Base aérienne 705 Tours

Base aérienne 705 Tours
Base aérienne 705 Tours
French-roundel.svg
Code AITA Code OACI
TUF LFOT
Localisation
Pays Drapeau de France France
Coordonnées 47° 25′ 56″ N 0° 43′ 24″ E / 47.432094, 0.72320947° 25′ 56″ Nord
       0° 43′ 24″ Est
/ 47.432094, 0.723209
  
Altitude 109 m (357 ft)

Géolocalisation sur la carte : France

(Voir situation sur carte : France)
Base aérienne 705 Tours
Pistes
Direction Longueur Surface
02/20 2 404 m (7 887 ft) Béton
Informations aéronautiques
Type d'aéroport Militaire
Gestionnaire Armée de l'air
Cartes SIA VAC - IAC - ARR/DEP
Catégories
Aéroports • Aéroports français

La base aérienne 705 Tours « François et Jean Tulasne » de l'Armée de l'air française est située sur la commune de Parçay-Meslay-Tours dans le département d'Indre-et-Loire.

Sommaire

Unités actuelles

La base se compose de plusieurs sites :

  • Tours
    • École de l'aviation de chasse (EAC) sur Dassault/Dornier Alphajet
    • Le Centre Expert en Ressources Humaines de l'Armée de l'Air (CERHAA) (Ex SeRPeCA et CeRPAA)
    • Direction des ressources humaines de l'armée de l'air (DRH-AA)
    • ...
  • Cinq-Mars la Pile
    • Le centre de détection et de contrôle (CDC) 07.927
    • État-major de la zone aérienne de défense (ZAD) Nord 10.542
    • Entrepôt 609 (Désormais fermé)
  • Brest-Loperhet
    • Le centre militaire de contrôle et de coordination (CMCC) 08.927
  • Corcoué-sur-Logne
    • Centre relais radio annexe de l'ESICA 1J.927 de Cinq-Mars-la-Pile
  • Centre d’Information et de Recrutement des Forces Armées
    • Tours
    • Nantes
    • Quimper
    • Le Mans
Alpha Jet École de l'Aviation de Chasse

Histoire de la base

Création

La base est créé lors de la Première Guerre mondiale, en novembre 1915, sur des terrains pris en grande partie sur la commune de Parçay-Meslay, mais aussi sur Saint-Symphorien et Sainte-Radegonde. Destinée à former des pilotes, l'école d'aviation de Tours est alors dotée de biplans Caudron G III et quelques G IV. Son premier commandant est le capitaine Maximilien Munch. Lui succède, en août 1916, le capitaine Jean Mortureux, au cours d'une rare cérémonie publique, en présence du lieutenant-colonel Girod, député du Doubs, mais surtout inspecteur général des écoles. De retour en première ligne, Maximilien Munch trouve la mort le 23 septembre 1916, abattu par un avion allemand.

En mai 1917, arrive le troisième commandant, le capitaine Olivier Galouzeau de Villepin, au moment où débarquent les premiers aviateurs américains venus à Tours passer le brevet élémentaire de pilote. Les premiers à voler sont en fait des militaires de l'US Navy (First Aeronautic Detachment), à partir du 22 juin. Parmi eux, Thomas W. Barrett, victime d'un accident le 28 juin, qui est le premier marin américain mort au cours de cette guerre. Le 1er novembre 1917, l'école est cédée aux Américains qui possèdent leur quartier général de l'arrière à Tours. Elle deviendra la 2nd AIC (Aviation Instruction Center). Ils y forment surtout des pilotes d'observation, des observateurs et des photographes. Parmi les pilotes brevetés à Tours, l'as américain, Eddie Rickenbacker. L'école, qui souffre souvent du mauvais état du terrain et d'un manque récurrent de pièces pour entretenir ses avions, est toujours équipée de Caudron G III et de quelques G IV. Puis l'aviation américaine utilisera des Sopwith 1 A2 (plus connus sous le nom de 1½ Strutter), indifféremment aux couleurs américaines ou françaises, et des DH.4.

