Nouveau parti de la réforme

Nouveau parti de la réforme
新党改革(Shintō Kaikaku)
Présentation
Président Yōichi Masuzoe
Fondation 29 août 2008 (Club Kaikaku)
23 avril 2010 (NPR)
Siège 2-16-15 Hirakawa-chō, Chiyoda, Tōkyō
Conseiller suprême Hideo Watanabe
Président délégué Tetsurō Yano
Secrétaire général Hiroyuki Arai
Président du Conseil des Affaires de la Diète Toshio Yamauchi
Présidents du groupe à la Chambre des représentants
Présidents du groupe à la Chambre des conseillers Hidehisa Otsuji (groupe PLD-Club Kaikaku)
Représentants
0 / 480
Conseillers
2 / 242
Idéologie droite, conservatisme libéral, nationalisme
Couleurs bleu clair et orange (informellement)
Site web shintokaikaku.jp

Le Nouveau parti de la réforme (新党改革, Shintō Kaikaku?, NPR) est un parti politique japonais. Initialement fondé sous le nom de Club Kaikaku (改革クラブ, Kaikaku Kurabu?, littéralement « club de la réforme ») - officiellement traduit en anglais par New Renaissance Party (NRP), soit en français Nouveau parti de la Renaissance (NPR) - le 29 août 2008 par quatre membres de la Chambre des conseillers, la chambre haute de la Diète du Japon, jusque là dans l'opposition au Parti libéral-démocrate (PLD) mais en désaccord avec la direction de leurs partis et souhaitant se rapprocher de ce dernier. Ils étaient menés par Hideo Watanabe, dissident du Parti démocrate du Japon (PDJ), et Hiroyuki Arai, ancien du Nouveau parti Nippon (NPN). Après le ralliement du populaire dissident du PLD Yōichi Masuzoe, qui en devient le nouveau dirigeant, il se transforme pour prendre son nom actuel le 23 avril 2010.

Sommaire

Historique

Club Kaikaku

Formation

Le parti (plus exactement mouvement politique, n'ayant pas à l'époque les qualifications requises pour être reconnu en tant que parti politique, tout particulièrement le fait d'avoir au moins cinq parlementaires) est officiellement créé le 29 août 2008, en réaction à la situation de crise parlementaire créée par la division de la Diète entre une Chambre des représentants largement dominée par la coalition gouvernementale PLD-Nouveau Kōmeitō depuis sa victoire écrasante aux élections législatives de 2005, et une Chambre des conseillers, certes moins puissante mais pouvant retarder le travail législatif, dominée depuis le renouvellement de la moitié de ses membres en 2007 par l'opposition non-communiste structurée autour du PDJ. Les membres fondateurs du Club Kaikaku reproche notamment à cette dernière de s'être engagée dans une stratégie d'opposition systématique et donc de contribuer à un blocage de la situation, tout en regrettant que : « La Chambre haute est maintenant utilisée comme un outil de contre-pouvoir de la Chambre basse ». Hideo Watanabe explique ainsi la démarche du nouveau mouvement : « Il y a eu beaucoup de spéculation, mais notre fondement principal dans la formation du parti est de poursuivre le véritable but de la Chambre haute et d'accroître la valeur du système bicaméral ». Il entend ainsi à l'époque mettre en œuvre un dialogue permanent entre les différents partis afin de faire évoluer la situation.

Ses quatre membres fondateurs, tous des conseillers jusque là de l'opposition, sont :

