Haro, "3672, la Free story", Trouble-fête, 2002 (ISBN 291425301) [présentation en ligne] 

Notes et références

  1. Michel Guerrin, "Photojournalisme en péril", article publié dans l'édition du Le Monde du 11.11.2005
  2. Hans Lucas
  3. MYOP
  4. Marta Eloy Cichocka, « Fin de saison : Transfotografia w Trójmiescie », dans POZYTYW, numéro du 08-09/2006
  5. Christian Gattinoni, "Territoires de fictions, l’identité en diffusion", dans Area revue)s(, n°14, mars 2007, pages 155-159
  6. Michel Guerrin, "L'Œil public tourne son regard social vers le festival Visa pour l'image", article publié dans Le Monde du 2 septembre 2001
  7. "Actes du colloque Visa pour l'Image du 1er et 2 septembre 2005" aux éditions Images-Évidence publié en 2005 (ISBN 2952026823).

Liens externes

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