Jos Jullien

Jos Jullien
Joseph Victor Jullien
Dr Jos Jullien.jpg
Nom de naissance Joseph Victor Jullien
Surnom Jos Jullien
Naissance 12 janvier 1877
Tournon
Décès 22 mai 1956 (à 79 ans)
Joyeuse
Nationalité Drapeau de France France
Profession Docteur en médecine
Activité principale Maladies respiratoires
Autres activités Archéologie, Dessin
Conjoint Camille Mesclon
Tombe du Dr. Jos Jullien au cimetière communale de Joyeuse

Joseph Victor Jullien, dit Jos Jullien, né le 2 janvier 1877 à Tournon en Ardèche, fut certainement l'une des têtes les mieux faites de son temps comme le prouvent ses nombreuses activités. Il fut ainsi, tour à tour, médecin-chercheur, homme politique, préhistorien, peintre-graveur et homme de plume. Décédé le 22 mai 1956 à Joyeuse (Ardèche), il est inhumé au cimetière communal.

Sommaire

Biographie

Un médecin de campagne

Jos Jullien fait ses études classiques à Bourg-en-Bresse, où l’héberge son oncle paternel, puis poursuit des études médicales à l'Université de médecine à Lyon. Il débute son internant à l' Hôtel-Dieu, dans le service de chirurgie osseuse du chirurgien Louis Léopold Ollier, originaire des Vans en Ardèche. Durant ses années de médecine, il travaille tour à tour avec Jean Lépine dans le service psychologique et psychiatrique, Alexandre Lacassagne, fondateur de l’anthropologie moderne qui occupe la chaire de Médecine légale de l’Université de Lyon, avant de se spécialiser finalement dans les maladies respiratoires. En 1902 , il soutient et publie une thèse en médecine intitulée : « L'industrie des gants: Étude d'hygiène professionnelle et de Médecine légale». Il publie, peu après, un essai sur la syphilis en Vivarais[1]. En parallèle, il prend des cours de dessin à l’École des Beaux-Arts et s’intéresse également à la littérature. Il est membre de la Société d’Anthropologie et côtoie Chantre[2] et Savoye[3] qui l’initient au monde de la préhistoire. Il épouse le 22 mai 1902 à Joyeuse Camille Mesclon. Dès lors, il installe son cabinet médical à Joyeuse, tout d’abord rue de la Calade puis plus tard dans la maison Mesclon dans Grand Rue de Joyeuse, demeure de deux étages qui donne sur l’actuel square François André. Malgré ses taches médicales, le jeune Jos Jullien ne dédaigne pas non plus la politique locale et fut maire de Joyeuse de 1908 à 1912 puis de 1929 à 1944[4]. Il rejoint l’armée le 18 juillet 1906 où il est affecté au service de santé militaire en tant qu’officier du corps de santé de l’armée territoriale, avec le grade de médecin aide major de 2e classe.

Mandats politiques

Un des premiers préhistoriens de France

Préhistoire de l'Ardèche par Jos Jullien

Outre la médecine et la politique, Joseph Jullien a une autre passion : la découverte et l'étude des premiers occupants des bords de l’Ardèche et la préhistoire. Il s’intéresse notamment aux céramiques, aux dolmens du Vivarais puis à l’époque gallo-romaine.

Voici le résumé de cette carrière parallèle décrit par le bulletin de la société française de préhistoire à l’occasion son décès : « Cet ancien Collègue, qui avait démissionné en 1953, vient de disparaître, âgé de plus de 80 ans. Alliant la plus vaste culture à la plus brillante intelligence, il avait consacré les loisirs de sa vie de praticien à l'étude des sujets artistiques et scientifiques les plus divers. Marchant sur les traces des premiers préhistoriens du Vivarais méridional, de Malbos, Ollier de Marichard[5], il étudia à partir de 1906 les grottes, abris sous roche, dolmens, fonds de cabanes et gravures rupestres de cette région. Citons ses fouilles des grottes des Bouchets, de Peyroche, de Cayre-Creyt, du Ranc d'Aven, de la Padelle,de la grotte d'Ebbou [6], des abris sous roche de Vernon. Le compte rendu de ces recherches, dont certaines faites avec la collaboration de Vial, Müller, Piraud, a été publié dans notre Bulletin (1900, 1912, 1914, 1947), dans les 'Comptes rendus de l'AFAS (1906, 1907, 1908. 1911), dans ceux de Rhodania (1927), dans la Revue du Vivarais (1908, 1913). J. Jullien rédigea la partie "préhistoire" de l'Histoire du Vivarais de J. Régné (1914). Mais depuis cette époque, et surtout depuis 1940, le Dr Jullien cessa progressivement de travailler sur le terrain. Un grave accident d'automobile réduisit son activité physique tandis que son esprit s'irritait de l'absence d'une aide officielle dont son originalité et sa causticité se fussent d'ailleurs mal accommodées. Il tente sans succès de créer une école de fouilles à Vallon et de faire classer comme parc national le canyon de l'Ardèche, si riche en stations préhistoriques. Le produit de ses fouilles a été dispersé; une partie cependant en est conservée aux musées des Vans et de Saint-Étienne. »

