École nationale supérieure de techniques avancées

École nationale supérieure de techniques avancées
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ENSTA ParisTech
ENSTA_ParisTech
Nom original École des ingénieurs-constructeurs des vaisseaux royaux
Informations
Fondation 1741
Fondateur Henri Louis Duhamel du Monceau
Type École d'ingénieurs et établissement public d'enseignement et de recherche
Budget 19,98 millions d'euros
Dotation 16,12 millions d'euros
Localisation
Coordonnées 48° 50′ 03″ N 2° 17′ 00″ E / 48.834246, 2.28333148° 50′ 03″ Nord
       2° 17′ 00″ Est
/ 48.834246, 2.283331
  
Ville Paris
Pays Drapeau de France France
Région Île-de-France
Campus Porte de Versailles
Direction
Président Yves Demay
Chiffres clés
Enseignants 650
Enseignants-chercheurs 180[1]
Étudiants 577[2]
Doctorants 84[3]
Niveau Bac+6 (Mastère Spécialisé)
Diplômés/an 164 en 2009[3]
Divers
Mascotte Crocodile
Affiliation ParisTech, IDEA League, CGE, CDEFI, ASTech, Groupe ENSTA, TIME
Site web www.ensta-paristech.fr

Géolocalisation sur la carte : France

(Voir situation sur carte : France)
École nationale supérieure de techniques avancées

L'ENSTA ParisTech (École nationale supérieure de techniques avancées, membre de ParisTech) est une grande école française d'ingénieurs. Elle forme aujourd'hui environ 160 ingénieurs généralistes par an. Elle dispense une formation de haut niveau scientifique et technologique. Sa mission est de « former des ingénieurs capables d’assurer la conception, la réalisation et la direction de systèmes complexes, sous des contraintes économiques fortes et dans un environnement international ».

Sommaire

Présentation

Historique

Portrait de Duhamel du Monceau par François-Hubert Drouais. Posé devant lui, les Éléments d’architecture navale sont présentés comme son œuvre majeure

Son origine remonte à l'initiative d'Henri Louis Duhamel du Monceau, inspecteur général de la Marine, qui identifia le besoin d'apporter aux maîtres-charpentiers de marine les connaissances théoriques, notamment en mathématiques et physique, nécessaires à une meilleure compréhension de leur métier. Après avoir créé une première école à Toulon, il la transfère à Paris en 1741, date qui marque l'origine de l'établissement. Après qu'elle eut connu une éclipse de 7 ans pour des raisons budgétaires, il parviendra en 1765 à convaincre le duc de Choiseul de la rouvrir. Il continuera à la diriger le restant de sa vie.

Hébergée à l'époque dans le palais du Louvre, l’École des ingénieurs-constructeurs des vaisseaux royaux ainsi créée deviendra par la suite l’École nationale supérieure du génie maritime.

Elle fusionna en 1940 avec l’École d'application de l'artillerie navale. En 1970, la Délégation générale pour l'armement fusionna l'école avec trois autres de ses établissements, également écoles d'application de l'École polytechnique :

  • L’École nationale supérieure des poudres, première école d'ingénieurs chimistes, créée avec la Régie des Poudres par Antoine Lavoisier en 1775[4], devenue École d'application des poudres et salpêtres en 1878, puis École Nationale Supérieure des Poudres
  • L’École nationale supérieure de l'armement, fondée en 1936
  • L’École des ingénieurs hydrographes de la Marine

Ainsi fut constituée l'École nationale supérieure de techniques avancées (ENSTA), avec pour mission de former des ingénieurs dans les domaines naval, mécanique, nucléaire, chimique, électronique et connexes. Les compétences scientifiques de chacune des écoles fondatrices se retrouvent dans la large palette des disciplines pratiquées à l'ENSTA ParisTech en matière de recherche, ainsi que dans le caractère généraliste de son enseignement et la variété des approfondissements offerts aux élèves.

