Goguette des Bergers de Syracuse

Goguette des Bergers de Syracuse

La Goguette des Bergers de Syracuse est une goguette née le 11 Thermidor an XII (30 juillet 1804) à Ménilmontant dans la banlieue de Paris[1].

Son fondateur est le poète Pierre Colau dit : le berger Sylvandre[2]. Il en est le premier président et l'est encore en 1823[3].

Cette goguette a existé durant au moins 40 ans.

Sommaire

A propos de la goguette des Bergers de Syracuse

Gérard de Nerval fit partie de cette goguette. Il en parle dans une description de sa visite à une goguette de Saint-Germain-en-Laye :

... En passant dans la rue de l'Église, j'entendis chanter au fond d'un petit café. J'y voyais entrer beaucoup de monde et surtout des femmes. En traversant la boutique, je me trouvai dans une grande salle toute pavoisée de drapeaux et de guirlandes avec les insignes maçonniques et les inscriptions d'usage. J'ai fait partie autrefois des Joyeux et des Bergers de Syracuse ; je n'étais donc pas embarrassé de me présenter.
Le bureau était majestueusement établi sous un dais orné de draperies tricolores, et le président me fit le salut cordial qui se doit à un visiteur. Je me rappellerai toujours qu'aux Bergers de Syracuse, on ouvrait généralement la séance par ce toast : « Aux Polonais !... et à ces dames ! » Aujourd'hui, les Polonais sont un peu oubliés[4].

Auguste Giraud, président de la Société du Caveau écrit à propos des Bergers de Syracuse :

Chaque membre de cette société portait un nom de berger de la mythologie antique. Le Président était aussi appelé Grand Pasteur et le lieu de réunion Le Hameau[1].

Louis-Auguste Berthaud écrit en 1841[5]  :

L’affilié de goguette ne possède pas d’autres droits que ceux du simple visiteur, seulement, lorsqu’on l’appelle pour chanter, on fait précéder son nom de celui de la goguette à laquelle il appartient, tandis que celui du visiteur est précédé du mot ami. Ainsi on appellera le Grognard Pierre, le Braillard Jacques, et l’on dira l’ami Jean, l’ami Paul. Il n’y a pas d’autre distinction entre les affiliés et les visiteurs. Deux goguettes seulement, celle des Bergers de Syracuse et celle des Infernaux, imposent à leur affiliés des noms en rapport avec le patronage sous lequel elles sont placées ; les Bergers empruntent ces noms aux églogues et aux bucoliques ; les Infernaux à l’enfer.

Des fragments du procès-verbal de la fête de fondation ont été publiés par Georges de Dubor dans un article paru dans la Revue Bleue en 1907. Il nous apprend aussi que l'article 34 du règlement de la goguette précise que « Tout berger qui oublie son flageolet aux séances paie vingt-cinq centimes d'amende. » Il s'agit d'un petit flageolet que les membres arborent comme signe distinctif pendu à leur boutonnière[6].

Duverny, dit le Troubadour aveugle fit partie des Bergers de Syracuse[7].

Émile Debraux a publié une chansonnette intitulée Les bergers de Syracuse[8].

La BNF a mis en ligne la brochure souvenir de la Fête des Bergers de Syracuse, Treizième Apolloniade, Quatrième Olympiade où les œuvres des goguettiers figurent avec les noms des auteurs suivis de leur nom de berger : Ricard (Berger Lycidas), Cadot (Berger Daphnis), De Conclois (Berger Mélibée), Grand Pasteur, P. Marteau (Berger Endymion), Z. (Berger Linus), Pierre Colau (Berger Sylvandre), Bailli, ex-Grand-Pasteur[9].

La fête annuelle des Bergers de Syracuse en 1808

Les Bergers de Syracuse commémorait leur fondation par une fête annuelle. La description de celle de 1808 a été publiée par Pierre Colau en 1823[10] :


5e Apolloniade.(1) 2e Olympiade.
PROCÈS VERBAL
De la Fête de la fondation de la Société
lyrique des BERGERS DE SYRACUSE.


AIR : Où s'en vont ces gais bergers ?'
Où s'en vont ces gais bergers
Que précède leur Muse ?
Ils s'en vont dans les vergers
Baignés par ARÉTHUSE,
Célébrer sur leurs pipeaux légers,
Les dieux de SYRACUSE.


