Dourduff (Rivière de Morlaix)

Dourduff (Rivière de Morlaix)
Dourduff (Rivière de Morlaix)
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Caractéristiques
Longueur  ?
Bassin 45 km2
Bassin collecteur Rivière de Morlaix
Débit moyen 0,531 m3⋅s-1 (Garlan)
Cours
Se jette dans Rivière de Morlaix
Géographie
Pays traversés France

Le Dourduff ou Dourdu est le nom d'un cours d'eau français qui coule dans le Trégor, en Bretagne. Il se jette dans la baie de Morlaix.

D'autres petits cours d'eau bretons portent ce nom : dans le Finistère, le Dourduff, dénommé aussi la « rivière du Buis », prend sa source à l'ouest du bourg de Loqueffret, au niveau des hauteurs de Kerbalaün et du Cosquer, puis sert un moment de limite communale entre Brasparts et Lannédern. C'est un affluent de rive gauche de la Douffine, avec laquelle il conflue en amont de l'ancien moulin du Grand-Pont situé en Pleyben, en limite avec Brasparts.

Sommaire

Étymologie

Le nom est breton comme la quasi totalité de la toponymie ancienne dans la moitié ouest de la Bretagne. Il vient des mots dour, eau, et duff, breton ancien (du en breton moderne) noir. Le mot se prononce dourdu, comme en breton.

Géographie

Cet affluent de rive droite de la Rivière de Morlaix a sa source à Plouigneau vers 183 mètres d'altitude, puis coule entre Garlan sur sa rive gauche et Plouégat-Guérand sur sa rive droite, son bassin hydrographique se situant entre ceux du Douron à l'est et de la Rivière de Morlaix à l'ouest. Il se jette par un large estuaire de type aber dans celle-ci en un point dénommé en breton An Treiz ("le Passage" en français, dénommé "Passage Bel-Air" sur le cadastre de 1830), car l'absence de pont nécessitait le recours à un passeur pour franchir le Dourduff : il a fallu attendre le chemin de fer pour qu'un pont ferroviaire soit construit (voie ferrée des Chemins de fer armoricains allant de Morlaix à Plestin-les-Grèves) en 1921, qui fut ensuite reconverti en pont routier après la fermeture de la ligne dès 1925. Un autre bac franchissait la Rivière de Morlaix pour atteindre Locquénolé sur sa rive gauche.

Son bassin hydrographique est de 8340 ha, sa longueur de 19,860 km. À la fin du XIXe siècle, 14 moulins à farine se trouvaient le long de son cours[1].

Le Dourduff sert de limite communale entre Ploujean et Plouezoc'h et a donné son nom à deux hameaux que ce cours d'eau traverse et qui font partie de la commune de Plouezoc'h: "Le Dourduff-en-Terre" en amont et "Le Dourduff-en-Mer"[2], juste à la confluence ( ou embouchure) avec la Rivière de Morlaix[3].

La formation géologique connue sous l'expression de "brèche du Dourduff" (des poudingues contenant des galets de roches éruptives[4]), incluant des lentilles de calcaire[5], contenant des fossiles[6] qui ont permis de dater du strunien (passage du dévonien au carbonifère) ces formations géologiques[7]

Départements et communes traversés

  • Finistère.
  • Aucune ville et aucune chef-lieu communal n'est traversé, par contre deux hameaux éponymes le sont : Le Dourduff-en-Terre et Le Dourduff-en-Mer.

Le Dourduff-en-Mer

Le Dourduff-en-Mer et la Rivière de Morlaix (Dossen)

Description du hameau

C'est un hameau et un port qui dépend de la commune de Plouezoc'h. En 1901, ce hameau est indiqué avoir 25 habitants[8].

En 1892, Albert Clouard en fait la description suivante :

« Après avoir laissé à gauche le bourg de Ploujean, voici que le chemin fait un coude et dégringole les pentes rapides d'une pittoresque vallée, au fond de laquelle se terre le petit village du Dourdu, un ravissant Auburn. Les maisonnettes jouent à cache-cache derrière les peupliers en quenouille et les saules éplorés, en des courtils fleuris et embaumés, en d'humides prairies arrosées d'une rivière aux eaux sombres[9]. »

Le port et les activités maritimes

Le Dourduff-en-Mer et la Rivière de Morlaix vus de Locquénolé
Le Dourduff-en-Mer

Un sillon de galets formant poulier barre partiellement l'embouchure du Dourduff au niveau de sa confluence avec la Rivière de Morlaix et forme un havre qui a permis la naissance d'un port qui fut très actif par le passé. Le Dourduff-en-Mer, dénommé anciennement Le Dourduff, possédait des chantiers navals, qui construisirent par exemple à la demande d'Anne de Bretagne La Cordelière (dénommée initialement la Maréchale), une caraque de 700 tonneaux, première frégate à deux batteries construite en France, commandée par Hervé de Portzmoguer, que le navire anglais la Régente coula corps et biens le 12 août 1512 au large de la Pointe Saint-Mathieu[2].