L'École aujourd'hui

L'ENSTA ParisTech est aujourd'hui un établissement public à caractère administratif placé sous la tutelle du ministère de la Défense. En pratique, cette tutelle est exercée par la Direction générale de l'Armement (DGA) et le directeur de l'école est un ingénieur général de l'armement. Elle est membre de ParisTech, pôle de recherche et d'enseignement supérieur qui réunit 12 grandes écoles implantées en région Ile-de-France.

Elle est principalement située boulevard Victor dans le 15e arrondissement de Paris. Certains laboratoires sont néanmoins implantés à Palaiseau, sur le campus du plateau de Saclay. Il est d'ailleurs prévu en 2012 un déménagement complet de l'école à Palaiseau, près de l'École polytechnique.

Elle crée en décembre 2010 le groupe ENSTA qui intègre dès le 2 décembre 2010 l'ENSIETA qui devient l'ENSTA Bretagne.

Faits marquants

  • 1970 : formation de l'ENSTA à partir des École nationale supérieure des poudres, École nationale supérieure de l'Armement et École des ingénieurs hydrographes de la Marine.
  • 1991 : création du groupement « Grandes écoles d'ingénieurs de Paris », futur ParisTech, dont l'ENSTA ParisTech est membre fondateur
  • Le 24 juin 1997, le catamaran Techniques Avancées devient détenteur du record du monde de vitesse en catégorie D, avec 42,12 nœuds.
  • En mai 2005, l'École des Ponts ParisTech et l'ENSTA ParisTech se rapprochent pour offrir la possibilité aux élèves de l'une de terminer leur cursus ingénieur dans l'autre.
  • En 2008, l'ENSTA est renommée en ENSTA ParisTech et change de logo intégrant le nouveau nom.
  • Depuis 2008, les élèves ingénieurs de ParisTech (et donc de l'ENSTA ParisTech) peuvent terminer leur cursus dans n'importe quelle école d'ingénieur de ParisTech.
  • Décembre 2010 : création du groupe ENSTA, l'ENSIETA devient ENSTA Bretagne le 2 décembre 2010.
  • Prévu en 2012 : déménagement sur le campus du plateau de Saclay, près de l'École polytechnique.

Enseignement

Recrutement

Il y a quatre modes principaux de recrutement :

  • Les élèves sont recrutés pour l'essentiel via le concours commun Mines-Ponts.
  • L'école diversifie son recrutement, en admettant aussi sur titres des élèves français et étrangers.
  • L'ENSTA ParisTech est l'une des écoles d'application de l'École polytechnique et reçoit donc, à ce titre, des élèves de l'X venus y achever leur cursus d'ingénieur.
  • L'école étant membre de ParisTech reçoit également à ce titre des élèves des autres écoles du groupe.

Avec l'ISAE, l'ENSTA ParisTech est l'une des deux écoles de formation initiale des ingénieurs de l'armement. Elle propose également une formation en ingénierie aux officiers des armées.

Débouchés

Les débouchés sont très divers : industrie, PME, start-up, recherche scientifique... et dans de nombreux domaines.

Par ailleurs, l'ENSTA ParisTech conserve des formations spécifiques liées à son histoire. Elle propose ainsi une filière « architecture navale et offshore » en 3e année reconnue comme la meilleure dans le domaine en France. Un master spécialisé est aussi proposé dans le même domaine. On retrouve les élèves de cette filière dans tous les domaines du naval français et les grands projets : Queen Mary 2, SNLE et frégates, Vendée Globe ou Coupe de l'America.

Contenu de la formation

Formation en 1ère année

La première année est principalement consacrée à l’acquisition des connaissances fondamentales des sciences pour l’ingénieur. Dispensés tout au long de l'année, les cours de tronc commun scientifique couvrent trois grands domaines :

  • mathématiques appliquées ;
  • sciences et technologies de l’information et des communications ;
  • physique, chimie et mécanique.

