Éthologie équine

Éthologie équine
Il est toujours instructif d'observer le comportement d'un cheval en liberté.

L'éthologie équine est la branche de l'éthologie, science du comportement, qui étudie les chevaux, aussi bien en ce qui concerne le comportement en milieu naturel que les relations intra-spécifiques (entre chevaux) et inter-spécifiques (avec les autres espèces) parfois en milieu non-naturel. Cette science étudie notamment le comportement du cheval en rapport avec l'homme mais, paradoxalement, l'éthologie appliquée au cheval domestique n'est étudiée que depuis peu. Les très nombreuses publications sur le cheval domestique sont sans doute les principales raisons.

Le premier manuscrit pouvant être qualifié de manuel d'équitation et de soins, L'art de soigner et d'entrainer les chevaux est l'oeuvre de Kikkuli, un hittite, en 1500 ACN[1]. Depuis, le nombre de publication n'a fait que croître de façon exponentielle. La recherche éthologique s'intéresse désormais à l'animal favori de l'équitation sous toutes ses formes, troisième sport français en termes de nombre de licences[2]. Et le fruit de ses recherches commence à influencer la manière de percevoir le monde équestre.

Il faut distinguer l'éthologie équine de l'équitation éthologique, qui n'est pas une science mais une méthode de dressage inspirée de l'éthologie équine. En France, les connaisseurs de ces techniques sont appelés les « nouveaux maîtres » sous l'influence notamment du périodique Cheval magazine, mais le terme de chuchoteur a été popularisé sous l'influence du terme américain horse whisperer. Les puristes de l'équitation classique diront qu'ils n'ont rien inventé mais le fait est qu'ils proposent une méthode pédagogique qui mérite qu'on s'y arrête: Les chuchoteurs

Un travers fréquent des relations homme-cheval est l'anthropomorphisme: « Vouloir donner à son cheval ce que l'on voudrait soi-même part d'un bon sentiment, mais ce n'est pas la meilleure manière de procéder pour le rendre heureux. De la même façon, la communication homme-cheval doit se faire autant que possible en « langage cheval » : ce n'est pas tant à l'animal d'apprendre à interpréter les réactions humaines qu'au cavalier de savoir s'adapter à son cheval, l'objectif final étant la bonne entente du couple.

Sommaire

Histoire

Il ne faut pas confondre Béhaviorisme (John Broadus Watson, Burrhus F. Skinner et Edward Thorndike) et éthologie. Si les deux disciplines étudient bien le comportement, elles se basent sur des concepts radicalement différents : le mesurable (l'apprentissage excluant les notions de conscience) pour les behavioristes et l'observation (et la comparaison des comportements entre espèces, l'inné et l'acquis s'intégrant dans le psychisme) pour les éthologues. Cependant, il serait réducteur de considérer que l'éthologie rejette le béhaviorisme, puisqu'elle reconnaît la modification des comportements par l'apprentissage. La psychologie cognitive, discipline fille de l'éthologie, intègre d'ailleurs ces deux courants de pensées (Béhaviorisme#Critiques_du_behaviorisme, mais l'application au cheval en est a ses balbutiements[3]. Une bonne connaissance des principes d'apprentissages décrites par les behavioristes(conditionnement opérant) est indispensable aux nouveaux maîtres autant qu'à l'équitation classique. Mais la théorie brute du conditionnement opérant est difficile d'application, surtout lorsqu'on prend en compte les capacités sensorielles du cheval (Hippologie#Sens_du_cheval) notablement différentes des capacités humaines. Il faut aussi ajouter le degré de compétence du cavalier, quelle que soit la discipline qu'il pratique. Cela justifie l'importance de l'encadrement pédagogique de ces disciplines.

Après cette petite mise au point nécessaire, nous pouvons aborder maintenant l'éthologie proprement dite.

Les bases de l'éthologie moderne ont été fondées dans les années 1925 par Konrad Lorenz, Karl von Frisch et Nikolaas Tinbergen, co-bénéficiaires du prix Nobel de médecine de 1973. Ce sujet est développé dans l' article: Histoire de l'éthologie. Mais les éthologues ne se sont intéressés aux chevaux qu'à partir des années 1970, dans le milieu naturel.

