Bataille de Little Big Horn

Bataille de Little Big Horn
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45°34′12″N 107°25′55″O / 45.57, -107.43194

Bataille de Little Big Horn
Custer Massacre At Big Horn, Montana June 25 1876.jpg
Informations générales
Date 25 juin 1876
Lieu vallée de la Little Big Horn, Montana
Issue Victoire amérindienne
Belligérants
Tribus Sioux et Cheyennes États-Unis
Commandants
Sitting Bull
Crazy Horse
Two Moon
Crow King
Gall
Rain In The Face
Lame White Man †
Marcus Reno
George Armstrong Custer
Frederick Benteen
Forces en présence
1 500 guerriers[1] 31 officiers
566 cavaliers
35 éclaireurs indiens
Pertes
au moins 36 morts, et environ 168 blessés (selon Sitting Bull) ; 136 morts, 160 blessés (selon Red Horse) ; plus de 200 morts (National Park Service, 2006) 268 morts (dont Custer)
60 blessés
Guerres indiennes

La bataille de Little Big Horn, surnommée aux États-Unis Custer's Last Stand (« l'ultime résistance de Custer »), et en sioux la bataille de la Greasy Grass, est une bataille qui opposa les 647 hommes du 7e régiment de cavalerie de l'US Army du lieutenant-colonel George A. Custer à une coalition de Cheyennes et de Sioux rassemblés sous l'influence de Sitting Bull.

Elle s'est déroulée le 25 et 26 juin 1876 à proximité de la rivière Little Bighorn (« petit mouflon », un affluent du Bighorn), dans l'est du Territoire du Montana, près de ce qui est aujourd'hui Crow Agency dans l'état du Montana.

C'est l'action la plus célèbre de la Grande guerre Sioux de 1876 (aussi connue sous le nom de guerre des Black Hills) et résulta par une victoire écrasante des Indiens menés par Crazy Horse, le chef Sioux Gall et le chef cheyenne Lame White Man. Custer et 267 de ses hommes périrent dans cette bataille.

Devenue un mythe, elle est l'une des batailles les plus célèbres de l'histoire des États-Unis, étudiée de façon approfondie par les historiens et faisant toujours l'objet d'une littérature abondante.

Le site de la bataille est préservé comme monument national.

Sommaire

Repères

Lieutenant-colonel (breveté major-général) George A. Custer

En 1874, George Armstrong Custer conduit une expédition d’exploration dans les terres sacrées des Black Hills (Montana/Dakota), dans la réserve des Sioux Lakotas et y découvre des gisements aurifères. Les autorités tentent d’abord d’endiguer la vague des chercheurs d’or, avant de chercher à acheter les Black Hills aux Sioux. En septembre 1875, les négociations avec les Sioux échouent. En novembre, le général Terry lance un ultimatum au 31 décembre pour les chasser de leur territoire, par la force si nécessaire. Au printemps 1876, plusieurs colonnes convergent vers les Amérindiens.

La bataille

Sans connaissance de l'échec du général Crook à la bataille de la Rosebud le 17 juin, le lieutenant-colonel George Armstrong Custer (général à titre provisoire en 1865 - brevet general) conduit l'attaque d'un camp d'Amérindiens sioux et cheyennes d'environ 6 000 personnes (dont 1 500 guerriers). Les tribus amérindiennes sont menées par les chefs Sitting Bull et Crazy Horse.

Plan de bataille de Little Big Horn

Custer divise ses forces afin d'attaquer de plusieurs côtés à la fois : le commandant Major Marcus Reno avec les 170 hommes des 3 compagnie A,G et M, le capitaine Frederick Benteen avec 125 autres des trois compagnies D,H et K, Custer avec l'effectif de 216 hommes des cinq compagnies E, F, C, I et L. À l'arrière le train avec les munitions, le capitaine McDougall dispose des 101 hommes de la compagnie B.

Son plan (d'après le clairon Martini) : encercler le camp indien en l'attaquant depuis le sud (Reno), le centre (Benteen) et le nord (Custer lui-même). Le train de munitions devant progresser indépendamment.

15 h 25

Le site de la bataille de nos jours.

La bataille commence alors que les compagnies de Reno descendent dans la petite vallée et prennent une formation en ligne dite de skirmish line. Les Amérindiens sont pris par surprise, mais se portent à la rencontre de Reno qui les attaque dans le val. Pendant ce temps, Custer longe les collines pour prendre le village sur son flanc. Les deux forces n'ont alors plus aucun contact visuel. Vers 15 h 50, le major Reno a le flanc gauche exposé et commence à se faire déborder sur l'arrière. Il ordonne donc à ses cavaliers de se remettre en selle et de se retirer dans le sous-bois afin de consolider son flanc droit. Par contre, les arbres empêchent les cavaliers de se positionner de manière ordonnée. Les guerriers chargent alors les cavaliers en désordre à travers le bois. Reno est submergé, il panique en ordonnant à ses hommes de monter à cheval, de mettre pied à terre puis de remonter. La confusion s'installe et il donne alors l'ordre de la retraite en se dirigeant vers le haut de la colline. Ses hommes tentent de le suivre mais Reno n'a laissé aucune force de couverture ou arrière-garde afin de couvrir sa retraite précipitée. Ceci provoque une déroute et 40 soldats sont tués et 13 blessés par les Amérindiens, menés par les chefs Two Moon, Crazy Horse et Crow King.