Cet abri naturel a aussi servi maintes fois de cachette pour des navires hostiles :

« Avant d'entrer dans le port de Morlaix, on aperçoit une vaste baie appelée le Dourduff, où vinrent bien des fois se cacher, durant nos guerres maritimes, des flottilles de corsaires qui cherchaient à surprendre les navires marchands à leur sortie, et osèrent même, quelquefois, piller les villages voisins et enlever leurs habitants, comme le prouve une chanson très populaire (...) : « Le premier jour du mois de novembre, les Saxons sont descendus au Dourduff, ils ont enlevé une jeune fille dont Yvonne était le nom (...) ». C'est encore à cet endroit que le 4 juillet 1522, abordèrent une cinquantaine de navires anglais qui y effectuèrent une descente (...)[10]. »

En 1650, Yves Simon de Penanger, aïeul et curateur d'Yves de Goesbriant, donnait l'autorisation à deux pêcheurs de Penzez [Penzé] de faire la pêche aux crevettes dans le Dourduff moyennant 20 livres par an[11].

Le Dourduff fut un port réputé pour l'exportation des toiles et connut d'importantes activités ostréicoles jusque dans la décennie 1950 ; l'ostréiculture y subsiste, mais l'activité est réduite depuis la maladie de l'huître plate survenue alors[12]. Ce fut aussi un important port de pêche côtière. Un quai en 1874 et un débarcadère destinés à faciliter le débarquement des engrais marins en 1880 y furent aménagés[13]. La desserte ferroviaire (ligne de Morlaix à Primel Tregastel) mise en service en 1912 (un accident ferroviaire concernant un train à destination du Dourduff-en-Mer survint le 28 juillet 1912 à la gare de Ploujean, faisant au moins deux morts et plusieurs blessés graves[14]) par les Chemins de fer armoricains, reprise ensuite par la Compagnie des Chemins de fer départementaux du Finistère, ferma dès 1935, mais assura une prospérité au Dourduff-en-Mer, où une gare existait, pendant cette période.

En 1922, 58 bateaux de pêche sont armés pour les trois ports de Primel, Térénez et Le Dourduff-en-Mer[15]. En 1924, le journal Ouest-Éclair écrit, parlant de la pêche au lieu jaune : « Les marchandes du Dourduff-en-Mer les apportent par paniers à l'arrivée du petit train, à la sortie de la Manufactures des Tabacs, etc... »[16]. Pendant l'Entre-deux-guerres, le journal Ouest-Éclair publie fréquemment des articles évoquant l'abandance des prises et la prospérité du port : « Les huitres du Dourduff-en-mer sont servies sur les tables de la capitale »[17], « Les tournées en rade [de Morlaix] continuent à être fructueuses pour les flottilles du Dourduff-en-Mer et de Locquénolé, (...) le trafic de marchandises est intense (...) par le petit train soit à l'arrêt du Dourduff-en-mer, soit à Morlaix[18], « Les marchandes du Dourduff apportent chaque jour à Morlaix du lieu bien frais et du maquereau qui sont très vite vendus à la descente du petit train »[19], « Les huîtres du Dourduff-en-Mer sont très demandées. Beaucoup d'ormeaux, de praires, de merlus »[20], « il a été pris des lieus de belle taille et qui se vendent un prix très élevé au marché de Morlaix. Les huîtres plates du pays sont d'un bon rendement. Les coquilles Saint-Jacques prises à la drague se vendent facilement. La menue cueillette de palourdes, bigorneaux et coques est d'un bon rendement »[21], etc...

Un projet de bassin à flot fut lancé par l'ingénieur La Force en 1772, mais n'aboutit pas. L'absence d'aménagement a permis la conservation du palud (marais maritime) ; le hameau a aussi conservé la "Maison du corps de garde", devenue "Vigie de la douane" au XIXe siècle[22], et qui abrite désormais la "Société des Régates du Dourduff-en-Mer"[23].