Le Dr Helmut Stammsen, zoologue et éthologue équin, a été le premier en Europe dans les années 1980 à montrer qu'on pouvait s'occuper des chevaux autrement[4].

L'éthologie équine moderne a désormais des applications pratiques: étude de tempérament en vue d'optimiser l'utilisation du cheval dans chaque discipline[5], réintroduction du Cheval de Przewalski[6] et bien être en élevage [7][8]

Il existe maintenant des diplômes d'éthologie équine, par exemple, le Diplôme d’Université éthologie du cheval de l'université de Rennes(niveau bac +2)[9]. D'autres écoles proposent des cursus équivalent[10]. Cependant, comme le dit si bien Hélène Roche (lien externe précédant), les contrats de travail d'éthologues sont peu nombreux et il faut "créer son emploi".

Le comportement du cheval en liberté

Article détaillé : Cheval.
Dans la nature, les chevaux en groupe se reposent généralement à tour de rôle.
Champ visuel du cheval
Ce cheval au galop et à l'encolure relevée a visiblement été surpris par quelque chose.
En équitation inspirée de l'éthologie, l'homme doit apprendre à "penser cheval".

Instinct grégaire

Le cheval est un animal social. Il forme des groupes stables de type familiaux(harem) ou de mâles célibataires. Exceptionnellement, les étalons peuvent vivre en solitaire. Il s'agit souvent de vieux mâles fatigués ou de jeune mâles en attente de former leur propre harem. Cette structure permet d'assurer une surveillance face aux prédateurs, d'augmenter l'efficacité de la gestion des ressources(nourriture, boisson) et d'optimiser la reproduction. Dans la nature, le harem compte généralement de trois à dix individus. Un étalon (rarement deux, voire plus) entouré d'une à trois juments et de leurs poulains jusqu'à deux ans. La jument la plus vieille est souvent dominante. C'est elle qui accède en premier aux ressources limitées(nourriture, boisson). Dans le groupe existe une hiérarchie de type dominant/dominé, établie en fonction de l'âge des individus et de leur tempérament. Cette hiérarchie est cependant parfois difficile à cerner. Il arrive que A domine B, B domine C et C domine A. Le plus souvent, les plus vieux dominent les plus jeunes jusqu'à ce que ceux-ci arrivent à trouver leur place dans le groupe et à se faire respecter. Les chevaux n'aiment pas rester seuls et ont besoin de congénères avec lesquels ils peuvent se sentir, se toucher, et communiquer. Ces besoins éthologiques sont tellement important que les tics nerveux(tic à l'appui, tic à l'air, tic à l'ours et parfois même agressivité) n'apparaissent que chez des chevaux en boxes, privés de contact sociaux. Ces besoins peuvent parfois être compensé par une relation extra-spécifique: l'homme ou un autre animal(chèvre, mouton, lapin...) suffit à compenser le manque de certains chevaux.

Les chevaux en groupe dorment à tour de rôle, de façon à ce qu'il y en ait toujours un qui face le guet et prévienne les autres si un danger se présente.

Les poulains sont nourri par leur mère jusqu'à l'age d'un an environ. Peu avant la naissance du poulain suivant, la jument sèvre doucement mais fermement son dernier-né. Il garde des relations privilégiée avec sa mère Jusqu'à l'âge de deux ans environ, tout en développant ses compétences sociales avec tout le groupe. Ils quittent alors le groupe tantôt de leur apparente initiative, tantôt repoussé par la mère ou l'étalon. Ce qui limite fortement les risques de consanguinité. Les mâles rejoignent alors des groupes de mâles et les juments gagnent d'autres harems.

Les différents groupes voisins se connaissent ce qui facilite dans une certaine mesure ces échanges.

Quand les mâles ont pris assez d'assurance, ils essayent d'acquérir leur propre harem. Pour ce faire, ils provoquent en duel d'autre mâles et s'ils gagnent le combat, repartent avec les femelles dont ils ont gagné le respect et fondent ainsi leurs propres familles. Parfois ces tentatives de prise de pouvoir se termine par le détournement plus ou moins discret d'une ou plusieurs juments du harem. Il arrive aussi qu'un étalon victorieux ne soit pas accepté par les juments du harem, celui-ci évoluant alors sans étalon jusqu'à ce qu'un prétendant plus apprécié se présente[11].

