Économie québécoise

Économie québécoise

Économie du Québec

Québec
Indicateurs économiques
Montreal Skyline winter panorama Jan 2006.jpg
Montréal
Monnaie dollar canadien (CAD)
Année fiscale 1er avril au 31 mars
Organisations internationales ALÉNA, OCDE, OMC[note 1]
Statistiques
Produit intérieur brut (parité nominale) 284,866 milliards (2008)
Produit intérieur brut en PPA 248,412 milliards (2008)
Rang pour le PIB en PPA total : 44e
par tête : 27e
Croissance du PIB 1,0 % (2008)
PIB par habitant en PPA 32 051 (2008)
PIB par secteur agriculture : 1,6 %
industrie : 28,5 %
services : 69,9 % (2007)
Inflation (IPC) 2,1 % (2008)
Pop. sous le seuil de pauvreté n.c.
Indice de développement humain (IDH) 0.967 (3e en 2008) [1],[note 2]
Population active 4 184 900 (2008)
Population active par secteur agriculture : n.c.
industrie : n.c.
services : n.c.
Taux de chômage 7,2 % (2008)
Principales industries métaux primaires
pétrole
agroalimentaire
matériel de transport
produits chimiques
électricité
papier
Commerce extérieur
Exportations 147,6 milliards (2008)
biens : 75,7 %
services : 24,3 %
internationales : 60,4 %
interprovinciales : 39,6 %
Biens exportés aluminium
avions
papier journal
moteurs d’avion
cuivre et alliages
Principaux clients internationaux de biens en 2008 :
États-Unis (72,2%)
Royaume-Uni (2,6 %)
Allemagne (2,0 %)
France (1,9 %)
Pays-Bas (1,8 %)
Importations 167,0 milliards (2008)
biens : 75,5 %
services : 24,5 %
internationales : 62,9 %
interprovinciales : 37,1 %
Biens importés pétrole brut
automobiles
avions
camions et châssis
Principaux fournisseurs internationaux de biens en 2008 :
États-Unis (31,1 %)
Chine (8,3 %)
Algérie (8,1 %)
Royaume-Uni (7,9 %)
Allemagne (4,0 %)
Japon (4,0 %)
Finances publiques
Dette publique
Dette extérieure n.c.
Recettes publiques 68,744 milliards CAD (2007)
Dépenses publiques 67,094 milliards CAD (2007)
Aide au développement
Sources : 

Institut de la statistique du Québec[2],[3]
Sauf mention contraire, tous les chiffres sont exprimés en dollars des États-Unis

L'économie du Québec est une économie post-industrielle moderne et ouverte avec une balance commerciale positive. Depuis la signature de l'accord de libre-échange entre le Canada et les États-Unis (ALE) en 1987, les exportations du Québec vers le territoire américain ont considérablement augmenté.

En 2008, le PIB du Québec s’élève à 248,4 milliards USD à parité de pouvoir d'achat (PPA), soit 19,0 % du PIB canadien. Bien que 94e dans le monde au chapitre de la population pour la même année, le Québec occupe ainsi le 44e rang pour ce qui est de la taille de son économie, derrière la Norvège (40e), la Suisse (35e), l’Autriche (34e), la Grèce (31e), la Suède (30e) et la Belgique (27e), mais devant le Portugal (45e), le Danemark (51e), l’Irlande (53e), la Finlande (55e) et la Nouvelle-Zélande (60e). Le produit intérieur brut par habitant du Québec atteint, en 2008, 32 051 USD PPA, derrière la France, le Japon et Bahreïn, mais devant l’Espagne, l’Italie et la Grèce. Le Québec occupe ainsi la 27e position en 2008. En tenant compte de l’ensemble du commerce extérieur de biens et de services, y compris le commerce interprovincial du Québec qui vaut 39,6 % des exportations vers toutes les destinations en 2008, les exportations du Québec s’établissent à 51,8 % de son PIB.[4]

Comme la plupart des économies des pays industrialisés, celle du Québec repose majoritairement sur le secteur des services. Le secteur manufacturier y est également très important, figurant au second rang. Environ 85 % des exportations québécoises sont destinées aux États-Unis. Les relations économiques entre le Québec et la France sont importantes: en 2008, environ 17 000 Québécois sont employés dans 470 entreprises françaises au Québec, et 26 000 Français travaillent dans 154 entreprises québécoises en France.[5]

Sommaire

Conjoncture actuelle

Comme l'ensemble des économies occidentales, l'économie québécoise subit les contrecoups de la conjoncture économique mondiale, aux prises avec la crise financière de 2007-2009. Au premier trimestre de 2009, le produit intérieur brut du Québec est en baisse sur l'année précédente, sur une base désaisonnalisée. La chute de la production se fait particulièrement sentir dans le commerce extérieur[réf. nécessaire]. Le Québec a tout de même résisté plus longtemps aux pressions récessionnistes qui ont frappé le voisin américain dès décembre 2007, selon le NBER

Commerce extérieur

Exportations

Le Québec exporte à l'étranger pour 89,2 milliards de $ US en 2008 et, par conséquent, il est le 40e exportateur de biens et services sur les marchés internationaux.