16 h 10

Custer atteint une butte près du village. Il a besoin de reconnaître le terrain et trouver un gué pour assurer la future offensive du capitaine Benteen, au centre. Il envoie d'ailleurs un messager ordonnant à Benteen de le rejoindre rapidement et d'apporter avec lui des caisses de munitions transportables par les cavaliers ( « bring packs »). Le train de mulet avance toujours indépendamment dans le dispositif.

16 h 20

Custer a divisé son bataillon en deux ailes : l'aile gauche, sous son commandement, comprend les compagnies E et F, qui devront aller reconnaître le gué au bas de Medicine Tail Coulee. L'aile droite, sous le commandement du capitaine Keogh, doit protéger la manœuvre en engageant une bande d'Amérindiens montés revenus d'une partie de chasse et visibles au nord-est de Medicine Tail Coulee. La reconnaissance faite, le régiment se regroupe au complet sur Calhoun Hill, au nord-ouest. Custer développe la suite de son plan : l'aile droite de Keogh se déploie sur la crête en ligne d'escarmouche, pendant que Custer et l'aile gauche reconnaissent un second gué (North Ford), toujours dans le but de lancer une attaque d'encerclement. Selon toutes vraisemblances, Custer croit Reno toujours engagé.

Pendant ce temps, le capitaine Benteen fait sa jonction avec le major Reno sur une colline qui porte aujourd'hui le nom de Reno-Benteen Battlefield. Indigné de l’inaction de Reno, le capitaine Weir et ses hommes tenteront de se porter à la rencontre de Custer à 16 h 50. Ils resteront 45 minutes seuls sans soutien. Le major Reno et le capitaine Benteen les rejoindront enfin à 18 heures. Sans porter secours à Custer et ses hommes à ce moment sur le point d'être anéantis, ils feront retraite sur Reno Hill, de peur d'être repérés par les forces « indiennes ».

17 h 30 - 18 h 20

Les « Indiens », sous le commandement du chef cheyenne Lame White Man, mènent l'offensive. L'aile gauche de Custer est brisée près de Deep Ravine où elle avait établi un périmètre de défense. Débordé sur son flanc, l'aile droite s'effondre à son tour à 17 h 50, après plus d'une heure de combat à 1 contre 5, sur un terrain défavorable à la cavalerie démontée. Le dernier carré de cavaliers américains succombe à 18 h 20 après des combats acharnés (cet épisode deviendra légendaire sous le nom de « Dernière résistance de Custer », Custer's Last Stand).

Bilan

Monument du 7e de cavalerie, colline de Custer
CheyenneStone.JPG

À Little Big Horn, 263 hommes du 7e de cavalerie trouvent la mort, et 38 sont blessés. Les dernières recherches des historiens laissent penser que les pertes amérindiennes ont été très lourdes, allant de 190 morts et 200 blessés au total[2] à 200 morts sur le champ de bataille, sans compter les morts par blessure[3]. Globalement, la moitié de ses 647 hommes du 7e de cavalerie est hors de combat (tués/blessés) et les Amérindiens ont perdu environ un tiers de leurs 1 500 guerriers disponibles.

Durant cette bataille, le lieutenant-colonel George Armstrong Custer ainsi que le chef Cheyenne Lame White Man trouvèrent la mort.

Cette bataille eut un grand retentissement dans l'opinion publique américaine, et conduisit au massacre de la Wounded Knee Creek, quatorze ans plus tard.