Comportements agonistiques: combattre ou fuir, moyens de survie

Dépourvu de crocs, de cornes ou de griffes, le cheval est une proie. Sa première stratégie de défense est l'évitement, la fuite.

Le cheval est une espèce nidifuge. Quelques heures après sa naissance, le poulain est déjà capable de suivre sa mère au galop. La vitesse est une des clefs de sa survie.

Effrayé, sa première défense est la fuite, cependant, la fuite étant très gourmande en énergie, le cheval est capable d'organiser une défense active contre certains prédateurs: étalon en chasse et juments en rond prêtes à ruer, têtes vers l'intérieur avec les poulains au centre.

Comme la plupart des espèces prédatées, les yeux du cheval sont placés sur les faces latérales de la tête et non sur le devant comme chez l'homme (voir schéma ci-contre). Le cheval bénéficie donc des avantages de la vision binoculaire de manière très restreinte. Cette disposition permet par contre de détecter facilement tout mouvement à presque 360° autour de lui grâce à la posture d'alerte, tête au vent et oscillant de gauche à droite, qui permet de compenser l'angle mort situé derrière la tête.

La communication

  • Les chevaux utilisent leur langage corporel aux nuances multiples pour s'exprimer. Il suffit bien souvent d'apercevoir leur silhouette pour reconnaitre une attitude caractéristique. Par exemple, lorsqu'il se veut agressif, le cheval couche les oreilles, montre les dents, tend l'encolure, fait fouetter sa queue et menace de donner des coups de pied, voire fait mine de charger. Au contraire, pour signifier sa soumission, le poulain va effectuer de grands mouvements de mastication, lèvres retroussées et tirées vers l'arrière et tête relativement basse: le snapping. Le snapping est une attitude caractéristique du poulain qui tend à disparaître à l'age adulte. Les adultes dominés s'éloignent tout simplement tête semi-basse, queue rentrée et oreilles neutres à attentives. Dans un groupe familial stable, la hiérarchie s'établit doucement et les combats sont rares sauf entre étalons se disputant les faveurs du harem. L'agressivité est cependant fréquente entre chevaux ne se connaissant pas et mis en contact rapproché par l'homme.

Les chevaux utilisent le langage corporel par "étapes". Par exemple, 2 chevaux qui mangent la même ration de foin ne vont pas avoir la même façon de réagir. En ce qui concerne le cheval dominant :
1. Il va coucher les oreilles en arrière
2. Il va faire mine de mordre ou de taper
3. Il va le mordre
4. Il va vraiment se battre en tapant ou mordant

En général, le cheval soumis va s'éloigner à la première étape.[réf. nécessaire]

  • On distingue plusieurs types de vocalises à significations différentes.

Les « chuchoteurs »

Origines du terme

Le terme de chuchoteur a été employé la première fois pour surnommer un dresseur irlandais, nommé Sullivan. Cet homme illettré se faisait souvent enfermer dans le box de chevaux réputés comme indomptables. Après quelques heures, il en ressortait avec un cheval calme et confiant. Comme il n'avait pas laissé d'écrit, on n'a jamais rien su de sa méthode. On l'a donc surnommé le chuchoteur. En se basant sur cette légende, ce surnom a été donné par la suite à tous les dresseurs de chevaux « faiseurs de miracles ».

Qui sont-ils ?

Certains européens se sont intéressés à cette méthode naturelle, mais ce sont surtout les cow-boys américains qui ont rendu célèbre cette nouvelle approche du cheval. Choqués par la violence utilisée dans les milieux de l'équitation Western et influencés par la pratique naturelle et intuitive des Indiens d'Amérique, ils ont inventé une nouvelle forme de dressage. Les pionniers de l'éthologie furent Ray Hunt et Tom Dorrance. Ensuite sont venus Monty Roberts, John Lyons, Buck Brannaman et Pat Parelli. Ces chuchoteurs ont tous une technique d'approche différente. Par exemple, Monty Roberts est connu notamment pour ses démonstrations en public de la technique du lien (plus connue sous le nom de la méthode du join-up[12]) qui consiste à proposer au cheval de venir rejoindre son maître de son plein gré, démontrant ainsi une certaine confiance, alors que la méthode de Pat Parelli repose plus particulièrement autour de sept jeux que le cavalier se doit de proposer à sa monture, afin d'éveiller son intérêt et sa complicité[13].