Des corps morts destinés à faciliter l'amerrissage des hydravions furent installés au Dourduff-en-Mer en 1933[24].

Autres aspects historiques

Hervé du Bois est seigneur du Dourduff en Plougoulm selon un aveu de 1540 ; il relève de la juridiction de Lesneven[25]. Cette famille est d'ailleurs parfois dénommée "Du Bois-Dourduff" : par exemple une Marguerite Du Bois-Dourduff épouse Pierre de Kerléau au début du XVe siècle[26].

"Du Dourduff" ou "Du Dourdu" était aussi le nom d'une ancienne famille décalrée d'extraction noble par l'arrêt du 20 juillet 1669[27].

Josias-Claude-Michel Le Gac de Lansalut, né le 26 juillet 1707, était seigneur du dit lieu, de l'Île-Crékan et du Dourduff[28]

Littérature

  • François-Marie Luzel dans une nouvelle intitulée Le pêcheur qui vendit son âme au diable, qui fait partie du recueil Veillées bretonnes paru en 1879 parle à plusieurs reprises du Dourduff[29]. L'auteur a repris une vieille légende des environs de Morlaix qui racontait qu'un pêcheur du Dourduff, se trouvant un jour seul sur sa barque en pleine mer était à songer tristement à son malheureux sort lorsqu'il entendit un grand bruit et vit un cavalier tout habillé de rouge surgir des flots, faisant jaillir le feu de ses quatre pieds et de ses narines, et qui marchait sur la mer. Ce cavalier était le diable qui venait proposer au pêcheur de lui vendre son âme[30].
  • Pierre Maël a publié en 1899 un roman Seulette dont l'action se déroule principalement au Dourdu (Le Dourduff-en-Mer)[31].

Le Dourduff-en-Terre

Ce hameau est surtout connu par son moulin à marée dénommé Melin Vor en breton ("moulin de la Mer" en français) dont l'existence est attestée dès 1671. Une des roues est horizontale, finistérienne, tournant à l'eau douce à l'intérieur du moulin, et l'autre roue, verticale, tourne à l'eau de mer de la retenue. Cette association est rare. Ce moulin est classé monument historique par arrêté du 29 août 1988[32].

  • Gaston Laborde a peint en 1961 le Moulin en Bretagne, Dourduff en Terre[33].

La pente forte à proximité du hameau a été de tout temps une source de dangers : par exemple le 10 août 1893, le cheval tirant la voiture du baron de Courcy, qui habitait le château de Tourellon, s'emballe dans la descente du Dourduff-en-Terre, la viture verse et la belle-sœur du baron est tuée, le baron lui-même et ses enfants grièvement blessé[34].

Une petite croix, haute de 1,53 mètre, en granite, est accolée au mur d'une maison du hameau et porte une inscription à la mémoire d'Éode Potier de Courcy, décédée à l'âge de 52 ans[35].