  • deux démissionnaires du PDJ, tous deux étant allés à l'encontre la consigne de leur parti lors du vote du 9 avril 2008 sur le choix du gouverneur de la Banque du Japon (la direction démocrate ayant appelé à votre contre le candidat du gouvernement, Hiroshi Watanabe, parce qu'il s'agit d'un ancien haut-fonctionnaire du ministère des Finances[1]) :
  • deux indépendants non inscrits :
  • Hiroyuki Arai, ancien représentant libéral-démocrate de 1993 à 2003 avant d'être élu à la Chambre des conseillers à la proportionnelle nationale sur la liste du PLD en 2004, il était membre au sein du PLD du Shisuikai, l'une des plus conservatrices sur le plan des valeurs et de la vision de la société. Ancien partisan de Jun'ichirō Koizumi dont il fut l'un des organisateurs de la campagne lors de sa première tentative de prendre la présidence du parti en 1995 ou en étant le chef de la communication du PLD lors des élections à la Chambre des conseillers de 2001, il s'oppose toutefois à son projet de privatisation de la poste japonaise de 2005 et fait donc partie cette année-là des « rebelles postaux » ayant quitté le parti majoritaire de l'époque. Membre fondateur et secrétaire général à partir d'août 2005 du Nouveau parti Nippon de l'ancien gouverneur libéral, et pourtant lui-même plutôt réformiste, de Nagano Yasuo Tanaka. Il quitte toutefois ce petit mouvement et rompt avec Tanaka en juillet 2007 afin de protester contre la modification récente par ce dernier de la constitution interne du parti visant à l'orienter plus vers ses thèses libérales et réformatrices que sur l'opposition conservatrice à la privatisation de la poste. Il siège ensuite comme indépendant jusqu'à la création du Club Kaikaku l'année suivante, dont il devient le secrétaire général, poste qu'il conserve dans la direction du NPR.
  • Shinpei Matsushita, ancien secrétaire du conseiller libéral-démocrate puis indépendant de Miyazaki Motoi Nagamine (élu de 1995 à 2001) qui sera son mentor en politique, il est lui-même élu en 2004 sans étiquette au vote unique non transférable pour la préfecture de Miyazaki à la Chambre des conseillers. Il siège d'abord au sein du groupe commun « PDJ - Shin-Ryokufūkai », sans adhérer à aucun parti, puis quitte le groupe et devient donc un non-inscrit le 5 juillet 2007, notamment parce qu'il n'a pas réussi à convaincre le PDJ d'investir son ancien parrain en politique, Motoi Nagamine, lui préférant le plus jeune Itsuki Toyama : celui-ci est élu tandis que Motoi Nagamine n'arrive qu'en quatrième position. Il se rapproche ensuite du PLD, et vote notamment en faveur de la reconduction de la mission d'approvisionnement des Forces japonaises d'autodéfense aux forces internationales engagées en Afghanistan telle que proposée par le gouvernement de Yasuo Fukuda en janvier 2008. Il est également un défenseur du film La Vérité sur Nankin.

Le Club Kaikaku devait initialement comporter un cinquième membre, à savoir la conseillère démocrate Yumiko Himei, élue en 2007 au vote unique non transférable dans la préfecture d'Okayama. Ayant tout d'abord, comme Watanabe et Ōe le 28 août, elle se ravise le lendemain, notamment grâce à l'intervention de Naoto Kan, de qui elle reste une proche au sein du parti[8].

Il ne faut toutefois pas longtemps au jeune mouvement pour pouvoir officiellement atteindre le quota de parlementaire requis pour être reconnu par la loi en tant que parti politique, avec le ralliement le 24 septembre 2008 d'un député indépendant ex-PDJ :

  • Shingo Nishimura, représentant élu depuis 1993, tout d'abord au vote unique non transférable dans l'ancien 5e district d'Ōsaka de 1993 à 1996 puis au scrutin uninominal majoritaire à un tour dans la nouvelle 17e circonscription d'Ōsaka de 1996 à 2000 et de 2003 à 2005 et enfin à la proportionnelle dans le bloc de Kinki de 2000 à 2003 et depuis 2005. Il a, jusqu'en 2008, toujours siégé dans des partis d'opposition, ou presque (de 1999 à 2000), au PLD : le Parti démocrate socialiste de 1993 à 1994, le Shinshintō de 1994 à 1997, le Parti libéral de 1998 à 2003 et enfin le PDJ de 2003 à 2005. Connu pour ses positions très affirmées en faveur de la constitution d'une armée conventionnelle au Japon, du renforcement de sa puissance militaire et du nationalisme, il s'est fait remarquer en tant que vice-ministre de la Défense en 1999, ses déclarations dans un entretien accordé à un magazine en faveur d'un développement de l'arme nucléaire pour l'auto-défense au Japon ayant provoqué une véritable levée de bouclier le forçant à démissionner. Il a également signé la pétition contre la résolution 121 de la Chambre des représentants des États-Unis sur les femmes de réconfort[7], est un défenseur du film La Vérité sur Nankin, a affirmé dans une interview en 2007 que la Chine était le « plus gros ennemi » du Japon tant économiquement que militairement[9] et a apporté son soutien aux propos et écrits controversés de l'ancien chef d'État-major des Forces aériennes d'autodéfense, Toshio Tamogami, limogé en novembre 2008 pour avoir nié dans un essai paru le mois précédent que le Japon était le pays agresseur de la guerre du Pacifique[10]. Le 29 novembre 2005, il est exclu du PDJ suite à un scandale touchant son activité d'avocat à Ōsaka : il aurait en effet permis entre 2002 et 2004 l'un de ses clercs de l'époque, alors que celui-ci ne possédait pas de certificat d'exercice du métier d'avocat, d'utiliser son seau d'avocat et sa signature personnelle pour régler plusieurs accords en dehors de la cour entre des clients et des assureurs impliqués dans des affaires d'accidents de voiture[11]. Bien qu'ayant reconnu sa responsabilité, il n'a pas démissionné de son siège de député et a donc ensuite continué à siéger comme indépendant. La Cour du district d'Ōsaka décide en 2007 pour cette affaire une peine de 2 ans d'incarcération suspendue, soit une condamnation de principe pour avoir exprimé des remords devant la justice, il évite ainsi la prison et la privation de son mandat électoral[12].