Au deuxième semestre, l'enseignement thématique, ensemble cohérent de cours représentant un volume horaire important (84 heures), a pour objectif de faire découvrir aux élèves un domaine scientifique ou technique en s'éloignant des considérations académiques classiques. À côté de la formation scientifique, les élèves suivent les enseignements de droit, économie et gestion, de culture et communication, et de langues vivantes. Le cursus de première année est complété par le stage d'immersion en milieu industriel (ou « stage ouvrier »), réalisé pendant l'été suivant la fin des cours.

Formation en deuxième année

Le début de la deuxième année est consacré à la poursuite de la formation scientifique et technique fondamentale de tronc commun. À partir de novembre, les enseignements de tronc commun se divisent en trois voies, entre lesquelles l'élève est appelé à choisir en fonction de ses centres d'intérêts et de son projet professionnel. Pour mieux aborder certaines spécialités, des variantes sont proposées à l'intérieur des voies. Les élèves admis sur titre bénéficient en début d'année de cours de tronc commun complémentaires spécifiques.

Au deuxième semestre, les élèves ont le choix entre plusieurs modules électifs. Ces enseignements optionnels, tournés vers des problématiques de recherche actuelles, sont ensuite mis en application au sein d'équipes de recherche partenaires de l'ENSTA ParisTech en France ou à l'étranger, lors du projet personnel en laboratoire (PPL), d'une durée de deux à quatre mois.

Les enseignements de droit, économie et gestion, de culture et de langues vivantes se poursuivent tout au long de l'année, à l'exception des deux derniers mois, réservés au PPL.

Formation en troisième année

La troisième année est consacrée à des enseignements d'approfondissement tournés vers les applications industrielles et organisés par filière. L'accent est mis d'une part sur l'approfondissement des compétences scientifiques sur des thèmes choisis par l'élève, d'autre part sur l'acquisition de connaissances spécifiques à un métier donné. Un voyage d'études optionnel d'une semaine permet une approche concrète de ce métier.

Au-delà de sa formation d'ingénieur généraliste, l'élève acquerra ainsi un profil d'ingénieur orienté vers un secteur économique ou un savoir-faire particulier, dans lequel il commencera en général sa carrière.

Les élèves de 3e année sont amenés à choisir l'une des filières offertes. Chaque filière est composée de quatre modules de 84 heures chacun. Dans la plupart des filières, une latitude est laissée à l'élève pour faire des choix parmi les modules d'enseignement proposés, selon la tonalité qu'il souhaite donner au métier d'ingénieur qu'il envisage.

Outre un enseignement de droit, économie et gestion, les élèves se voient proposer un cours intensif dans le cadre de la semaine européenne du programme ATHENS. Ils bénéficient toujours de l'enseignement de langues vivantes ainsi que d'une formation aux techniques de recrutement.

Le cycle d'ingénieur se conclut par la réalisation du projet de fin d'études (PFE), qui occupe le deuxième semestre. Il se déroule dans des établissements industriels ou de recherche en France ou à l'étranger.

Mastères, masters

Outre le cycle ingénieur, à caractère résolument généraliste, l'ENSTA ParisTech organise ou est partenaire de plusieurs types de formations spécialisées : des mastères spécialisés et des masters recherche ou professionnels.

Les mastères spécialisés

Les mastères spécialisés sont des formations de troisième cycle accréditées par la Conférence des grandes écoles (CGE) qui en attribue le label de manière exclusive. Organisées par des grandes écoles d'ingénieurs ou de gestion, ces formations s'adressent à des titulaires de diplômes de niveau Bac + 5 désireux d'acquérir une double spécialité, ou à des professionnels souhaitant réorienter leur carrière (les professionnels peuvent intégrer cette formation avec un diplôme de niveau bac + 4 sous réserve de justifier d'une expérience professionnelle d'au moins trois ans).

L'ENSTA ParisTech propose trois mastères spécialisés à contenu technologique :

  • le mastère spécialisé en architecture navale ;
  • le mastère spécialisé en architecture des systèmes d'information ;
  • le mastère spécialisé en ingénierie nucléaire.