Citations

Le chef sioux hunkpapa Gall

Général en chef de l'armée américaine (1895-1903) Nelson A. Miles : « Plus j'étudie les mouvements ici [à Little Big Horn] et plus j'ai de l'admiration pour Custer. »[4]

Soldat William Taylor, 7e de cavalerie, vétéran de la bataille : « [Le major] Reno a prouvé son incompétence et [le capitaine] Benteen a montré son indifférence. Je n'utiliserais pas les mots plus laids auxquels j'ai si souvent pensé. Tous deux ont abandonné Custer et il a dû se battre tout seul. »[4]

Chef sioux White Bull : « Ce fut un combat dur, très dur. » [5]

Chef sioux Gall : « […] les deux camps se sont bravement battus. » [6]

Chef sioux Sitting Bull : « Il y avait tant de doutes sur l'issue de la bataille que j'ai ordonné aux squaws de démonter les tipis et de se préparer à s'en aller. » [7]

Chef sioux Sitting Bull : « Custer était un chef brave. Les Indiens l'ont respecté et ne l'ont pas scalpé. Je répondrai pour les morts de mon peuple. Les miens ont dit que j'avais raison. Laissons les Visages-Pâles faire de même de leur côté. »[8]

Historien Gregory F. Michno (1997) : « Les survivants de Reno et Benteen ont eu beau jeu de perpétuer l’idée que le dernier combat de Custer était court. Ce n’était pas dans l'intérêt de l’armée ou dans ceux des officiers de carrière de dire qu’ils avaient traîné pendant deux heures, alors que Custer se battait à mort. » [9]

L'un des dossiers les plus controversés de l'histoire des États-Unis

La défaite de Custer est entourée de controverse et divise la communauté des historiens.

Plusieurs officiers (dont le chef suprême de l'armée américaine en personne, le général Miles[10]) et civils s'indigneront du comportement de Benteen et de Reno qui n’ont pas porté assistance aux hommes de Custer. Devant une commission d’enquête en 1879, ces derniers affirmèrent qu’il aurait été suicidaire de tenter de rejoindre les cinq compagnies de Custer, un jugement aujourd'hui controversé, notamment à cause du nombre de parjures recensés durant leurs auditions (parjures admis par le responsable de la commission lui-même)[11]. Certains historiens, ainsi que la dernière étude de David Cornut parue en France en 2006, accusent, preuves à l'appui, Reno et Benteen d'avoir délibérément abandonné Custer et les considèrent coupables de trahison militaire[12].

Ces accusations contre Reno ne sont pas partagées par E. A. Brininstool, par exemple[13]. Pour certains, Reno était déjà en état de choc dès les combats conduits dans le sous-bois, le rendant ainsi non-opérationnel en zone de combat.

D’autres auteurs enfin rejettent la responsabilité du désastre sur Custer (un jugement très controversé, qui fait couler beaucoup d'encre)[14].

Pour l'historien du champ de bataille de Little Big Horn, Michael Donahue, Custer « était sur le point de remporter une victoire remarquable »[15].

Les stèles du 7e de cavalerie, colline de Custer

Dans la culture américaine

Little Big Horn occupe une grande place dans la culture américaine. On estime qu'en moyenne, un millier de livres consacrés à l'engagement et/ou ses acteurs sortent chaque année aux États-Unis. Le théâtre, le cinéma et les médias papier ont contribué à la célébrité mondiale de Custer, de Sitting Bull et de « la dernière bataille ».

Pour les films les plus connus, on peut citer La Charge fantastique, avec Errol Flynn, Custer, l'homme de l'Ouest, avec Robert Shaw, Fort Apache, une métaphore de Little Big Horn avec John Wayne et Henry Fonda ou encore Little Big Man avec Dustin Hoffman.

La bataille a aussi servi de référence dans des films comme Le Dernier Samouraï, avec Tom Cruise, Nous étions soldats, avec Mel Gibson, Windtalkers, avec Nicolas Cage, La nuit au musée et La nuit au musée 2, avec Ben Stiller ou encore Benjamin Gates et le livre des secrets avec Nicolas Cage. On retrouve cette référence à la télévision dans Docteur Quinn, femme médecin, Over There, Into the West ou encore Deadwood. On retrouve le général Custer dans plus de 600 films, sans compter les hommages (300 avec Gerard Butler, dont les scènes de batailles s'inspirent des classiques sur Little Big Horn).

Pour mesurer l'impact de Little Big Horn et du général Custer dans l'inconscient américain, il faut savoir que George Armstrong Custer est la personnalité américaine sur laquelle le plus de livres ont été publiés à ce jour, devant le président Abraham Lincoln, et que l'on dit fréquemment qu'il a acquis avec Little Big Horn une sorte d'immortalité, faisant de lui un symbole américain (la notion de « se lever et se battre », to stand and fight, reste liée à Custer). L'engagement du 25 juin 1876 est également la seconde bataille américaine la plus étudiée après celle de Gettysburg.

Bien que la bataille soit généralement appelée Little Big Horn, la plupart des Américains ne la connaît que sous le nom de Dernière résistance de Custer (Custer's Last Stand). Jusqu'en 1991, le champ de bataille lui-même était appelé « champ de bataille de Custer ». En 2003, un monument en honneur des guerriers indiens a été inauguré par un descendant indirect de Custer (Ken Custer) et le descendant de Sitting Bull (Ernie LaPointe) et d'autres chefs de Little Big Horn[16].

