Georges Vignaux

Georges Vignaux

Georges A. Vignaux est directeur de recherche honoraire au Centre national de la recherche scientifique. Il a été notamment, de 1994 à 1998, conseiller scientifique, chargé du programme « Sciences cognitives » auprès du directeur de la Mission scientifique et technique du ministère de la Recherche ; de 2000 à 2004, directeur du laboratoire Communication et Politique, CNRS ; de 2004 à 2008 : directeur du Programme « Colisciences », Maison des Sciences de l’Homme, Paris-Nord.

Sommaire

Ses recherches

D'un modèle de l'argumentation à l'étude des rapports cognition-langage

À l'origine de son parcours, après une double formation de philosophe logicien et de psychologue cognitiviste, Georges Vignaux soutient un DEA de psychologie cognitive à l’École des hautes études en sciences sociales à Paris. Il découvre alors l'importance des phénomènes d'argumentation et de linguistique du discours et du texte. Choisir d'étudier l'argumentation peut être perçu comme paradoxal : la difficulté principale est de décider de quelle discipline une telle étude peut relever. Elle concerne en effet, tout autant, la logique que la psychologie et la linguistique. De là, le parcours original de Georges Vignaux. Il est d'abord associé en tant qu'assistant, aux recherches de Jean-Blaise Grize, professeur de logique à l'Université de Neuchâtel (Suisse). Avec lui, il participe à la fondation en 1969, du Centre de recherches sémiologiques dans cette même université. Il leur semblait alors, à tous deux, que les processus d’argumentation témoignaient de l'existence d'une logique naturelle, différente des logiques formelles ou classiques, puisque portant sur des situations réelles ou des objets concrets.

De retour en France, admis au Centre national de la Recherche scientifique en 1971, et affecté au Centre d'Étude des Processus cognitifs et du Langage, dirigé par François Bresson, à l'École des Hautes Études en Sciences sociales à Paris, Georges Vignaux participe à son contact, de 1971 à 1980, aux recherches initiées alors en psychologie cognitive, sur les phénomènes d'acquisition du langage chez l'enfant, ou de traitement des informations par l'adulte. Les outils de la logique ne suffisent pas si l'on veut décrire des raisonnements naturels. Il faut surtout comprendre comment « s’expriment » ces raisonnements, au travers du langage, et comment celui-ci est un « système », effectivement fondé sur des règles et la « manipulation » de ces règles. C'est pourquoi, Georges Vignaux, multipliant les observations, s’est dans un premier temps, préoccupé d'analyser des discours témoignant les uns, de codifications imposées - discours scientifiques, judiciaires ou réglementaires -, les autres, de variations contrastées : discours politiques ou quotidiens, dans la perspective de la construction d’un modèle des opérations à l’œuvre dans les discours. Parler d'opérations implique de concevoir qu'il y aura bien des régularités, sous-jacentes à nos façons d'énoncer et créatrices en conséquence, de ces façons d'énoncer. Autrement dit, prendre en compte la dimension cognitive du langage en tant qu’il est à la fois, support et acteur de nos connaissances. Dans cette perspective, il travaille actuellement sur un projet avec Pierre Fraser portant sur un modèle pour une « Théorie des tendances »[1].

Un modèle des opérations de discours

Le travail cognitif du discours va ainsi consister à construire sans cesse :

  • des classes internes d'objets en relation à des objets référents ;
  • des « lectures » des propriétés de ces objets qui vont alors e les composer en catégories cognitives ;
  • des stabilisations enfin des sens ainsi construits, à travers l’ancrage dans des « notions » fondant et légitimant les univers de discours.

Georges Vignaux est ainsi l’auteur d’une modélisation de ces processus de discours en termes d'opérations langagières et cognitives. Les stratégies du discours sont donc nécessairement d'une double nature : les unes, logiques et discursives (sélections-localisations des objets du discours, attributions de propriétés et déterminations des statuts d'existence de ces objets, jugements enfin sur les constructions ainsi établies), les autres, langagières, jouant essentiellement des modes énonciatifs et des combinatoires entre thématisations et prédications.

Les recherches de Georges Vignaux lui permettront ainsi de soutenir un Doctorat d'État sur : L'activité argumentative: Opérations langagières, opérations cognitives à l’Université Paris 7.