Bien que se voulant au départ une passerelle entre majorité et opposition à la Chambre des conseillers, le Club Kaikaku devient en fait rapidement une force d'appoint de la coalition PLD-Nouveau Kōmeitō. Les quatre conseillers votent le 24 septembre 2008 en faveur de Tarō Asō comme Premier ministre, et seul Shingo Nishimura choisit un autre candidat (l'indépendant Takeo Hiranuma).

Après les élections législatives de 2009

Aux élections législatives du 30 août 2009, le Club Kaikaku fait campagne avec pour slogan « Les conservateurs qui réforment » (改革する保守, Kaikaku suru hoshu?), mais ne présente qu'un seul candidat, son unique sortant, Shingo Nishimura, à la fois au scrutin uninominal majoritaire à un tour dans le 17e district de la préfecture d'Ōsaka, où il affronte la détentrice libéral-démocrate de la circonscription qui l'avait battu en 2005, Nobuko Okashita, et le nouveau candidat démocrate Megumu Tsuji, et à la proportionnelle en constituant seul une liste dans le bloc de Kinki. Il est battu au deux scrutins : au vote majoritaire, il arrive en troisième et avant-dernière position avec 36 650 voix et 17,5 % (contre 43,11 % à Tsuji, qui est élu, et 30,27 % à Okashita)[13] ; à la proportionnelle, il obtient à peine 58 141 votes et 0,52 des voix, soit le plus mauvais score du bloc[14]. Le Club Kaikaku se retrouve donc une nouvelle fois réduit à seulement quatre parlementaires, et perd momentanément son statut de parti politique.

Suite à ce scrutin, le mouvement confirme son rapprochement avec le PLD, désormais relégué dans l'opposition suite à la victoire du PDJ. Le 11 septembre 2009, les quatre conseillers rejoignent ceux libéraux-démocrates pour former un groupe commune « PLD - Club Kaikaku ». Cinq jours plus tard, à l'occasion de l'élection du nouveau Premier ministre, ils votent tous en faveur du candidat libéral-démocrate Masatoshi Wakabayashi contre le président du PDJ Yukio Hatoyama, qui est élu.

Le 16 octobre 2009, il retrouve un cinquième parlementaire avec le ralliement d'un député élu comme indépendant au scrutin du 30 août, une personnalité de poids quoique qu'à l'image sulfureuse :