Il est membre de plusieurs sociétés scientifiques, délégué à la conservation des monuments historiques et aux Beaux Arts, correspondant de l’Institut et directeur des fouilles d’Alba Augusta[7]. En 1931, il profite du Xe congrès de Préhistoire de France, pour proposer le lundi 7 septembre une excursion aux stations néolithiques du Gard et de l’Ardèche, Uzès, Joyeuse, le Vié Cioutat[8].

Sa passion pour sa région le conduit à envisager la création d'un "Musée Vivarois" au début de l'année 1914 et à publier une brochure sur le sujet. En raison du déclenchement de la première guerre mondiale, le projet n'eut malheureusement pas de suite.

Première Guerre mondiale

Le 11 août 1914, la France déclare officiellement la guerre à l’Allemagne. Des centaines de milliers de jeunes gens répondent alors à la mobilisation générale et s’enrôlent dans l’armée. Jos Jullien fait de même et rejoint le 52e régiment d’artillerie de campagne le 6 septembre 1914 où il est nommé médecin aide major de 2ème classe (lieutenant) le 8 octobre 1914. Il participe en cette qualité à la première Bataille d'Arras (1914) qui débute le 1er octobre 1914. L’armée française tente de déborder l’armée allemande pour l’empêcher de rejoindre la Manche. Après une offensive massive de l’armée allemande, les français sont contraints de se retirer sur Arras. Cet échec de l’armée française se termina par la prise de Lens le 4 octobre. Les Français réussissent cependant à tenir Arras. Le médecin aide major Jullien se distingue lors de la défense de la ville. Le médecin aide major Jullien se distingue lors de la défense de la ville et obtient la croix de guerre avec une citation à l’ordre de la division le 6 juin 1915 : « Venu volontairement sur la position le 23 avril 1915, en laissant son médecin auxiliaire à l’échelon ; a donné ses soins sous un violent bombardement à de nombreux blessés, particulièrement des fantassins dont le poste de secours était trop éloigné ».

Il intègre par la suite le 118ème régiment d’artillerie de campagne le 15 juillet 1915. Ses supérieurs le notent comme un « médecin major tout particulièrement dévoué. Très actif, très correct, très militaire. Le médecin aide major Jullien remplit, en donnant toute satisfaction, ses fonctions de chef de service du groupe ». Lors de l’offensive en Alsace, il est blessé par un éclat d’obus à la face le 20 mars 1916 à Wolfesdorf.

Depuis le moi de Juillet, l’armée française, soutenue par des divisions de blindés britanniques, tente une percée dans les lignes ennemies lors de la bataille de la Somme. Cette bataille fait partie d’une des plus sanglantes du conflit. Le Dr Jullien est envoyé au front en qualité de médecin. Il est blessé dans la région lombaire par un éclat d’obus à Maurepas le 20 août 1916. Il est alors admis à l’hôpital du Val de Grâce n°11 à Paris au mois de septembre et obtient un congé de convalescence d’un mois à partir du 14 septembre 1916. Cet acte de bravoure lui vaut une citation à l’ordre de l’armée le 20 août 1916 : « Modèle de sang-froid et de bonne humeur tranquille. Toujours en première ligne et prêt-à-porter secours aux blessés, même étranger à son groupe ; a été gravement blessé le 20 août 1916, en se portant au secours de canonniers tombés sous un violent bombardement de 210 ».

Le 15 octobre 1916, il rejoint la 15ème division à Marseille et passe au dépôt de convalescence, rue Vaugirard à Paris le 7 novembre 1916. Il est ensuite mis à la disposition du médecin général de l’hôpital de Toulon le 22 décembre 1916 en tant que médecin traitant. Ses états de services pour l’année 1916 sont les suivants : « médecin major d’un dévouement et d’une correction absolus, tout particulièrement apprécié par tout le personnel du groupe ».