Sous le signe de l'Hélicon, 49e jours de la saison des jeux, 5e Appoloniade, 2e Olympiade (17 septembre 1808.)
Les bergers de Syracuse, réunis sous la houlette du Grand Pasteur, à l'effet de célébrer, par une fête, l'anniversaire de leur fondation, partirent à cinq heures du soir du hameau de Mesnil-Montant, au son des instruments de musique, pour se rendre dans les fertiles campagnes que l'amante d'Alphée (2) arrose de ses eaux.


AIR : à la nymphe Aréthuse.
Là, tout offre l'asile
De ces nymphes des bois,
Qu'un berger de Sicile,
Célébrait autrefois ;
On croit voir le bocage
Où dansaient les Sylvains ;
Enfin c'est une image
Des champs syracusains.


Cette marche fut précédée d'une distribution de fleurs, du baiser pastoral donné par Sylvandre à toutes les bergères, et du couronnement de la nymphe Aréthuse, représentée par la jeune pastourelle Louisette, fille du pasteur Lycidas, boursier du hameau. Les feuilles frémissantes des arbres étaient animées de cette belle teinte que Phébus leur donne à son couchant ; les bergères vêtues en blanc, paraissent toutes belles ; elles étaient réellement toutes charmantes.


AIR : Joseph est bien marié.
L'amour était marié (bis.)
Avec la tendre amitié : (bis.)
Le plaisir suivait leurs traces ;
Ah ! quel attrait pour les grâces.
De contentement, gaîté
Conçut amabilité.


Arrivé dans ces vallons fleuris que parfumait une odeur balsamique, les bergers qu'accompagnaient dans cette promenade, les ris, les jeux et les plaisirs, se livrèrent à cet enthousiasme délicieux qu'inspiraient et la beauté du site, et le chant mélodieux de mille oiseaux qui célébrant le moment où Thémis va recevoir dans son sein le dieu de la lumière, semblaient prendre une part active à cette fête champêtre.


AIR : Voici le mois des fleurs.
Ici de Daphnis les accens
Enflammaient la froide Nayade ;
Théocrite offrait son encens
A l'amoureuse Amadryade.
Ombres des deux bergers
Dont Syracuse
Chérit la Muse ;
Ombres des deux bergers,
Guidez-nous dans ces beaux vergers.


Déjà se découvraient les bords de la grotte obscure où la nymphe solitaire cachée dans ses roseaux, gémit de l'absence de son amant.
D'après l'invitation du Magister, (3) chacun prit place sur le gazon émaillé de fleurs qui tapisse les rives du bassin, et la jeune nymphe que semblait entourer un essaim de filles de Flore, parut sur l'éminence, belle comme un soleil levant ! Chaque berger lui présenta le salut ; ensuite le GRAND PASTEUR, Sylvandre (M. P. Colau), ayant distribué des chansons à toutes les bergères ainsi qu'aux bergers, invita Colinet à chanter une ronde faite par lui, en l'honneur de la nymphe ; ce qu'il exécuta aux accompagnements de la musique, et à la grande satisfaction de tous les assistants qui firent chorus à chaque couplet, arrêtant qu'elle serait dansée au hameau, l'emplacement de la fontaine ne se trouvant pas entièrement libre.


AIR : En revenant de Bâle en Suisse.
Lorsque l'amante de Narcisse ,
Répète le joyeux refrain,
Et semble par cet exercice,
Donner le change à son chagrin ;
Déjà tout le monde
Revole au hameau,
Pour danser la ronde,
Au son du chalumeau.


Le chant achevé, le grand Pasteur embrassa la nymphe, et chacun, à son exemple, alla lui rendre son hommage ; ce qui, par contre-coup, se communiqua à toutes les bergères. On y fit alors les libations ordinaires, ensuite les bergers et les bergères burent tour-à-tour de l'eau de la fontaine dans une coupe d'argent. Cette cérémonie achevée , on se remit en marche pour le hameau, dans le même ordre que l'on était parti.
Les coursiers du soleil touchaient déjà de leurs pieds agiles, les confins de l'autre hémisphère, quand les bergers se mirent a table ; il était trop tard pour chanter leur réveil, et la faim qui les pressait ne leur donna pas le temps de dire leur bénédicité[11]. Seulement la ronde d'ouverture[12] fut chantée, et l'on passa de suite à la distribution des vivres, cérémonie vraiment attrayante, et que chacun, en ce moment, trouvait la plus essentielle.