Notes et références

  1. selon les dernières recherches (2006) David Cornut, Little Big Horn..., Anovi.
  2. Little Big Horn..., Anovi, p.265-267
  3. Friends of the Little Big Horn Association. Robert Reece, membre des FLBHA (été 2006) : « il est probable qu'autant d'Amérindiens que de soldats soient morts sur le champ de bataille de Little Big Horn »
  4. a et b Little Big Horn..., Anovi, p.300
  5. Ibid., p.266
  6. Ibid., p.211
  7. Ibid. p.299
  8. http://www.custerwest.org
  9. Gregory F. Michno, Lakota Noon, the Indian narrative of Custer’s defeat, Mountain Press, 1997, pages 296-297
  10. Personal Recollections and Observations of General Nelson A. Miles (autobiographie en deux volumes), Nebraska Press, p. 209, 290 passim (volume I)
  11. Athur Unger, The ABCs of Custer's Last Stand, Upton And Sons, 2004, page 218. David Cornut, Little Big Horn..., annexe II
  12. Little Big Horn..., Anovi, p.281-302. Voir aussi l'impressionnant travail réalisé par les chercheurs sur la Commission d'enquête de Little Big Horn en 1879, p.281-302, 344-347, ainsi que les conclusions du chef suprême de l'armée américaine Nelson A. Miles p.341.
  13. Troopers with Custer, Historic Incidents of the Battle of Little Big Horn.
  14. Par exemple : Joint Force Quaterly, April 2006 (Custer and Cognition, par David C. Gompert and Richard L. Kugler. Pour les auteurs, le plan de Custer était sensé mais risqué. Une réfutation : Cavalier in Buckskin, Oklahoma Press, p. 162-164, où l'historien Utley précise que durant les « guerres indiennes », la surprise nécessitait l'attaque immédiate et que Custer avait agi correctement.
  15. Michael Doanahue, « Custer's Last Stand », BBC, 2007 (voir la vidéo).
  16. Little Bighorn Battlefield National Monument (U.S. National Park Service)

Voir aussi

Bibliographie

Langue française
  • David Cornut, Little Big Horn, autopsie d'une bataille légendaire (édition augmentée), Editions Anovi, 2006/2008 (ISBN 2-9148-1828-9)
    reconstitution de la bataille, abondance de témoignages, de notes et d'illustrations, index, et analyse des progrès de l'enquête entre 1876 et 2008.
  • Farid Ameur, Sitting Bull, héros de la résistance indienne, Paris, Larousse, 2010.
  • Robert M. Utley, Sitting bull : sa vie, son temps. Collection Terre Indienne, Albin Michel, 1997. (ISBN 2-226-09371-0)
    biographie du chef indien
  • James Welch, C’est un beau jour pour mourir. L'Amérique de Custer contre les Indiens des Plaines (1865-1890). Collection Terre Indienne, Albin Michel, 2005. (ISBN 2-226-10716-9)
    entre l'autobiographie et le manifeste pour une reconnaissance des Indiens, structure thématique
  • Jean-Georges Aguer, Little Bighorn (La saga des quatre rivières), Edition Le Cherche Midi, 2007. (ISBN 978-2-7491-0847-6)
    Roman d'aventures
  • Jean-François Le Texier, "La dernière charge", L'Harmattan 2008.
    Roman d'aventures
Langue anglaise
  • Evan S. Connel, Son of the Morning Star, General Custer and the Little Bighorn, Pimlico Books, rééd. 1999.
    nombreuses informations non structurées, absence de notes en bas de page
  • Kenneth Hammer, Custer in ’76: Walter Camp’s Notes on the Custer Fight, Bingham Young University Press, 1976
    recueil de témoignages sur le combat
  • Gregory F. Michno, Lakota Noon : The Indian Narrative of Custer’s defeat, Mountain Press Company, 1997
    analyse des témoignages indiens par l'un des spécialistes reconnus du sujet
  • Larry Sklenar, To Hell With Honor: Custer and the Little Bighorn, University of Oklahoma Press, 2000
    ouvrage d'un ancien analyste du Pentagone
Autres sources
  • Richard A. Fox, Archeology History and Custer’s Last Battle, University of Oklahoma Press, 1993
  • John S. Gray, Centennial Campaign, the Sioux War of 1876, University of Oklahoma Press, 1988
  • Eric Joly, Custer, la vérité sur les guerres indiennes des grandes plaines d’Amérique du Nord, France-Empire, 2005
  • Robert Nightengale, Little Big Horn, FarWest Publishing, 1996
  • Robert. M Utley, Custer, Cavalier in buckskin, University of Oklahoma Press, rééd.2001
  • Stanley Vestal, New Sources of Indian History, University of Oklahoma Press, 1934

Filmographie

Articles connexes

Liens externes


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