Le 31e régiment d'aviation d'observation

Une fois la paix revenue en 1919, le site redevient français (les contrats de location américains ont cessé le 30 avril 1919). Il accueille le groupement d'aviation no 1 dirigé, à partir de juillet, par le commandant Émile Muiron. La première escadrille à revenir est la Sal 277, équipée d'avions Salmson 2 A2, suivie de la Br 226 (Breguet 14 A2) et de la Sal 10 (Salmson 2 A2). Le 1er janvier 1920, le GA 1 devient 1er régiment d'aviation. Le commandant Émile Muiron le dirige à titre provisoire, bientôt remplacé par le commandant Maurice Précardin qui rentre de mission en Argentine. Le régiment change de nom le 1er août 1920 pour devenir le 31e régiment d'aviation d'observation. Le camp d'aviation de Parçay-Meslay est le seul terrain de l'ouest de la France. Il travaille au profit des 9e, 10e et 11e corps d'armée, de la Rance à la Gironde. Le 31e RAO compte, après une longue mise en place, trois groupes de deux escadrilles :

  • groupe d'observation no 3 avec les 11e (Sal 277, un épervier dans un fer à cheval) et 12e escadrilles (Sal 10, porc-épic) ;
  • groupe d'observation no 4 avec les 13e (Br 226, un poussin sortant d'un œuf avec des jumelles) et 14e escadrilles (C 56, scarabée égyptien) ;
  • groupe de reconnaissance no 5 avec les 15e (Spa 42, vautour égyptien) et 16e escadrilles (Sal 39, le lapin à la trompette).

Succéderont au lieutenant-colonel Précardin : Edmond Guillemeney (1924), le Tourangeau Joseph Tulasne (1926), André Voisin (1927) puis Émile Muiron (1931). Sans oublier plusieurs commandants à titre provisoire tels les lieutenants-colonels Roger Saint-Gal, René Antoinat, Marcel Jauneaud et François de Castel qui, ce dernier, l'a été à titre provisoire puis intérimaire.

Plusieurs pilotes ont marqué le 31e régiment par leurs exploits sportifs au cours de cette période : l'adjudant-chef Foiny, le lieutenant Gonnet, l'adjudant Duroyon et le lieutenant Lasalle, qui trouve la mort en décembre 1929 lors d'un raid civil entre Paris et Saïgon. En souvenir du décès, en septembre 1929, du commandant François Tulasne (frère du général Joseph Tulasne, père de Jean Tulasne, commandant de l'escadrille Normandie), le nouveau casernement, à gauche de la nationale 10 en allant vers Paris, prend le nom de quartier Tulasne en 1930, à l'initiative du lieutenant-colonel Jauneaud. Après la Seconde Guerre mondiale, la partie située à droite (hangars et pistes) prend celui de Commandant Jean Tulasne d'où le nom actuel de la base : Commandants François et Jean Tulasne, associant, exemple unique, le père et son fils.

Côté avions, le Salmson 2 A2 disparaît rapidement au profit exclusif du Breguet 14 A2, lui-même remplacé par le Potez 15 A2 (à partir du mois de décembre 1923), puis par le Potez 25 (janvier 1927) et le Breguet 27 (juillet 1934).

De l'observation au bombardement

En 1930, le 31e RAO accueille un groupe d'observation venu de Mayence (Allemagne) à la suite de l'évacuation des territoires rhénans occupés par l'armée française. Les deux escadrilles (F 19 et Br 104) sont équipées de Breguet 19 A2. Elles forment un quatrième groupe au 31e RAO, le GR 1, jusqu'à leur départ pour Nancy en 1933, pour laisser la place à une partie du 2e régiment de chasse, venue de Strasbourg : les Cigognes( Spa 3, Spa 103, Spa 57 et Spa 65) équipées de Nieuport.

