École navale

École navale
École navale
Logo de l'école
Devise Honneur, patrie, valeur, discipline
Informations
Fondation 1827
Type Grande école militaire
Localisation
Coordonnées 48° 16′ 45″ N 4° 24′ 54″ W / 48.279167, -4.41548° 16′ 45″ Nord
       4° 24′ 54″ Ouest
/ 48.279167, -4.415
  
Ville Lanvéoc
Pays Drapeau de France France
Région Bretagne
Campus Base de Lanvéoc-Poulmic
Direction
Président Contre-amiral Marc de Briançon
Chiffres clés
Personnel 270 militaires, 30 civils
Étudiants 1 500 par an tous cursus confondus [1]
Doctorants 30[2]
Niveau Bac+5 (Diplôme d'ingénieur)
Diplômés/an 74 en 2009[2]
Divers
Affiliation CGE[3], CDEFI, Université européenne de Bretagne
Site web www.ecole-navale.fr/

Géolocalisation sur la carte : France

(Voir situation sur carte : France)
École navale

L'École navale est un établissement d'études supérieures qui assure la formation initiale des officiers de la marine nationale française. Ceux-ci sont destinés à occuper des postes de responsabilités à bord des bâtiments de surface, des sous-marins, de l'aéronautique navale, des formations de fusiliers marins et commandos et des état-majors.

L’École navale et son institut de recherche (IRENav) sont installés sur un site de 100 hectares au sud de la rade de Brest à Lanvéoc-Poulmic.

Sommaire

Historique

Les Borda successifs de l'École d'application de la Marine

La maquette du Valmy (ou Borda III), construit vers 1840, navire-école entre 1863 et 1890
L'Intrépide (ou Borda IV), navire de l'École d'application de la Marine entre 1890 et 1900

L' École navale, crée en 1830, fut longtemps embarquée à bord de navires successifs basé à Brest et surnommés Borda (du nom de Jean-Charles de Borda, célèbre marin et savant français du XVIIIe siècle): le premier vaisseau sur lequel fut installé l'École d'application de la Marine, ancêtre de l'École navale, se nommait l' Arion ; il fut remplacé en 1840 par le Commerce-de-Paris, vieux trois-ponts en bois qui datait de 1808. Le Commerce-de-Paris ayant un nom inapproprié pour une École navale, on le rebaptisa le Borda, du nom d'un vaillant et savant officier de marine. En 1863, on transporta l'École sur le Valmy (Borda III), puis en 1890 sur L'Intrépide (Borda IV), et vers 1900 sur le Duguay-Trouin (1900) (ou Borda V), voilier navire-hôpital dénommé antérieurement "Saïgon"[4], mais tous ces navires continuèrent à être surnommés Borda. En 1912, c'est le croiseur cuirassé Jeanne d'Arc (1899), lancé en fait en 1902, qui devient navire-école et le reste jusqu'en 1928 (avec une interruption pendant la première guerre mondiale).

Le vieux Borda, après sa désaffection, continua à croupir pendant plusieurs décennies à l'abri de la digue du port de guerre de Brest, mais, bien qu'abrité des lames, il tanguait parfois en gémissant sur ses ais,ne tenait plus que par la force de l'habitude au point que « les rats même commençaient à le quitter » et il était grand temps de l'abandonner (ce qui fut fait en 1913), même s'il avait encore bel air vu de loin avec les raies noires et blanches de sa coque, ses sabords et ses trois mâts dont le plus haut atteignait 80 mètres[5].

Les traditions à bord des Borda

La cérémonie d'entrée au Borda

L'arrivée du Duguay-Trouin (ou Borda V) à Brest en 1901

Les nouveaux étaient embarqués au ponton du pont Gueydon, un jour avant les anciens. Entassés comme des moutons dans une canonnière, ils étaient pleins d'entrain et de joie en lançant un adieu à leurs familles. À peine arrivés, on les classait, on les numérotait, on leur enlevait leurs vêtements pour leur donner la blouse blanche et le pantalon de toile des conscrits et on leur rasait la tête.

Le surlendemain, les parents étaient admis sur le borda à la messe de rentrée qui était célébrée dans l'entrepont servant d'étude. Des pavillons entouraient l'autel, un seul fauteuil était réservé au pacha, le capitaine de vaisseau commandant l'École. Les parents prenaient place sur les bancs, et alors entaient les élèves, les anciens les premiers, se rangeant sur les côtés, et ensuite les nouveaux faisant triste mine dans leur nouveau costume sous les quolibets des anciens criant : « Caillou ! caillou ! » pour saluer les têtes rasées. lors commençait la messe, tandis que la musique des équipages de la flotte, restée sur le pont, jouait des morceaux religieux.

