Baguette de coudrier

Baguette de coudrier

Sourcier

Un sourcier du XVIIIe siècle dans un livre français sur les superstitions.

Un sourcier est une personne qui recherche de l'eau souterraine en utilisant des baguettes ou un pendule. Historiquement, les premiers sourciers utilisaient le plus souvent une baguette en bois de coudrier (ancien nom du noisetier), en forme de Y. Les sceptiques évoquent[1],[2],[3] des expériences faites dans des conditions rigoureuses, dites en double aveugle, qui ont montré que les sourciers ne faisaient pas mieux qu'un choix au hasard. D'autres[réf. nécessaire] témoignent de résultats surprenants, permettant de détecter non seulement de l'eau souterraine mais toutes sortes d'objets ou de cavités présents dans le sous-sol ; il semblerait selon eux que le sourcier soit sensible aux variations de champ magnétique et non à l'eau proprement dite.

Sommaire

Histoire et usage

Dans l'Antiquité, la baguette est utilisée comme moyen de divination pour interroger les dieux ; son usage pour trouver de l'eau ou des métaux remonte au XVe siècle en Allemagne. Les alchimistes attribuent à cette pratique des vertus magiques ; en 1517, Luther la condamne. Au XVIIe siècle, Martine de Bertereau et Jean du Châtelet Baron de Beausoleil utilisent des baguettes de sourcier pour trouver des mines en Europe, puis ils popularisent son usage pour trouver de l'eau souterraine. L'utilisation du pendule pour trouver des sources ou des mines date de la fin du XVIIe siècle.

L'usage se répand en Europe au XVIIIe et au XIXe siècle, puis il se raréfie au XXe siècle. Disposer d'un puits était jadis la meilleure façon de se procurer l'eau (potable ou non) dont on avait besoin. Les terrains argileux donnent naissance ici ou là à des cuvettes d'eau souterraine dont l'ensemble constitue la nappe phréatique. Une de leur manifestation visible à l'œil nu, est connue en géologie sous le nom de dolines.

Les sourciers, dont les techniques empiriques ont été décrites par le physicien Yves Rocard, se consacraient à cette tâche au point que leur art était devenu une profession[4] : chaque département français ou presque eut son ou ses sourciers. La profession se raréfia à mesure que s'étendait le réseau d'eau courante. En France, de nos jours, des sourciers collaborent avec des entreprises[réf. nécessaire] privées telle que Van Ingen Forages[5] et des artisans dans la recherche d'eau et pour trouver les lieux adéquats pour le forage.

Instruments

Les baguettes sont généralement constituées de bois (noisetier, amandier, saule, etc.), de métal (laiton, acier, cuivre, etc.) ou de matière plastique.

  • Baguette en forme d'Y ou de V (bois, métal ou plastique)
  • Deux baguettes en forme de L (métal, notamment cuivre)
  • Pendule
  • Antenne de Lecher

Explications

Dans l'antiquité, le phénomène est expliqué par l'action des dieux ou du diable.

En 1810, le chimiste Eugène Chevreul remarque qu'il n'y a plus de corrélation entre le mouvement du pendule et l'objet étudié lorsqu'il ferme les yeux et que l'amplitude du mouvement diminue en immobilisant son bras et son poignet avec un support. Il en conclut qu'on ne peut pas détecter avec le pendule quelque chose qu'on ne sait pas déjà et que les mouvements sont modifiés par l'autosuggestion.

Pour le physicien Yves Rocard qui publie en 1962 Le Signal du sourcier, la baguette joue le rôle de simple détecteur d'un tremblement inconscient plus ou moins prononcé des mains et provoqué par une variation géophysique du champ magnétique terrestre. La présence d'eau en sous-sol modifierait suffisamment le champ magnétique pour que des personnes « sensibles » puissent les percevoir. C'est en 1989 qu'il publie son dernier ouvrage sur le sujet : La Science et les sourciers.