Le modèle d'opérations qu’il a ainsi construit vise encore à répondre à l'objectif d'éclairer comment les stratégies d'un sujet énonciateur vont lui permettre l'acquisition de systèmes visant à la représentation et à la gestion de connaissances générales ou spécifiées. D'où ses séjours de plusieurs années, au sein d’équipes de logiciens et d’informaticiens, d'abord au Centre d'Analyse et de Mathématiques sociales (E.H.E.S.S.-C.N.R.S, Paris), puis dans le cadre du groupe Langage et Cognition du Laboratoire d'informatique pour la mécanique et les sciences de l'ingénieur (LIMSI-CNRS-Orsay), où, de 1994 à 1996, il a pu approfondir ses recherches sur ces questions de représentations et sur leurs modélisations informatiques. C’est à cette époque qu’il publie une synthèse des développements des sciences cognitives (Les sciences cognitives : une introduction, 1992). Sous la dénomination de «  sciences cognitives », on entend désormais l’ensemble des disciplines qui s’appliquent à étudier les comportements intelligents – celui des hommes, des animaux ou des machines -, et à analyser les supports matériels qui paraissent conditionner ces comportements – le cerveau ou l’ordinateur par exemple. Sont concernées aussi bien la biologie et les neurosciences, l’intelligence artificielle, que la psychologie, l’anthropologie et la linguistique.

C’est dans cette conjoncture que Georges Vignaux est nommé Conseiller scientifique pour les sciences cognitives auprès de Bernard Bigot, chef de la Mission scientifique et technique du Ministère de l’Éducation nationale, de la Recherche et de la Technologie. Il exerce cette fonction de 1994 à 1997, contribuant alors à la création du Groupement d’Intérêt Scientifique (GIS) « Sciences de la Cognition » (CNRS, CEA, INRETS, INRIA), crée en 1995 et clos en 1998. C’est dans ce contexte que Georges Vignaux commence à approcher les questions de texte et d'écriture électroniques. D’où son passage ensuite à l’Institut national de la langue française (InaLF) où dès 1997, il a commencé à travailler de manière approfondie les questions d’hypertextualité et de textualité électronique, s’agissant notamment des dictionnaires électroniques.

Nommé en janvier 2000, directeur du laboratoire Communication et Politique, c’est cette orientation que Georges Vignaux choisit de développer au sein de ce laboratoire (Équipe Hypertexte et textualité électronique) tout en restructurant celui-ci. Deux réalisations importantes en sont issues :

  • La conception et à l’architecturation d’un site internet dédié au grand hypertexte issu du programme Colisciences (5500 pages numérisées en mode image et mode texte et constituant un corpus exceptionnel mettant à libre disposition les textes des grands biologistes et naturalistes français du XIXe siècle (Claude Bernard, Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, etc.)
  • Une édition complète des livres de Claude Bernard (une quinzaine de titres, plus une sélection de ses articles), soit environ 5 000 pages supplémentaires. Ce projet de « bibliothèque numérique Claude Bernard » a pu être réalisé grâce à la collaboration de la Bibliothèque de l’université Lyon 1. Les textes sont aujourd’hui déposés sur le site de la Bibliothèque interuniversitaire de médecine (BIUM-Paris 5).

Le programme Colisciences

Ce programme a reçu les soutiens du Ministère de l’Éducation nationale (Direction de la Technologie, sous-direction des technologies éducatives et des technologies d’information et de communication), du Programme Numérisation pour l’Enseignement et la Recherche (PNER), de l’institut de Linguistique françaises (ILF),et du Programme Cognitique/Société de l’Information du Ministère et du CNRS)

En 1999, devant le constat d’une quasi absence de ressources en ligne offrant des corpus francophones traitant de sciences – alors que les sites de ressources textuelles en littérature sont fort nombreux –, l’équipe Hypertextes, dirigée par Georges Vignaux, a conçu un projet visant à proposer un corpus de littérature scientifique de langue française – en l’occurrence, la biologie.

Colisciences répond à trois objectifs fondateurs :

  • Se donner les moyens de l’édition en ligne de collections d’auteurs biologistes et naturalistes du XIXe siècle, en langue française, et par là valoriser un patrimoine historique et un moment exceptionnel de l’histoire des sciences et de la pensée ;
  • prendre ce corpus inédit comme base de réflexion sur la question scientifique de la nature de l’hypertextualité : processus, parcours, liens, lectures, navigations ;
  • contribuer, ce faisant, aux travaux sur l’histoire des idées dans ce contexte précis du développement et de la consolidation d’une science moderne du vivant.