Le 7 avril 1917, il est affecté au 14ème bataillon des tirailleurs malgaches en formation au camp de Fréjus puis passe au 24ème bataillon suite à la dissolution du 14ème bataillon des tirailleurs malgaches. Le 29 décembre 1917, il est décoré de la croix de Chevalier de la Légion d’honneur pour « faits de guerre ». Ces mois passés dans les hôpitaux militaires lui permettent d’écrire et de publier dans le numéro du 1er mars 1918 de la revue « Le Mercure de France » un articule intitulé « la guerre et les progrès de la chirurgie » dans lequel il relate les progrès des soins d’urgence réalisés au cours de ces quatre années de guerre.

Il est ensuite affecté l’hôpital d’évacuation de Cugruf et devient médecin chef le 10 octobre 1918 au centre de stockage de Cugruf. « Le médecin aide major de 1ère classe Jullien remplit depuis le 9 avril les fonctions de chef de service médical du 14ème bataillon de tirailleurs malgaches ; Zélé, dévoué, très consciencieux, il donne à tous égards satisfaction à son chef de corps. D’une éducation, d’un esprit cultivé, d’un caractère militaire, le Dr Jullien est appelé à rendre de précieux services ».

Il passe médecin major de 2ème classe (capitaine) de l’armée territoriale le 28 octobre 1918 : « Le médecin aide major Jullien de 1ère classe Jullien, mérite à tous égards de passer au grade supérieur. Officier très méritant, remplissant ses fonctions de chef de service avec un zèle et un dévouement absolus ».

Au cours de cette guerre, le médecin Major Jullien a fait 49 mois de front en deux séjours, dont le premier fut interrompu suite à une évacuation pour blessures. A la fin de la campagne, Jos Jullien a été employé pendant 7 mois dans une ambulance et un H.O.E.. Il s’est révélé comme un « officier très brave et d’une correction absolue ». Il aura été décoré de la croix de guerre avec étoile d’argent le 6 juin 1915 et palme le 20 août 1916. Il est démobilisé le 23 mai 1919 et rendu à la vie civile.

Carrière artistique

Portrait de Paul Valéry réalisé par Jos Jullien

C’est certainement en tant qu’artiste et homme de plume que Jos Jullien nous laisse aujourd’hui la trace la plus indélébile de sa vie. Au sortir de la grande guerre, Jullien veut faire évader son esprit. A côté de son métier de médecin de campagne (et après avoir fait longtemps de la peinture), il développe un don, qu’il avait toujours pratiqué, celui du dessin. L’éditeur et poète ardéchois Charles Forot (de Saint-Félicien-en-Vivarais), dont il fait la connaissance en 1920, frappé par ce talent, lui conseille de s’essayer à la gravure, où Jullien, d’emblée, excellera. Ce sera d’abord par la technique du bois gravé, où il fait notamment des portraits (Verlaine, Paul-Jean Toulet), mais aussi une série, intitulée Masques, dans laquelle il représente huit personnages de comédie et de tragédie : Bérénice, Faust, Phèdre, Othello, Sganarelle, Scapin, Tartufe, Don Juan. Puis, par celles de l’eau-forte et du burin. Ses goûts littéraires l’incitent à composer en 1925 des illustrations pour Une Saison en enfer, de Rimbaud. A la même époque, il dessine et grave une série de portraits d’écrivains, dans laquelle il parvient à s’extraire des images qu’il représente pour recréer des portraits originaux et personnels : Casanova, Stendhal, Nietzsche, Rimbaud, Ramuz, Anatole France, Pierre Loti, Anna de Noailles, Paul Valéry et bien d’autres revivent sous nos yeux. Ces années 1920 sont aussi pour Jullien celles où il orne un grand nombre d’ouvrages, à commencer par ceux des Éditions du Pigeonnier de son ami Charles Forot, puis en agrémentant de dessins La Cigale Uzégeoise, revue créée par Georges Gourbeyre. Tout ce côté artistique de Jos Jullien, notamment des années 1919 à 1931, doit être lié à ses inclinations littéraires qui aboutiront, par exemple, à des essais sur le cardinal de Bernis, ainsi que sur Casanova, son auteur préféré[9] – avec Stendhal.

Carrière médicale

Jos Jullien s'engage très tôt dans la recherche médicale et publie de nombreux travaux scientifiques. Il fonde deux revues médicales : « le médecin de campagne » et « le médecin de la famille ». Il participe en 1931 au deuxième Congrès international de pathologie comparée de Paris, lors de l’exposition coloniale internationale.