À partir du 1er janvier 1934, l'organisation de l'aérodrome de Saint-Symphorien change.

Tours hébergeait déjà deux structures depuis plusieurs années : le siège de la 3e région aérienne, commandée par le général Pujo ; et, à l'échelon inférieur, la 1re brigade dirigée par le colonel Émile Muiron. Sont créées, en ce début d'année 1934 :

  • deux demi-brigades, une à Châteauroux et une à Tours. Celle de Tours, la 31e demi-brigade, est commandée par le lieutenant-colonel de Castel ;
  • la base aérienne proprement dite, no 131, commandée par le lieutenant-colonel Laurent ;
  • deux unités qui, de régiments, deviennent escadres, la 2e de chasse avec le lieutenant-colonel Bladinières à sa tête et la 31e escadre d'observation commandée par Georges Thenault.

La 2e escadre reste jusqu'en 1936. Elle rejoint alors Chartres pour se rapprocher des zones à défendre en cas de conflit.

Le 1er janvier 1937, la 31e escadre change de spécialité : d'escadre d'observation elle devient escadre de bombardement. Un de ses groupes est alors commandé par le lieutenant-colonel Louis Mailloux, ancien compagnon de Mermoz sur l'Arc-en-Ciel 3, sur la traversée de l'Atlantique Sud. En avril 1937, la 31e escadre de bombardement passe de six à quatre escadrilles. Le groupe ainsi prélevé participe, toujours sur la base aérienne (devenue BA 109), à la création d'une nouvelle escadre de bombardement : la 51e.

Les deux escadres sont équipées successivement de Potez 540, de Bloch 200 et de Bloch 210. Après la déclaration de guerre, la 31e utilise des LéO 45 alors que la 51e délaisse ses Bloch 210 pour faire de l'appui tactique avec des Breguet 693.

Le 22 avril 1939, deux Bloch 210 de la 51e escadre se heurtent lors de leur approche, à proximité de la base. Les neuf occupants sont tués dont le lieutenant-colonel Louis Mailloux, commandant l'escadre. C'est l'accident d'aviation le plus grave qui s'est déroulé en Indre-et-Loire.

En décembre 1939, un centre d'instruction de reconnaissance est installé sur la base, il y restera jusqu'en juin 1940. Il est équipé de Potez 63.11.

De l'école des moniteurs à l'école de chasse

Après la guerre, une école de pilotage et de formation de moniteurs, en provenance de Meknès, s'installe sur le site. Elle utilise des Dewoitine D.520. S'y constitue une patrouille de l'école des moniteurs de Tours qui vole sur Stampe SV4-A. Le 1er septembre 1947, l'unité est transférée à Cognac, la patrouille à Étampes où elle prend le nom d'escadrille de présentation de l'armée de l'air no 58 (EPAA 58). La base ne possède plus alors que des organismes de sécurité aérienne et un atelier de réparation. En 1952, elle accueille le groupe de bombardement Lorraine, équipé de De Havilland Mosquito, puis de Gloster Meteor. Suite à l'adjonction à celui-ci des groupes « Loire » et « Camargue », l'ensemble devient 30e escadre de Chasse de nuit. À partir de 1957, elle est équipée de SO.4050 Vautour. Elle y restera jusqu'en 1961.

Le 6 mars 1961, l'école d'aviation de chasse « Christian Martell », en provenance de Meknès, s'installe sur la base de Tours. Elle utilise des Dassault Ouragan et des T-33.Cette même année, elle prit le nom de BE 705. En 1965, le centre de Détection et de Contrôle 07.927 (CDC) quitte le site de Tours pour s'installer sur le site de Cinq-Mars-la-Pile.