Notes et références

  1. Adolphe Joanne, "Dictionnaire géographique et administratif de la France et de ses colonies", tome 2, C-D, Hachtte, Paris, 1890, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k73390r/f655.image.r=Dourduff.langFR
  2. a et b http://www.bretagne.com/fr/patrimoine_maritime/en_finistere/ports/dourduff_en_mer
  3. http://ulamirlammeur.free.fr/toponymie/total.php3?ville=5&ordre=moturl&lettre=d
  4. Fernand Priem, "La terre. , La terre avant l'apparition de l'homme : périodes géologiques, faunes et flores fossiles, géologie régionale de la France", 1893, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2065679/f533.image.r=Dourdu.langFR et Charles Barrois, "Légende de la feuille de Lannion (carte géologique)", Annales de la Société géologique du Nord, 1875, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5724050c/f225.image.r=Dourdu.langFR
  5. Charles Barrois, "Le calcaire de la vallée du Dourdu (Finistère)", Annales de la Société géologique du Nord, volume LII, 1927, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5723886f/f82.image.r=Dourdu.langFR
  6. Yves Milon, "Recherches sur les calcaires paléozoïques et le briovérien de Bretagne", Bulletin de la Société Linnéenne de Normandie, 1929, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5478453w/f10.image.r=Dourdu.langFR
  7. Robert Coquel et Jean Deunff, "Sur la découverte de spores du passage dévonien-carbonifère (stunien), dans le complexe schisteux de la brèche du Dourduff", Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences. Série D, Sciences naturelles, 4 juillet 1977, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5500663s/f21.image.r=Dourduff.langFR
  8. J. Meyrat, "Dictionnaire national des communes de France et d'Algérie. Postes, télégraphes, téléphones et chemins de fer", Deslis frères, Tours, 1901, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56983577/f248.image.r=Dourduff.langFR
  9. Albert Clouard, "Tro-Breiz (Tour de Bretagne)", 1892, Paris, 1892, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5784310j/f389.image.r=Dourdu.langFR
  10. Édouard Vallin, "Voyage en Bretagne, Finistère : précédé d'une notice sur la Bretagne au XIXe siècle", Comptoir de la Librairie de Province, Paris, 1859, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5652145c/f90.image.r=Dourduff.langFR
  11. Journal Ouest-Éclair n°8668 du 13 juillet 1925, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k584930v/f1.image.r=Dourduff.langFR
  12. http://fr.topic-topos.com/port-du-dourduff-en-mer-plouezoch
  13. "Rapports et délibérations du Conseil général du Finistère, avril 1874, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55620363/f7.image.r=Dourduff.langFR, avril 1877, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5562884x/f199.image.r=Dourduff.langFR et avril 1880, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56879265/f21.image.r=Dourduff.langFR
  14. Journal Le Gaulois n°12707 du 29 juillet 1912, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k535503s/f3.image.r=Dourduff.langFR et n°12708 du 30 juillet 1912, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5355045/f2.image.r=Dourduff.langFR
  15. Journal Ouest-Éclair n°7589 du 14 août 1922, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k583866k/f5.image.r=Dourduff.langFR
  16. Journal Ouest-Éclair n°8227 du 24 mars 1924, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k584454h/f3.image.r=Dourduff.langFR
  17. Journal Ouest-Éclair n°9147 du 8 novembre 1926, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6117709/f7.image.r=Dourduff.langFR
  18. Journal Ouest-Éclair n°9358 du 7 juin 1927, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k611981n/f7.image.r=Dourduff.langFR
  19. Journal Ouest-Éclair n°10193 du 24 septembre 1929, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k623848d/f8.image.r=Dourduff.langFR
  20. Journal Ouest-Éclair n°8842 du 3 janvier 1926, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k611461d/f8.image.r=Dourduff.langFR
  21. Journal Ouest-Éclair n°10325 du 3 février 1930, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6239802/f10.image.r=Dourduff.langFR
  22. http://fr.topic-topos.com/maison-des-douaniers-plouezoch
  23. http://patrimoine.region-bretagne.fr/sdx/sribzh/main.xsp?execute=show_document&id=MERIMEEIA29001103
  24. Journal Ouest-Éclair n°13234 du 30 janvier 1933, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6250727/f7.image.r=Dourdu.langFR
  25. René Kerviler, "Répertoire général de bio-bibliographie bretonne", J. Plihon et L. Hervé, Rennes, 1886, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58160499/f139.image.r=Dourduff.langFR
  26. Pol Potier de Courcy, "Nobiliaire et armorial de Bretagne", édition 2, tome 2, 1862, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5406239c/f42.image.r=Dourduff.langFR
  27. René Kerviler, "Répertoire général de bio-bibliographie bretonne", tome 12, J. Plihon et L. Hervé, Rennes, 1886, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58202999/f317.image.r=Dourduff.langFR
  28. François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois et Jacques Badier, "Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France", édition 3, tome 8, 1863, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5424931d/f390.image.r=Dourduff.langFR
  29. L'Alliance française illustrée, 15 octobre 1894, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57387183/f12.image.r=Dourduff.langFR et 15 décembre 1894, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57387205/f9.image.r=Dourduff.langFR
  30. Paul Sébillot, "La mer et les eaux. Les personnages qui marchent sur la mer", Revue des traditions populaires, avril 1899, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5833523d/f3.image.r=Dourduff.langFR
  31. Pierre Maël, "Seulette", 1899, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5773316f/f305.image.r=Dourdu.langFR
  32. http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=PA00090228
  33. http://www.poncon.com/page6/moulin.htm
  34. Journal Le Gaulois n°4006 du 11 août 1893, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k528450n/f3.image.r=Dourduff.langFR
  35. http://les-croix-en-plouezoch.skyrock.com/2102646697-15-CROIX-AU-DOURDUFF-EN-TERRE.html

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