Jos Jullien dans son laboratoire vers 1940

Dès le début des années 30, le Dr Jullien s’intéresse à la brucellose, appelée aussi fièvre de Malte ou fièvre ondulante. Cette maladie est caractérisée par des crises fiévreuses et une infection généralisée avec état septicémique ou fièvre sudorale-algique. Une fièvre ondulante est observée. La température du malade augmente par paliers de 0,5 °C jusqu’à 39 °C où elle se maintient pendant une quinzaine de jours pour redescendre graduellement. L'état de fièvre est accompagné de sueurs abondantes et principalement nocturnes, qui possèdent une odeur caractéristique de paille mouillée. Il existe aussi un état de malaise avec courbatures, asthénie, douleurs mobiles... Il concentre, dans un premier temps, ses efforts dans l'étude des différentes formes humaines et animales. Il en caractériser les symptômes et les caractéristiques, puis propose des outils diagnostiques novateurs permettant de la différencier de la tuberculose. Il crée à Joyeuse un centre de traitement, qui lui permet de regrouper les malades et d'étudier la maladie plus facilement. En 1933, il publie deux études remarquées dans la presse médicale : Brucelloses et Tuberculoses dans Paris Médical[10] et Le dépistage des brucelloses humaines dans le monde médical. Ses recherches sont récompensées en 1934 par la médaille de l’Académie de médecine, à qui il adresse la même année un livret de 19 pages intitulé « Le Centre de traitement de la fièvre ondulante de Joyeuse » (Largentière, Mazel – 1934). Le 4 mai 1935, il organise et participe en tant que l’un des meilleurs spécialistes dans le domaine au 1er congrès de recherche sur la Brucellose chez l’homme et l’animal qui se déroule à Avignon. A ce congrès les délégués de six pays européens se réunissent pour étudier « le péril social » (terme employé par le Dr. Jullien) de la fièvre de Malte, qui fait des ravages non seulement sur le cheptel mais aussi sur l’homme. Malheureusement, éclate la guerre de 1939 qui stoppe pour un temps le plan de lutte contre cette pathologie. C’est néanmoins ce premier congrès qui a permis de jeter les bases d’une coopération européenne dans ce domaine. Les troubles physiologiques (paralysie, névralgie, névrite…) consécutifs à la Brucellose le mène à proposer les traitements thermaux comme un moyen curatif efficace.

Au début des années 40, ses recherches sur la fièvre de Malte l'amène à étudier la crénologie (Science étudiant les propriétés curatives des eaux thermales) et la crénothérapie. Il propose la théorie biogène de laquelle dérive l’hydrobiologie thermale. Il démontre qu’il existe dans les eaux thermales des éléments, comme les minéraux, les vitamines et de façon plus inattendue le plancton, qui peuvent jouer un rôle préventif et curatif important : « j’ai déjà réalisé en collaboration avec mon ami Marissal, des mises-au-point originales de récolte et de sélection des éléments planctoniques ». Ces découvertes entrainent des applications pratiques au laboratoire d’hydrobiologie médicales de Molitg-les-Bains, dans les Pyrénées Orientales, dont il est le directeur fondateur. Elles permettent des applications en cosmétique et dermatologie par voie cutané et digestive. C’est à ce titre qu’il participe en octobre 1952 au Congrès Internationale d’Hydrobiologie de Munich.

Il est également l’un des premiers à corréler climats et maladies respiratoires dans un article intitulé : « Respiration et Climat » paru dans la Revue de cosmologie. Il est également en avant-garde lorsqu’il parle de l’introduction de la radioactivité dans les traitements anticancéreux. Il est un médecin en avance sur son temps qui n’hésite pas à explorer les domaines de la médecine les plus récents.

Publications

Hommages

  • Le 2 novembre 2011, la mairie de Joyeuse inaugure une plaque commémorative sur les murs de sa maison : "Dans cette maison vécut Jos Jullien (1877-1956) médecin, préhistorien, peintre-graveur et maire de Joyeuse 1908-12 et 1929-44"[1].
  • Une exposition sur la vie du Dr Jullien est actuellement en préparation et sera présentée en 2012 aux archives départementales de l'Ardèche.
  • L’hôpital de Joyeuse devrait être rebaptisé Hôpital Jos Jullien

Bibliographie

  • Stéphane Rochette, Jos Jullien, une vie gravée en Vivarais, Éditions Archives départementales de l’Ardèche, 2010 [2]
  • Michel Carlat (sous la direction de), L'Ardèche, Éditions Curandera, coll. « Traditions », 1985
  • Gros, André-Charles Gros, Odette, Un pionnier oublié de la préhistoire ardéchoise le docteur Jos Jullien, Ardèche Archéologie, 2005 
  • Franck Delabre, Nécrologie, t. LX pages 120 à 124, Revue du Vivarais 

Lien externe

Notes et références


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Jos Jullien de Wikipédia en français (auteurs)

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