Déjà la veille les anciens avaient procédé à la reconnaissance des nouveaux ; chacun avait choisi son fistot et ceux-ci arrivaient pour dîner à la salle à manger où la soupe était servie. « Qu'est-ce que cela ? », disaient les anciens aux nouveaux, « vous croyez que vous allez dîner ? Apprenez qu'un officier de marine doit savoir se passer de dîner ». Et aussitôt, ils jetaient par les sabords toute la vaisselle et les bouteilles. Ce qu'on en a jeté de ces assiettes pendant tant d'années ! On prétendait même que leur amoncellement sur le fond de la rade servait de pilotis au vieux Borda et qu'il ne tenait plus que par là. Cette tradition était respectée. On se contentait de faire payer la casse aux parents, et c'était fort peu de choses. Mais les anciens sortaient alors de leurs poches des gâteaux et du Madère pour les pauvres nouveaux : c'était leur adoption[5].

Les autres traditions

Un élève-officier de l'École d'application de la marine vers 1836 (Ernest Chassériau)

Une autre cérémonie traditionnelle à bord du Borda était la "remise du sabre" au fistot par son ancien, pour le premier jour de sortie ; le fistot se mettait à genou et baisait la lame du sabre comme s'il était armé chevalier par un preux.

Au printemps, quand avait lieu la première sortie en canot, avait lieu une autre consécration, celle du baptême, que les anciens administraient aux nouveaux à grands renforts de seaux d'eau[5].

L'argot du Borda

Le Borda avait son argot, comme toute "Grande École" qui se respecte. Les éléphants, ce sont les civils, alias les pékins. Le bordache, c'est l'élève ; le clafustard, c'est le mécanicien ; les bichons, ce sont les godillots ; les molosses (ou losses), ce sont les officiers mariniers assurant l'encadrement militaire ; la carlingue, c'est l'architecture navale qu'il faut ramorder. Enfin, il y a les "chansons du bord", qui ne sont pas toutes transcriptibles en raison de leur crudité, et les "farces du bord", dont la plus connue consiste passer sous le hamac d'un camarade et à le faire chavirer en faisant le gros dos[5].

L'apprentissage du métier de marin

Tout cela n'empêche pas les futurs officiers de marine de travailler ferme ; dès les premiers jours, les anciens accompagnent les nouveaux dans l'ascension des haubans, et leur font faire le rétablissement pour entrer dans la hune. C'est la première étape. Puis vient l'ascension de la seconde hune, et peu à peu, chacun s'habitue à ne pas avoir le vertige, à courir sur la corde tendue au-dessous de chaque vergue, à lâcher la voile et à la remonter par les ris, tout cela aux commandements du sifflet. Bien que le métier de gabier fut devenu inutile avec les navires de guerre modernes, on l'enseignait toujours aux élèves-officiers, pour qu'ils soient aptes à ramener une prise en cas de guerre, et à la ramener avec ses voiles, et parce que cela faisait partie de la tradition.

Les deux années d'école étaient bien remplies par tout ce que devait apprendre un officier de marine : la rame, la voile, la machine, les exercices d'infanterie, la manœuvre du canon, les signaux de timonerie avec les drapeaux, le service du bord, les mathématiques supérieures, la géographie, l'hydrographie, l'anglais, et je ne sais combien de choses.

Puis venait la troisième année où les anciens, devenus aspirants, reçoivent les aiguillettes, qu'ils ne porteront plus que s'ils deviennent officiers d'ordonnance, et ils voyagent comme dans un rêve, pour le plaisir autant que pour leur instruction. Ils visitaient les principaux ports de la Méditerranée, les fjords de Norvège, les deux Amériques, passent quelquefois le carnaval à La Nouvelle-Orléans et reviennent pour prendre place sur un vaisseau comme aspirant de première classe pendant deux ans avant de passer enseigne de vaisseau[5].

L'École navale à terre

L'inauguration de l'École navale par le président de la République Albert Lebrun le 30 mai 1936

Dès le début du XXème siècle, un projet d'installation à terre de l'École navale a failli aboutir, l'emplacement choisi étant à la Pointe, dans le quartier de Recouvrance à Brest, mais il échoua faute de financement. Elle s'installa toutefois en 1915 dans des bâtiments existants à Laninon, également à Recouvrance.

La première pierre de l'École navale est posée le 14 novembre 1929 par Georges Leygues, alors ministre de la Marine, et elle est inaugurée le 30 septembre 1935 à Saint-Pierre-Quilbignon, alors commune indépendante de Brest[6] par le président de la République Albert Lebrun[7]. La tradition d'un voyage autour du monde a été préservée, en particulier à bord des Jeanne d'Arc successifs : le Jeanne d'Arc (1899)[8], le Jeanne d'Arc (1930)[9], le Jeanne d'Arc (porte-hélicoptères)[10], (1964), désarmé en 2010.