Elle propose également :

  • mastère spécialisé en marketing, management et communication.

Il s'agit d'une formation de l'École supérieure de commerce de Toulouse, dont une collaboration avec l'ENSTA ParisTech a permis de créer une implantation parisienne.

Les masters

Les masters à finalité recherche ou professionnelle sont apparus dans le cadre de la réforme « licence-master-doctorat » (LMD), qui vise à harmoniser les diplômes de l'enseignement supérieur à l'échelle européenne. Ils ont pris la place notamment des anciens "Diplômes d'études approfondies" (DEA) et ceux à finalité recherche préparent particulièrement au doctorat.

Leur durée est de deux ans. Il est toutefois possible aux élèves-ingénieurs en dernière année d'école d'obtenir un master recherche en ne suivant que des cours de la deuxième année du master (communément désignée par M2) en parallèle de leurs cours du cycle ingénieur.

L'ENSTA ParisTech est partenaire de plusieurs masters, le niveau de partenariat pouvant aller de la simple convention pédagogique à la cohabilitation (co-délivrance du diplôme) :

  • le master ParisTech Gestion et traitement des Eaux, des Sols et des Déchets ;
  • master Sciences et Technologies Conception Modélisation et Optimisation des Procédés ;
  • master Énergie Nucléaire ;
  • les masters recherche en partenariat.

Formation continue

L'école réalise une importante activité de formation continue par le biais de sa filiale EUROSAE commune avec l'ISAE.

Recherche

Unités d'enseignement et de recherche

L'école dispose de six unités d'enseignement et de recherche :

  • UCP : Unité de chimie et procédés
  • UEI : Unité d'électronique et d'informatique
  • UMA : Unité de mathématiques appliquées
  • UME : Unité de mécanique
  • UOA : Unité d'optique appliquée
  • UEA : Unité d'économie appliquée

L'ENSTA ParisTech abrite aussi l'unité mixte de l'Institut de la Lumière Extrême (ILE). Cette unité est sous tutelle du CNRS, de l'École Polytechnique, de l'Institut d'Optique Graduate School de l'université Paris XI et de l'ENSTA ParisTech.

L'ENSTA ParisTech à l'international

Les élèves à l'international

En 2009, il y avait 22 % d'élèves étrangers qui suivaient des cours à l'ENSTA ParisTech[5]. La majorité de ces élèves sont issus d'un recrutement sur titre. En Russie, en Chine et au Brésil, le recrutement s'effectue dans des procédures communes avec plusieurs écoles de ParisTech[6].

De nombreux élèves de l'école décident de faire leur année de césure (entre la deuxième et la troisième année) dans une université étrangère (33 élèves en 2009[7]). De même, 70 % des stages ouvriers et des stages en laboratoires sont effectués à l'étranger[6].


Partenariat avec des universités étrangères

L'ENSTA ParisTech a signé une soixantaine d'accords d'échanges avec des universités étrangères, et bénéficie des accords passés par ParisTech.

Des accords de doubles diplômes ont été conclus ainsi que des conventions pour des actions plus spécifiques : échanges de recherche, stages, post-doctorats, etc.

Enfin, certaines universités accueillent régulièrement, hors convention de partenariat, des étudiants de l'ENSTA ParisTech partis effectuer un Master ou un stage, principalement en Amérique du Nord.

Semaine Athens

Chaque année, comme beaucoup d'écoles de ParisTech, l'école participe à la semaine européenne Athens. L'ensemble des élèves de deuxième et troisième année partent dans une université européenne partenaire suivre des cours. De même, l'école organise, au cours de cette semaine, des cours pour les élèves des universités européennes partenaires.