Entre 1964 et 1966, le comité Para refait les expériences d'Yves Rocard avec un protocole plus rigoureux en double aveugle et conclut que le sourcier ne réagit pas à un gradient du champ magnétique.

Plusieurs expériences effectuées dans des conditions rigoureuses ont montré que les sourciers n'obtenaient pas un résultat supérieur au hasard. Aucune expérience scientifique ne montre l'existence du phénomène.

Pour les sceptiques, les témoignages de réussite des sourciers s'expliquent par une bonne connaissance du sol et de la végétation, ainsi que par le hasard (l'eau étant généralement présente sous forme de grande nappe phréatique et non de ruisseaux souterrains). Le mouvement de la baguette s'explique par l'effet idéomoteur et l'autosuggestion.

Expériences

Sydney

En 1980, un groupe sceptique australien organise avec James Randi un concours où il faut trouver dans quel tuyau coule de l'eau, ou savoir détecter la présence de laiton ou d'or, le prix pour le gagnant est de 40 000$[6]. Les candidats ont vérifié le terrain et leur outil en testant la zone lorsqu'aucun tuyau ne contenait de l'eau puis avec un seul tuyau connu en contenant. Parmi les 16 participants, aucun n'a atteint le pourcentage nécessaire pour remporter le prix.

  • Eau : 11 succès sur 50, 22% de réussite, hasard moyen 10%, attendu par les sourciers 86%
  • Laiton : 0% de réussite, attendu 87%
  • Or : 11% de réussite, attendu 99%

Munich

Entre 1986 et 1988, une expérience de grande ampleur commandée par le gouvernement allemand est conduite à l'université de Munich. Cette expérience avait pour but de déterminer si la radiesthésie était une méthode de détection fiable. Les organisateurs croyaient en l'authenticité des capacités des sourciers, et ils ont tout mis en œuvre pour le prouver avec un budget de 400 000 deutschmarks[7].

Méthodologie

Un chariot, qui portait un tuyau dans lequel circulait une masse d'eau, était positionné au hasard sous un faux plancher. Le sourcier devait ensuite, à l'aide de n'importe quel ustensile de son choix (pendule, baguette…) déterminer la position de l'eau. Un illusionniste vérifia l'installation pour éliminer les fraudes potentielles ; pendant chaque essai, une personne était présente pour surveiller le sourcier et noter le résultat, cette personne ne connaissait pas la position du chariot ni le résultat précédent (double aveugle). Afin d'obtenir des résultats statistiquement significatifs, l'expérience fut réalisée auprès d'un groupe de test où chaque sourcier réalisa 104 séries de 5 à 15 essais.

Tests préliminaires

Plusieurs milliers de tests ont été réalisés pendant la phase préliminaire qui ont permis de sélectionner les 43 meilleurs sourciers parmi les 500 qui se sont présentés. Ces tests avait aussi pour but de valider la méthodologie pour que la détection soit réalisée dans les meilleurs conditions possibles. Plusieurs essais ont été réalisés avec différentes configurations : vitesse de l'eau dans le tuyau, eau salée ou contenant du sable ou des graviers et même absence d'eau.

Les résultats

Deux ans et 843 essais plus tard, l'analyse des résultats démontra que les radiesthésistes obtenaient les mêmes résultats qu'une détection effectuée au hasard. Cependant, les sourciers notèrent que 6 radiesthésistes avaient obtenu un taux de succès significatif, et prétendirent que sur les 43 sourciers du test, seulement 6 avaient de réelles compétences mais l'expérience fut tout de même considérée comme un échec par les autorités allemandes. Les statisticiens démontrèrent que sélectionner uniquement les sujets ayant eu un taux de réussite élevé était une erreur d'analyse.