En 1945, les destructions importantes subies par l’École navale de Saint-Pierre-Quilbignon pendant la Seconde guerre mondiale ne permettaient pas d’accueillir rapidement les élèves officiers dans des conditions acceptables. Elle fut transférée dans des baraquements à la base d'hydravions de Lanvéoc, dans la baie de Poulmic, les bâtiments de la nouvelle École navale à cet endroit furent inaugurés en 1965 par le général De Gaulle[11]. L'ancienne École navale de Saint-Pierre-Quilbignon abrite désormais le lycée naval de Brest, ainsi que l'École des Mousses[12].

Filière Officier

Cursus "ingénieur"

garde au drapeau de l'École navale, 8 mai 2005

Le cursus "ingénieur" est un cursus en trois ans après les classes préparatoires aux Grandes Écoles. En fin 2009, l'École navale a adapté sa formation afin de s'inscrire complètement dans le schéma européen d'enseignement. Les étudiants sont recrutés sur banque d'épreuve du Concours Centrale-Supélec après deux ou trois ans de maths sup et maths spé (MP, PC, PSI). Le cursus s'articule sur 6 semestres soit 360 crédits ECTS:

  • semestre 1 : formation maritime et militaire élémentaire;
  • semestre 2 : tronc commun scientifique;
  • semestre 3 : options scientifiques et relations internationales;
  • semestre 4 : voie d'approfondissement scientifique et "environnement de la Défense";
  • semestre 5 : projet de fin d'études;
  • semestre 6 : campagne d'application à la mer.

À la fin de ce cursus, ils se voient attribuer le titre d'ingénieur diplômé de l'École navale et le grade de master. Ce diplôme est reconnu par la commission des titres d'ingénieurs (CTI).

Après cette formation, ils poursuivent avec la "formation maritime supérieure et spécialisation" (cf. ci-dessous), ils sont promus "enseigne de vaisseau de première classe".

Cursus "officier sous-contrat"

Le cursus formation de l'officier est suivi par les "officiers sous-contrat". Cette formation initiale de l'officier dispensée à l'École navale vise à inculquer à ces jeunes diplômés de l'enseignement supérieur d'origine très diverses une culture maritime et une culture militaire. Cette formation dure 1 an.

Elle est sanctionnée par l'attribution pour :

  • les officiers de marine filière "conduite des opérations" : par le brevet de "chef de quart passerelle" certification internationale STCW*95;
  • les officiers de marine filière "énergie, propulsion" : par le brevet de "chef de quart machine";

À la fin de cette année de formation, les aspirants sont nommés enseigne de vaisseau de deuxième classe, ils poursuivent avec la "formation maritime supérieure et spécialisation" (cf. ci-dessous).

Cursus "officier spécialisé de la marine"

Le site de l'Ecole Navale abrite également l'Ecole militaire de la flotte qui forme les officiers recrutés sur concours interne.

Formation maritime supérieure et spécialisation

Après leur formation, soit dans le cursus "ingénieur", soit dans le cursus "sous-contrat", les jeunes enseignes effectuent un stage d'orientation puis rejoignent une école de spécialisation qui leur permettra d'assurer en plus de leur fonction de chef de quart les fonctions de chef de service.

À bord d'un bâtiment de surface, on peut citer par exemple la spécialité "détection", "lutte sous-marine", "systèmes d'armes", "systèmes d'information et de commandement", ou encore "commando"...

Après cette deuxième période de formation, les jeunes officiers rejoignent leur première affectation embarquée.

La carrière

Article détaillé : Officier de marine.

Autres filières

L'École navale forme également des étudiants civils, des cursus en mastère spécialisé, ou en mastère recherche, se sont développés. De plus l'École navale par son institut de recherche accueille des doctorants.

Trois mastères sont proposés :

Histoire de l'école

Un des Borda, à bord duquel l'école navale était installée de 1840 à 1914.

La formation des officiers de marine a été assurée sous l'Ancien Régime par les compagnies de gardes de la marine et du Pavillon, créées au XVIIe siècle et supprimées à la Révolution.
Sous le premier Empire, à partir de 1810, les Écoles spéciales de marine, embarquées sur Le Tourville à Brest et à Toulon sur Le Duquesne, prennent le relais.
Le Collège royal leur succède, fondée à la Restauration, et implanté à Angoulême, en l'honneur du fils du futur Charles X, Louis Antoine d'Artois, titré duc d'Angoulême. Ce Collège était implanté sur le lieu de l’actuelle gare de chemin de fer.
En 1827 par décision du gouvernement de Charles X, est rétablie à Brest une école embarquée sur un navire-école, l'Orion qui prend le nom d’École navale, nom confirmé en 1830. L'École restera embarquée jusqu'en 1914, date à laquelle elle est transférée à terre. Elle est aujourd'hui située au Sud de la rade de Brest, à Lanvéoc, au lieu-dit Le Poulmic.