AIR : du zig zag don don.
C 'est là que laissant la chanson
Au fond de la bouteille,
Des dents, chacun à l'unisson,
S'escrime et fait merveille :
Quand l'un invoque Bacchus
En célébrant son doux jus ,
L'autre à la bonne chère (4)
Offre le premier de ses vœux ;
Un tiers à sa bergère,
Tout bas vante ses feux.


Le repas était splendide eu égard à la circonstance ; car malgré notre amour pour l'antiquité, la table n'offrait pas tout-à-fait la simplicité de celle de Philémon et de Baucis. Le Magister Guillot, puissamment secondé par le boursier Lycidas, firent faire tous les services avec la plus grande exactitude.
Enfin, quand le nectar de Bacchus, pétillant dans les coupes de cristal, eut coulé avec abondance ; quand les divers toasts furent portés, Erato, qui tournait sans cesse autour de la table, dit un mot à l'oreille de Syvandre, et le grand Pasteur chanta le Réveil des Bergers, par Daphnis, à l'heure où plus d'un conducteur de troupeaux va se coucher quand il n'est pas retenu par le plaisir, dans les riants bocages de Syracuse.
L'heure des Grâces[13] devint aussi celle du Bénédicité[11], et ces deux productions n'en furent pas moins bien accueillies. Guillot dans l'embarras, (5) s'en tira avec le plus grand succès, et la ronde de Palémon, chantée agréablement par Lycidas, eut l'avantage de provoquer l'ouverture de la danse.
Toutes les rondes chantées à table et à la fontaine, furent alors dansées ; puis aux rondes succédèrent le menuet, les rigaudons et les entrechats.
Pendant les intervalles de la danse, le berger Paris égaya la société par une scène comique qui fit beaucoup rire. Le berger Lycidas et un autre fils d'Apollon, son collègue, exécutèrent sur le violon un duo qui fut joué avec tant de justesse et de précision, que l'enthousiasme fut porté au comble. Pendant une autre lacune, quatre jolies chansons furent chantées en cercle avec beaucoup de grâces et de goût, par quatre jeunes bergères. On y distingua la comparaison des fleurs par la bergère Louisette (nymphe Aréthuse), et la Rose d'Amour, par la bergère Alphonsine, fille du GRAND PASTEUR. Le berger Lycidas chanta ensuite l'Hymne à la Rose dont la musique est l'une des œuvres qui honorent son talent, et le berger Sylvandre, une chanson intitulée l'Amour en Gage.
Déjà des rayons d'or éclataient du côté de l'Orient ; déjà les bergers dans le ravissement contemplaient l'amante de Céphale, levant avec ses doigts de rose un coin du voile d'azur qui couvrait le char de son père, quand le pasteur Magister donna le signal pour se remettre à table : elle était de nouveau couverte de mets succulents qui, pour cette fois, convoitaient presque en vain l'appétit des convives. La main invisible de Cornus semblait avoir présidé à l'arrangement du dessert ; chacun y fit honneur de son mieux ; mais les bergers voulant rendre un dernier hommage à Therpsicore, se hâtèrent de quitter la table pour retourner à la danse.


AIR : Gai, gai.
Gai, gai, disait un tendron,
Pour Therpsicore,
Encore ;
Gai, gai, disait un tendron,
Encore un rigaudon.
Ah ! faut-il vers le gîte,
Sitôt s'en retourner ?
Le plaisir fuit trop vite,
On devrait l'enchaîner.
Gai, gai, etc.


Enfin, à huit heures du matin, cette belle séance fut levée ; les convives charmés les uns des autres, n'éprouvaient d'autre regret que celui d'être obligés de se séparer pour obéir à la voix de Morphée qui les invitait au repos. A la barrière de Mesnil-Montant, en plein champ et sous les ormeaux, on dansa les adieux, on forma des vœux pour que l' Apolloniade s'écoulât promptement ; puis après les baisers d'usage, chaque berger, accompagné de sa bergère et de ses pastoureaux, reprit le chemin de sa chaumière.