Tom Napier reprend l'expérience

Après cet échec, Tom Napier de la "Philadelphia Association for Critical Thinking" (PHACT) retenta l'expérience[8]. Même méthodologie et même groupe test. Mais cette fois, tout est simulé par ordinateur. Un ordinateur place virtuellement le tuyau d'eau et un autre ordinateur donne, au hasard, la position du tuyau. Les résultats sont équivalents à ceux obtenus par les sourciers lors de l'expérience de Munich. De même que 6 sourciers avaient obtenus des taux de réussite significatifs lors de l'expérience de Munich, 6 sourciers virtuels ont obtenu de bons résultats lors de l'expérience de Napier.

Conclusion

L'expérience menée avec un échantillon représentatif de sourciers démontre que les résultats obtenus suivent la loi normale, tout comme l'expérience par randomisation. De fait, la méthode radiesthésique ne permet pas d'obtenir de meilleurs résultats que si l'on opère au hasard.

Ce genre d'expérience s'appuie sur le postulat que le sourcier détecterait l'élément eau en lui-même, ce qui n'est pas une thèse avérée. Cela invalide de soi le protocole et les conclusions de l'expérience.

Kassel

En novembre 1990, une étude scientifique organisé par le GWUP[9] a eu lieu à Kassel en Allemagne[10],[11].

Préparations

Durant l'été 1989, le GWUP commence à réfléchir à la façon de conduire le test en collaboration avec le sceptique James Randi, puis la Hessische Rundfunk (chaîne de radio/télévision du Land de Hesse) s'associe au projet fournissant un regard neutre en enregistrant les tests.

Suite à l'annonce faite dans la presse, environ 100 sourciers prennent contact avec le GWUP. L'échange de questionnaire permet de cibler les capacités des candidats, la majorité d'entre eux disent pouvoir détecter de l'eau dans des tuyaux et quelques-uns différentes substances (métaux, charbon, pétrole, aimants, etc.).

Méthodologie

Deux protocoles en double aveugle sont organisés :

  1. Le but est de déterminer s’il y a ou non de l'eau qui coule dans un tuyau souterrain connaissant sa position. Les participants font 30 essais et doivent obtenir au moins 25 bonnes réponses soit 83% de réussite.
  2. Trouver parmi dix boîtes en plastique celle qui contient l'objet préalablement choisi par le candidat. La condition de réussite est fixé à 8 bonnes réponses sur 10 essais.

Si un candidat réussit, il doit repasser le même test une deuxième fois, s’il atteint à nouveau le seuil de réussite, il gagne le prix de 20 000 DM.

Hypothèses

  1. Les sourciers peuvent dire dans au moins 83% des cas si de l'eau coule dans un tuyau en plastique alors que le hasard attendu est de 50%.
  2. Les sourciers peuvent dire dans au moins 80% des cas dans quelle boîte se trouve un objet préalablement choisi alors que le hasard attendu est de 10%.

Expériences

Les candidats signent un document indiquant qu'ils acceptent le protocole, qu'ils ont eu la possibilité d'ajuster leur technique aux conditions du test pendant la phase préliminaire, et qu'ils se sentent capable de le réussir[12].

  1. Un tuyau de 5,7 cm de diamètre et de 40 m de long est enterré à 50 cm de profondeur dans un pré incliné. Une vanne permet de choisir si de l'eau coule ou non dans le tuyau.
  2. Dix boîtes numérotées de 1 à 10 sont placées sur un banc. Les participants peuvent choisir un objet parmi plusieurs matériaux : fer, charbon, or, argent, aimant ou cuivre.

Résultats

  1. Les 19 participants ont réalisé 30 essais chacun et ont obtenu entre 11 et 20 bonnes réponses (37% à 67%), au total cela fait 298 bonnes réponses sur 570 essais soit 52,3%.
  2. Les 13 participants ont obtenu entre 0 et 2 bonnes réponses sur 10 essais, au total 14 bonnes réponses sur 130 essais soit 10,8%.