Les élèves du cursus "ingénieur" sont nommés Bordaches du nom des vaisseaux Borda- il y en eu successivement quatre entre 1840 et 1914 - qui accueillaient l'École navale jusqu'en 1914).

Commandant de l'école navale

Moyens de l'École

L'école navale dispose de moyens propres pour assurer la formation maritime des futurs officiers.

  • 8 bâtiments-écoles surnommés "la ménagerie" (Léopard, Guépard, Jaguar, Lion, Lynx, Panthère, Chacal et Tigre);
  • 2 bâtiments d’instruction à la navigation (Glycine et Églantine);
  • 2 bâtiments d’instruction à la manœuvre (Farfadet et Chimère);
  • simulateur de navigation "Iphigénie";
  • avions.

L'École navale possède aussi deux goélettes à hunier, la Belle Poule et l'Étoile qui servent de bateau école aux futurs chefs de quart de la marine nationale. Elles participent souvent aux rassemblements de gréements traditionnels.

Traditions et vie associative

Anciens élèves

Parmi les anciens élèves, on compte nombre de marins célèbres, notamment:

Mais aussi :

Ils l'ont quittée :

Argot de l'École navale

L'argot de l'École navale, "l'argot Baille" est riche. Développé principalement à partir de l'argot maritime, il reprend aujourd'hui aussi des expressions des autres grandes écoles militaires (École polytechnique, École spéciale militaire de Saint-Cyr, et École de l'air), et des lycées de la défense.

L'École navale est désignée sous le terme de "la Baille" (parfois appelée à tort "Navale" ou "la Navale" ). Les élèves et anciens élèves sont les "Bordaches" qu'il ne faut pas confondre avec les "Navalais" qui sont les élèves de l'École de santé navale (aujourd'hui École du service de santé des armées de Bordeaux).

Le Grand Prix de l'École navale

Depuis 2002, l'École navale accueille chaque année les meilleurs équipages de monotypes au niveau européen. Fort du succès de cette épreuve unique dans le paysage nautique, l'École navale a reçu le label de la Fédération Française de Voile pour organiser les Championnats de France de voile Monotype Habitable en 2010 et 2011. Cette reconnaissance symbolise l’espace d’échanges et d’ouverture sur le monde maritime de haut-niveau que représente l'École navale.

La rade de Brest accueille cet événement nautique majeur. L'édition 2010 s'est déroulée du 13 au 16 mai 2010 et a été parrainée par Marc Guillemot, skipper de SAFRAN.

Le Grand Prix de l'École navale est passé de 4 séries et 40 bateaux présents en 2002 à 11 séries et 130 bateaux présents en 2009. En 2010, 13 séries et environ 180 bateaux régateront sur 2 sites et trois ronds de courses en rade de Brest. Les séries habituellement présentes sont : J/80, Figaro Bénéteau II, Longtze, Open 5.70, Open 7.50, Classe 6.50, 5.5J, JI22, First 31.7, Seascape 18, Corsaire (voilier)...

L'École navale permet ainsi un des plus grand rassemblement de voiliers monotypes de nouvelles générations et organise avec ses partenaires institutionnels et privés, une compétition à son image: sportive, technologique, performante et tactique.

Théâtre à l'École navale

Chaque année, une troupe de théâtre est constituée à l'École navale. Sous la direction des différents professeurs de français, elle réunit les 3 promotions en cours à l'École navale : les fistots, les aspirants et les enseignes. En général, trois représentations sont prévues : Brest, Lanvéoc, et Paris.

La campagne d'application (GEAOM)

Jusqu'en 2010, la campagne d'application des officiers de marine s'effectuait après leur formation d'ingénieur en embarquant à bord de la Jeanne d'Arc. Revenue de sa dernière mission le 27 mai 2010, elle est désormais en cours de désarmement.

Désormais la campagne d'application a lieu à la fin de la troisième année du cursus. Les officiers-élèves embarquent à bord du BPC Tonnerre ou Mistral et d'une frégate.

Partenariats internationaux

  • Allemagne : cursus EFENA.
  • Grande Bretagne : échange de semestre à Southampton.
  • États-Unis :

- échange de semestre à Annapolis (United States Naval Academy);

- stage pilote. Les élèves pilotes de la marine se destinant à servir dans l'aéronautique navale suivent des stages aux États-Unis.

De façon générale l'École navale tisse des liens fort avec tous les alliés de la France et au sein de l'OTAN, Cette ouverture permet l'interopérabilité, c’est-à-dire la possibilité aux forces armées françaises de travailler suivant des procédures standardisées avec d'autres nations.

Voir aussi

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Notes et références

Liens externes


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