  • Produits alimentaires : 3340 millions USD
  • Bois et papier : 9902 millions USD
  • Textile : 3045 millions USD
  • Minéraux et produits miniers : 10598 millions USD
  • Produits chimiques et pétrochimiques : 3877 millions USD
  • Machinerie et outils : 4581 millions USD
  • Matériaux de transport : 15750 millions USD
  • Produits électriques, électroniques et de télécommunications : 7172 millions USD
  • Electricité : 832 millions USD
  • Produits non-catégorisés : 9146 millions USD
Part des exportations québécoises dans les exportations canadiennes, 2004
  • Haute technologie : 43,5 %
  • Moyenne-haute technologie : 7,9 %
  • Moyenne-faible technologie : 24,5 %
  • Faible technologie : 26,8 %
  • Total : 16,6 %
Produits alimentaires

Les exportations québécoises de produits alimentaires ont augmenté de 75 % entre 1999 et 2002, atteignant 3,6 milliards de dollars. En 2002, plus de 150 pays ont importé de ces produits, dont 88 % avec trois partenaires, soit les États-Unis (75,1 %), l’Union européenne (5,5 %) et le Japon (7,4 %). Les produits les plus exportés sont le porc, les préparations alimentaires diverses, le cacao, le café et le thé en plus de produits agricoles et alimentaires divers.

Importations

Les importations à l'étranger de 105,0 milliards de $ US en 2008 valent au Québec le titre de 38e importateur mondial de biens et services.

Part des importations québécoises dans les importations canadiennes, 2004
  • Haute technologie : 25,9 %
  • Moyenne-haute technologie : 13,3 %
  • Moyenne-faible technologie : 19,1 %
  • Faible technologie : 18,5 %
  • Total : 19,3 %
Produits alimentaires

Les importations québécoises de produits alimentaires ont augmenté de 87 % durant la période de 1999 à 2002, atteignant 3 milliards de dollars. Plus de 155 pays ont exporté de ces produits en 2002. Les États-Unis, à eux seuls, en ont exporté 28 % et l’Union européenne en a exporté 28 %. Les principaux produits importés sont les préparations alimentaires diverses, les boissons, les fruits et les noix ainsi que le cacao, le café et le thé.

Activité économique

L'édifice de la Banque de Montréal face à la Place d'Armes, dans le Vieux-Montréal.
Le siège de Air Canada

Ressources naturelles

Article détaillé : Ressources naturelles du Québec.

Malgré leur petite place dans le PIB de la province, les ressources naturelles demeurent très importantes pour l'économie provinciale. Il dispose en effet d'un territoire riche en forêts de conifères de toutes sortes, en eau et en minéraux. L'abondance des ressources hydriques du Québec lui permet d'exploiter l'énergie hydroélectrique via sa société d'État Hydro-Québec, la majeure partie de l'électricité produite au Québec provenant de l'hydroélectricité. Ce faisant, Hydro-Québec remet à chaque année d'importants dividendes au gouvernement du Québec, ce qui en fait une source de revenus considérable pour l'État.

Forêts

Article détaillé : Forêts du Québec.

La province a d'abondante ressources forestières renouvelables. La forêt occupe près de 760 000 km2 et génère des coupes de 55 millions de m3 annuellement.

L'industrie des pâtes et papiers et autres produits du bois génèrent plus de 18 milliards annuellement. La foresterie occupe la seconde position en termes d'exportations (11 milliards) et est la source principale d'industrie manufacturière dans plus de 250 municipalités.

Elle traverse actuellement (2e semestre 2007) une très grave crise, causée principalement par la conjonction de quatre facteurs défavorables:

  • forte plus-value du dollar canadien par rapport au dollar américain
  • réduction des volumes de coupes forestières décrétées par le Gouvernement du Québec, motivée par une surexploitation de la forêt
  • diminution (cyclique) de la demande mondiale de papier
  • baisse importante des mises en chantier domiciliaires aux États-Unis.