Méthode d'approche

Monty Roberts exerçant sa méthode dite du consentement (join-up) en public.

Les nouveaux maîtres se sont d'abord intéressés au débourrage. Leur méthode consiste en premier lieu à se placer comme leader par rapport au poulain (ou au cheval adulte non débourré ou récalcitrant). Ce dernier comprend rapidement que sa sécurité se trouve près de son maître (dans la nature, les chevaux ont l'instinct grégaire et n'aiment pas rester seuls). Lorsque le cheval fait croire qu'il veut fuir, le dresseur le laisse faire, bien sûr, mais il va également l'obliger à rester éloigné jusqu'à ce qu'il décide lui-même, et qu'il montre (par son attitude corporelle) qu'il souhaite se rapprocher. C'est un principe important cette méthode  : c'est au cheval de prendre les décisions et non d'être contraint, au risque d'une incompréhension et donc d'une frustration.

Une fois que le cheval a décidé d'arrêter de fuir, le dresseur le laisse venir à lui en adoptant une attitude calme et non intimidante, et le caresse, d'abord avec les mains sur tout le corps, puis avec la longe, le filet, le tapis de selle, etc, afin de le désensibiliser à ce qui l'effraie. Le dresseur envisage ensuite de lui poser doucement une selle sur le dos, toujours en inspirant confiance et respect à l'animal. Généralement, le dresseur peut monter sur le dos du cheval dès la première séance si tout ce qu'il a entrepris précédemment s'est déroulé dans le calme.

Un autre point important de cette méthode et de la relation homme-cheval est que les chuchoteurs conseillent particulièrement le travail à pied avec des exercices et des jeux entre le cheval et son cavalier, où chacun apprend à connaître l'autre et à le respecter. Bien souvent, avec de la patience et de l'écoute, bon nombre de cavaliers peuvent ainsi monter leurs chevaux en liberté et les éduquer en licol ou avec une simple ficelle passée autour de l'encolure. Le cheval peut alors montrer son plaisir d'obéir à son cavalier en toute liberté, lui prouvant ainsi sa bonne volonté.

Le matériel utilisé

Licol de corde mis en place.

Beaucoup de dresseurs utilisent des matériaux légers et doux pour approcher le cheval, comme des licols de corde, dits "éthologiques", l'incitant à ne pas s'appuyer dessus (car la section de la corde est plus fine derrière les oreilles que pour les licols en nylon ou en cuir). Autrement dit, le cheval est invité à céder aux points de pressions qui sont répartis sur des endroits stratégiques de sa tête. S'il prend appui sur le licol et résiste, il s'infligera lui-même la pression de la corde derrière ses oreilles. Toute action abusive de traction du licol par le cavalier devient contraignante pour le cheval et il n'avancerait alors plus de son plein gré. La "légèreté" du licol de corde n'est évidente que si l'on s'en sert à bon escient.

Est également utilisé, un stick ou cravache longue de dressage (rigide, le plus souvent en fibre de verre, d'environ 1m50) comme prolongement du bras lors des exercices de respect au sol avec l'animal. Le stick a la même fonction que les cravaches classiques. Il est utilisé de différentes manières suivant l'effet demandé: prolongement du bras pour faciliter une demande gestuelle à distance, simple touché à un endroit précis pour souligner un ordre ou encore tapotement plus énergique pour l'imposer, il peut être aussi utilisé pour caresser ou même chasser les mouches. Le stick peut aussi être utilisé dans le cadre d'un renforcement négatif (punition) pour éviter des comportements indésirables cependant ce mode doit rester exceptionnel et pondéré.