Concrètement, ont été mises en ligne environ 6 000 pages empruntées à des éditions originales des textes de Claude Bernard, Étienne et Isidore Geoffroy Saint-Hilaire, Armand de Quatrefages, etc. Chaque auteur est présenté par : une courte notice biographique, une bibliographie de et sur l’auteur, une présentation ou réflexion sur ses travaux et leur portée. Le nombre de pages de paratextes et commentaires atteint les 15 000 environ. Tout un parcours d’extraction de notions permet le renvoi d’un texte à l’autre.

Le site

Ce site est spécialement dédié à la valorisation de l’œuvre imprimée du célèbre physiologiste et médecin Claude Bernard. Cette « bibliothèque numérique » permet d’accéder pour la première fois sans contrainte à l’œuvre complète d’un savant dont l’importance est capitale dans l’histoire moderne des sciences du vivant.

Les ouvrages en libre accès sont accessibles selon trois modes de consultation : 1) le fac-similé des ouvrages originaux, page par page ; 2) leur version hypertextuelle, page par page ; 3) un document intégral et imprimable. Comme dans CoLiSciences[2] – l’autre site hypertextuel consacré, pour la même époque, à un corpus illustratif d’une histoire des idées en sciences du vivant –, ces textes-sources sont accompagnés d’un appareil critique (biographie, bibliographie, commentaires historiques, glossaire des termes techniques, dictionnaire des savants cités) propice à des appropriations et à des exploitations multiples de la part de lectorats divers (chercheurs, étudiants, érudits et autres).

Publications de Georges Vignaux

Ouvrages

  • L'Argumentation. Essai d'une logique discursive, Genève, Droz, 1976, 338 p.
  • Discours biologique et ordre social (en coll.), Paris, Seuil, 1977.
  • Le Discours, acteur du monde. Argumentation et Énonciation, Paris, Ophrys, 1988, 243 p.
  • Les Sciences cognitives : une introduction, Paris, La Découverte, 1992, 360 p. Le Livre de Poche, 1994.
  • L’Argumentation, Paris, Hatier, 1999, 80p.
  • Penser & Organiser. Le démon du classement, Seuil-philo, Paris, 1999.
  • Les Jeux des ruses, Seuil-philo, Paris, 2001.
  • Du signe au virtuel : les nouveaux chemins de nos intelligences, Paris, Seuil, 2003, 220p.
  • Construire le sens : catégories, frontières, ajustements, en coll. avec K. Fall, Presses de l’Université Laval, Québec, 2005, 109p.
  • Images de l’autre et de soi, en coll. avec K. Fall, Presses de l’Université Laval, Québec, 2008, 84p.
  • L’Aventure du corps, des mystères de l’antiquité aux découvertes actuelles, Paris, Pygmalion, 2008, 427 p.