L'Abitibi-Témiscamingue a été la première région à voir un boum minier. Depuis, les régions de Matagami, Chibougamau, Saguenay–Lac-Saint-Jean, Grand-Nord et de la Côte-Nord ont été explorées.

Mines

Le Québec est l'un des 10 plus grands producteurs au monde dans le secteur minier. C'est le deuxième plus grand producteur d'or et de fer au Canada et le deuxième producteur de niobium au monde. La province comporte 22 mines actives, 158 firmes d'exploration et 12 entreprises de première transformation (4 fonderies et affineries, 4 cimenteries, 3 usines de production de chaux et une usine de production d'argile). Environ 30 minéraux sont exploités, les plus importants étant l'or, le fer, le titanium, l'amiante, le cuivre, le zinc et l'argent. On estime que 40 % du potentiel minéral du Québec a été découvert. En 2005, les exportations de la province en minéraux et métaux atteignaient 1,46 milliard et les investissements, 1 milliard. En 2006, l'industrie génèrait 13 373 emplois directs. De ce nombre, 9482 sont attribuables à l'exploration et à l'extraction minière.

Pêcheries

Agriculture

Le secteur de l'agriculture employait 58918 personnes au Québec en 2006.[6].

Malgré le climat hivernal rigoureux qui écourte la saison des récoltes, la vallée du Saint-Laurent est une région agricole fertile et propice à une variété de cultures. On y produit entre autres des des fruits, des légumes, des céréales, et des fourrages.

Les productions animales sont concentrées autour de la production laitière et de l'élevage. Depuis une vingtaine d'années, le secteur de production porcine a connu une expansion considérable. Le Québec produit également des volailles, des oeufs, du bœuf et de l'agneau.

Le Québec a la particularité d'accueillir sur son territoire une grande quantité d'érables à sucre. Le Québec est le premier producteur mondial de sirop d'érable, loin devant le Canada et les États-Unis.

Transformation

Aérospatiale

L'industrie aérospatiale du Québec se classe au 6e rang mondial pour sa valeur de production. Montréal est le deuxième centre aérospatial après Seattle et avant Toulouse. En 2002, le secteur aérospatial comptait environ 260 compagnies employant quelque 40 000 personnes. Divers organismes internationaux ont établi leur siège social au Québec, notamment l'Association internationale du transport aérien et l'Organisation de l'aviation civile internationale.

Pâtes et papiers

Fonte et affinage des métaux

Transport terrestre

Article détaillé : Transport au Québec.

L'industrie du ferroviaire et routier générait des revenus de 7,2 milliards au début de 2004. L'industrie emploie environ 35 000 personnes. De grands constructeurs tel Bombardier, PACCAR, le NovaBUS, Prévost CAR, et Komatsu y participent avec un grand nombre de fournisseurs et sous-traitants.

Agroalimentaire

La vallée du Saint-Laurent est une région agricole très fertile. On y produit des produits laitiers, des fruits, des légumes, du sirop d'érable (dont le Québec est le premier producteur mondial) et du bétail.

Le secteur agroalimentaire de la transformation a de bonnes perspectives. « Produits transformés, culture biologique, biotechnologies et génétique auront la cote sur les marché agro-alimentaires de demain. » [7]

Services

Banque et finance

Technologie de l'information

Employant plus de 100 000 travailleurs, le secteur des technologies de l'information du Québec est en forte croissance depuis quelques années. En 2002, 52 % de la totalité du capital de risque canadien était géré au Québec et 61 % des fonds disponibles investis dans la technologie. Particulièrement forts sont les secteurs des télécommunications, des logiciels multimédia, des services informatiques, de la microélectronique et des composants.

Quelque 115 entreprises de télécommunication telles Ericsson, Motorola, et Mitec sont implantées au Québec.

Le secteur du multimédia est particulièrement actif, surtout depuis la fin des années 1990. Plusieurs milliers de personnes travaillent à Montréal et à Québec pour des compagnies de développement de jeu vidéo telles Ubi Soft, Electronic Arts, Microïds, Strategy First, Eidos, Activision et A2M.

Montréal est la ville qui a donné naissance à deux importants concepteurs de logiciels d'animation 3D : Softimage et Discreet. Les services informatiques, le développement de logiciel, et le génie-conseil emploie 60 000 travailleurs spécialisés.