Il n'est pas rare de voir les cavaliers monter leur chevaux uniquement avec un licol dits "éthologique" et une longe en corde, voire sans rien du tout après plusieurs mois de travail[14]. Cependant, les dresseurs ne rejettent pas obligatoirement toutes les méthodes de l'équitation classique. Aussi, ils peuvent également utiliser un filet, munit d'un mors le plus simple possible. Plus le mors de filet est sophistiqué, plus il est douloureux et contraignant pour le cheval. Concernant le choix de la selle, il n'y a pas de recommandation particulière, tout dépend de la discipline.

Éperons à molette de type western.

Les éperons (image ci-contre) peuvent être utilisés dans certains cas, à conditions de ne pas être trop pointues. Le chuchoteur Pat Parelli s'en sert comme prolongement de la jambe, et uniquement lors de la 4ème phase de la demande. Par exemple, lorsque Pat Parelli demande au cheval quelque chose (comme faire un pas en avant), le cheval est libre de choisir à quelle phase il va obéir (la demande se déroule sur une "échelle de fermeté"): la demande est douce à la première phase (position du corps du cavalier favorable à l'exécution), puis devient de plus en plus ferme (voix, pression des jambes), jusqu'à l'utilisation mesurée des éperons (ou parfois d'une claque sur la croupe si le cheval refuse toujours d'obéir)[15] en dernière phase (4ème phase). Bien souvent, il n'est nécessaire de les utiliser qu'une seule fois. Le cheval choisira par la suite d'obéir sans être contraint de le faire[16].

Bibliographie

  • Hélène Roche, Comportements et postures, Que devez-vous savoir et observer?, Saint Just la pendue, Belin, 2009 (réimpr. 2008) (ISBN 978-2-7011-4126-8) 
  • collectif, La Grande Encyclopédie Fleurus Cheval, Paris, Fleurus, 2001 (réimpr. 2007) (ISBN 9782215054948) 
  • Nathalie Pilley-Mirande, Le Secret des Chuchoteurs américains, Zulma, 2000 (ISBN 2843041015) 
  • Pat Parelli, Natural Horse-Man-Ship, Zulma, 1993 (réimpr. 1999) (ISBN 2843040442) 
  • Véronique de Saint Vaulry, Communiquer avec son cheval, Maloine, 1996 (réimpr. 1996) (ISBN 222402410X) 
  • John Lyons, Dressage des chevaux, Vigot, 2002 (réimpr. 2002) (ISBN 2711415422) 
  • Ray Hunt, Penser en harmonie avec les chevaux, Actes Sud, 2002 (réimpr. 2002) (ISBN 2742741003) 

Notes et références

  • Partie « Le cheval », source principale : La Grande Encyclopédie Fleurus Cheval (voir bibliographie).
  1. [1], L'art de soigner et d'entrainer les chevaux de Kikkuli
  2. [2], statistiques nationales
  3. L'esprit du cheval, Introduction à l'éthologie cognitive du cheval, Leblanc Michel-Antoine, Edition Belin n° 005568-01, Octobre 2010, ISBN 978-2-7011-5568-5
  4. [3], Article cheval attitude
  5. [4], Léa Lansade.
  6. [5], association Takh
  7. [], Benhajali, H., Richard, M.-A., Ezzaouia, M., Charfi, F., & Hausberger, M. (2010). Factors influencing conception rates of Arab mares in Tunisia. Animal Reproduction Science, 117, 106-110.
  8. [], Benhajali, H., Richard-Yris, M.-A., Ezzaouia, M., Charfi, F., & Hausberger, M. (2010). Reproductive status and stereotypies in breeding mares. Applied Animal Behaviour Science, 128, 64-68.
  9. [6], Diplôme d’Université éthologie du cheval de l'université de Rennes(niveau bac +2)
  10. [7], site d'Hélène Roche, diplômée.
  11. Cheval, qui es tu?; Michel Antoine Leblanc, Marie France Buissou, Frédéric Chéhu; Nov 2004; ISBN 2-7011-3608-3
  12. La méthode du join-up par Monty Roberts
  13. Les 7 jeux de Pat Parelli
  14. Vidéo de Pat Parelli sur YouTube
  15. Méthode de Pat Parelli sur les chevaux têtus, d'après son livre "Natural Horse-Man-Ship", cité en bibliographie.
  16. Méthode en détail dans le livre "Natural Horse-Man-Ship" de Pat Parelli, cité en bibliographie.

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

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