Vie associative

Comme la plupart des grandes écoles, la vie associative des élèves est gérée par des bureaux :

  • Bureau des élèves (BDE)
  • Bureau des Sports (BDS)
  • Bureau des Arts (BDA)

L'école possède en outre les principales associations suivantes :


Les élèves de l'école organisent en outre les évènements suivants :

  • Booms de l'ENSTA ParisTech: les soirées étudiantes à l'ENSTA ParisTech.
  • Gala de l'ENSTA ParisTech
  • 7 à Paris : le tournoi universitaire de Rugby à sept.
  • Les Arts en Scène : le festival artistique de ParisTech.
  • ParisTech Poker Tour

Anciens élèves

Anciens élèves de l’École nationale supérieure du génie maritime

Anciens élèves de l'École nationale supérieure des poudres

Anciens élèves de l'École nationale supérieure de techniques avancées

  • Vincent Rambaud, DG de PSA Peugeot
  • Alain Bugat, administrateur de DCNS, de EDF et de Areva NC
  • Olivier Chaplain
  • Mohamed el-Kettani, PDG de Attijariwafa bank
  • Philippe Mellier, Executive Vice President de ALSTOM et président de ALSTOM Transport
  • Laurent Castaing, directeur général du Port autonome du Havre
  • Didier Lallemand, directeur financier de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU)
  • Yves Rica, directeur général de la Régie des tabacs du Maroc et précédemment président du directoire de Altadis
  • Patrick Samier, directeur général adjoint de Sagem avionique
  • Luc Rémont, directeur de Bank of America - Merrill Lynch France
  • Victor Peignet, directeur général de SCOR GLOBAL P&C SE
  • Didier Brugère, directeur des affaires France du Groupe THALES
  • Général Xavier Michel, directeur général de l'École polytechnique
  • Jean-François Le Garrec, PDG de AGF MAT
  • Jean-Christophe Damez-Fontaine, DSI VINCI Energies
  • Olivier Urcel, DSI Alice (Illiad Group)
  • Patrick Ropert, directeur de la communication opérationnelle de la SNCF
  • Bertrand Kientz, vice-président chez AMADEUS
  • Yves Gueyffier, président de Dassault Falcon Service
  • Florent Mamelle, PDG de Homelidays
  • Vincent Hauteville, DSI de Carrefour
  • Olivier Dessoude, Directeur technique d'Euriware (Groupe AREVA)
  • Thierry Pottier, DAF de Artech Information Systems Llc (Columbia-NJ)
  • Ravi Viswanathan, Group Chief Executive Officer at Nexgen Financial Holdings Limited (NATIXIS SA) and Managing Director at NATIXIS Corporate Solutions (Asia).
  • Renaud de Barbuat, DSI de THALES et vice-président du CIGREF (ancien vice-président et DSI d'EDF)
  • Édouard Moulle, directeur de la stratégie du courrier au groupe La Poste
  • Jean Boschat, vice-président à AT KEARNEY
  • Fabrice Kahn, partner chez RolandBerger
  • Frédéric Van Roekeghem, directeur général de la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS) et directeur de l'UNCAM ou Union nationale des caisses d'assurance maladie (créée en août 2004).
  • Arnaud de Bertier, directeur associé chez McKinsey France
  • Philippe Cothier, directeur associé chez McKinsey & Company (ancien directeur général au sein du groupe MATRA).
  • Birago Bèye, CTO de la Sonatel
  • Bernard Caperan, DG adjoint de la Société ivoirienne de raffinage
  • Francis Grass, directeur général France Voyageurs de Veolia Transport
  • Pierre Marol, président-directeur général de la société Alstef et président du Syndicat des équipements pour la construction, les infrastructures, la sidérurgie et la manutention (Cisma)
  • Gilbert Le Lann, directeur du CEDRE (Centre de documentation, de recherche et d'expérimentations sur les pollutions accidentelles des eaux)
  • Philippe Sorret, PDG de Akerys, ancien directeur général du groupe Aviva

Logos


Références

Lien externe


Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article École nationale supérieure de techniques avancées de Wikipédia en français (auteurs)

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