Le secteur de la microélectronique est solide, avec 110 compagnies employant 12 900 personnes. Les plus grands employeurs sont CMC Électronique, IBM, et Matrox.

Systèmes optiques et photoniques

En 2004, environ 8 000 personnes travaillaient dans les industries des systèmes optiques et photoniques au Québec. La recherche et développement se concentre particulièrement dans la région de Québec, alors que les opérations et la production sont plutôt localisées dans la région de Montréal. Le Québec compte environ 20 entreprises dans le laser, la fibre optique, le traitement de l'image, et les secteurs connexes.

Biotechnologie

Le secteur de la biotechnologie compte environ 130 compagnies employant 4 700 personnes. L'industrie québécoise se classe troisième en Amérique du Nord pour sa taille, juste après la Californie et le Massachusetts.

Industrie pharmaceutique

Avec 381 compagnies et 24 550 employés dans la pharmaceutique, la recherche et développement, la fabrication, et les secteurs connexes, l'industrie des produits de santé du Québec est l'un des secteurs économiques les plus importants du Québec moderne. Avec la présence de quelque 20 multinationales telles Merck Frosst, Johnson & Johnson, Pfizer, Sanofi-Aventis, et Bristol-Myers-Squibb, Montréal se classe huitième en Amérique du Nord pour le nombre de travaux d'emplois dans le secteur pharmaceutique.

Tourisme

En 2002, les dépenses dans le secteur du tourisme s'élevaient à 7,3 milliards. Environ 27,5 millions de voyages ont été fait au Québec, dont 72 % par des Québécois eux-mêmes, 15% par des Canadiens des autres provinces, 9 % par des Américains et 4 % à partir d'autres pays. Le secteur emploie environ 330 000 personnes et soutient 34 000 entreprises.

Les villes les plus visitées sont Montréal et Québec. Les attractions majeures sont les festivals de Montréal, le cachet européen de la ville de Québec et les grands espaces naturels. Par ailleurs, la Ville de Québec est la seule ville encore fortifiée au nord de Mexico. Le Québec est cité comme l'une des 20 meilleures destinations touristiques au monde.

Main-d’œuvre

En septembre 2007, le taux de chômage était de 6,9 %. [8]. Il s'agit du plus bas taux de chômage en 33 ans [9].

En 2001, 40,7 % d'ouvriers du Québec étaient syndiqués.

En 2001, 74,7 % d'ouvriers du Québec ont travaillé dans le secteur tertiaire, 18,5 % dans le secteur secondaire, dont 4,0 % pour les BTP, et 2,8 % dans le secteur primaire.

En 2008, pour prévenir la pénurie de travailleurs au Québec, le gouvernement du Québec a mis en place le Pacte pour l'emploi.

Bibliographie

  • Albert Faucher, « L'histoire économique de la province de Québec jusqu'à la fin du XIXe siècle », dans Recherches sociographiques, vol. 3, no 1-2, janvier-août 1962 [texte intégral] .
  • Gouvernement du Québec, Budget 2009-2010 - Plan budgétaire, Ministère des Finances du Québec, Québec, 19 mars 2009, 436 p. (ISBN 978-2-551-23775-3) .

Voir aussi

Articles connexes

Plus généraux 
Plus précis 

Liens externes

Notes

  1. Indirectement, par le biais du Canada.
  2. Donnée pour le Canada.

Références

  1. (en) Classement des pays selon l'IDH 2008 (PNUD)
  2. Institut de la statistique du Québec, « Comparaisons économiques internationales » - « Profils économiques par pays et territoire » et « Tableaux comparatifs par indicateur », 2009-07-07.
  3. Institut de la statistique du Québec, Le Québec chiffres en main, édition 2009, Institut de la statistique du Québec, Québec, mars 2009 (ISBN 978-2-551-23786-9) .
  4. Institut de la statistique du Québec, « Comparaisons économiques internationales » - « Sommaire », 2009-07-07.
  5. Anne Drolet, « Le symposium Québec-France porte déjà fruit », dans Le Soleil, 22 mai 2008, p. 56 .
  6. Gouvernement du Québec, « Emploi bioalimentaire 1996-2006 », Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec. Consulté le 15 mai 2009.
  7. La Recette de Damafro, PME octobre 2005, p.118.
  8. http://www.stat.gouv.qc.ca/princ_indic/tchomag.htm Institut de la statistique du Québec
  9. Gérard Bérubé, « Chômage: du jamais vu en 33 ans », dans Le Devoir, 10 juin 2007 [texte intégral (page consultée le 15 mai 2009)] 
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