Participations à des ouvrages collectifs

  • « Catégorisation et schématisation. Des arguments au discours », in Sémantique et Cognition. Catégories, prototypes, typicalité, éd. D. Dubois, Paris, Éditions du CNRS, 1990, p. 295-318.
  • “Lieux communs, exemples et petites fables”, in Lieux communs, topoï, stéréotypes, clichés (éd. C. Plantin), éditions Kimé, 1993.
  • “Le concept de thêmata” (en coll. avec S. Moscovici), in Pratiques et transformations des représentations sociales (éd. C. Guimelli), Delachaux et Niestlé, 1994.
  • « Le discours et l'espace : schémas cognitifs, cartographies mentales et représentations des parcours urbains », in La Ville. Arts de faire, manières de dire (éd. J.-M. Barbéris), Langue et Praxis, Montpellier, 1994.
  • Mots, Représentations Co-édition avec K. Fall et D. Siméoni, Presses de l'Université d'Ottawa, Canada, 1994, 418p.
  • Langues et langage. Mélanges offerts à Antoine Culioli (éds: J. Bouscaren, J.-J. Franckel et S. Robert), Paris, PUF, 1995, 565-582.
  • Argumentation et rhétorique (1) et (2). Co-édition avec A. Boyer, Hermès n° 15 et 16, Paris, CNRS, 1996, 323p. et 326p.
  • “ Hypertextes, dictionnaires : approche sémantique, perspective cognitive ”, in : Lexicographie et informatique, Autour de l’informatisation du Trésor de la Langue française, Actes du Colloque international de Nancy (29-30-31 mai 1995), éd. D. Piotrowski, Paris, Didier Erudition, 1996, 265-288.
  • “ De la langue au discours : système et opérations ”, in : De l’actualisation, Paris, CNRS Éditions, 1998, 219-236.
  • “ Les recherches interculturelles : héritages conceptuels et nouveaux enjeux ”, in : Champ interculturel, transactions interculturelles (éds. K. Fall, L. Turgeon, Univ. du Québec et Univ. Laval), Paris, L’Harmattan, 1998, 61-98.
  • “ Des régimes de preuve en langues et discours ”, in Le Concept de preuve à la lumière de l’intelligence artificielle, éds Jean Sallantin & Jean-Jacques Szczeciniarz, Paris, PUF, 1999, 299-330.
  • « L'autoformation, élément pivot de la cognition naturelle », in : Autofomation et enseignement supérieur, éd. Brgitte Albero, Paris, Hermès, 2003.
  • « Du corpus à l’hypertexte », in : Approches sémantiques du document électronique, Paris, Europia, 2004, 29-50.
  • « Une approche cognitive de l’argumentation  », SEDISCOR-Paris 3, Paris 2004.

articles parus dans des revues françaises et/ou internationales

  • « Du corpus à l’hypertexte », Actes du Colloque CIDE.7, « Approches sémantiques du document numérique », Semaine du Document numérique, La Rochelle, 22-25 juin 2004, 21 p. http://infodoc.info.unicaen.fr/cide/
  • « Hypertextes numérisés et histoire des idées », Actes du Colloque « Recherche d’informations dans les documents par l’exploitation de processus perceptifs et cognitifs», Semaine du Document numérique, La Rochelle, 22-25 juin 2004. Publ. Véronique EGLIN, Laboratoire LIRIS – INSA de Lyon, 16 p.
  • « Parcours de lecture et navigations dans un grand site hypertextuel. Modélisations sémantiques et cognitives. » Bilan du programme interdisciplinaire « Société de l’information », CNRS, mai 2005.

Distinctions

  • Médaille de bronze du CNRS,
  • Chevalier dans l’Ordre national du Mérite,
  • Chevalier des Arts et Lettres.

Applications

La méthodologie générale que Georges Vignaux a développée, permet de :

  • Cartographier les mises en relations internes aux discours (thématisations et déterminations) et leurs architecturations sémantiques;
  • Spécifier conjointement, et pour ce faire, les constructions de “zones” signifiantes où vont converger les opérations : 1) logiques (entre contenus), 2) cognitives (“démarcations” mentales) et 3) énonciatives (placements et positionnements des sujets);
  • Typologiser les formes de jugements établis dans les discours, jugements visant à des catégorisations et traduisant, à chaque fois, des ancrages des sujets dans des contextes, des espaces et des finalités déterminés;
  • Etablir en conséquence, pour chaque type de discours et de représentation, une « grammaire des idées », permettant la mise au jour de « points-clés » autour et à partir desquels vont se distribuer des consensus, des oppositions ou des conflictualités;
  • Déterminer en définitive, les notions cruciales, qui vont sous-tendre des « familles » de représentations individuelles et collectives.

Conjointement, Georges Vignaux exerce depuis plus de vingt ans des activités de Conseil. Il est intervenu ainsi en vue du développement et de la coordination stratégique de recherches sur les thèmes suivants :

  • Arguments cognitifs et constitutions identitaires dans des contextes d’entreprises et interculturels, locaux ou nationaux (professions tertiaires au Québec et en France).
  • Impacts cognitifs et sociaux des transformations technologiques tant au niveau individuel que collectif (nouvelles technologies de communication : Dumez, Saint-Gobain).
  • Mutations sociales et urbaines actuelles (espaces, temps, modes de vie, stratégies cognitives et socio-culturelles) et leur impact sur la constitution de nouveaux “réseaux” économiques, sociaux et culturels (de 1984 à 1998 : Conseiller permanent auprès de l’Unité Prospective de la RATP).

Notes


Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Georges Vignaux de Wikipédia en français (auteurs)

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