  • Kishirō Nakamura, député de 1976 à 1994, de 1996 à 2003 et depuis 2005, successivement représentant de l'ancien 3e district de la préfecture d'Ibaraki de 1976 à 1994 puis de la nouvelle 7e circonscription de cette même préfecture de 1996 à 2003 et depuis 2005. Élu tout d'abord sans étiquette en 1976, il adhère très vite au PLD et en son sein au « Club du Jeudi » (木曜クラブ, Mokuyō kurabu?), la faction dominante de l'ancien Premier ministre Kakuei Tanaka, puis au « Groupe d'études d'Heisei » (平成研究会, Heisei Kenkyūkai?) ou Heiseikai qui lui succède en 1987. Membre du Cabinet à la fin des années 1980 et au début des années 1990, il est Ministre d'État et directeur de l'Agence des Sciences et des Technologies en 1989 (il est alors le premier membre d'un gouvernement japonais à être né après la guerre) puis ministre de la Construction de 1992 à 1993. Il fait partie au début des années 1990 d'un quartet de jeunes réformateurs alliés pour prendre les rênes du parti et modifier sa pratique du pouvoir, « NYKK » (d'après les initiales de ses membres), avec Taku Yamasaki, Kōichi Katō et Jun'ichirō Koizumi. Il est condamné une première fois pour trafic d'influence en 1994, mettant un terme à ses ambitions politiques et réduisant le quartet « NYKK » à un trio « YKK ». S'étant pourvu en appel puis devant la Cour suprême du Japon, il revient pour les élections législatives de 1996 et remporte largement sa circonscription avec le soutien tacite du PLD dont il n'est plus membre. Il est réélu par la suite à chaque fois qu'il s'est représenté, comme indépendant et avec face à lui des candidats de tous les grands partis. En janvier 2003, la Cour suprême du Japon confirme la peine d'emprisonnement de 1994 : il doit à nouveau abandonner son siège pour être incarcéré, et ne peut participer aux élections législatives de 2003. Après 18 mois de prison, il est relâché en juin 2004 et se représente donc, toujours sans étiquette, pour être réélu aux législatives de 2005. Il a par la suite été un ferme soutien des réformes structurelles de son ancien allié Koizumi et tout particulièrement de la privatisation de la poste. Il a été réélu en 2009 avec toujours le même programme réformateur et pour slogan « Réhabilitation du Japon ». Après son ralliement au Club Kaikaku, il rejoint le groupe parlementaire des libéraux-démocrates pour former, comme à la Chambre des conseillers, un « groupe PLD - Club Kaikaku ».

Au mois de janvier 2010, à l'approche du renouvellement de la moitié de la chambre haute du 11 juillet 2010, le Club Kaikaku connaît un « échange » de conseillers à quelques jours d'intervalles avec :

Le NPR

Le 23 avril 2010, le Club Kaikaku est rejoint par trois nouveaux membre de la Chambre des conseillers :

Le Club Kaikaku se transforme alors en Nouveau parti de la réforme, dont Yōichi Masuzoe prend la présidence et Tetsurō Yano la présidence déléguée. Pour protester contre cette transformation, le représentant Kishirō Nakamura (qui était jusqu'alors l'unique député du parti) et le conseiller Yasuhiro Ōe (qui était jusqu'alors le président du Comité des Affaires générales et de celui des Affaires de la Diète du Club Kaikaku) démissionnent du mouvement tout en restant membre du groupe commun « PLD-Club Kaikaku ». Le 14 mai 2010, Yasuhiro Ōe rejoint le Parti de la réalisation de la joie tandis que le NPR forme un groupe parlementaire distinct.

Lors du renouvellement de la moitié de la Chambre des conseillers du 11 juillet 2010, le NPR présente douze candidats dont quatre de ses cinq sortants (tous ses parlementaires sauf Masuzoe, dont le siège n'était pas en jeu, et Yamauchi qui ne se représentait pas) : sept au vote unique non transférable au niveau des préfectures et cinq à la proportionnelle à l'échelle nationale. Seul Hiroyuki Arai est réélu à la proportionnelle nationale (la liste du parti a totalisé 1 172 395,19 voix soit 2,01 % des suffrages exprimés et le huitième score du pays). Les candidats du parti au vote unique non transférable n'ont quant-à-eux totalisé que 625 431 bulletins et 1,1 % des suffrages exprimés. Avec désormais uniquement deux conseillers, le NPR est en-dessous de la barre des cinq parlementaires requis pour être considérés comme un parti au regard de la loi de financement des organisations politiques. Il forme par la suite un groupe commun avec un autre jeune mouvement de droite conservatrice et nationaliste issu de dissidences du PLD, Tachiagare Nippon.