L'école des pilotes de chasse de marine en Algérie est elle aussi dissoute et les marins se retrouvent aussi à Tours avec un petit détachement de techniciens marine qui se retrouvent incorporés au sein des services techniques de la base de l'Armée de l'air de Tours. Les pilotes de la marines, élèves, moniteurs pilotes plus les quelques techniciens (mécaniciens, électriciens et électroniciens d'avions avec deux personnes de spécialité administrative) forment une petite unité de 50 personnes environ (suivant les promotions et les années) ; ce qu'on appellera la Section Marine de Tours et ceci jusqu'à sa disparition en 1995. Elle est rattaché au colonel de la BA 705 directement sous les ordres d'un chef de détachement soit un moniteur pilote Marine avec fonction de commandant d'unité au grade de capitaine de corvette ou de frégate (cette unité de marine en détachement dépend cependant administrativement de la base de Landivisiau.

Mais en 1995, à cause de la réduction des budgets militaires faisant suite à la chute du mur de Berlin, la France abandonne la fabrication de l'Alphajet navalisé qui aurais pu remplacer le Fouga Marine de l'École de l'aviation embarquée des portes-avions Foch et Clemenceau (59S basé à Hyères à côté de Toulon). De ce fait le gouvernement choisit la solution de former les pilotes marine aux États-Unis fermant définitivement la SME de Tours. Les élèves-pilotes brevetés et macaronnés pilotes de chasse de marine aux États-Unis ne reviennent en unités en France que pour piloter les Super-Étendard et Rafale. Formés comme pilotes aux États-Unis, ils n'ont pas à passer comme leurs homologues de l'Armée de l'air par l'école de bombardement de Cazaux. Les techniciens sont tous volontaires pour 4 ans sur la base et sont successivement formés pour la spécialisation des avions de la base sur les T-33, Mystère IV et Alphajet, et durant près de trente ans les techniciens qui sont affecté dans cette unité marine travaillent avec les gens de l'Armée de l'air.

Le 19 août 1974, le Commandement des écoles de l'armée de l'air prend possession de ses locaux sur la base de Tours. En 1976, le CDC de Brest est rattaché à la base 705, est prend le nom de CDC 08.927. En 1979, l'école de chasse reçoit son premier Alphajet.

En 1980, le site accueille le centre administratif territorial air (CATA) qui devient en 1991, le Service des rémunérations et des pensions du commissariat de l'air (SERPECA). À partir de novembre 1993, celui-ci devient un organisme unique pour toute l'armée de l'air.

Le 19 octobre 1981, l'école de chasse est entièrement équipée d'Alphajet et abandonne les T-33.

Le 1er août 1994, l'école de chasse prend le nom d'école d'aviation de chasse (EAC) et le même jour, l'état-major de la zone aérienne de défense (ZAD) Nord 10.542 s'installe sur le site de Cinq-Mars-la-Pile.

Sur la question du départ éventuel de l’école de formation de chasse lié à la « fin de vie » des Alphajet vers 2013/2014, le ministre de la défense précise dans une réponse écrite au Sénat (JO Sénat du 16/11/2006) fin 2006 que la mission de formation des pilotes de chasse de la BA 705 ne peut être remise en cause à court ou à moyen terme dans la mesure où aucune autre plate-forme ne remplit à ce jour toutes les conditions pour qu'y soit transférée cette activité, le ministre se disant toutefois bien conscient des contraintes spécifiques s'exerçant à Tours en matière de gêne sonore et compte tenu de la proximité immédiate d'une agglomération de 300 000 personnes.

Cohabitation avec les riverains

Le problème posé par la gêne sonore partage une partie des élus locaux et de la population, les uns souhaitant la disparition de ce qui apparaît comme des nuisances, engendrées par un total de 50 000 mouvements annuels en moyenne, les autres se montrant inquiets quant aux retombées négatives potentielles d'un départ éventuel de l'école de chasse sur l'économie locale.