Conclusions

Le seuil de réussite fixé dans les hypothèses n'a pas été atteint. Les résultats sont très proches du hasard attendu et donc ne confirment pas l'hypothèse que les sourciers sont capables de faire mieux que le hasard. Le résultat du meilleur sourcier pour le test de l'eau (20 sur 30) reste probable puisqu'il y a 24% de chance que deux personnes ou plus obtiennent ce score au hasard.

Ce genre d'expérience s'appuie sur le postulat que le sourcier détecterait l'élément eau en lui-même, ce qui n'est pas une thèse avérée. Cela invalide de soi le protocole et les conclusions de l'expérience.

Argenton-sur-Creuse

En mars 2007, l'Observatoire Zététique[13] (OZ) a réalisé une expérience avec deux radiesthésistes dans la ville d'Argenton-sur-Creuse pendant deux jours. L'objectif était de retrouver un échantillon de métal disposant, selon les sourciers, d'un « taux vibratoire » exceptionnel. 3 expériences successives n'ont pas permis de mettre en évidence une capacité des radiesthésistes à identifier effectivement cet échantillon particulier.

Méthodologie

Pour chaque essai, une équipe était chargée de placer l'échantillon sous une des dix boîtes tirée au hasard. Les radiesthésistes devaient, en double aveugle, déterminer sous quelle boîte se trouvait l'échantillon à identifier. Dans ce protocole les radiesthésistes, sous la supervision de deux assesseurs, étaient libres de travailler comme ils l'entendaient et le temps pour chaque essai n'était pas limité. L'analyse statistique a permis de comparer leur performance avec ce qu'aurait pu être une performance réalisée au hasard. Trois expériences de 7, 10 et 32 essais ont été réalisées.

Tests préliminaires

Une demi-journée était consacrée aux essais à blanc et à la vérification des conditions expérimentales. Pendant celle-ci, les radiesthésistes ont identifié les points de la salle qui pouvaient, pour une raison quelconque, influer négativement sur leurs recherches. Ils ont vérifié, à l'aide de leurs instruments, qu'ils pouvaient correctement identifier les échantillons et ont réalisé des tests leur permettant de s'assurer que leur performance serait optimale.

Les résultats

Aucune des 3 expériences n'a donné de résultat significatif. Lors de la première expérience, 7 essais ont été réalisés. Le résultat attendu pour considérer que celle-ci était un succès était de 4 réussites. L'échantillon a été retrouvé 1 fois. La deuxième expérience comprenant 10 essais, 5 réussites étaient nécessaires pour considérer que celle-ci était un succès. L'échantillon n'a été retrouvé que 2 fois. La troisième expérience a porté sur 32 essais. Un minimum de 9 réussites était attendu. L'échantillon a été correctement identifié 4 fois seulement.

Publication des documents

L'intégralité des documents et des données de l'expérience[14] ont été mis en ligne par l'Observatoire Zététique.

Conclusion

Ce protocole expérimental a été mis en place sur la base de deux affirmations. La première était que les échantillons testés disposaient, selon la terminologie radiesthésique, d’un « taux vibratoire élevé et inhabituel ». La seconde était que, grâce à ce taux exceptionnel, ces échantillons pouvaient être mesurés et/ou identifiés par des moyens radiesthésiques. S’il est impossible de prouver logiquement que les échantillons ne « vibrent » pas, ni que les radiesthésistes n’ont pas de sensibilité spécifique, la tentative de mettre en évidence la particularité de ces échantillons par la radiesthésie s'est soldée par un échec. Les résultats sont proches de ce que donnerait, en moyenne, une performance réalisée au hasard.

Les recherches du Pr Rocard

Intrigué par ses rencontres avec les sourciers, le Pr Rocard à la fin de sa carrière entreprit de résoudre ce qui était pour lui une énigme scientifique. Il mit au point un protocole qui imposait aux sourciers de passer un grand nombre de fois devant un cadre parcouru ou non par un courant, le sourcier sachant si le courant passe pour qu’il puisse s’étalonner, ou ne le sachant pas. Le taux de succès avoisina 90%[citation nécessaire]. Les expériences étant concluantes, il tenta ensuite de résoudre deux questions  :

  • Comment l’eau crée-t-elle un champ magnétique ?
  • Comment l’être humain est-il sensible à celui-ci ?