AIR : Je suis modeste et soumise.
Notre fête est terminée ;
Mais son joyeux souvenir,
Pendant le cours de l'année,
Chaque jour doit revenir ;
Ce souvenir de l'hommage
Qu'on y rend à la beauté,
Offre encore la douce image
De notre félicité


SYLVANDRE,
GRAND PASTEUR.
FIN.


(1) Dans le calendrier des bergers de Syracuse, l' Apolloniade désigne une année, et l'Olympiade quatre.
(2) La fontaine que les bergers de Syracuse ont consacrée à leur Nymphe, se trouve dans les bocages de Belleville, au bout du chemin des Noyers, et près du Petit Hermitage.
(3) Berger qui remplit les fonctions d'ordonnateur.
(4) Refrain du Bénédicité des bergers[11].
(5) Titre d'une jolie chanson du berger Guillot.

Une réunion de la goguette des Bergers de Syracuse vers 1839

Il y a environ deux ans que l’auteur de cet article fut introduit pour le première fois dans une goguette, aux Bergers de Syracuse. Il s’y trouvait, ce jour-là, une centaine de bergers et quinze à vingt bergères. Pas un geste, pas un mot mal à propos ne s’y fit remarquer, et la soirée s’écoula aussi paisiblement que dans le monde le plus élégant. C’étaient pourtant des ouvriers, pauvres braves gens que l’on dit si turbulents, si barbares encore. Ils avaient achevé leur pénible journée, et ils s’en étaient venus chanter à la goguette pour se reposer un peu. Ils buvaient en chantant, et l’ordre le plus riant régnait parmi eux. C’étaient des hommes en blouses, en vestes, aux mains dures, aux visages noircis par le travail et la sueur ; c’était la richesse et la force de Paris, les bras qui construisent, pétrissent le pain, travaillent l’or et la soie, bâtissent les églises, et qui, un jour de soleil, renversent les croix et font des révolutions ! Les bergères, comme on le pense bien, étaient aussi des ouvrières, laborieuses abeilles, se levant à l’aube du jour pour composer un miel qui ne leur appartiendra pas ; c’étaient des femmes habillées d’indienne et coiffées de bonnets ou de madras à dix-neuf sous ; pauvres femmes, jolies sans le savoir, bonnes et honnêtes par habitude ; charmantes créatures prédestinées comme les fleurs des champs, et condamnées à naître et à mourir pour le plaisir du riche, dans les buissons ; et tout cela, en vérité, ces hommes et ces femmes, avaient gardé entre eux, et malgré le vin et les chansons, une admirable réserve et une retenue vraiment décente !...
L’assemblée se sépara à onze heures et demie.
« Eh bien ! me demanda le berger Némorin, qui m’avait introduit, que pensez-vous de notre société ?
- Je pense, lui dis-je, que c’est ici que l’on devrait étudier le peuple ; on le connaîtrait mieux bientôt, et ceux qui ont peur de lui finiraient par l’aimer[5].

La goguette des Bergers de Syracuse en 1844

Louis Couailhac écrit[14] :