Ainsi, le 21 décembre 2006, madame Beaufils, sénatrice d'Indre et Loire, dans le cadre de la question écrite au ministre de la défense (JO Sénat du 16/11/2006), alerte le ministre de la défense sur la situation difficile à vivre par certains des habitants de Saint-Pierre-des-Corps. La sénatrice souligne « l’énorme mécontentement des habitants des communes limitrophes à la base 705 de Tours et des associations » de même que les sérieux troubles et pollutions sonores occasionnés par la BA 705 du fait des passages quotidiens des Alphajet de l’école de pilotage et les interventions très épisodiques de Mirages.

L'installation récente (1991) du service des rémunérations et des pensions du commissariat de l'air (SERPECA), aujourd'hui renommé centre des rémunérations et des pensions de l'armée de l'air (CeRPAA), dessine toutefois les contours de la BA 705 après la fin de vie des Alphajet, programmée vers 2017/2018, et sa transformation possible à cette date en base sans unité aérienne.

Ces premiers mouvements de personnels non navigants doivent être suivis par l'installation du pôle « personnel » de l'armée de l'air (DRHAA) qui devrait être implanté à Paris et Tours en 2009. Il est aussi prévu que le service d'administration générale et finances (SAGF) créé en 2007 soit réparti sur 4 sites principaux dont celui de Tours (Travaux Com. affaires étrangères et défense Sénat). L'État-major du commandement des écoles de l'armée de l'air (CEAA) est quant à lui déjà installé dans l'agglomération tourangelle.

Si la venue de ces nouveaux personnels s'inscrit dans un cadre plus général dicté par la nécessaire réorganisation des personnels de l'armée de l'air et des redistributions des moyens entre les bases aériennes défini par le Plan Air 2010, ces mouvements permettent d'envisager l'avenir de la BA 705 de façon sereine même après le transfert sur un autre site de l'école de chasse.

En effet, la venue dans l'agglomération de nouveaux effectifs d'unités non navigantes de même qu'un nombre significatif d'agents du ministère de la défense et leur famille, qui ont tous vocation à s'intégrer dans le tissu social et économique local, compenseraient probablement l'impact d'une disparition à terme de cette unité.

Ces implantations importantes de personnels apportent ainsi une réponse satisfaisante aux craintes d'une partie des élus locaux et de la population quant à l'impact potentiellement négatif sur le plan économique et social pour l'agglomération tourangelle de la perte possible à l'horizon 2014 de l'unité école de chasse de la BA 705. Elles permettent aussi d'apporter une réponse à moyen terme aux problèmes actuels subis par une partie de l'agglomération, dénoncés par certaines associations de riverains et pris en compte par le ministère de la défense, tout en conservant localement une présence militaire parfaitement intégrée à la population.

Le plan de réforme de l'armée annoncé par le gouvernement au mois de juillet 2008, a toutefois maintenu sur Tours tout le potentiel de la base école BA705 et de l'aérodrome civil exploité par la société Ryanair. C'est ce qui n'a pas échappé à certaines associations de riverains qui ont durement dénoncées le maintien de la base école dès le lendemain des annonces du ministère de la défense. Quelques jours, plus tard, c'était la sénatrice-maire de Saint-Pierre-Des-Corps qui appelait tous les habitants de la ville à continuer la lutte contre la base-école.


Au delà de l'aspect économique, le plan de réforme de l'armée et ses implications pour la BA705 n'ont pas réussi à intégrer le fait qu'à Tours, une centre d'apprentissage de pilotes et des lignes commerciales civiles survolent 3 zones SEVESO II ainsi que des milliers d'habitations à toutes heures du jour et de la nuit, ce qui peut s'avérer dangereux à bien des niveaux.Toutefois lors de son installation elle se situais en pleine campagne avant d'être englobée dans l'agglomération ce qui pose des questions sur l'urbanisation de ses abords et relativise les griefs des riverains qui ne pouvaient ignorer les risques de nuisances encourues ....

La BA705, de par son implantation géographique et la politique d'urbanisation a ses alentours, continue donc de diviser les populations ainsi que les élus.

Liens externes

Notes et références


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Base aérienne 705 Tours de Wikipédia en français (auteurs)

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