Direction

Club Kaikaku

Du 29 août 2008 au 23 avril 2010, la direction du Club Kaikaku a été la suivante :

  • Président : Hideo Watanabe
  • Secrétaire général : Hiroyuki Arai
  • Président du Comité des Affaires générales et de celui des Affaires de la Diète : Yasuhiro Ōe

NPR

Depuis le 23 avril 2010, la nouvelle direction du NPR est la suivante :

  • Président : Yōichi Masuzoe
  • Conseiller suprême (fonction honorifique) : Hideo Watanabe
  • Président délégué : Tetsurō Yano
  • Secrétaire général : Hiroyuki Arai
  • Président du bureau politique : Masakatsu Koike
  • Président du Comité des Affaires de la Diète : Toshio Yamauchi

Idéologie

Le Club Kaikaku puis le NPR a une plateforme politique orientée à droite, à la fois conservatrice voire traditionaliste, avec une défense des valeurs originelles japonaises se traduisant notamment par une réforme du système éducatif, et nationaliste (ou patriotique). Plusieurs de ses dirigeants ont en effet soutenus le film La Vérité sur Nankin. Il défend nettement une révision de la Constitution du Japon afin de supprimer ses dispositions pacifistes et son interdiction au recours à la force militaire posée dans son article 9, et doter ainsi le pays d'une armée conventionnelle afin qu'il devienne une « Nation normale ». Il défend une diplomatie d'indépendance nationale, notamment en ne dépendant plus des États-Unis sur le plan stratégique et de la sécurité, et offensive à l'égard des régimes autoritaires de la région (la République populaire de Chine et la Corée du Nord). Il met tout particulièrement l'accent sur une résolution rapide de la question des enlèvements de Japonais par le régime de Pyongyang et le maintien des sanctions à son égard et veut renforcer les liens avec Taïwan. Dans le même temps, il soutient dans l'ensemble les réformes structurelles engagées par Jun'ichirō Koizumi, ainsi que la décentralisation, la diminution du poids de l'État (avec par exemple une équipe gouvernementale restreinte), la réduction des impôts sur les sociétés et une dérégulation plus rapide afin de stimuler la reprise économique[19], mais veut dans le même temps en atténuer les effets sur le plan social[20].

Références

  1. (en) Japan Considered Podcast, Vol. 4, n°13, 11/04/2008
  2. (en) H. MASAKI, « Japan Enacts Referendum Law », Transpacific Radio, 20/05/2007
  3. (en) J. OKUMURA, « Can DPJ Dissenters Join the Ruling Coalition on the Other Side of the Road Money? », Global Talk 21, 25/04/2008
  4. (en) Ampontan, « Ozawa Ichiro’s foreign affairs », Ampontan, 29/01/2009
  5. (en) B. CHU, « Deep Green Academics, Ideas have Consequences! », The China Desk, 28/07/2006
  6. M. CHANG, YANG M.-C, L. WU, « DPP candidate confident of landslide in presidential election », CNA News, 18/12/2007
  7. a et b (ja) [PDF] Liste des signataires de la pétition du 13 juillet 2007 demandant le retrait de la résolution 121 de la Chambre des représentants des États-Unis
  8. (en) K. NAGATA, « Four one short of forming party », The Japan Times, 30/08/2008
  9. [PDF] (en) L. HAGSTRÖM, « Sino-Japanese relations : The ice that won’t melt », International Journal, Hiver 2008-2009, p. 236
  10. (ja) « 西村眞悟ホームページ・眞悟の時事通信(「強い国」とは歴史の真実を堂々と明言できる国・さらば村山富市) », site officiel de Shingo Nishimura
  11. (en) Kyodo, « DPJ's Nishimura admits he let sham lawyer act as his proxy », The Japan Times, 26/11/2005
  12. (en) « Lawmaker avoids jail over lending name », Yomiuri Shimbun, 08/02/2007, in Access my library
  13. (ja) Résultats des élections législatives du 30 août 2009 dans la 17e circonscription d'Ōsaka, sur le site www.senkyo.janjan.jp
  14. (ja) Résultats des élections législatives du 30 août 2009 dans le bloc proportionnel de Kinki, sur le site www.senkyo.janjan.jp
  15. (ja) « 山内参院議員は出馬せず/来夏の参院選 », Shikoku News, 24/09/2009
  16. (en) T. HARRIS, « The LDP chooses inertia », Observing Japan, 28/12/2009
  17. (en) « Japan's most popular politician bolts conservative party », AFP, 22/04/2010
  18. (en) « Poll: Masuzoe would be best prime minister », Yomiuri Shimbun, 06/2010
  19. AFP, « Japon: M. Popularité crée son parti politique », Cyberpresse.ca, 23/04/2010
  20. (ja) Programme du Club Kaikaku sur son site officiel

Voir aussi


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