Lecteur, parfume ta chevelure, ceins ton front de bandelettes, couronne-toi de roses, laisse flotter au vent les plis gracieux de ta blanche tunique de lin... je vais te faire pénétrer dans l'enceinte mystérieuse où les Bergers de Syracuse se livrent à leurs plaisirs lyriques et champêtres. Entrons !
« Mais quoi ! cette salle noire et enfumée, c'est donc l'arène poétique où vont lutter Corydon et Alexis ? Et ces bergers dont tu me promettais les doux chants, faut-il donc les reconnaître dans ces honnêtes bourgeois à l'épaisse encolure, aux bras nus, à la figure enluminée, qui entrechoquent leurs verres pleins, et font retentir l'air de cris discordants ? Où sont les bandelettes ? où sont les couronnes de roses ? où sont les blanches tuniques de lin ? où sont les cithares aux cordes retentissantes ? où sont les flûtes harmonieuses qu'inventa le dieu Pan ? »
Pardonne-moi, cher lecteur, pardonne-moi. Je me suis laissé prendre aux mots, et en te trompant, j'étais trompé moi-même. Syracuse n'est qu'un bouchon, et les bergers de bons Parisiens en goguette, et qui sont faits connue tout le monde. Remettons notre redingote d'alpaga, coiffons-nous de notre chapeau Gibus, et prenons notre physionomie du XIXe siècle.
En se faisant recevoir dans cette société, tout membre devait, d'après les règlements, prendre le nom gracieux d'un berger des idylles grecques et latines. Ainsi, Larfouillard devenait Myrtil, Lopinot Licidas, Berlingouin Damis.
Les bergers de Syracuse avaient mis un soin très plaisant à faire concorder le vocabulaire de leurs cérémonies avec la phraséologie de l'idylle antique. Ainsi, pour donner le signal des chants, le président disait : Enflez vos pipeaux !
Le contraste qui existait entre le nom d'emprunt des sociétaires et leur physionomie, ainsi que leur position réelle, offrait quelquefois des scènes très curieuses.
« Le berger Daphnis peut entrer dans la lice. » Et l'on voyait se lever le père Jacquemard, tripier au carré des Innocents, gaillard aux joues énormes, au nez rouge, au ventre proéminent, qui après avoir ôté son bonnet de soie noire et essuyé sa bouche sur la manche de son gilet de flanelle, entonnait avec une basse-taille infernale :


Si j'étais t'hirondelle
Que j'aie pusse voler,
Sur lé sein dé ma belle
J'irè mé réposer.

Notes

  1. a et b Lettre d'introduction d'Auguste Giraud Président de la Société du Caveau Le Caveau, Société lyrique et littéraire, Table générale des chansons et poésies diverses, publiées en 26 volumes, par la Société du Caveau, de 1834 à 1860, ...
  2. Il est né à Paris en 1763 et mort après 1831. On peut lire un certain nombre de ses œuvres sur Internet, par exemple : Les muses en goguettes, choix de chansons et rondes de table, par Pierre Colau, président de la société lyrique des Bergers de Syracuse. Il signe Napoléon au Panthéon de l'Histoire, Résumé de tout ce grand homme a fait de Merveilleux., édité Chez J. L. Bellemain, Paris 1830 : « Pierre Colau, Fondateur de la société lyrique des Bergers de Syracuse. » Notice sur Pierre Colau.
  3. Ce qui apparaît sur la couverture d'un recueil publié en 1823 [1]
  4. Extrait de Promenades et souvenirs, paru dans l'Illustration des 30 décembre 1854, 6 janvier et 3 février 1855, chapitre III Une société chantante
  5. a et b Extrait du texte de Louis-Auguste Berthaud, Le goguettier, illustré par Paul Gavarni, paru dans le tome 4 de l'ouvrage Les Français peints par eux-mêmes, Encyclopédie morale du dix-neuvième siècle. Louis Curmer éditeur, Paris 1841, pages 313-321, avec deux illustrations pleine page non numérotée hors texte.
  6. Georges de Dubor écrit sur Les Bergers de Syracuse longtemps après la disparition de cette société. Ses propos sont à prendre avec beaucoup de réserve. Ils se terminent par une totale contre-vérité : la goguette des Bergers de Syracuse a disparu en 1830, car il n'a rien trouvé d'édité par celle-ci postérieur à 1829.
  7. Il le précise sur la couverture de son recueil L'Apollon du Pont-Neuf.
  8. Cette chansonnette peut être lue sur Internet [2].
  9. Fête des Bergers de Syracuse
  10. La Lyre française, choix de chansons... par Pierre Colau,..., Delavigne éditeur, Paris 1823, pages 228-237.
  11. a, b et c Le Bénédicité des Bergers de Syracuse.
  12. Ronde des Bergers de Syracuse.
  13. Les Grâces des Bergers de Syracuse.
  14. La grande ville : nouveau tableau de Paris, comique, critique et philosophique, par MM. Paul de Kock, Balzac, Dumas etc... ; illustrations de Gavarni, Victor Adam, Daumier... etc., Marescq éditeur, Paris 1844, page 253.

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