Rocard poursuivit ses recherches. Il découvrit que l’eau filtrant dans le sol déposait de petits cristaux magnétiques sur les parois des failles. Il émit alors l'hypothèse que le sourcier détectait non pas l’eau mais cette cristallisation. Par des médecins, Rocard apprit ensuite l’existence dans le corps humain de petits cristaux de magnétite, au niveau des articulations. Rocard aboutit à la conclusion que ces points se comportaient comme des récepteurs internes qui expliquaient les facultés des sourciers. D'après le professeur Yves Rocard, seule une personne sur 10 est suffisamment sensible pour présenter des aptitudes à l'état de sourcier.

Notes et références

  1. Radiesthésie, Observatoire Zététique.
  2. Dowsing, Skeptic's Dictionary, Robert Todd Caroll.
  3. The Matter of Dowsing, James Randi Educational Foundation.
  4. Thierry Gautier - Le Guide du chercheur d'eau : comment évaluer sa sensibilité aux énergies de la nature pour une nouvelle rencontre avec l'eau. - 2003 - Éditions Guy Tredaniel - (ISBN 9782844455000)
  5. Copie de l'article paru dans le quotidien Le Monde du 2 mai 2006
  6. (en) Australian Skeptics Divining Test par James Randi
  7. (en) The Failure of the Munich Experiments, J. T. Enright, 1999
  8. (en) Dowsing is as Easy as Pi par Tom Napier
  9. (de) www.gwup.org Gesellschaft zur Wissenschaftlichen Untersuchung von Parawissenschaften
  10. (en) The Kassel Dowsing Test, par Robert Konig, Jurgen Moll, et Armadeo Sarma partie 1, partie 2
  11. (de) GWUP-Psi-Tests 2004: Keine Million Dollar für PSI-Fähigkeiten
  12. Déclarations des sourciers avant et après les tests :
    DECLARATION
    I DECLARE THAT I HAVE BEEN GIVEN SUFFICIENT INFORMATION ABOUT THE TESTS BY THE GWUP AND BY JAMES RANDI BOTH VERBALLY AND IN WRITING. IN PRE-TRIAL RUNS, I HAD THE OPPORTUNITY TO ADJUST MYSELF TO THE CONDITIONS, AND I FEEL PHYSICALLY AND PSYCHICALLY ABLE TO SUCCEED IN THE TEST UNDER THE GIVEN CIRCUMSTANCES.
    DECLARATION
    I DECLARE THAT THE TESTS WERE CONDUCTED IMPECCABLY. THE TEST CONDITIONS AND THE SCHEDULE HAVE IN NO WAY IMPEDED ME DURING THE TESTS.
    [1]
  13. (fr) Protocole expérimental : radiesthésie, par l'observatoire zététique
  14. (fr) Documents et données du protocole d'Argenton, par l'observatoire zététique

Voir aussi

Liens externes

Expériences 

Bibliographie

  • Yves Rocard, Le Signal du sourcier, éditions Dunod, 1962 (épuisé).
  • Yves Rocard, La Science et les sourciers ; baguettes, pendules, biomagnétisme, Paris: Dunod 1989, (ISBN 2100029967).
  • Yves Rocard, Les Sourciers - Collection "Que Sais-je" n° 1939 (Presses universitaires de France)
  • Adolphe Landspurg, Sourciers et science traditionnelle, éditions La Malaisnie-Tredaniel, 1999 (ISBN 2857077939)
  • Adolphe Landspurg, Comment devenir sourcier et géobiologue (La pratique de la radiesthésie vibratoire), éditions Dangles, 2003 (ISBN 2703305532)
  • Bertrand Gonthiez, Réaliser et entretenir son puits, édition Eyrolles, 2009.
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